L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°418 -
Le Marquis d’Evans est resté seul avec Sa chienne-soumise Thaïs MDE qui vient de subir un véritable interrogatoire dans un contexte plus D/s que professionnel, puisqu’elle a dû répondre, tout en étant nue, agenouillée, les yeux bandés et les mains attachées dans le dos, à de nombreuses questions sur sa société qui vient d’être reprise et avalée par la holding financière du Châtelain qui assume les fonctions de Président Directeur Général. Une expérience particulièrement éprouvante pour l’esclave qui ne s’attendait pas du tout à un rendez-vous d’affaires de cette nature, mais également très excitante de se savoir ainsi sous le regard Dominant du Maître Vénéré, dans une position inconfortable pour la femme chef d’entreprise libre et indépendante qu’elle était jusque-là, mais si conforme à sa nouvelle condition d’esclave-soumise MDE, qui ne cherche qu’à satisfaire en tous points Celui dont elle est devenue la propriété exclusive.

L’esclave Thaïs MDE est inquiète des derniers propos du Marquis d’Evans à son égard, lorsqu’il a constaté qu’elle avait été amenée dans la salle de réunion dans un état de saleté qu’IL vient de découvrir et de lui reprocher, avec du sperme séché qui a coulé de son anus. Son sang n’a fait qu’un tour en entendant le Maître lui dire que cela n’allait pas se passer ainsi. Elle ressent une puissante boule qui est venue se former juste au-dessus de son plexus et qui la prend à la gorge la faisant presque suffoquer de honte autant que de crainte et la paralysant presque comme foudroyée sur place. Thaïs MDE sait pourtant qu’elle n’a rien fait de mal intentionnellement, ne faisant que de se laisser faire pour obéir aux ordres et ne s’opposer à rien de ce qui lui serait imposé. Elle repasse en mémoire chaque seconde depuis son arrivée dans l’enceinte de l’immeuble des bureaux du Marquis d’Evans, d’abord conduite par l’un des chauffeurs qui l’a fait monter dans un ascenseur et l’a ensuite conduite les yeux bandés dans une pièce où il l’a fait installer à quatre pattes après lui avoir bandé les yeux et bâillonné la bouche à l’air d’un masque muni d’un ball-gag. Et puis cette attente interminable, sans qu’elle ait pu savoir où elle se trouvait puisqu’elle était sortie de l’ascenseur déjà privée de la vue et de la parole et avait été menée en aveugle à travers un dédale de couloirs jusqu’à son premier point de destination. Elle se rappelle aussi l’arrivée très longtemps après du sous-directeur administratif et financier qui était venue la chercher afin de la mener jusqu’à la salle de réunion où elle avait été interrogée dès l’arrivée du Marquis d’Evans qui présidait la séance de travail.

Entre temps, il y avait eu « Cet » homme qui était arrivé sans dire bonjour ni même daigné se présenter, et qui était reparti comme il était venu après l’avoir enculée sauvagement et tout cela sans prononcer le moindre mot, à part un petit « ah, ah, ah », râle de plaisir jouissif au moment de son éjaculation, exprimé d’une voix masquée que la soumise n’avait pas été en mesure de reconnaître. Elle aurait tant aimé que ce soit Le Maître Vénéré qui soit rentré dans la pièce et qui ait eu envie de la sodomiser avant de commencer Sa journée de travail, histoire de se mettre en forme, mais « L’inconnu » (le Marquis d’Evans en personne qui avait volontairement choisi de rester anonyme et de ne pas se dévoiler à ce moment-là) n’avait rien dit qui aurait permis à Thaïs MDE de l’identifier. IL lui avait asséné deux fessées bien appuyées comme « mise en bouche » pour marquer sa présence et sans perdre de temps l’avait pénétré dans son intimité la plus secrète, pour la labourer longuement, bestialement, ne cherchant que son propre plaisir et à se vider dans le fondement de celle qui n’était là que pour le satisfaire. La chienne-femelle n’avait pris aucun plaisir jouissif dans cette pénétration qu’elle avait dû subir n’ayant reçu aucune autorisation en ce sens.

