LE CHANTIER (1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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LE CHANTIER (1)
Quarante cinq ans, dont vingt cinq ans de mariage, vingt cinq ans de bonheur depuis que devant monsieur le maire, il m’a demandé Valérie, veux-tu m’épouser.
Quarante cinq ans de bonheur depuis ma plus tendre enfance où tout m’a réussi.
Des parents très attentionnés qui m’ont donné une éducation dans le respect des autres.
Vingt cinq ans de bonheur avec Gaétan qui occupe un poste éminent chez Airbus à Toulouse.
Vingt cinq ans qui ont vu la naissance de mes trois enfants. Mon fils aîné neuf mois après avoir convolé me permettant de ne pas être montré du doigt.
Je sais que ce n’est pas possible autrement car j’étais vierge la nuit de mes noces. Mon fils qui vient d’entrer à Naval dans la marine et vient de finir de faire le tour du monde en tant qu’officier élève sur la Jeanne d’Arc porte-hélicoptères école de notre Marine.
J’étais fière à Brest en novembre dernier lorsque le bateau s’est éloigné du quai tiré par des remorqueurs avec sur le pont d’envol mon fiston impeccablement aligné au garde-à-vous.
Gaétan filmait pour que nous ayons des souvenirs pour nos vieux jours.
Noémi et Valentine lui faisaient signe où n’étaient se pas aux beaux officiers voisins avec lesquelles elles avaient passé la soirée avec leur frère à qui elles disaient adieu pour six mois.
Les deux jumelles ont dix-huit ans et sont en fac de droit pour ouvrir leurs propres cabinets à Toulouse.
Contrairement à moi, elles n’ont pas attendu leur mariage pour aller dans le lit de partenaires masculins.
Il m’arrive de faire du café pour quatre le samedi ou le dimanche matin et tous ce petit monde s’embrasse et se caresse sans vergogne devant moi comme si je faisais partie des meubles.
Je les envie un peu à la longue moi qui n’ai connu que la bite de Gaétan et même s’il nous arrive de regarder le porno du samedi soir, jamais il ne m’a sodomisé.
Je le suce mais jamais je n’ai avalé son sperme. Je sais que mes filles avalent et qu’elles baisent avec les mâles ensemble car un jour où je suis passée dans le couloir devant la porte de la salle de bains, Noémi parlait à sa sœur.

• Il t’a bien rempli la glotte ton sexe hier.
• Et le tient, tu le pompais comme une folle, il a fini sur ta figure et je t’ai vu tout récupérer.

Sur le coup j’ai été choqué, mais elles disaient cela avec un tel naturelle que je me suis surprise à regretter de ne pas être née à leur époque.
Dans le cadre de son travail, mon mari part trois semaines sur quatre en Allemagne à Hambourg, Royaume-Uni et Belgique.
Ajouté à cela les États-Unis où il doit rencontrer des sociétés qui travaillent en partenariat avec Airbus.
Je suis souvent seule depuis cinq ans où il a accepté ce poste mais je sais que pour nos vieux jours, nous aurons une retraite heureuse.

Pour le moment, je bronze nue sur le bord de ma piscine bien protégé par la haie de thuyas qui entoure intégralement la maison et qui m’isole entièrement. La terrasse est assez haute pour nous donner une vue magnifique dans la vallée.
Noémi et Valentine pour la première fois sont parties dans la voiture qu’elles ont eue pour la réussite à leur permis ainsi que leur année scolaire et qui va leur donner plus d’autonomie pour leurs études.
Elles ont décidé de partir visiter l’Italie pendant deux mois.
J’ai eu une discussion mère filles avec elles avant leur départ et elles ont promis que comme chez nous elle sortirons toujours couvertes.
De plus, depuis leurs seize ans, je sentais qu’elles ne tarderaient pas à perdre leur virginité, je les ai emmenés chez un gynécologue de leur choix pour leur prescrire la pilule.

