Ta meilleure amie 5

- Par l'auteur HDS Accent -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ta meilleure amie 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ta meilleure amie 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Voilà où vient se greffer deux jours plus tard l’histoire de Jean et d’Odile. Si tu rêves de te faire violer, ou tout comme, tu sauras à qui t’adresser : Léon, ton prochain amant par la volonté d‘Angèle est un spécialiste: Forcer un passage, s’introduire subrepticement dans un corps endormi, faire sauter un pucelage d’un coup de queue magistral, nager dans le sang d’une vierge, c’est pour lui le sommet de la jouissance: sa belle fille a perdu sa virginité sous ce satyre. Pour obtenir le meilleur de lui, lors de votre rendez-vous, offre un peu de résistance, tremble de peur, geins à la vue de son pieu, crie sous la poussée de sa matraque: tu décupleras son excitation.

Si tu te complais dans l’inceste imposé ou consenti, Angèle te prêtera l’incestueux Léon, beau-père et néanmoins violeur d‘Odile. Rendez-vous est fixé. Tu seras à bonne école. Si ce salaud ne te suffit pas, je suis capable de te dépanner par internet, de te trouver des mâles à volonté. Et si tu tiens à une partie à quatre, ce fameux lundi, je recruterai mon remplaçant. Mais ne compte pas sur moi, pour tes parties carrées. Je mettrai notre fils en garde, si par ta conduite honteuse tu cherches à l’impliquer dans vos orgies décadentes.

Reste une question : Qui aimes-tu vraiment, Mireille ? Qui peut te pousser à toutes les extrémités, te promettre le bonheur parfait dans les pratiques lesbiennes ou dans l’adultère commis devant elle, avec sa participation et en compagnie de son propre mari? C’est Angèle,cette truie que j’ai vue pousser ton visage entre ses cuisses lisses et que j’ai entendue t’ordonner de bouffer son conin et de boire son jus d’amour à la coupe de son coquillage baveux.

N’invoque plus le chantage opéré par ton amie puisque tu sais que je connais tes égarements. Donc Angèle, à l’heure où tu me liras, possèdera un pétard mouillé, inopérant. Elle ne pourra plus te faire de mal en menaçant de te dénoncer à moi et de me révéler vos mœurs de gouines, puisque je sais déjà tout. Tu ne pourras plus cacher ton vice à l’abri de sa menace de me révéler des éléments troubles de votre passé ou de votre présent. Je connais votre attirance réciproque, le goût que vous inspirent les sécrétions de vos babines, j’ai assisté au déchaînement de votre passion dévorante, à l’hystérie de vos entrelacements lascifs. Après la lecture de ma lettre, seul un vice chevillé au corps depuis des lustres,pourra expliquer que tu fréquentes encore cette créature diabolique.

En conclusion la crevasse que tu lui suçais l’autre midi ne m’intéresse pas. Son étui à clarinette est muet pour moi. Il est inutile de me prêter à cette fêlée pour une partie de cul, le temps n‘y changera rien, elle me dégouttera toujours. Elle souhaite renouveler avec moi des moments d’égarements vieux de plus de vingt ans, or elle ne m’inspire plus que mépris et révulsion. Mais si tu tiens absolument à ce qu’elle continue à te faire sexuellement du bien, je ne me sens pas de force à lutter plus longtemps contre une tendance profonde. Tu es lesbienne et bi, tu te prépares à te partager entre les escalopes de son bijou noir et rose et l‘andouille de Léon ou à te laisser reluire sous les coups de langue de l‘une et les coups de matraque de l‘autre : Notre mariage aura été une lourde erreur. Vingt années sans ces délices, tu as dû souffrir l’enfer à mes côtés ! Par contre, si c’est moi que tu aimes, n’attends pas pour me le dire et pour me rendre ma force. Mais fais vite. Chasse mes doutes, chasse Angèle.

Hier, j’ai fini ma lettre. Et j’ai hésité à te la remettre. Je doute de l’efficacité du procédé, j’aimerais tellement que tu te reprennes, que tu sois assez forte et que tu repousses les chienneries de ton amie. Sauvée par toi-même, sans y être forcée par la violence de mes propos, tu serais beaucoup plus précieuse. Je veux te laisser cette chance jusqu’au dernier instant. Certaines de mes suppositions pourraient te choquer.

Or ton prochain rendez-vous aura lieu dans deux semaines. Il te reste du temps pour enrayer le mouvement, pour te ressaisir Qui sait, un sursaut de dignité n’est pas impossible. Tu pourrais de toi-même stopper la dégringolade vers laquelle ta meilleure amie te précipite. Mieux vaudrait une réaction spontanée, due à un éclair de lucidité qu’un recul imposé par un mari sur la défensive. J’espère qu’à l’heure de la dernière trahison, tu penseras au désastre qui annihilera notre couple si vous vous livrez à la débauche et que tu rejetteras l’horrible tentation de la chair. Si, hélas, l’influence d’Angèle l’emporte sur ton amour pour moi, je vais essayer de te mettre en garde à la limite du ravin.

