DANS LE PARC

- Par l'auteur HDS Gildelain -
Récit érotique écrit par Gildelain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : DANS LE PARC Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

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DANS LE PARC
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
DANS LE PARC

La fin de l'après midi ne se passe pas trop mal, je peux enfin respirer je prépare le repas du soir tranquillement pendant que je les vois derrière la maison faire le tour du propriétaire. Nos deux chiens gambadent autour d'elles. D'un seul coup j’entends siffler très fort, j'ouvre la fenêtre et me penche. Marie me fait signe de descendre. Je les rejoins immédiatement.
- Regarde dans quoi j'ai marché, j'en ai plein les chaussures, depuis combien de temps tu n’as pas ramassé les crottes des chiens, il y en a partout, tu sais très bien que c'est ton rôle !
- Je n’ai pas eu le temps encore.
- Et bien tu vas le faire maintenant pendant que l'ont se promène .vas chercher le seau et rejoins nous.
Je file au garage chercher les ustensiles qui ne servent qu'a ça et les rejoints.
- Tiens la regarde devant nous, ramasse !
Je me baisse et m'apprête à ramasser avec la pelle et le petit balai.
- Non pas comme ça, aujourd’hui d'abord, tu te mets à genoux et tu ramasse avec les mains.
- Mais c'est d’égueulasse, tu ne peux pas lui demander ça.
- A partir de maintenant, si, se seras comme ça.
Me voila à les suivre à quatre pattes ramassant les crottes une à une pour les mettre dans le seau, pour mon bonheur, il n'y a pas plu donc les crottes sont assez compactes.
Je les suis toujours à genoux, ma combinaison et mes collants sont tachés par l'herbe mes mains, n'en parlons pas. Arriver dans un coin du jardin à coté de la cabane qui abrite notre matériel, Je les entends discuter entre elle. Marie raconte à Martine mon regret de ne pas avoir de vrais seins. C'est dingue comme il est sensible des tétons, des que tu lui effleure il a presque une érection, je n'ai jamais vus ça ailleurs pire que moi-même.
- C'est bizarre cette obsession chez lui quand même.
- Des fois il met des bas roulés en boule pour remplir son soutien -gorge. Comme cela, il se pavane avec ses seins de merde et il est heureux.
- Ces seins de merde ?
- Ben oui ces seins de rien quoi.
Le visage de Martine s'illumine puis je la vois se pencher aux oreilles de Marie, je ne parviens pas à comprendre ce quelle se racontent, mais à leurs mine souriante et hilare je crois que ça vas encore être pour moi.
- Tu as raison, je n'y avais jamais pensé, tu vois, tu deviens encore plus cochonne que moi... Approche "Tit put", ... Plus prêt ... Retire moi cette combinaison reste en soutient gorge.
Je la vois rentrer dans la cabane à outil et ressortir avec une petite pelle dont on ce sert pour planter dans les pots.
- Écarte les bonnets de ton sous tif, "Tit put".
Ne sachant pas trop ou elles veulent en venir, toujours à genoux devant elle, je tire sur la lingerie comme elle me le demande. Marie plonge la pelle dans le seau de crottes de chiens, remue un peut, la ressort, la secoue au dessus des bonnets du soutient gorge tendue en avant. Je me recule par réflexe, c'est froid.
- Tu ne bouge pas, c'est bien toi qui voulait des la poitrine, et bien je vais t'en fabriquer moi de la poitrine, tu vas voir.
Elle me tartine soigneusement le torse en remplissant les deux bonnets.
- Lâche les bretelles maintenant...... Tu vois toi qui aime tant faire la pute, maintenant tu as des seins en merde de chien. Allez bombe le torse fait toi admirer un peut.
Effectivement, les bonnets sont bien remplis et gonflés par contre elles m’en ont mis partout aussi, l'odeur aussi est insupportable.
Martine est morte de rire, elle prend la pelle des mains de Marie et tapote sur le soutien-gorge, ça remonte par en dessus, ça pue vraiment cette fois c'est de pire en pire. Je suis vraiment ramené à pire que de la merde et ce n'est pas fini. Marie dit à voix haute.
