Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière – (3/3)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière – (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière – (3/3)
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°436 - Une journée de sadomasochisme avec Marie la Cuisinière – (3/3) -
Aussitôt dit, aussitôt fait… Madame Marie s’asseyait sur ce confortable Voltaire, allongea les jambes et posa ses talons sur le dos de compelled MDE à quatre pattes et positionné en guise de table basse. Encore une belle humiliation pour lui : Il n’était plus qu’un vulgaire repose-pied ! Il resta ainsi, dans une posture douloureuse, tout le temps qu’il fallut pour que la sévère et vicieuse Cuisinière soit satisfaite de sa manucure. Une fois son vernis sec, elle se releva et réapparut devant compelled MDE. Lui, les yeux baissés, il lui fut ordonné de se mettre agenouillé et son regard se fixa vers le bassin de Madame la Cuisinière, découvrit un impressionnant gode-harnais jaillissant dans sa direction.

- Allez la salope, remercie-moi encore d’avoir eu la bonté de te corriger ! Suce-bien cette grosse queue avant qu’elle ne te défonce ton cul de lopette !

Sans laisser à compelled MDE le temps de répondre, elle avança le gode aux limites des lèvres de l’esclave et le poussa sur sa tête pour le forcer à le prendre en bouche. Impuissant, compelled MDE, se résigna à accepter l’introduction de l’énorme gode. Il le savait, ce serait pire encore dans quelques minutes, si les prédictions de Madame Marie étaient tenues. Mais tout cela rendait le soumis encore plus excité dans sa cage…
- Allez suce bien mon chien, montre-moi que tu aimes ça !

Encore quelques instants de va-et-vient humiliant dans cette bouche défoncée, avec en sus quelques insultes humiliantes, Madame Marie décida qu’il était temps de passer à autre chose.

- Je vois que tu aimes ça, petite chienne, mais je vais te prendre par le cul maintenant. Mais d’abord tu vas me supplier de le faire, je t’écoute !

Jusqu’où Madame la cuisinière voulait elle emmener compelled MDE ? Voulait-elle le voir craquer mentalement ? Et lui, qu’allait-il dire, comment devait-il le dire ? Il s’accorda quelques longues secondes de réflexion :
- Heu… S’il vous plait Madame, je vous en supplie, défoncez moi le cul, prenez-moi, prenez du plaisir à me prendre, à m’avilir, enculez-moi s’il vous plait !

Marie, s’adressant à Emeline MDE, toujours là, près d’eux :
- Tu as bien entendu toi, ce chien veut être pris, alors je vais l’enculer, bien le défoncer, lui élargir sa rondelle.

Elle ricana sadiquement… alors que la soumise-femelle baissait la tête. Derrière lui, compelled MDE sentit le contact des mains de Madame la Cuisinière lui écarter les jambes, puis la raie anale. Il fut rassuré lorsque, sentant la tête de l’imposant gode entrer en contact avec son trou à bites, il eut une sensation tactile fraîche et gluante. Madame Marie semblait avoir bien lubrifié l’instrument. Sans autre forme de procès, Madame Marie força l’entrée, sans ménagement, d’un coup violent. Le sexe de silicone plongea dans le fondement de compelled MDE. La surprise, la douleur et cette première vague d’humiliation lui arrachèrent des cris étouffés avec une excitation mentale forte puisque physiquement, cette excitation était comprimée. Sans se laisser compter, Madame Marie commença ses allers et retours pénétrant, elle fit lentement coulisser le membre en dehors, puis au-dedans du fourreau qu’était désormais compelled MDE, lui laissant bien le temps d’apprécier la sensation de pénétration. Rapidement, cependant, elle enchaina sur des à-coups plus rapides et plus puissants, poussant ce gode de son corps à fond en compelled MDE, puis presque totalement en-dehors, en rapides successions, sans laisser le temps au chien de reprendre son souffle. compelled MDE était subjugué par cette pénétration emplie de Domination, il accompagnait, bien malgré lui le mouvement de sa dominatrice, sentant l’objet étranger le remplir, l’envahir, puis le quitter, pour le remplir à nouveau. Il avait mal, était humilié, mais la sensation à un certain niveau lui était également extrêmement agréable. La preuve sa queue se comprimait et se contorsionnait dans la cage, malgré les claques impromptues qu’il recevait sur ses fesses tuméfiées. Soudain, ce fut fini. Après un profond coup de reins, Madame Marie resta figée en compelled MDE aussi loin que possible pendant quelques secondes en coït profond, puis se retira.

