LE CHANTIER (2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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LE CHANTIER (2)
Il a fallu que j’arrive à vingt cinq ans de mariage pour avoir une aventure avec un beau Bulgare qui travaille dans le chantier qui vient de démarrer à côté de chez nous.
Il est venu se rafraîchir dans ma piscine alors que je venais de finir un bain de minuit.
En quelques minutes sa bite énorme m’a subjugué et réalisant un de mes fantasmes, je suis devenu littéralement sa chienne, j’ai même dit sa truie.
Il doit revenir ce soir et ma chatte encore empli de son sperme car il m’a interdit de me laver me rappellent les nombreux orgasmes qui ont dévasté mon corps.

À l’heure où il doit me rejoindre un mouvement de pudeur vite réfréné me fait penser à rester enfermé mais le plaisir pris hier au soir me fait revenir sur cette décision et à la tombée de la nuit je m’allonge sur mon lit de plaisir au bord de ma piscine.
Il ne faut pas longtemps pour que mon beau sexe arrive sa queue déjà tendue.
Il s’approche de moi et m’embrasse tendrement, j’aime sa langue qui roule sous la mienne et ce que j’apprécie, c’est qu’il a mangé du mentholé qui lui donne, une haleine très fraîche et agréable.
Toujours aussi direct il me met la main à la chatte et relève ses doigts pour les humer.

• C’est bien madame, sens, tu sens bon.

Il replonge ses doigts, les ressorts et après me les avoir faits, sentir me les met dans ma bouche.
Je les suce avidement voulant lui faire voir que je lui appartiens et qu’il peut comme hier faire tout de moi.
Ce qui m’a manqué au réveil lorsque j’ai repensé à notre nuit, c’est de ne pas lui avoir sucé cette queue magnifique.
Je ne veux pas avoir de regret deux jours de suite, je me penche et je suis heureuse de la recevoir jusque dans ma gorge. Je dis bien dans ma gorge car il me fait mettre la tête en arrière et appuie pour que son bâton entre en entier en moi.
J’aurai été folle de passer à côté d’un tel plaisir. Mais une fraction de seconde cette maudite éducation revient me dire que je suis une salope.
Mon cœur est peut-être amoureux, voire plus mais il me reste un zeste de lucidité. Que va-t-il se passer au retour de Gaétan ?
Sa queue qu’il me distille avec parcimonie en me donnant l’impression de ne faire que son devoir conjugal est un gros problème car comment comprendrait-il que, du jour au lendemain je lui saute dessus comme la chienne que j’accepte d’être pour mon beau Bulgare.
N’aura-t-il pas un doute sur ma fidélité et ne me jettera-t-il pas me privant de mon confort que j’apprécie tant.
Où vivrai-je ?
Dans sa cabane de chantier entouré des autres ouvriers, il vaut mieux que je vive au jour le jour et que je profite du moment présent pour boire le sperme qui finit par dégorger de sa queue.
Je suis frustré car je les fais partir dans ma bouche trop vite et mon sexe brûle de recevoir sa part de plaisir comme il a su si bien le faire hier.
J’oublie que j’ai à ma disposition pour quelques jours un sexe, le sexe dans toute sa splendeur et que le temps qu’il saute à l’eau et revienne se coucher sur moi sa bite a repris toute sa splendeur et que l’eau qui coule sur mon corps n’est pas la seule cause à mon frissonnement.
Il semble vouloir me faire connaître la méthode douce lorsqu’il me pénètre.
Ses baisers sont langoureux et ses mains volent sur mon corps.
Douceur oui, mais relative lorsqu’il passe sa main sur mes seins et que les callosités liées à son métier déchirent mes pointes m’apportant un début de jouissance.
Son sexe si généreux fini malgré le tempo lent qu’il nous inflige à me faire avoir un nouvel orgasme.
Si je compte le nombre d’orgasmes que sa bite m’apporte, j’en totalise déjà plus qu’en toute notre vie de couple avec Gaétan.
Je pars pour un tour alors que lui ne m’a arrosé que ma glotte.