Depuis quelques jours il y a beaucoup de bruit sur l’arrière de notre terrain.
J’ai peur que la construction du nouveau centre sportif de notre ville avec piscine terrain de football, de rugby, tennis et tous le centre administratif n’y soit pour quelques choses.
Ce complexe a été réalisable grâce au retomber économique de l’avionneur qui a une usine d’assemblage dans notre cité.
Lorsque le projet a été présenté, le maire comprenant nos craintes nous a certifié ainsi qu’aux voisins que les nuisances seront limitées car la piscine l’été sera construite au plus loin des habitations.
C’est le centre administratif qui jouxtera nos maisons avec aucune fenêtre du côté de nos terrains.
Gaétan voulait s’opposer mais lorsque je lui ai fait comprendre que nous étions sûrs que la nouvelle bretelle d’autoroute qui doit être construite pour que les morceaux de l’avion le plus gros au monde arrivent plus rapidement de la côte, ils seront obligés de choisir le tracé passant à plus de trois kilomètres et qui impactera le moins notre maison et ainsi nous garderons notre tranquillité.

Je me couvre rapidement car en me retournant je vois une grue qui est en train de poser une cabane de chantier le long de notre haie.
Une fois qu’elle l’a posé, j’entends la grue partir et le bruit cesse.
Je me lève et je m’approche. Je vois le métal de la cabane car au printemps Gaétan a fait remplacer un thuya mort et qui cassait l’harmonie de la haie.
Je ne m’inquiète pas car il y a vingt centimètres entre la cabane et la haie mais surtout aucune fenêtre. Lorsqu’il rentrera, je demanderai à Gaétan de placer une planche le temps des travaux.

Il y a huit jours que les travaux ont commencé et à part le bruit d’une bétonnière et des camions qui livrent le bruit est supportable.
En ce début juillet, nous subissons une canicule avec restriction d’eau.
Depuis un an, j’ai pris l’habitude de prendre un bain de minuit toutes lumières éteintes lorsque je suis seule.
Cette nuit je ne déroge pas à la règle et lorsque je plonge la légère fraîcheur de l’eau se faisant sentir sur tout mon corps que j’entretiens en faisant du sport deux heures par jour sans compter les longueurs de bassin que je fais tout l’été.
Beaucoup de mes copines envient ma silhouette à mon âge comme elles disent.
Je sais que plusieurs d’entre elles ont des amants mais comme je suis discrète, j’arrive à puiser des renseignements sans chercher à les entendre et ce qui est le plus drôle, c’est que certaines sont les maîtresses du mari de l’autre qui couche elle-même avec le mari de la première.
Je leur dirai bien que si elles aiment le mari ou la femme de l’autre une refondation des couples serait plus judicieuses mais la manière dont je glane les renseignements me fait penser que c’est l’interdit qui les fait mouiller.

Après une demi-heure de barbotage, je sors de l’eau. Il fait tellement bon car une légère brise s’est levée comme je l’ai déjà fait de nombreuses fois, je m’allonge sur mon lit transat.
La garniture est tellement douce qu’au bout d’un moment en regardant les étoiles, je m’endors.
Un bruit d’eau me réveille mais comme la lune s’est caché derrière des nuages, ma vision est très limitée.
Je suis tétanisé, car je constate qu’une personne nage dans ma piscine et ne m’a pas vu.
Je la vois sortir de l’eau et partir dans le fond du jardin vers le chantier.
Je n’ai pas le temps d’entrer qu’une nouvelle ombre arrive et entre dans la piscine.
Comme la précédente, elle fait quelques allées retours, sort et repart d’où elle est venue.
Je ne suis pas blonde mais je finis par comprendre que des ouvriers habitent dans la baraque de chantier livrée par la grue et viennent se baigner dans notre piscine.
Qui sont ces personnes et ai-je des risques qu’ils m’attaquent.
Je m’apprête à entrer en courant quand le suivant arrive, ils viennent un par un pour éviter de se faire repérer.
Au moment où le lit en rotin d’extérieur où je me trouve craque, les nuages s’ouvrent et la lune réapparaît.
L’homme qui se baigne me voit, sort prestement de l’eau et vient vers moi.

• Madame, pas avoir peur, nous pas méchant, nous douche dans la cabane très chaude et nous venons chercher fraîcheur.
Pas vouloir mal.