Et surtout c’est elle la première qui aurait bien aimé pouvoir aller se laver avant de se rendre dans la salle de réunion, mais le sous-directeur administratif et financier ne lui en avait pas laissé l’opportunité, malgré le fait qu’il n’avait pu que relever son état et remarquer le sperme sortant de son cul lorsqu’il avait fait une inspection inquisitrice de celle qu’il était venu quérir, ne se gênant pas au passage de la rabaisser par tous les moyens, en lui faisant remarquer qu’elle était sale et pleine de foutre dégoulinant. Elle a donc beaucoup de mal à accepter sans sourciller les remontrances du Maître Vénéré sur l’état de saleté de son arrière train et sur le sperme séché qui lui macule les cuisses, car il lui semble que le Dominant ne devrait pas pouvoir ignorer qu’elle n’a eu aucun champ de latitude pour agir à quelque moment que ce soit, toujours entre les mains d’un de Ses subalternes. Mais d’un autre côté, elle sait aussi que les remontrances du Maître sont toujours fondées et suivies de justes punitions méritées, et que par principe le Maître a toujours raison. Il est clair pour elle qu’en aucun cas, elle ne se permettra de venir contredire le Marquis d’Evans qui pour l’heure garde le silence, poussant de temps en temps quelques soupirs d’exaspération qui ne font qu’accroître la tension de Thaïs MDE qui se demande bien à quelle sauce elle va être mangée.

La chienne-esclave commence surtout à culpabiliser. Les idées les plus contradictoires fusent dans sa tête, car elle sait que le silence qu’observe le Marquis d’Evans pèse lourd dans son cœur et aussi sur sa conscience intérieure, même si elle ne se sent pas vraiment fautive. Elle se demande bien comment il aurait pu en être autrement. A l’intérieur des bureaux même du Marquis d’Evans, elle se croyait à l’abri, presque même espionnée à tout moment par des caméras de surveillance installées dans chaque pièce, car elle se doute que si elle avait eu le malheur de bouger d’un pouce lorsque ses muscles engourdis par la longue attente lui faisaient tant mal, cela n’aurait pas manqué d’être reporté au Marquis d’Evans d’une manière ou d’une autre, car ce dernier tient à avoir une maîtrise parfaite et un contrôle total sur tout ce qui se passe et sur tout ce qui touche à Ses esclaves. Elle se dit aussi qu’à tout prendre, elle a été plus victime par ignorance dans l’affaire que coupable « consentante », abusée par une personne qui l’avait peut-être juste aperçue par hasard dans cette position d’attente, tout simplement virilement excité d’apercevoir une chienne en levrette, dénudée, bâillonnée, les yeux bandés, à merci du premier venu, si vulnérable et si offerte, qu’il en avait profité pour se vider les couilles avant de disparaître. Comment n’a-t-elle pas songé qu’elle pouvait être abusée et trompée, et non pas simplement sodomisée par ordre ou avec l’autorisation du Marquis d’Evans, qui dirige les lieux en tant que PDG, mais qui n’est pas Le Maître D/s de tous Ses salariés, dont certains ont peut-être une grande conscience professionnelle mais pas nécessairement tous un devoir de réserve et un respect qui, au-delà de leur travail, s’étend également à ce qui est de leur vie privée et de leurs plaisirs sexuels.

L’homme qui l’a enculé a du bien se jouer d’elle qui ne bougeait pas d’un millimètre, se laissant sodomiser, sans réagir et sans rien dire (bien incapable au demeurant de parler avec le ball-gag). Thaïs MDE se dit que ce ne pouvait être que quelqu’un qui devait savoir qu’étant esclave-soumise MDE, ce qui se voyait au collier de métal qu’elle portait autour du cou et à son attitude de chienne-femelle à quatre pattes, elle ne réagirait pas et se laisserait pénétrer, habituée à subir et dressée à obéir. Thaïs MDE pense donc qu’il doit s’agir d’une personne de l’entourage proche de Monsieur le Marquis d’Evans connaissant Son côté Dominant D/s, ou encore un soumis MDE qui au mépris du respect du Maître aurait profité de la situation pour une petite baise après de longues privations plus frustrantes. C’est le Marquis d’Evans qui rompt le silence car de toute manière l’esclave Thaïs MDE n’aurait pas bronché avant, gardant juste la tête basse sans rien à dire de peur de courroucer encore plus le Maître.

