Cosmopolitan Berlin.

- Par l'auteur HDS Ffgbear -
Récit érotique écrit par Ffgbear [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
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Récit libertin : Cosmopolitan Berlin. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Cosmopolitan Berlin.
Depuis mon arrivée, le froid n'a pas permis à la neige de fondre. Elle est maintenant un peu pulvérulente et jaunâtre sur les trottoirs piétinés mais les rue restent bien blanches. Toujours aussi ce silence feutré inhabituel dans uns grande ville. Hier en revenant par le métro, qui est aérien à cet endroit, après Gleisdreieck en pleine ville, un grand espace blanc ponctué des cabanons d'un jardin ouvrier. Un endroit inimaginable au coeur des grandes ville françaises. Je suis descendu à la station suivante (Bülowstr) pour aller fouler cette neige vierge, profonde et crissante au milieu des petites cabanes, dérangeant des multitudes de petits passereaux des jardins.
Avant mon départ j 'avais plus ou moins prévu de multiples rencards que je finalisais au jour le jour sur mon petit ordinateur au studio. Il y avait des hauts et des bas.
Hier par exemple, un Croate. Un mec trapu, musclé, la quarantaine, bref un mec comme je peux les aimer.
On a bu une bière côte à côte sur le canapé et j'ai commencé à le caresser. Il bandait déjà et ça se voyait bien. Je le déshabille et commence à sucer son membre très épais ... (qui me rappelle celui de Vladimir... en plus court....non, pas de digressions !) Il n'était pas trop coopérant mais j'ai mis ça sur le compte de la timidité. Je me déshabille aussi, il met la capote proposée et commence à me troncher. C'était pas mal, pas trop rapide mais pas très long non plus et ensuite le mec était inutilisable. Il ne savait jouer que perso... donner du plaisir à un partenaire, il n'y avait jamais pensé. Si nous avions pu communiquer, il m'aurait sûrement dit que lui, il n'est pas pédé. Un classique de macho, mais un peu frustrant.
Ce soir j'ai rendez-vous avec un homme au pseudo intrigant : « kilo ». On doit se retrouver à mon bar cuir préféré XXX. À 17h. Je ne sais pas à quoi il ressemble. Il me reconnaîtra, a-t-il écrit. A l'heure dite un type se pointe devant ma table. « Hello Marc, I am Mustafa ». « Kilo » même en imaginant, ne faisait pas penser à cet homme, à peine quarante ans, petit, mince mais dont on percevait tout de suite la musculature sèche. Je lui propose une bière ce qu'il refuse, sans doute est-il musulman, un Coca, alors ? Je vois bien qu'il est mal à l'aise et préférerait qu'on parte rapidement, l'environnement ici ne lui convient pas. Nous partons dans la neige, à pas glissés, vers mon home sweet home. Il me dit qu'il est égyptien.
A peine le temps d'enlever chaussures et parkas, il m'embrasse et me pousse vers le lit. Je suis un peu interloqué mais c'est aussi bien de ne pas passer une plombe avant de se décider. Nous sommes à poil en un rien de temps et son désir est évident : une belle queue circoncise droite comme un I majuscule courte et assez épaisse et d'une dureté comme j'en ai rarement palpé. Il chope une capote, l'enfile, m'embrasse à nouveau tout en me relevant les jambes et me pénètre à peine lubrifié de sa salive. Son extrême excitation me fait bander comme un cerf. Jamais encore je n'avais été enculé par une bite aussi dure et rigide, et la sensation est vraiment étonnante, différente de celle procurée par des sexes plus souples. Chaque coup de queue je le ressens de manière intense, presque douloureuse mais mon excitation sublime cette presque douleur en un plaisir inconnu encore. L'excitation dans laquelle il est, est pour moi aussi, assez inédite. Hélas, dans une telle conjoncture la durabilité s'en ressent, et secoué de tremblement, rapidement, il s'écroule sur moi.. Pas de chance c'était vraiment très bien, ai-je pensé..