- Je ferais bien un petit pipi moi, pas toi Martine.
- Oui mais, ça peut encore attendre.
- Ben pas moi "Tit put" viens la ! .......... Allonge-toi par terre, ici, devant nous.
Je sais comment ça vas finir, nous l'avons déjà fait plusieurs fois dans le jardin et je dois reconnaître que j'aime bien recevoir sur mon corps l'urine chaude de Marie. Nous avons la chance de n'avoir aucun vis avis sur notre terrain, ce qui facilite rudement ses petits jeux. Marie m'enjambe se retrousse, écarte ça culotte d'un coté et s'accroupie légèrement elle se lâche, elle va de devant en arrière avec son bassin pour bien me souiller partout. C’est chaud, c'est bon, Jaime ça. Elle insiste particulièrement sur mon ventre et ma poitrine, ça me ruisselle de partout par contre le mélange avec le contenue de mon soutien- gorge commence lui aussi à s'humidifier et à redevenir mou.
Marie se rajuste prend la pelle à son tour et me tapote doucement les seins avec, c'est chaud, c'est bon, je bande presque devant une telle humiliation, et elle s'en aperçoit.
- Regarde-moi cette pute plus c'est crade et plus elle aime, regarde son sexe et tout gluant, ma parole mais elle mouille comme une cochonne. Tu es sur que tu n'as pas envie Martine.
D'un coup Martine m'enjambe à son tour mais elle par pudeur peut-être se retourne face à mes jambes, son jet me surprend tellement il est puissant. Elle cherche davantage à viser mon visage et ma poitrine, je tourne la tête sur le côté n'y tenant plus l'urine me brûle les yeux.
- Ouvre la bouche cochonne.
J'entends Marie m'ordonner d'ouvrir la bouche. Aussitôt Martine s'empresse de visée juste, j'ai du mal à déglutir j'avale quelques gorgés, c'est acre et acide à la fois. La source tarit d'un coup. Je me retrouve couché sur le sol couvert d'urine et de merde de chien. Elles prennent un malin plaisir à écrasé le soutien-gorge qui n'a plus ça couleur blanche du début. Sur mes seins avec la pelle et m'en mette de partout, me barbouille la poitrine je pue, c'est une infection, mais au fond de moi-même, j'adore cette situation, je suis heureux. Elles ont l'air gênées de retourner à la réalité.
- Allez relève toi, regarde à quoi tu ressembles maintenant, un porc, tu pues mais graves. Tu sens trop mauvais.
- Je n'en reviens pas qui sois si soumis, il est vraiment maso, c'est dingue.
- Je te dis, j'en fais ce que je veux, je suis sur que je pourrais lui faire manger ça propre merde, si je voulais.
- Arrête c'est vraiment dégeux, je n’ose même pas y penser.
- Mais non c'est pour rire quand même, quoique !
Je me remets sur les genoux effectivement, je ruisselle de partout, la merde de chien qui a débordé du soutien gorge, ramollies par leur urine me coule le long du torse aussi le long de mes cuisses, j'ai de grande traînée nauséabonde sur mes collants.
- Viens on continue, on n'a pas fini il en reste encore sûrement dans le bas du terrain.
Nous voilà reparti moi toujours à genoux, je les suis difficilement, derrière mon seau brinquebalant d'une main à faire le tour des déjections canines, les deux femmes se moquent ouvertement de moi.
- Vraiment tu sens mauvais ma petite salope. Tu peux laisser le seau ici nous le prendrons en remontant. J'ai une autre idée pour toi.
Je les suis toujours à quatre pattes cette fois comme elles me l'ordonnent, mes collants me collent aux cuisses, ils ont bientôt plus de couleurs, un genou est déchiré et l'autre est complètement filé sur toute la longueur, ils vont être à jeter c'est sur. Des bouts de crotte tombent de mon sous tif tellement elles en ont mis dedans. Je suis obligé de les ramasser à nouveaux et de les tasser dedans, j'en ais plein les doigts, vraiment la je suis la pire des cochonnes.