- Je viens de te poser une question en te demandant ce que je voyais sur ton corps ? Es-tu sourde, à la fin ? Je suis las d’attendre de savoir si c’est bien du sperme séché qui emplit ton cul de chienne en chaleur. En réalité, je ne sais même pas pourquoi je te pose cette question, puisque la réponse en est plus qu’évidente et ton silence est évocateur.

Thaïs MDE se met à trembler compulsivement. Elle n’ose pas bouger, ses lèvres sont closes car aucun son ne sortirait de sa bouche. Elle a la tête baissée, les joues empourprées de honte et la peau hérissée de mal-être. Le Marquis d’Evans d’un petit sourire pervers qui cherche à tester Sa soumise en la poussant dans ses retranchements pour voir comment elle va réagir, embraye d’une voix lourde, calme, posée et si froide que Son esclave-soumise en est glacée de l’entendre.

- Outre le fait que tu devrais déjà être punie pour avoir osé participer à la réunion dans cet état de saleté devant tous mes collaborateurs et en Ma Noble Présence, je voudrais également savoir comment tu as pu faire pour oser te laisser embrocher sans Mon autorisation. C’est inadmissible ! Je te l’ai déjà dit et tu m’obliges à me répéter, ce que je n’aime absolument pas, tu ne dois pas l’ignorer depuis le début. Tu comprends bien que je ne peux absolument pas admettre un tel comportement... Je pensais que tu m’appartenais totalement, ce que tu n’arrêtais pas de me dire à chaque fois, et que sauf ordre express de ma part, aucun autre homme ou femme ne pourrait te posséder et te donner du plaisir charnel, car je ne compte pas comme tel tout ce qui t’es imposé directement ou indirectement, règles, punitions, contraintes, récompenses, dans le cadre de ton dressage au Château pour te permettre de t’améliorer dans ta manière de te comporter et de me servir de tout ton corps et de toute ton âme…
Le Marquis reprend son souffle et continue :
- Je suis extrêmement déçu, interloqué, déconcerté, sidéré, hébété, effaré, outré même, de voir à quel point tu m’as trahi allant jusqu’à m’offenser presque sous Mes propres yeux et également dans Mes bureaux d’affaires, et ce sans la moindre honte de ta part et sans idée du respect que tu dois à Ma Noble Personne. J’ai bien envie de te chasser sur l’heure avec un simple « adieu », dégoûté de te savoir ainsi prête à te comporter comme une vulgaire putain qu’on baise à tout bout de champ, une salope sodomite prête à offrir son cul au premier venu par pur plaisir de se faire enculer et remplir de foutre par tous ses trous. Je ne comprends même pas pourquoi je perds Mon temps à discuter avec une vulgaire chienne des rues en chaleur, qui ne mérite aucune attention de Ma part, et surtout pas une place à Mes pieds, fut-elle microscopique.

L’esclave-soumise Thaïs MDE s’est effondrée en entendant les propos du Maître Vénéré qui sont autant de couteaux qui percent son cœur meurtri à l’idée d’être chassée sans préambule et sans autre forme de procès. Elle ne sait comment répondre et réagir, de grosses larmes qu’elle ne peut retenir envahissent ses joues, car elle se sent perdue avant tout. Elle s’agenouille, se recroqueville, gardant le front collé au sol et les bras devant elle avec les mains jointes en prière entre les deux pieds du Noble, espérant que le Maître Vénéré lui permettra de parler et de se justifier, et surtout de pouvoir demeurer comme esclave-soumise sous Son Joug. Mais en fait, elle ne sait même pas comment elle va tenter de lui expliquer ce qui s’est passé précisément, alors même qu’elle ne pouvait ni parler, ni voir ce qu’il en était sous son masque. Elle se demande craintivement comment elle va essayer de raconter ce qu’elle a subi bien plus que désiré, malgré la honte qui la submerge car elle se rappelle avec de plus en plus de remords qu’elle a ressenti du plaisir à avoir été ainsi sodomisée après de longues minutes d’attente solitaire même si elle n’en a pas joui, mais dans sa tête, en se livrant sans retenue à celui qui l’enculait, elle ne faisait que son devoir d’esclave obéissante et ne songeait pas un seul instant qu’elle pouvait avoir été dupée. Elle se sent prise dans un piège, un étau qui se referme sur elle, car du fait de sa condition servile jamais il ne lui est venu à l’esprit de demander à l’individu qui s’était approché qui il était et s’il avait bien préalablement reçu l’autorisation de profiter analement de celle qui appartenait au Maître des Lieux, et d’ailleurs comment l’aurait-elle pu physiquement alors qu’elle avait la bouche obstruée par une boule de plastique solidement attachée.