Au dernier moment je te remettrai cet avertissement. Si ça ne suffit pas, j’entrerai en guerre contre ta copine. Enfin, tu décideras de ton sort. J’ai pensé, un instant, amener Jean et Odile sur votre champ de bataille. Leur présence aurait pu te ramener à la raison. Mais pourquoi les enfants devraient-ils souffrir de l’inconduite de leurs parents ? J’ai envisagé de me présenter en personne. À quoi bon si tu suis aveuglément les consignes de ta destructrice, si elle a réussi à te persuader que ton bonheur dépend de notre séparation et des orgies qu’elle organisera
Je veux respecter ta liberté, mais je souhaite que tu sois éclairée. Ma lettre pourrait t’aider à condition que tu la lises et que tu croies mes affirmations. Si tu succombes à la tentation, je créerai une situation où tu seras mise devant un choix éclairé et après, advienne ce que tu voudras. J’ai trop tardé pour intervenir, je crains trop une interprétation défavorable de mes écrits. S’il le faut, je vais faire connaître l’enfer à tes âmes damnées et leur couper l’envie de recommencer.

Dans un foyer de célibataires, je viens de recruter deux costauds, sevrés de femmes, boxeurs amateurs à leurs heures de loisirs. Contre une importante rémunération, ils exécuteront pointilleusement mes ordres. L’acompte conséquent perçu à l’engagement et la promesse d’un complément encore plus important en font des mercenaires chers, mais dévoués. Ce qui restait dans notre enveloppe pour les prochaines vacances m’a attaché les services d’une troisième personne. Quand tu liras ce post-scriptum, tu auras vu et tu comprendras que, de toute façon, nous n’aurions pas pu passer ensemble les vacances projetées, puisque ton amie Angèle devait nous séparer bien avant.

Que puis-je répondre à ton chef de service, étonné de la multiplication de tes erreurs? Il te croit malade ou gravement perturbée et prépare une mise au placard. Angèle ne serait-elle pas responsable de tes troubles ? Mais, si je me manifestais actuellement, vous pourriez m’en attribuer la responsabilité et tu finirais par me haïr. À moins que ma dépression et ma coupable incapacité à te faire l’amour n’aient déjà été mises en avant pour justifier ta conduite et pour excuser tes distractions préjudiciables pour ton service. Vos nombreux contacts téléphoniques, dans le secret de vos portables dénigrent certainement ma santé défaillante. Si tu m’as proposé hier de consulter un urologue, ce n’est pas un hasard. (J’aurais plus besoin d’un psychologue.)
Angèle te soufflera cette nouvelle idée de soins au bon moment, je lui fais confiance et tu ne manqueras pas de suggérer adroitement que le recours au spécialiste du zizi est la dernière solution pour sauver un couple en perdition par ma faute. Eh ! Oui, je déprime, tu l’as constaté, mais tu ne peux évidemment pas deviner pourquoi un homme qui a tout ce qu’il faut, y compris une épouse merveilleuse (c‘est ce que tu claironnes), pourquoi un tel homme se laisse aller comme ça !

Ce dimanche, j’ai failli te donner la lettre, je l’avais en main quand Angèle et Léon t’ont apporté un bouquet de fleurs, une tarte et une bouteille de champagne. C’était, ont-ils précisé, pour souhaiter bonheur et longue vie au couple de leurs merveilleux amis. Bien sûr, vous les femmes vous vous êtes isolées en cuisine. Vous avez chuchoté, j’ai cru t’entendre protester mollement. En sortant les flûtes à champagne, j’ai tendu l’oreille pour entendre qu’il était inutile de compter sur un « eunuque » demain! Tu me traitais d’eunuque, toi. Et vous avez pouffé de rire. J’ai voulu voir et j’ai vu comment vous vous dénouiez subitement d'un enlacement fiévreux, l’air un peu embarrassé. J’ai souri bêtement.

Au salon ensuite Léon t’a regardée avec convoitise pendant toute l’heure de leur présence. Il bavait d’envie en avalant la tarte; les yeux lui sortaient de la tête quand tu croisais ou décroisais tes jambes et lui dévoilais ton entrejambe. Angèle, debout derrière ton fauteuil te caressait les cheveux, faisait remarquer à son étalon les belles courbes de tes seins, la finesse de ta taille sur tes hanches larges.

« Tu vois comme mon amie est bien conservée, à quarante ans ! »
Après quoi, la meneuse se moquait de moi :
- Paul, tu dois t’amuser au lit avec une aussi belle créature (Tu lui as dit mes insuffisances ?). Léon, admire ces jambes ! Imagine Paul en train de farcir sa poule. Tu aimerais bien voir le haut, pas question, c’est Paul le propriétaire ! Dis Paul, Mireille peut-elle remonter le bas de sa jupe et nous faire envie ?

La jupe est remontée, à ras de la touffe, sans mon approbation. Heureusement ma femme était emballée dans une culotte blanche qui marquait l’emplacement de la fente mais cachait l‘essentiel. Je sentais l’ironie, le besoin d’appuyer sur ma faiblesse pour me rabaisser aux yeux de sa proie. Angèle se sentait forte, tu venais sans doute de confirmer ton accord pour votre rencontre. J’ai gardé la lettre, humilié, eunuque méprisé et cocu annoncé dans des fous rires, devant le rictus de pitié de Léon. J’ai ravalé ma colère.

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