- Je crois que tu as eu ton compte ma salope, On verra plus tard pour le reste.

compelled MDE fut sorti du pilori et enchainé à l’un des pieds du lit.

- Repose-toi chien ! Tu le mérites, je t’ai beaucoup sollicité depuis ce matin et tu as fait preuve d’une belle endurance. (Madame Marie regarda sa montre) Et puis d’ici une petite demi-heure je reviens m’occuper de ton cul oui encore e encore, j’ai dit !… Chose promise, chose due !

La troisième ‘‘bastonnade’’ eut lieu à l’heure dite, compelled MDE la reçut coucher à plat ventre sur le sol, bras et jambes écartées et en croix. Dix coups, seulement dix coups, mais dix coups à le faire hurler et mentalement bander. A chaque heure passée l’intensité montait d’un cran. Son cul marqué et boursouflé le faisait terriblement souffrir, impossible désormais pour lui de s’assoir. La punition terminée, Madame Marie, emmena compelled MDE à quatre pattes au bout de sa laisse à travers les nombreux et luxueux couloirs capitonnés du Château. Décidément, bien difficile pour lui de se repérer ici, dans cette vaste Demeure. Toujours tête basse, il entra dans une pièce qui n’était autre qu’une vaste salle à manger : Une table immense épaisse en chêne massif était posée sur un fabuleux tapis d’orient aux dimensions exceptionnelles. Sur les murs, une collection d’assiettes anciennes, des faïences, des porcelaines, mais aussi des pièces rares sans doute en or massif étaient suspendues. Sur un autre pan de mur, des armes très anciennes ornaient l’ensemble. Un immense bouquet de fleurs, des pivoines dans un vase en cristal, était posé au centre de la table. Tout près de la haute fenêtre, trois petits fauteuils Crapauds étaient installés, d’ici on pouvait admirer l’immense jardin. Sur la table trois couverts étaient posées, des porcelaines fines, des couverts en argent, des verres en cristal ciselé. Monsieur le Marquis d’Evans et son Majordome Walter entrèrent dans la pièce au même moment, tirant derrière eux à quatre pattes chacun une soumise-femelle. compelled MDE reconnut la soumise Phrynée MDE mais aussi cette jeune chienne avec qui il avait passé sa première nuit ici.

- Avez-vous passé une bonne matinée ma chère Marie ?
- Très bonne Monsieur le Marquis, et vous-même avez-vous pu terminer vos travaux d’écriture sur le dernier chapitre de votre magnifique Odyssée de la belle Hélène.
- Non, point encore, je reprendrai mes travaux cette après midi
Monsieur le Marquis s’était installé devant un couvert en bout de table, Madame Marie s’asseyait à sa droite, tandis que Monsieur Walter prenait place à sa gauche. La laisse de compelled MDE fut détachée du collier. Assis sur ses talons près de Madame la cuisinière, il se laissait caresser le crâne. Madame Marie l’interpella.

- Est-ce que ce chien a dit bonjour à ses congénères.

compelled MDE ne comprenait pas vraiment ce que voulait Madame Marie. Il resta perplexe.

- Il ne comprend pas le chien, il ne sait pas comment les chiens se disent bonjour ? Simplement en se flairant et se léchant le cul, allez va, va dire bonjour à ces deux chiennes !