La lune n’a qu’un quartier mais je le vois comme en plein jour. Il est grand, ses muscles sont bien développés, ses abdominaux sont bien ciselés et que dire de son attribut.
Je me souviens d’un film porno regardé avec Gaétan dans les premiers jours où nous avons une la chaîne cryptée et où un acteur italien, Rosso, non Rocco avait une verge aussi grande que cet homme.
Je n’ai rien dit à mon homme mais la nuit suivante alors qu’il dormait, je me suis caressé le bouton et j’ai joui en fantasmant qu’un tel membre me pénétrait.
Sachant que, jamais je ne rencontrerai un tel engin, mon fantasme a fini par s’évanouir et chaque fois que je me caresse, c’est plus par frustration que mon homme ne soit pas là au moment où mon désir monte en moi.
Lorsque j’analyse bien, je suis devenu une femme insatisfaite.
Ce sentiment est renforcé par le fait que, lorsque mon sexe revient, je sois en droit d’attendre qu’il me prenne comme une chienne que je suis prête à devenir mais quelques fois il se couche sur moi juste la veille de son départ et semble faire juste son devoir conjugal.

Revenons à ce sexe qui est à portée de ma main. Je suis une femme trop bien élevée pour dire à cet homme.

« Vas-y bébé, baise-moi, enfile-moi, ta verge me fait mouiller. »

Non, je la regarde, elle me regarde et s’il n’avait pas dit ce qu’il me dit en faisant ce qu’il me fait, je n’aurais certainement pas basculé.

• Dis, madame, pas dire à patron, moi viré moi plus travail et famille pas mangée en Bulgaria,

En me disant cela, il est tellement convaincant que, lorsqu’il pose sa main sur mon mollet une décharge électrique irradie tout mon corps.

• N’ayez pas peur, je ne dirai rien, vous n’avez rien fait de très grave.
• Merci madame moi remerci beaucoup vous. Vous avoir froids, peau comme poule.
• On dit chair de poule, non, cette votre main sur ma jambe qui me fait frissonner.
• Vous pas marié, vous pas mari pour occupé madame.
• Je suis marié mais mon mari est parti pour deux semaines pour son travail.
• Mari fou, vous belle femme, moi femme comme vous jamais quitterait madame.
• Tu es marié.
• Non, moi aime trop les femmes pour avoir une seule, vous envie de moi.

Quelle conversation indécente, j’ai littéralement l’impression que je me livre à lui, il doit être d’origine gitane, c’est pour cela qu’il ait si beau.
Pourquoi réponds-je ?

• Oui.

Est-ce que notre conversation a fait tendre son sexe de l’envie qu’il a de moi aussi lorsqu’il approche, ma main vient saisir cette verge que nul doute, je vais recevoir en moi dans peu de temps ?
Très délicatement en homme sûr de sa victoire, il se penche vers moi et ce que j’aurai trouvé répugnant, il y a quelques minutes, sa langue vient caresser la mienne.
Il s’assoit à côté de moi et sa main sur mon molet rejoint mon sein le plus proche.
Ce n’est pas le froid qui hérisse mes poils mais bel et bien l’envie de caresse qu’il ne se prive pas de pratiquer sur l’un puis sur l’autre.
Je ferme les yeux pour ne plus les rouvrir ne voulant pas voir où mon corps est capable d’aller pour satisfaire ses fantasmes.
Je sens que j’ouvre mes cuisses pour lui permettre de basculer et de venir en moi.
Son membre est si volumineux que j’ai l’impression qu’il m’ouvre en deux, mais rapidement mon vain s’adapte à son volume et un orgasme le plus rapide de ma vie me cloue sur mon lit de vice.
Vice, car il faut être une vicieuse pour se laisser prendre comme cela par un inconnu, il y a encore vingt minutes. Vicieuse lorsque mes jambes viennent s’enrouler autour de ses hanches et que je le bloque pour qu’il entre de plus en plus profondément en moi.
Ma bouche ne libère pas la sienne et me permet d’éviter que ses copains ne sachent la chance qu’il a d’avoir trouvé la chienne que j’espérais désespérément être pour mon mari.
La baise que nous pratiquons évacue les mois de frustration que je ressentais avant qu’il vienne me pilonner.
Je suis un orgasme permanent et au bout d’un moment que je ne saurai évaluer, il se retire, me fait mettre à quatre pattes et en levrette comme il disait avec Rocco, il me reprend par la chatte pour un temps encore plus long qu’en position du missionnaire.
Ma chatte chauffée à blanc et qui n’arrête pas de dégouliner lorsque je touche à mon clitoris, finit par demander grâce.
Je suis devenue une chienne mais je vais très vite descendre au rang de truie.