Et puis nous tombons en arrêt devant un endroit ou les chiens sen sont donner à cœurs joie, c'est vrais, que dans le fond du terrain nous y allons moins souvent.
- Et bien "Tit put " regarde il y en a encore tu vois.
- J'ai laissé le seau la haut, - Justement j'ai une idée et je parie quelle vas te plaire à toi aussi, Martine.
Martine est en train de fumer une cigarette un peut plus loin, elle se rapproche.
- Quelle idée Marie ?
- Il se demande ou y vas pouvoir mettre tous ça En parlant elle lui montre avec son bras l'ampleur de la chose. Moi je n'en pouvais plus cela fait bien un bon quart d'heure heure que je les suis à quatre pattes dans l’herbe. Je sentais horriblement mauvais, je me voyais gluant et souillé de partout.
- D'une main tu ramasse, de l'autre tu écarte la ceinture de tes collants et tu mets dedans, pas bête hein comme idée, puis au point ou tu en ais, une de plus ou une de moins hein. Allez. Je crois même qu'a partir de maintenant les corvées de ramassage des crottes se feront comme cela. Je sens que je vais bien rire les jours de pluie, quand pense tu Martine.
- Moi je dis que vous êtes graves tous les deux, c'est de la perversion à ce niveau la.
- Martine viens voir sont sexe, tu ne vas pas y croire.
Martine s'approche et regarde à l'intérieur de mon collant maintenu écarté.
- Quand je te dis que c'est une salope, je ne mens pas regarde.
Bien sur après toute ses humiliations, je ne pouvais pas rester de marbre j’étais particulièrement excité je devais être dans une sorte de demie érection, et je me sentais mouiller abondamment. Des filets de mouilles allaient de mon sexe au nylon du collant tendu.
- Regarde la petite et elle bave en plus, tu vois qu'il adore ça comment c'est lui le pervers. Moi je suis normale, Na.!

- Tu vas pas t'admirer le nombril pendant toute la matinée…Ramasse!
Une par une, je dépose les crottes dans mon collant, c'est très froid bientôt je ne vois plus mon sexe malgré une érection de plus en plus vigoureuse, on dirait qui cherche à sortir de son environnement nauséabond. De plus en marchant sur les genoux, à chaque secousse, des morceaux tombent et glisse le long de mon entre jambe, se glissent même sous mes genoux. Il est tant que cela cesse parce que maintenant, je sens bien que c'est mou à chaque fois que je pose un genou au sol. Je suis en train d'écraser les crottes de chiens prisonnières dans mes collants à chaque mouvement, ça me colle de partout, j'en ramasse ainsi une bonne dizaine. Je n'ose pas imaginer la même chose un jour de pluie. Marie en serrait bien capable, juste pour pouvoir jouir du spectacle de mon humiliation, elle bien à l’abri derrière une fenêtre de la maison.
Les filles papotent entre elles et me les montrent du doigt, - La il y en a une.
- La aussi regarde.
Tout en me glissant des regards moqueurs voir même dégoûté. Martine avait fini sa cigarette et visiblement ne sachant pas trop quoi en faire et finalement d'un geste la jette au loin.
- Oh non Martine ont a déjà les crottes de chiens, ont vas pas aussi y mettre des mégots ..................."Tit put" vas chercher .... Allez. Cherche ....
C'est vrai qu’à genoux je ne pouvais pas le louper, je m'apprête à le ramasser avec la main.
- Stop!... Pas comme ça, tu te penche et tu le prends entre tes dents avec ta bouche et tu reviens ici tout de suite.
Je me penche et bien sur il est entre les brins d’herbe, je suis obliger de fouiller un peut pour pouvoir le récupérer, enfin je l'attrape avec une bonne poignée d'herbe également, en me redressant j'essaye de faire le tri en soufflant le sur plus d'herbe. Par contre, je ne sais pas si elle avait prévue cela en me penchant en avant, j’ai écrasé la plupart des crottes de chiens qui étaient contre mon ventre elles sont maintenant toutes collé à ma peau, à leur mines, elles ont comprises aussi la situation et elles se marrent.
Marie se défausse immédiatement...