• Viens baigner, il y es beaucoup chaleur.

J’apprécie de changer de terrain de jeu, depuis mon mariage le seul endroit où j’ai fait l’amour c’est mon lit conjugal et même s’il me faut me l’avoué, j’ai de nombreuses fois fantasmées de baiser dans des endroits insolites.
Je dois être de bonne foi, une fois lorsque les enfants étaient en colonie et que nous habitions encore dans notre villa de location bien moins somptueuse que la nôtre actuellement. Nous venions de nous occuper de la pelouse et comme nous avions besoin de fraîcheur alors nous nous sommes déshabillé et j’ai vu que Gaétan bandait à me regarder descendre ma petite culotte aussi il s’est assis et je suis venue me ficher sur sa colonne. Je regrette que nous n’ayons pas recommencé après car je me souviens que dans cette baignoire nos corps ont atteint des sommets.
Il est vrai que nous étions jeunes et nous baisions plus souvent.
Le temps passant, l’envie a régressé mais je crois que nous sommes tous les deux fautifs de nous être embourgeoisé.
En ce moment dans cette piscine je fais trois longueurs et lorsque je m’arrête, il est derrière moi je sens sa main passer entre mes jambes et venir caresser ma vulve.
Il me met trois doigts, les ressorts rapidement et les met dans ma bouche.
Malgré l’eau de la piscine, ils sont englués de mes sécrétions et c’est moi qui fais le même geste pour en récupérer un maximum.
Je trouve que j’ai bon goût et qu’il aurait fallu que je me suce bien avant cet instant.
L’eau me refroidit la chatte mais sa verge qu’il me glisse en passant entre mes fesses oubliant ma rosette me réchauffe après deux trois aller et retour.
Je suis obligé de faire les deux mètres qui me sépare de la margelle et ne pas couler avec mon amant sur le dos.
Devinons ce qu’il m’arrive, c’est incroyable je jouis et dans la nuit qui commence à tomber, je suis une femme amoureuse.
Avant de repartir retrouver ses copains et reprendre des forces pour travailler demain matin, il me fait sortir de l’eau me fait rejoindre mon lit de plaisir et me sodomise me transportant dans les montagnes russes du parc d’attractions car il sait adapter son rythme à mon envie de luxure.
Lorsque mon cul éclate de plaisir je hurle à la lune. Il est drôle de constater que c’est une nuit de pleine lune.
Je n’ose me retourner car j’ai peur de m’apercevoir que c’est un loup qui a remplacé mon Gitan. Lui aussi pousse son cri lorsqu’il m’inonde.
Je m’affale sur le lit et lorsque j’émerge je suis seule pouvant croire qu’une fois de plus j’ai rêvé si ce n’est mon anus qui me tire un peu d’avoir été distendu par le gros mandrin de mon amant.

Il fait si bon au clair de lune que je dors jusqu’à ce que le soleil me cuise les fesses.
Je vais faire des courses car à midi Maryse mon amie qui habite au centre-ville un coquet appartement vient me rendre visite pour déjeuner ensemble.
Je sais qu’elle fait un régime depuis dix ans aussi je vais au marcher acheté des fruits et des légumes chez un maraîcher de la région à qui je suis fidèle depuis dix ans.
« Fidèle, » mots que j’emploie régulièrement sans y prendre attention mais qu’il me sera impossible de me servir depuis que mon amant m’a fait vivre dès mes nuits de débauche.
« Fidèle » mot que je ne pourrai plus prononcer sauf s’il me faut mentir pour garder mon honneur de femme mariée.
« Fidèle, » mot que je m’étais persuadé de pouvoir dire comme je l’avais promis au maire et au curé pour la vie.
J’ai conscience et j’assume les envies qui taraudent mon intimité depuis que que que…
Je m'aperçois que je baise avec mon beau gitan depuis deux jours et je constate que nous ne nous sommes même pas dit nos prénoms.
J’ai préparé la table sur la terrasse sous le parasol et je finis de préparer la sauce de salade dans la cuisine en maillot de bain car Maryse adore se servir de notre piscine.

