LE CHANTIER (3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2015 dans la catégorie Plus on est
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LE CHANTIER (3)
Alors que je passais un début juillet tranquille je rencontre mon beau Bulgare qui travaille sur le chantier voisin de ma maison et surtout de ma piscine source de mes tourments.
Je me donne à lui sans aucune retenue, j’aime cet homme qui en peu de temps à réaliser avec sa queue la plupart de mes fantasmes.
Un fantasme j’en ai réalisé un avec Maryse qui souhaitait se baigner nue dans ma piscine.
En ce moment nous sommes en train de manger sur la terrasse à l’ombre d’un parasol nus toutes les deux lorsqu’elle me pose la question qui tue.

• Depuis ton mariage avec Gaétan as-tu toujours été fidèle comme tu t’y étais engagé.
• Pourquoi cette question, pour qui me prends-tu, ai-je l’air d’une marie couche toi-là.
• Excuse moi, j’ai été maladroite mais il m’est arrivé quelque chose qui m’interroge sur mon serment.
• Tu sais pour moi le cul est secondaire, nous faisons l’amour avec Gaétan à chacun de ses passages et le reste du temps la lecture et mon jardin me remplit largement mes journées sans compter ma piscine où je passe des heures à me délasser.

Je ne me savais pas aussi faux cul. Pas plus tard qu’hier je savais qu’un jour, je défendrai la fidélité pour cacher que toutes les nuits et même il n’y a une heure celui que je vois sur son échafaudage à quelques mètres de nous fait de moi une chienne qui mouille pour lui.

• Que t’arrive-t-il ?
• Je crois que je suis amoureuse du fils de Viviane.
• Que dis-tu ? Tu es amoureuse de Sylvain, mais il a l’âge de ta fille.
• Je le sais, je suis attirée chaque fois que je le vois.
• Tu as déjà couché avec lui.
• Non, juste des petits bisous.
• Il n’y a pas de petit bisou. Si tu l’as laissé t’embrasser tu as déjà choisi alors n’hésite pas, profite de la vie.

C’est après ce bon conseil d’aller se faire sauter que nous passons un après-midi à nous baigner et à bronzer.
Lorsqu’elle me quitte, je vois dans son regard qu’elle est déjà dans le lit du jeune Sylvain.
Je ne vais pas être la seule à remplacer « Fidèle » par « Adultère ».
Comme tous les soirs je l’attends assise sur le lit de la terrasse.
La nuit est noire par intermittence car des nuages d’orage couvre le ciel.
Lorsque l’un d’eux se déchire, il est à un mètre de moi.
Je me lève d’un seul mouvement et je saute dans ses bras pour que nous échangions un baiser passionné.
Qu’est-ce qui nous arrive à nous les femmes cougars comme ils disent à la télévision est-ce que notre métabolisme se bouleversent à notre âge car le temps qui nous file entre les doigts nous montre tout ce que nous n’avons pas connu et que nos hommes auraient dû nous faire connaître ?
Il profite d’une pose pour que nous respirions notre étreinte étant dévastatrice.

• La madame accepte sue camarade viennent piscine pour baigner eux, ils a chaud tous dans cabane.

Alors que seul son corps m’intéresse et le moment où il va s’en servir en moi, je lui réponds dans un souffle.

• Oui.

Il me quitte déchirant mon cœur de le voir partir.
Un nuage passe et lorsque la lueur de la lune revient je suis étonné voir effarouché de voir arriver six hommes entièrement nus jusqu’à la piscine.
Mon étalon vient vers moi et s’assoie à mes côtés.

• Camarade trop chaud, eux remercie toi eux baigner.
• Bien sûr, mais j’avais envie de toi.
• Pas problème ma poupée, embrassé moi.

Alors que sur un geste de mon amant les cinq hommes entrent dans l’eau il me prend les lèvres dans un baiser fougueux.

• Moi faire jouir toi avec bouche écarte cuisses.

Aucune pudeur, je n’ai plus aucune pudeur, comment puis-je ouvrir mes cuisses devant les cinq hommes qui jouent dans ma piscine. Je suis persuadée qu’ils ne perdent pas une miette de ce que me fait faire leur copain.
Je suis consciente que je suis exhibitionniste et lorsqu’il prend mon bouton dans sa bouche, je regarde ces hommes pour leur faire voir le plaisir que je prends décuplé parce qu’ils me regardent.
Ma chatte et mon bouton malaxé par la bouche qui s’est posé sur eux, je n’ai aucune réaction lorsque je vois l’un de ces hommes sortir de l’eau et venir près de nous en se caressant.
Il est court sur pattes et un peu bedonnant mais la verge qu’il tient dans sa main m’hypnotise.
Je craque lorsque relevant sa tête mon amant le voit.

• Lui non femme lui aussi toi sucé lui ?