- C'est la faute de Martine, c'est son mégot.
- Ce n'est pas moi qui lui ai demandé de la ramasser comme ça.
- Approche voir "Tit put", ouvre la bouche. C’est bien tu peux te relever maintenant, tu garde le mégot dans la bouche, tu le cracheras dans la poubelle en haut.
Je m'essuie comme je peux les mains dans l'herbe et me relève difficilement, j’ai bien piètre allure, mon collant est filé et déchiré de partout. Le soutien-gorge rempli de déjections canines est lui non plus pas très reluisant, j’ai de grande traîné brune et jaunâtre sur le corps mon collant est déformé par tout son contenu. A chaque pas que je fais, j'ai l'impression que tout se tasse dans les jambes et au niveau des pieds, au niveau des genoux cela forme une sorte de croûte brunâtre qui me colle à la peau et il est en train de se passer le même problème dessous mes pieds, je sens que j'en écrase de plus en plus. L’odeur est vraiment infecte ça me remonte entre mes orteils, surtout le pied gauche. Martine qui me suis de loin croit bon de rajouter.
- La "Tit put », elle va avoir du bonheur pendant un moment avec tout ce qu'elle a sous les pieds.
Et la elles se sont misent à rigoler de plus belle, contente de leurs bon mots.
Après être remonté jusqu'en haut du jardin, nous sommes à nouveau devant la porte du garage. J'ai un gout horrible de cendre froide dans la bouche, je suis exténué mon odeur est immonde mais au fond de moi j'aime être souillé et humilié de la sorte, après avoir recraché ce mégot infecte dans la poubelle. Je soutiens leur regard cette fois, à toutes les deux. J’assume ma situation de presque esclave à tout faire. Mes tétons me fond mal tellement, je les sens tendus et énervés.
La plupart du contenu de mon collant est maintenant presque descendu au niveau des cuisses.
- Martine regarde en plus il bande encore comme quoi tu vois, elle est vraiment cochonne plus c'est crade et plus sa l'excite............ Alors la "Tit put" elle est toute excitée ?
- Oui Madame.
- C'est d'être couvert de merde qui t'excite.
- Non-Madame.
- Pourtant on dirait bien.
- Non c'est le fait d'être obligé de le faire pour vous. Que ce soit vous qui m'obligiez à le faire, que je sois obligé à vous obéir.
- Si je te demandais de faire n'importe quoi, tu le ferais.
- Oui Madame je le ferais.
- Tu entends Martine, ça c'est une bonne soumise, ont verras ce soir.
- Pourquoi ce soir, Marie regarde comme il bande, demande-lui de se branler, par exemple. Maintenant.
- Tu as raison fait toi jouir, maintenant, devant nous.
Je ne m'attendais pas a une telle demande, je passe la ceinture du collant sous mes testicules, un amas de crotte de chiens tombe sur le sol, je dégage mon sexe de sa gangue de crotte et malgré ma main recouverte de morceaux et de traces de merde je commence à l'empoigner, il est très dur ce qui facilite la chose, je commence des vas et viens avec mon poignet. Rapidement mon bassin ce m'et à onduler, de ma main gauche souillé elle aussi, je me caresse la poitrine par-dessus mon soutient gorge, mon plaisir est en train de monter doucement. Les deux femmes me regardent ravie du spectacle et m'encouragent de la voix.
- Plus fort, vas-y, encore.................. Plus vite................ Tu es une cochonne de te branler comme ça devant ma copine.
- Fait toi jouir salope........... Allez vas y.
D'un coup j'ai un orgasme fulgurant, le fait d'être en spectacle devant Marie et ça copine, le fait d'être humilié de la sorte, je ne sais pas, en attendant, un jet de sperme c'est s'écraser contre la grande poubelle du garage devant moi. Ça na pas duré une minute.
- Et ben la "Tit put" elle avait une grosse envie dis donc. Ben ma cochonne!
- En plus elle me tache la poubelle............. nettoie-moi ça............ Non pas comme ça devant et à genoux avec ta langue, Dépêche-toi ça coule par terre.