Elle en arrive à penser qu’elle est une esclave docile sous la protection du Maître après tout, et une part d’elle plus négative commence à gronder en sourdine à l’intérieur se disant que le Marquis d’Evans aurait pu, ou aurait dû même, prendre toutes ses dispositions pour la protéger et faire en sorte qu’elle ne puisse être abusée et elle en vient même à ruminer qu’elle pourrait presque dire du coup « violée » à son insu. Tout en même temps qu’une autre part d’elle, en contre écho positif, lui répond que le Maître n’est en aucun cas « à sa disposition » et encore moins 24h sur 24, juste là pour la surveiller, la protéger, l’éduquer, se charger de la faire grandir dans sa soumission ; c’est elle qui a fait librement vœu d’allégeance et d’appartenance, ce qui impliquait qu’elle se devait de respecter son engagement dans toutes les circonstances. C’est donc totalement anéantie que l’esclave-soumise MDE attend le verdict qui ne devrait tarder de tomber, car elle sait que si Le Maître Vénéré est d’une grande magnanimité pour des fautes légères et involontaires qu’il daigne pardonner ce qui n’exclut pas une juste punition au passage adaptée à la gravité de la faute, il n’acceptera jamais de passer l’éponge facilement cette fois et de lui accorder Son pardon s’IL reste persuadé que Son esclave l’a délibérément et volontairement trahi. C’est ainsi que Thaïs MDE, qui ignore tout de la mise en scène du Marquis d’Evans quelques heures plus tôt, imagine à cet instant précis les pensées défavorables et affligeantes du Maître Vénéré à son encontre, eu égard à la teneur des derniers propos du Dominant plus qu’irrité.

Outre le fait qu’elle sait qu’elle n’est pas autorisée à parler avant d’y avoir été invitée, elle se dit également que toute tentative d’explication risquerait d’être vaine aux yeux du Dominant, voire de ne faire qu’aggraver son cas, car devoir se justifier c’est déjà presque se sentir coupable, et d’une certaine manière, c’est également faire remarquer au Maître qu’il y a eu une défaillance quelque part, et forcément de sa part en quelque sorte à défaut de pouvoir en attribuer la responsabilité à tout autre. Il ne lui reste plus que l’espoir que le Maître ne perde pas confiance en Sa soumise si dévouée, et qu’IL se rappelle tout ce qu’elle a pu faire jusque-là pour lui exprimer sa dévotion, sa soumission, son abnégation, son bonheur d’avoir pu trouver une petite place aux pieds du Maître Vénéré et son désir de pouvoir devenir digne des Nobles initiales MDE qu’IL lui a permis de porter accolées au nom d’esclave qu’IL lui a choisi. Plus que jamais, elle se sent vulnérable dans sa condition d’esclave-soumise à la seule merci du Maître Vénéré, ayant perdu toutes ses ultimes certitudes après avoir été éprouvée de multiples manières depuis le petit matin, après quelques jours de dressage au Château déjà difficiles à endurer pour l’esclave malmenée sans répit par Walter, le Majordome, et Marie, La cuisinière…
C’est ainsi que Le Maître Vénéré la voulait, devenue plus fragile et ne pouvant plus se retrancher derrière sa grande force de caractère acquise dans sa vie vanille professionnelle de dirigeante…
(A suivre…)

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