• Madame avait eau froide nous eau chaude pour boire.

Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir que mon gentil Bulgare est derrière moi.
Surtout lorsqu’il m’entoure de son bras musclé et que sa main se glisse dans le bonnet de mon maillot.
Il me touche, je réagis immédiatement et je penche la tête pour qu’il m’embrasse.
Je sais que c’est une folie car je connais maintenant les réactions de mon corps et je sais que s’il veut me prendre je ne vais pas résister.
J’ai la chance d’être devant la fenêtre qui donne sur l’allée par où Maryse va arriver avec sa voiture.
J’ai déjà reconnu que j’étais sa chienne alors je lève ma jambe pour la reposer sur le plan de travail dégage dans cette position toute mon intimité suivant son choix.
C’est ma chatte qu’il vient pénétrer sauvagement sans enlever mon slip de bain et qu’il me pilonne comme s’il me faisait l’amour pour la dernière fois.
Je suis contente de prendre un plaisir de cette ampleur à la mi-journée ce qui va me permettre d’attendre la nuit pour une nouvelle soirée orgiaque.
Je n’ai pas encore fini de jouir lorsque la voiture de mon amie s’annonce.
Elle me voit par la fenêtre et donne un grand coup de klaxon qui correspond au moment exact ou mon mâle décharge en moi.
J’entends comme dans un songe la porte s’ouvrir et Maryse arrivé près de moi.

• Bonjour mon cœur, c’est bien aujourd’hui que je viens manger, tu me donnes l’impression de descendre du septième ciel.

Je ne sais pas à quel moment mon beau gosse est partie et comment ma jambe s’est retrouvée parallèle à l’autre mais à part mon visage encore empli d’extase et si elle regarde bien ma jambe qui me soutenait le long de laquelle son sperme descend elle ne peut pas voir que comme une grosse cochonne je viens de me faire prendre debout dans la cuisine.

• Je vois que tu débordes de vitalité, viens prendre un bain avant que l’on passe à table.
• Je peux te demander quelque chose, j’ai un fantasme que j’aimerais que tu m’aides à réaliser.

Fantasme mot inutile pour moi car j’ai en deux jours réalisés tous les miens au-delà de ce que j’aurais pu espérer.

• Aucun problème, si je peux t’aider.
• Oui, j’aimerais me baigner nue dans ta piscine sans la contrainte de ces bouts de tissu.

J’éclate de rire vexant Maryse. Je ne peux pas lui dire qu’il n’y a aucun problème, j’ai moi-même baisé dans ma piscine.

• Aucun problème, je vais t’imiter moi aussi.

Je fais tout tomber et je plonge les jambes en avant pour enlever toute trace qui pourrait m’apporter des questions que j’aurais du mal à répondre.
Le bain terminé nous passons à table.
Il est incroyable moi qui était pudibonde de me mouvoir de la terrasse à la cuisine dans une totale nudité.
Au moment où elle va s’asseoir, je la fais changer de place car sur le chantier deux tête dépasse des thuyas dont mon amant car ils arrivent à un rang leur permettant de nous voir.

• Merci de m’avoir permis d’être nue. Je suis contente d’admirer ton magnifique corps.
• Tu n’es pas mal du tout.
• Tu crois que l’on peut toujours plaire ;
• Pourquoi cette question.
• Tu es perspicace, je me suis invité car une question me taraude.
• N’hésite pas pose là, je n’ai rien à cacher.
• Depuis ton mariage avec Gaétan as-tu toujours été fidèle comme tu t’y étais engagé…

Les avis des lecteurs

Une très belle suite pleine de sensualités et d'érotismes

Mais que va être sa réponse à la dernière question ?

Histoire Erotique
Que de bons chapitres hmumm j'ai adoré, ce fut très excitant, bandant, qu'elle belle coquine, gourmande. Ca donne envie de lire une suite s'il y en a une...

Histoire Libertine
J adore c est très excitant continuez

Histoire Erotique
valerie est une sacre chienne
merci pour cette histoire en espérant une suite encore plus excitante



Texte coquin : LE CHANTIER (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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