Je me précipite, je sens que j'écrase encore des choses molles sous mes genoux et vite je me baisse pour rattraper le petit filet qui coule le long de la poubelle, à grands coups de langue et en aspirant je nettoie mes saletés, je dois mi reprendre à plusieurs reprise de bas en haut. Les deux femmes se foutent de moi dans mon dos.
- Regarde-moi ! Tourne-toi ! Ouvre ta bouche ! ............. Tu vois comme elle aime ça, regarde elle va se régaler la cochonne......... Avale tout............ La, une goutte que tu as oubliée, lèche !
Je me retourne contre la grande poubelle grise et minutieusement je lèche une minuscule traînée blanchâtre qui subsistait encore.
- C'est bien, t'est une bonne pute, maintenant tu quitte tes frusques, tu ne jette pas ton sous tif, tu le nettoie en bas au garage dans l'évier et tu le laisse sécher, là tient pendu à l'étagère, et n'ai pas peur de la laver plusieurs fois de suite ok, Il va pouvoir ne servir plus qu'a ça dorénavant, lorsque tu seras punie. Tu récupéreras aussi ta combinaison en bas du jardin et tu videras le seau à merde dans un sac pour la poubelle. Crois-moi que je crois que ça sera systématique maintenant, tu descendras faire le tour du jardin en sous-vêtement sans seau n'y pelle et tu reviendras me montrer ta cueillette, ensuite devant la poubelle.
Je te trouverais aussi une sorte de shorty en dentelle ou une espèce de pantie sur une brocante, même peut être un soutien-gorge avec des plus gros bonnets comme cela tu pourras mieux le remplir, mais sur une brocante, crois pas que je vais t'acheter du neuf pour ce que c'est faire. Tu seras la ramasseuse de merde de chien la plus sexy que je connaisse. Dis-moi que tu es contente.
- Oui madame, je suis contente.
- Donc prochaine brocante, on cherchera et tu ne feras pas ta mijaurée lorsque je te présenterais les sous-vêtements contre toi, pas comme au magasin ce matin.
- Oui madame.
- Quand à ta paire de collant tu peux la jeter avec tout ce qu'elle contient ? Tu jettes tout ça dans un sac que tu mets dans la grande poubelle et surtout tu fermes le sac avec le cordon, ce n'est pas la peine que les éboueurs s'en mettent de partout eux. Tu comprends tout le monde ne peut pas aimer ça comme toi, mais surtout tu vas te laver. Par contre tu prends la douche d'en bas au garage, ok et tu remontes ensuite à poil pour vérification d'usage... File te laver et insiste bien.
- Il en a pour un moment à se récurer.
- Ça te dit un matin, pour lui faire une surprise ont peut lui remplir son sous tif avec notre merde à nous.
- Quand même tu deviens de pire en pire toi, comment veux-tu faire, moi je ne fais pas caca devant lui, faut pas déconner......... pas jusque-là.
- Ne tant fait pas, je vais trouver une solution, fait moi confiance. Puis de toute façon il faut que je lui trouve d'autres fringues, elle n'a qu'une jupe, par contre elle l'adore celle ci, il la met presque tous les soirs, il faudra que je lui trouve d'autre chose il aime bien porter aussi tu sais la combinaison en nylon comme mettaient nos mère.
- Ca coûte la peau des fesses maintenant, ce genre d'article.
- Tu sais les model avec des bretelles fines, il adore sa, avec son soutif dessous il mouille comme une cochonne - Et toi ça ne te fait rien tous ça.
- Au début je ne peux pas dire que cela m'enchantai, mais maintenant, je me suis prise à ses jeux et puis comme cela, je peux lui demander tout ce que je veux, il se sent obligé de m'obéir, je te dis c'est un maso tu peux lui demander n'importe quoi c'est ce qui l'excite lui. D'être traité de pute de salope, de sous merde, de l'humilier, de le souiller, de l'avilir, Je pense que sa mère a du louper sacrément quelque chose en l'élevant celui la. On lui demandera un soir tient ça nous changera des émissions connes de la télé. Pendant qu'il fera ça petite boniche.