Eh oui, je le fais, je tends la main lui saisi le pénis que je mets dans ma bouche.
Il est humide en sortant de la piscine et ma bouche est contente de la fraîcheur qu’il me transmet.
Moi qui n’ai jamais sucé un homme avant l’arrivée de ces ouvriers, la bite que j’ai au fond de ma gorge appartient à un mâle qui il y a moins de cinq minutes m’était inconnue comme m’est inconnue celle qui m’arrive de l’autre côté de mon lit et que je suce un coup l’une un coup l’autre.
Quel terme pourrai-je trouver après truie. Pute, non, car je reçois leurs giclées au fond de la gorge sans qu’il me donne le moindre argent. Je suis carrément une femelle en chaleur pressée de se faire prendre par tous ces hommes et leur vider les couilles jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus bander.
Dans un premier temps, mon amant, comment dire numéro un me replace en levrette et entre directement dans mon cul sans aucune retenue.
De la retenue, je n’en veux pas, seule les deux autres bites que je n’ai pas pompées, attirent mon attention. Bite d’un genre commun, bite style Gaétan qui serait surpris s’il arrivait à trouver sa salope de femme livrée à tous ces hommes.
Alors autant ne pas refuser le nom de « belle pute » au bord de sa piscine démontée par les six mecs qui ont franchi ma haie.
D’ailleurs, c’est la faute de mon mari, s’il avait fait le nécessaire après avoir fait changer le thuya d’empêcher que quiconque entre, je ne serais pas en train de me faire remplir les orifices par mes amants.
Je profite d’une accalmie toute relative pour repenser à mes copines qui croient être des femmes fatales en baisant sur un coin de la table de la cuisine avec un voisin pressé de ne pas se faire voir par sa moitié ou à Maryse qui a des envies de jeunes bites.
Alors que moi sur mon tableau de chasse, je peux inscrire six d’un coup.
Mon sodomiste est partageur, il se place sur le dos me reprend par la chatte alors qu’il m’a allongé sur lui et nous nous embrassons farouchement.
Il quitte ma bouche pour parler à un des hommes que je ne vois pas.
Je ne comprends pas mais je sens, l’homme m’encule et de suite je sens les deux verges glisser dans mon corps.
La sensation est extraordinaire. Depuis deux jours je vais de découverte en découverte. À travers ma fine cloison intérieure, ces deux verges qui se disputent ma chatte et mon cul me font devenir folle. Je suis sûr que si l’on prenait une photo de mon visage personne ne pourrais le reconnaître. Je dois ressembler à une folle qui veut se faire remplir et remplir encore.
Ces deux hommes se vident en moi tout de suite remplacé par deux autres. Ceux-là arrivent à me mettre leurs deux verges dans la chatte. Je perds complètement le contrôle de moi-même. Je hurle mon plaisir lorsqu’ils éjaculent.
Je passe de main en main finissant par tomber du lit pour finir sur la margelle de la terrasse.
Vu la grosseur, c’est mon amant chéri qui reprend ma rondelle pendant qu’un autre entre lui aussi dans mon cul. Ils sont fous, ils vont me déformer à vie et je ne pourrai jamais retrouver un corps normal.
Je m’en fiche, oui, je m’en fiche, je jouis encore et encore. Ils explosent tous les deux dans mon fondement.
Une nouvelle fois des mains me saisissent me replacent sur le lit et je les vois au-dessus de moi se masturber et éjaculer une dernière fois sur tout mon corps.
Ils plongent l’un après l’autre dans la piscine.

• À demain cœur passe une bonne journée.

Comme la veille, je me réveille par le soleil. Tout le sperme qui m’a été déversé dessus a séché et je suis poisseuse sur tout le corps.
Je veux me relever mais mes jambes refusent de me porter, j’ai tellement été sollicité que j’ai peur de ne jamais me relever.
M’être fait casser le cul comme ils me l’ont fait, me laissera obligatoirement des séquelles.
Je me laisse glisser et je tombe à l’eau. Erreur car je manque me noyer car je suis dans l’impossibilité de bouger.
Je sens l’eau entrée dans ma bouche lorsque je me sens tiré vers la surface.
Une bouche sur la mienne me ramène complètement à la vie.
Mes bras entoure mon sauveur et c’est avec délice que lorsque j’ouvre les yeux mon Bulgare me caresse le visage.

• Tu excuses copain, eu ont abusé, moi pas réussi à les arrêter. Mais toi avoir semblé aimé alors laissé faire.

Le baiser que je lui donne lui fait comprendre que ma lucidité retrouvée j’ai vachement aimé d’être traité comme un objet.
Il m’explique avec ses mots qu’il travaillait sur le faîtage du mur du bâtiment qu’ils construisent lorsqu’il m’a vu tomber à l’eau et qu’il est venue me sauver.
Il m’attire vers les marches. Sa verge dès que je suis prêt de lui semble être toujours prête à m’honorer ces le cas encore cette fois et j’ai une foi de plus le plaisir de le recevoir en moi.
Les frasques de ma nuit sont encore là et sa pénétration me fait un léger mal.

• Toi avoir trop été baiser. Excuse copains avoir abuser.
• Non, ils ne m’ont pas violé, j’étais consentante et cette nuit sera un bon souvenir lorsque je serai vieille.
• Toi pas vieille, femme plainiture âge. Femme faire très bander moi.

Il faut que j’excuse son manque de français mais pour un homme fraîchement arrivé depuis moins d’un an, le principal est que nos corps se complète.

• Tu te rends compte, nous baisons nuit et maintenant jour et nous ne sommes pas même capable de dire nos prénoms. Moi c’est Valérie.
• Moi Petrov beau Valérie. Moi aime • Avant que tu ne me fasses perdre la tête, je voulais te dire que mon mari rentre d’Angleterre ce soir et qu’il serait bien venu que tu ne viennes pas.
• Moi faire joui toi maintenant. Il quand repart ?
• Je ne sais jamais car il travaille aussi ici et quelques fois plusieurs jours.
• Je serai pas heureux.
• Moi non plus, vivement que nous nous retrouvions.

À partir de ce moment il me fait l’amour comme si c’était la dernière fois.
Les douleurs ont disparu et c’est avec avidité que je m’empale sur sa tige.
Assis dessus, je le sens très loin en moi et pour une énième fois je m’envole.

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