Baisé dans un chantier (2)

- Par l'auteur HDS Avalefoutre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Baisé dans un chantier (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Baisé dans un chantier (2)
Je baissai ma tête, ne savant plus où me mettre. Les 4 mecs, s’approchèrent davantage. Je sentais leur regard sur moi. J’osais lever les yeux. Ce que je vis me surprit un peu. Tous les quatre se caressaient en me regardant. Un silence lourd régnait sur le chantier. Je n’osais pas bouger, eux non plus. C’est alors que le premier mec que j’ai sucé se plaça derrière moi, me pris les deux mains, me força à me mettre à genoux et dit à ses camarades : « Qu’attendez-vous ? Il aime la bite, profitez de sa présence ! ». Je compris que j’allais passer à la casserole. Et ce n’était peu dire. Les quatre mecs, tous jeunes, le teint basané (à cause du soleil), de taille moyenne, s’approchèrent de moi. Je pouvais deviner – pour ne pas dire voir – clairement les bosses proéminentes qui se dessinent dans leurs entrejambes respectifs.
Le premier d’entre eux déboutonne son pantalon et le baisse un peu. Juste ce qu’il faut pour libérer sa queue raide. Sans dire un mot, j’ouvre ma bouche et la happe. Il pousse jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis chatouiller mon nez. Je le suce, ma langue joue avec le gland. Il me baise la bouche, il fait des va et vient, il ondule du bassin.
Passif, je me laisse faire. Ma bouche est comme une chatte ou un trou de cul. Il accélère puis ralentit le rythme. Il me prend la tête et enfonce toute sa queue qui est de taille moyenne, pas trop épaisse, ce qui me permet de l’avaler et surtout de la déguster.
Il me baisa la bouche pendant quelques minutes avant de sentir sa queue se raidir signe d’une jouissance imminente. Quatre à six jets de sperme chaud, onctueux légèrement acide envahissent ma bouche. N’ayant d’autre choix que d’avaler, je pris à un malin plaisir à ne laisser aucune goutte tomber.
A peine sorti de ma bouche, il est remplacé par un autre. Une bite longue est fine. Raide comme une statue, il ne fit rien. C’était à moi de m’occuper de cette belle tige entièrement rasée. Je ne me fis pas prier. Je m’activais sur sa queue avec une ardeur sans pareil. Aux gémissements qu’il laissait échapper, il n’était pas indifférent à ma bouche et à mon jeu de langue. A peine six minutes qu’il largua sa purée dans ma bouche. Même scénario : j’avalais tout. Un délice.
Il a été remplacé par le troisième. Précoce et forcément à cause du spectacle que j’offrais, il n’a pas tardé à jouir. Sa queue était de bonne taille, épaisse et poilue comme j’aime. A peine dans ma bouche, qu’il s’activa. En deux temps trois mouvements, il m’inonda la bouche de son lait chaud. Un autre régal.
J’étais comme une chienne. Une chaleur m’avait envahi. J’avais perdu toute notion de temps, de retenue, de pudeur… Je me laissais guider par mon instinct. J’étais quasiment dans un état second, obnubilé par ces queues à dégorger.
Le quatrième se présente. J’ouvre la bouche. Il me pénètre. Deux va et vient et il lâche tout. Il devait être très excité. D’énormes jets de sperme chauds tapissent ma langue et ma bouche. J’ai eu du mal à déglutir, tellement il m’emplissait la bouche. Il était très bien monté un 21x5.
La dernière goutte avalée, je me relevais pensant que c’était terminé. Méprise. A peine debout, que le premier mec, me dit que là ce n’était que le début, qu’ils allaient tous me baiser. Pensant à une plaisanterie. Je compris vite que ce n’était pas le cas. Les cinq mecs m’encerclèrent et me poussèrent jusqu’à la cabane où ils logeaient. A peine le seuil franchi qu’ils me poussèrent sur un des lits. L’un d’eux me baissa le pantalon et l’enleva. Les autres me caressèrent les fesses, les palpèrent. Celui qui m’avait dénudé, me demanda de me mettre à quatre pattes. Ce que je fis sans rechigner. Je sentis deux ou trois doigts mouillés étaler de la salive sur ma rondelle excitée. Il pointa son gland à l’entrée de mon trou. Il pousse, je sens le gland entrer. Il pousse encore et il est entièrement en moi. Il ne soucie même pas si j’ai mal ou pas. C’est mentir que dire que j’ai eu mal. J’ai juste senti qu’il me pénétrait. Il commença à aller et venir. Je le sentais bien. Mon sphincter enveloppait sa queue. C’était bon. Un délice. Je commençais à gémir, à sentir l’excitation envahir mes entrailles. Alors qu’il me bourrinait plus qu’il ne me baisait, ses amis, ne rataient pas une miette du spectacle. L’un d’eux s’avança et me donna sa queue à sucer. Je n’avais pas besoin qu’il me le dise. J’ouvris juste ma bouche qu’il pénétra. C’était l’extase pour moi. Mes deux trous étaient pris d’assaut. Celui qui me casser le cul me pris par les hanches, se raidit et largua son foutre dans mes entrailles. Il a été vite remplacé par celui que je suçais. Pas besoin de lubrifiait mon trou de cul. Il l’était suffisamment par le sperme qui se trouvait à l’intérieur mais également par la bite du précédent.
Il me pénétra sans ménagement. Il me ramonait à une vitesse effrénée. Comme s’il était pressé d’en finir. Ce fut le cas. Quelques minutes lui étaient suffisantes pour jouir en moi. En sortant de mon trou, je sentis comme un vide. Du sperme coulait sur mes cuisses. Un autre acolyte prit le relai. Il était brute et rustre dans sa manière de me prendre. Il était bourrin et ce n’était pas pour me déplaire. J’étais secoué comme un pommier. Il était violent dans son va et vient, mais cela ne me faisait pas mal au contraire. Il me procurait du plaisir. Il m’assaillit près de 30 minutes. Je ne sentais plus ni mes jambes ni mon trou. Il éjaculat dans un rugissement inondant mes entrailles lui aussi.
Les deux autres me prirent à leur tour jouissant également dans mon cul. Ils furent rapides car très excités. Je ne sentais plus mon trou. Il était meurtri, très sensible. Des filets de foutre en sortaient. J’étais en nage, épuisé, mais satisfait par ma performance. J’ai eu du mal à me relever. J’étais courbaturé. Le premier mec me conduisit aux WC pour me nettoyer. Je me lavais sommairement le cul. L’eau froide apaisa cette sensation de brûlure et de flamme. Je mis de l’ordre dans ma tenue et quitta le chantier. Je rentrai à la maison marchant comme un canard. Durant quelques jours, j’avais du mal à m’asseoir correctement sur mes fesses, tellement mon trou de cul gardait les séquelles de cette baise torride.
N’hésitez pas à me faire part de vos remarques et critiques.

Avale Foutreavalefoutre@yahoo.fr

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