- Tu as raison dis donc il doit en avoir des trucs à nettoyer en bas.
- Il adore ça je te dis, vas savoir s’il n’est pas encore entrain de se branler avec le manche de la brosse à dos de la douche dans le cul. De sa part, plus rien ne m'étonne, j'en découvre de jour en jour.
- Ah bon quoi d'autre ?
- Ca ne me vient pas à l'esprit tout de suite, mais je te le dirais, lorsque je m'en rappellerais, promis.
Après une bonne demi-heure de récurage je sors enfin de la douche, cette odeur était insupportable. J’ai la peau rougie d'avoir frotté par endroit. Je lave mon soutien-gorge à grande eau avec de la lessive dans l'évier du garage, malgré toute ma bonne volonté des traces brunâtres persistent. Tant pis, je le mets à sécher comme cela ne pouvant faire mieux en me disant que je le mettrai à la machine avec une autre lessive. Je remonte dans l'appartement, mes reins enveloppés dans une serviette sitôt la porte des escaliers refermés, j'entends.
- Alors la cochonne, elle vient nous faire voir comment elle est propre, elle en a mis du temps.
J'approche, des deux copines sont assises au salon.
- Allez approche, montre-nous ! Quitte voir cette serviette que je puisse vérifier.
Je suis devant elles, debout la serviette au sol, les mains derrière le dos Marie me demande de me retourner et elle m'examine de font en comble.
- Penche-toi un peut que je puisse voir ton cul, écarte tes fesses que je vois.
Je sens un doigt passer dans mon sillon, elle attrape mes testicules par derrière et se met à les tirer violemment, je geins sous la douleur.
- Tais-toi !
Elle force un doigt dans mon anus tout en me tirant les couilles. Elle le vrille à l'intérieur et le retourne dans tous les sens Bientôt un autre doigt, rejoint le premier. Je gémis.
- Regarde comme elle aime ça, tu y crois-toi.
Je suis de dos et ne peut pas voir Martine qui ne dois pas en perdre une miette. Brusquement après avoir bien touillé dans mon cul elle retire ses doigts.
- Retourne toi cochonne ! Sent mes doigts maintenant ! Renifle l'odeur de ton cul.
Elle me les fourre sous le nez et effectivement je ne peux pas dire que cela sent la rose.
- Alors quand penses-tu ? C’est propre ça!
- Non ce n'est pas très propre.
- Nettoie mes doigts maintenant, ouvre la bouche.
D'autorité elle me les enfonce dans la bouche.
- Lèche tout, je veux sentir ta langue allez et venir sur mes doigts, encore... Mieux que ça, plus de conviction.
Je fais de mon mieux, effectivement, l'odeur n'est pas des plus agréable. Je me force en insistant bien.
- Ca suffit, maintenant, vas à la salle d'eau chercher du déodorant tu pue encore.
Je reviens quelque instant après avec une bombe de deo à l'alcool.
- Penche-toi en avant, et écarte tes fesses !
Je n'ai pas le temps de réagir, elle m’en asperge une bonne dose dans les fesses, je me redresse instantanément, ça me brule aussitôt.
- Fait voir devant, maintenant !
Elle me prend le sexe avec violence et me tire sur le gland pour le décalotter. La aussi elle me l'asperge avec frénésie. Les picotements se transforment vite en brûlure que je ne peux rapidement plus contrôler. Des larmes me montent dans les yeux.
- Regarde Martine, comme il fait sa chochotte, un peut de parfum et il se plaint déjà. Je te dis qu'il adore vivre dans la crotte, tu me crois maintenant.
Je danse d'un pied sur l'autre, les brûlures sur mon sexe et dans mon cul sont insupportables.
- Comment elle va s'habiller notre petite pute ce soir ? Martine, tu n'as pas une idée toi, Bas ou collant?
- Moi, je la vois bien avec des bas, pas toi.
- Ok pour des bas. Vas te changer tu mettras aussi le sous tif auquel tu as découpé les bonnets pour faire voir à Martine et apporte aussi ta valise de gadgets pour quelle puisse se faire une idée de tes manies.

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