Et compelled MDE exécuta une nouvelle fois humilié et excité, il s’approcha de la soumise Phrynée MDE, glissa son nez dans sa raie, lui donna quelques coups de langue puis alla vers l’autre soumise et la congratula de la même manière. Les deux femelles s’étaient laissées faire et à leur tour avait donné de leur langue sur le trou de compelled MDE. C’était la soumise Emeline MDE qui servit le repas. Hormis son collier autour du coup, elle était entièrement nue sous un petit tablier de soubrette. Elle prit moult précautions pour servir Le Maître et ses Hôtes. Discrète et rigoureuse elle apportait plats après plats, servait le vin dès lors que les verres étaient à moitié vides, changeait les assiettes, présentait la panière de pain frais et lorsque Monsieur le Marquis dialoguait, elle se retirait loin d’eux pour ne pas les déranger dans leur conversation. Quant à compelled MDE, il était aux pieds de Madame Marie, couché en position fœtale, et devait prendre soin d’exposer ses génitaux tirés vers l’arrière, placés entre ses cuisses serrées. Il était nourri de temps à autre à la main par Madame Marie, il devait alors se relever et parfois bequeter ce que la cuisinière daignait lui lancer à terre, puis se recoucher sitôt la bouchée avalée. Il fut surpris d’entendre tout d’un coup une sonnerie. Madame Marie le héla en lui donnant une frappe sur ses fesses.

- Chien, monte sur la table et positionne toi en levrette en exposant bien ton cul. Il est l’heure pour toi de recevoir ta correction.

Tremblant, sinon apeuré, compelled MDE s’exécuta, sous les yeux du Maître
- Non chien, pas dans ce sens, ton cul face à Monsieur le Marquis.

Madame Marie s’était levée également, avait repoussé deux chaises. Elle prit sa badine et asséna dix coups à la volée, en prenant soin que chaque coup porté laissa une trace et marque bien visible sur ses fesses déjà bien meurtries. Il n’avait pu taire ses plaintes et à deux reprises il avait été contraint de bouger un peu. Heureusement personne n’avait relevé son manque de concentration. Cul bien relevé, bien exhibé il ne bougea plus. Au dessert, Marie ne put s’empêcher de lui enfiler une banane entière dans l’anus. Il resta ainsi prosterné, se donnant en spectacle, jusqu’à la fin du repas. Lorsque Monsieur le Marquis décida qu’il était temps de prendre le café sur les trois fauteuils près de la fenêtre, il exigea à compelled MDE de venir près d’eux. A quatre pattes, honteusement compelled s’approcha :
- Non, vient vers moi compelled MDE, lui ordonna le Maître gentiment.

Il attrapa le soumis par le menton, lui fit redresser la tête, et lui demanda de regarder le Maître droit dans les yeux. Bien difficile encore à compelled MDE de soutenir ce regard.

- Dis-moi donc chien, pourquoi cette punition ?
- Heu… Monsi… Monsieur le Marquis… heu !
- Tu ne sembles pas décider à t’exprimer clairement chien, veux-tu que je te fasse parler distinctement.

La voix du Maître était toujours calme mais déterminée. Compelled MDE comprit qu’il devait faire vite et bien.

- Maître Vénéré, je n’ai pas su retenir ma jouissance ce matin et pourtant Madame Marie m’avait bien ordonné de ne pas jouir.
- C’est une double désobéissance ma pute, d’abord tu désobéis à Marie et plus grave encore tu ne fais cas de Mes prescriptions. Ne t-ai-je pas imposé la frustration sexuelle pour t’éduquer plus vite encore ?

Le Maître était toujours très calme, trop calme, compelled MDE redoutait cette forme de sérénité. La sentence tomba; d’abord deux claques en plein visage et une mise au cachot pendant 48 heures dès cette fin d’après-midi, à partir de dix-sept heures.

- Tu verras ce qu’est d’être séquestré avec des gardes toujours en rut ! Je vais t’apprendre à obéir coûte que coûte.

Timidement compelled MDE remercia le Maître, il fut tout excité de la sanction car elle venait du Maître en personne et cela le comblait de bonheur. Puis flageolant il suivit Madame Marie qui le conduisit à l’extérieur du Château. Dans le parc, dans un coin, il put pisser, puis retrouva deux esclaves mâles charriant des buches de bois sur le plateau d’un tracteur. Il se mit à la tâche sous la surveillance de Madame Marie restée là dans un transat en plein soleil à se faire bronzée. A chaque heure sonnée, Madame la cuisinière l’appelait, compelled MDE se positionnait à quatre pattes dans l’herbe, dressait et tendait son cul, recevait ses dix coups de badine et repartait travailler…
(A suivre…)

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