• Sodomise-moi.

Ce n’est pas possible, même si j’ai dit tout à l’heure que je regrettais que Gaétan ne met prise la rondelle, de là à réclamer que cet homme venu de l’est me prenne par mon anus devrait être inconcevable.

• La madame.

En disant ces deux mots, il me met un doigt là où je souhaite qu’il me prenne.

• Oui.
• Alors madame, vous êtes femme totale, peu acceptent sodo j’adore alors j’adore toi.

Sa tirade terminé, son sexe glisse lentement dans mon petit trou très lubrifié par les sécrétions qui ont glissé de ma chatte lorsque j’étais placé sur le dos.
Ce que je n’avais pas pensé dans mon envie incontrôlée de sexe, c’est la grosseur de son pieu et lorsqu’il arrive au plus profond, j’explose une fois de plus de plaisir.
J’apprends que l’on peut jouir en se faisant sodomiser et cette découverte m’ouvre de bonne perspective pour ma vie de femelle en chaleur.

• Moi pas remplir madame dans cul, moi vouloir arroser intérieur, chatte à toi.
Tu vas voir quantité que moi va déverser en toi.
Toi garder liquide en toi toute journée, toi comme cela pensé à moi tout le temps.

Comme il me l’a dit, il change de trou laissant mon anus orphelin pour mieux recommencer à me pénétrer la chatte.
Depuis combien de temps, ce bel étalon se sert-il de mon corps avec mon accord ?
Je n’en sais rien mais placé comme je le suis ma bouche libérée, l’orgasme supplémentaire que je ressens ressemble au cri d’une louve dans la nuit.
Un, deux, cinq fois il décharge en poussant un cri du loup venant de sevrer sa femelle.
Il sort de moi et se relève.

• Moi venir demain patronne, toi d’accord.
• Oui j’attendrai toute la journée que tu reviennes.

Il plonge dans la piscine, remonte jusqu’aux marches, sors de l’eau et disparaît au fond du jardin.
C’est le soleil qui me réveil, je suis toujours replié sur moi-même le cul en l’air et lorsque je glisse ma main sur ma fente pour voir si je n’ai pas rêvé, mes doigts poisseux me confirment que je suis devenue la chienne que j’espérais secrètement être. Je suis la chienne de ce beau gitan.
Je me laisse tomber sur le côté et au bruit de la bétonnière qu’il a démarré je rêve à la nuit prochaine.

Les avis des lecteurs

J'ai pas encore lu la suite, mais voilà un excellent début. Comme dit dans les comms plus haut, comment va réagir le mari cocu? Va-t-il remarquer le changement chez sa femme? et elle, va-t-elle se limiter à un seul amant?

Histoire Libertine
Premier chapitre vraiment sympathique et qui pause les bases, ce qui est plaisant plutôt que de rentrer directement dans de l'érotisme ou le sexe à l'état brut ^^. Je suis pressé de lire la suite :).
Merci pour ce récit et bravo :)

Histoire Libertine
Étant plus jeune, je refusais d' être chienne, ça ne se faisait pas.....maintenant je n' aime plus que ça. Histoire un peu longue mais très excitante.

Histoire Erotique
Très belle histoire décrite avec plein de réalité et d émotions
attendant la suite et le retour du mari avec le changement certain de ton attitude et de tes performances côté sexe
j espère qu il suivra
bisous

Histoire Libertine
Quelle chance il nous faut la suite c est vraiment trop bon



Texte coquin : LE CHANTIER (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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