Là, tel qu'il est ,dans mes bras, je peux le caresser, de nouveau reprendre ses lèvres et reprendre le long baiser du départ. Je peux le basculer sur le dos et commencer à parcourir de ma langue son torse glabre, tout son corps dur, dense, musclé... son sexe n'a pas débandé. Je l'ai à peine effleuré de mes lèvres qu' il me fait pivoter sur le flanc et me pénètre à nouveau. Son rythme est un peu plus lent mais son souffle sur mon cou est toujours haletant. Ainsi sa bite va profondément en moi car je peux mieux coller mon cul à son bas-ventre et me tordre encore pour l'avaler plus encore. Mon anus est étroitement serré sur son sexe, et je sens là aussi la dureté de son pénis. Il me pilonne, me perce, me fore, me troue, m'empale sur son acier. Mes gémissements, par les secousses qu'il m'inflige, sont des hoquets de plaisir,. Je n'ai plus la notion du temps. J'imagine mon anus béant, dégoulinant, salivant, au passage de son vit. Dans une ultime lordose pour l'introduire au plus profond, j'entends un grognement finissant en gargouillis et je sens son corps s'abandonner sur le mien, la respiration courte et irrégulière.
Il est trempé de sueur lorsque je le reprends dans mes bras et couvre son visage, son cou de baisers. Je le serre contre moi et le caresse tendrement. Il est inerte, tout tonus musculaire semble l'avoir déserté. Ma tendresse pour lui, qui m'a si bien baisé, se traduit dans le plaisir que j'ai à le caresser et à l'étreindre ainsi. C'est sûr, j'ai la reconnaissance du cul.
Tous son corps frissonne sous mes doigts, pas la moindre surface insensible. et ses miaulements murmurés encouragent mes mains, mes lèvres à le parcourir, de ses orteils que je suce, ma langue qui parcoure sa cheville, sa jambe, s 'arrête à son creux poplité, remonte l'intérieur de ses cuisses et vient lécher ses boules engluées du sperme qui à coulé quand il a enlevé la capote. Bien sûr, il est déjà rigide mais me laisse continuer mon exploration. Ma langue fouille son nombril et se hissant vers ses tétons les caresse doucement, il gémit faiblement, son cou offert que je suce à pleine bouche, ses oreilles ou ma langue agile se glisse et à nouveau , ses lèvres, sa bouche ouverte à la mienne, nos salives mélangées coulant sur nos visages, nos cou. Sa main derrière ma tête appuie ma bouche sur la sienne et son baiser devient fébrile, passionné. Sa queue est collée, dure, à mon ventre. Il me retourne et entre en moi à nouveau
Ses dents sur ma nuque me maintiennent, une main sur mon visage, ses doigts dans ma bouche que je suce, excité par son désir insatiable, l'autre main sous moi autour de mon sexe. Si le rythme est plus lent la dureté de sa queue reste identique et mon cul le ressent toujours aussi intensément. Les secousses qu'il m'inflige branlent ma queue entre ses doigts et je dois faire un effort pour ne pas jouir, pour essayer de venir avec lui. J'y suis presque arrivé. Il a jouit, presque aussitôt dans un sanglot.....
Nous nous sommes endormis ainsi emmêlés, épuisés, baignés de sueur, de salive et de sperme.
Il m'a repris avant le Früchstuck mais mon cul était vraiment endolori de la nuit et je l'ai sucé en me branlant... du coup j'ai anticipé le petit déjeuner.
Les parois de mon anus douloureuses ont permis pendant plusieurs jour de maintenir vivace le souvenir d'avoir été habité par lui.
Aujourd'hui je vais mettre la pédale douce, si je puis dire.
Je n'avais jamais rencontré un partenaire comme Mustafa, avec une telle capacité sexuelle, une telle puissance.... et à part lui, je n'en ai pas rencontré depuis non plus.
Nous nous sommes revus plusieurs fois à Berlin lors de mes séjours et encore récemment dans un grand hôtel parisien, sinistre, le Pullman Tour Eiffel, où il m'a aussi fisté.

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Texte coquin : Cosmopolitan Berlin.
Histoire sexe : Une rose rouge
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