PLAN Q SOUS LA DOUCHE - histoire érotique

Je suis devenu une petite salope, un suceur de pines et j'aime fourrer des petits culs bien moulés. Moi, David 50 ans un peu rond le crane dégarni et des lunettes, je suis en fait quelconque. Mon atout c'est ma queue lorsque les mecs la touchent, ils sont comme électrisés. Il faut dire que je m'en sert très bien, et qu'elle aime être au garde à vous. Ma colonne de chair fait 19 voir même 20 dans les situations extrêmes. Le calibre est assez honorable et quand je pète un petit fion, ça tortille de la croupe en face.

Je fréquente les lieux de drague, pour assouvir mes besoins de posséder par ma bite depuis à peu prés vingt ans, de façon régulière, mais en ce moment je crois avoir atteint le summum. Ma femme refuse la pénétration anale, et n'est pas très cul, elle ne suce pas jusqu'à l'éjac, et fait même la répugnée. De toutes façons j’ai toujours aimé la bite. Voir une queue me fait bander c'est psychologique chez moi. J'ai donc une boulimie de baise il faut que je tire de deux à trois fois par jour. Cette semaine ma femme est absente. J'ai repérée, la semaine dernière une annonce sur un site, d'un mec de 29 ans qui cherchait un mec bien membré pour palper, lécher, et peut être se faire sodomiser disait-il. Premier contact je le sens très réticent et méfiant, il me dit être timide et réservé mais aussi entretenir une relation plus ou moins suivi avec un homme la quarantaine, et être aussi bien attiré par les femmes et surtout pas du tout homo, limite s'il les supporte.
Enfin il fini par se décider très tard dans la soirée je reçois un sms il est prêt et accepte de venir chez moi si je vais le chercher.
Malgré l'heure tardive je le retrouve dans sa campagne car je vie en zone rurale et suis agréablement surpris par son physique. Brun 1,78- 70 kg une petite gueule carrée.
Il faut une vingtaine de minutes pour arriver chez moi. Je le mets très vite à l'aise en prenant sa main que je plaque sur mon entrejambe, car je bande fortement rien qu'a sa vue et de l'imaginer à poil. Il me palpe bien au travers de mon jean, et je sens mon sexe mouiller déjà abondamment pendant tout ce trajet. Je me dit que la soirée s'annonce chaude.

Arrivés chez moi, il se renferme à nouveau et manque d'assurance. Il lui faudra trois whiskies, qu'il me demande, pour se désinhiber. Il me raconte avoir vécu deux mauvaises expérience avec des nanas, aimer les femmes, vivre encore chez ses parents, ne pas avoir de boulot sauf parfois de l'intérim. Bref les choses de la vie actuelle. Je lui ai fait ôter son tee-shirt et caresse pendant tout ce temps son torse, son dos. Il se décide enfin après environ une heure pour ré attaquer ma braguette. Je suis toujours dans un état tendu, il libère la bête et me dit que j'ai une grosse bite et qu'il aime. On se palpe, dommage il n'embrasse pas. Je libère son zob et le suce. Pas très gros , l'alcool doit être un peu responsable, mais très mignon et propre avec deux belles boules qui tiennent bien dans ma main. Je lui propose une douche, nous partons dans la salle d'eau et passons dans la douche italienne ensemble. Il a du mal à être à l'aise mais fini par me sucer. Et il fait cela très bien pour quelqu'un qui se dit hétéro.
Et nous nous retrouvons au pieu. Il a peur de ma bite mais veut néanmoins essayer. Je mets une capote et je le prends sur le dos comme il le souhaite. J'y vais très doucement, il grimace, me retient me dit avoir vécue sa première expérience avec un mec qui l'avait sodomisé sauvagement. Et avoir mal lors de l'intromission. Je suis à la moitié et il me dit ne pas souhaiter que j'aille au delà. Moi je suis respectueux et me retire. Tant pis ce sera tout pour ce soir, il me branle vigoureusement et j'éjacule sur son torse. Je le reconduis et me couche vers trois heures trente du matin. Dans la nuit j'ai la gaule et me branle en pensant à lui.

Le lendemain soir après le taf je vais à la piscine qui fait nocturne, ce qui est très pratique. Je mange un bout après, et vais dans un bois pour trouver un bon coup. Je rencontre un mec la quarantaine passif , bien bâti qui kiffe la bite et veut être de suite sodomiser. Je lui donne rapidement son compte. C'est très furtif mais je prend du plaisir. Je reprend la voiture et reçois un sms du petit brun de la veille qui me demande si j'ai envie.
Quelle question là je suis certain que ce soir je vais me le taper. Je le récupère il est une heure du mat et nous retournons chez moi.
Je le sens beaucoup plus détendu. Il veut boire du rosé, je le sert et pendant une heure il me pignole au travers du fut. J'ai une trique d'enfer mais ne précipite rien. Il me réclame de refaire un plan douche.
Ni une ni deux je le dé poile et nous voilà sous la douche . Ce soir il est bien ferme, son corps est magnifique. Il transcende, je prend le gel douche que j'applique sur son dos, son torse , je caresse sa superbe queue et m'accroupie pour l'engloutir. Elle est divine , je pars de la base des couilles pour atteindre le méat et lui titiller le prépuce. Son gland n'est pas très épais, mais je l’entoure de ma langue pour le re pomper entièrement. L'animal se cabre il ondule, et soupire tout comme moi qui happe complètement sa queue pour l'enfoncer dans le fond de ma gorge.
Je me relève et continu de lui étaler le bain moussant comme un massage sur tout le corps . Il se laisse glisser et viens à son tour emboucher mon vit. Il pompe bien. Avec mon pied je caresse sa queue pour la maintenir en forme. Ces instants sont magiques, tellement cet échange de plaisirs est fort.
Je l'aide à se relever et il vient frotter sa croupe sur mon sexe. L'occasion est trop belle, je le sens très excité. En plus il est beau comme cela. Mon gland touche sa raie et se veut fouineur. Tendrement il entre dans son fourreau , j'ai précédemment pris le temps d'insinuer ma langue pour bien détendre sa rondelle en le faisant rugir. Il se cambre pour m'offrir sa magnifique croupe.
Humm, j'aime ce moment ou je pousse légèrement pour apprivoiser l'animal. Je sens qu'il se recule pour s’emboîter bien à fond. Le savon introduit en doigtage a fait son effet. Il éructe, il aime, je possède le mâle , je sens ma pine prête à larguer sa liqueur. J'ondule par vagues douces et profondes pour mieux le sentir. J'attrape sa bite, et la sent complètement ferme. Je la branle vigoureusement. Il apprécie et ne se plaint plus, je vois qu'il prend son pied.
Et me voilà parti, je suis au septième ciel fier et comblé de donner et recevoir autant de plaisir à ce petit mec hyper bandant. J’attrape ses épaules pour le faire aller et venir sur ma hampe. De bons coups en profondeur, il est bien ouvert ce soir. J'y vais franco mes jambes tremblent après plusieurs minutes de ce traitement, je sens que le plaisir monte, et je largue ma semence dans ses entrailles.Il n'embrasse toujours pas dommage, j'aurais bien voulu. Il me confirme qu'il a aimé mais me dit :elle est quand même grosse ta queue Je le raccompagne et me couche à l'aube. J'ai passé un moment exquis et je suis fier de l'avoir possédé.

Histoire réelle . Merci pour vos commentaires