Femme BCBG, escorte, non, pute…. (21)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute…. (21) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (21)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La fête organisée par Virginie a bien commencé, car elle a réuni tous nos amis.
Au moment du gâteau les invités m’offrent des cadeaux étant entendus qu’ils se sont tous cotisés pour m’offrir Tof, le hardeur à une couille qui me faisait fantasmé depuis que je l’avais vu baiser dans un DVD acheté pour me former à la sexualité moi qui étais encore une oie blanche il y a peu.
Je prends la parole pour remercier tous les invités d’être venu et pour tous les cadeaux qu’ils m’ont offerts.
J’ajoute que cet anniversaire bien qu’il soit à son début est le plus beau de mes vingt-six printemps.
Je fais le tour de la table et recommence à embrasser tout le monde.
Certains me demandent qui m’a offert ce collier avec des diamants, je leur dis qu’il s’agit de l’homme qui m’a pris ma virginité sodomite lors d’un voyage à Moscou.
J’arrive à la hauteur d’Antoinette.

• Peux-tu nous prêter Tof ?
• Bien sûr, tout le temps que tu le voudras !

Elle se lève, entraîne Serge avec elle. Je les vois parler à Tof. Il semble leur donner son accord.

• Virginie, peux-tu faire tourner le plateau ?

Il fait allonger notre amie dessus.
Tof s’approche. Serge broute la chatte de sa femme qui a les jambes bien écartées.
Je suis contente qu’ils prennent l’initiative. À la suite de ce que j’ai vu sous la table, j’avais peur que le couple ne se coupe des plaisirs notre après-midi.
Le visage d’Antoinette commence à faire apparaître son plaisir.
Il se relève et alors que je pense qu’il va se retirer pour laisser Tof pénétrer Antoinette, il s’allonge sur son corps et la pénètre profondément.
Depuis quelques minutes, Aline est venue sucer le hardeur qui bande fort.
Alors que Serge, besogne Antoinette, Tof, monte sur le plateau, se place derrière Serge et d’un seul mouvement le sodomise.
Tous les invités applaudissent. Je trouve cette scène tellement belle, les larmes me montent aux yeux.
Jamais je n’aurais pu imaginer que ses trois amis dégagent autant de beauté.
Antoinette est la première à pousser de grands veulements de plaisir.
Serge à son tour empli la chatte de son épouse.
Ce qui entraîne Tof à remplir le fondement de Serge.
Les deux hommes se relèvent et s’embrassent d’un long baisé à pleine bouche.
Serge relève sa femme et lui donne un baisé très appuyé. Elle prend la main des deux hommes et les trois saluts comme des acteurs à la fin d’une pièce de théâtre.
Tout le monde applaudit.

Je m’approche d’eux pour les remercier. J’amène notre amie à ma place.
Je tiens à lui poser des questions.
Elle m’explique que, lorsqu’elle a connu Serge, elle savait qu’il était homosexuel, mais cet Antillais beau comme un dieu la faisait craquer.
Lors d’une soirée chez lui où il l’a invité, il lui a fait l’amour.
Il l’a demandé en mariage à deux conditions.
Qu’elle ne fasse l’amour avec aucun autre que lui et qu’elle accepte que ses envies homosexuelles soient satisfaites de temps en temps quand une occasion se présente, mais là aussi toujours en sa présence. Elle a accepté, il l’a épousée, il y a deux ans.
Au fil du temps elle a pris du plaisir à cette situation.
Serge a des amis qu’ils rencontrent ensemble régulièrement.
Lorsque nous avons vu que Virginie avait invité Tof, Serge m’a rappelé les films X gay où il jouait et avait des rapports avec des hommes.
C’est pour cela que tu l'as vu le sucer sous la table et qu’il l'a sodomisé.
Je l’embrasse chastement et la remercie pour tous ce que la vision de son couple faisant l’amour m’a apporté.

Virginie démarre la sono pour que ceux qui le veulent puissent danser.
Elle a fait installer un parquet pour que les invités se déhancher en rythme.
J’ouvre le bal avec Tof. Un slow langoureux nous permet de nous frotter l’un contre l’autre.
Ce traitement fait réagir sa queue qui commence à se tendre.
Discrètement entre deux pas, j’ouvre un peu les jambes pour que son sexe remonte vers ma moule.

• Viens, suis-moi.

Au passage, il fait signe à ses deux comparses.
Nous montons sur l’estrade tous les quatre.

• Fais-nous bander !

Je m’agenouille et je prends Sébastian en bouche et lui suce.
Phil main droite, je le branle et Tof main gauche que je branle aussi.
Essayer de branler deux bites avec vos deux mains en rythme, pas facile, je vous le dis et, pourtant j’y arrive.
Les trois bandes.

• Sébastian, allonge-toi ?
À toi ma grande, empale-toi par la chatte sur son vit.

Je m’exécute, bien monté le Sébastian, ma chatte est pleine.

• Phil va y double vaginal.

Il se met en position derrière mon dos, se place et arrive à glisser sa verge le long de celle de son copain.
Deux verges dans ma chatte, je connais déjà depuis ma visite en Russie.
Ma grotte est pleine à éclater.
Tof se met en position légèrement sur le côté de Phil et m’enfonce son bâton dans le cul.
Me voilà prise par trois hommes en même temps, moi qui vous ai dit après la nuit en Russie que j’avais atteint les sommets de la lubricité.
Comment me définir par rapport à ces trois pieux qui me déchirent !
D’un seul coup, je vois deux bites supplémentaires devant mes yeux.
Alain et Frédéric nous ont rejoints et me présentent leurs membres pour que je les embouche.
Je compte bien, un dessous Sebastian dans ma chatte, deux Phil derrière dans ma chatte, trois Tof qui me sodomise, quatre Alain dans ma bouche par la droite et cinq Frédéric dans ma bouche par la gauche.
Vous pouvez comprendre que ce magnifique sandwich dont je représente la tranche me fait partir vers des sommets qu’il y a un peu plus d’un mois, j’étais incapable de soupçonner.
Les cinq me quittent et viennent ensemble arroser mon visage.
Ils descendent de l’estrade, je m’écroule sur le dos la chatte offerte.
Virginie monte sur le plateau, elle m’embrasse.
Elle lèche méticuleusement le sperme qui macule mon visage.
Elle boit mes lèvres.
Encore un mouvement quelqu’un me broute la moule, je relève la tête et j’aperçois que c’est Antoinette qui me lèche.
Elle me dit entre deux coups de langue que Serge pour mon anniversaire a accepté qu’elle me suce.
Je vais le faire consciencieusement. Encore un mouvement et je vois Serge qui encule sa femme.
Je mets les doigts dans la chatte de Virginie et la masturbe. Une fois de plus nous partons.
Enfin libre, je me laisse glisser dans la piscine. Je fais la planche pour me détendre un moment.
Je regagne les marches. Virginie vient me rejoindre. Dans les bras l’une l’autre, nous observons nos invités.

Stéphane danse avec Martine.
Ils sont soudés l’un à l’autre. Il va falloir peu de temps pour que leurs sexes se trouvent.
Qu’est-ce que je disais, il empoigne la femelle sous les fesses, la pose sur la table et la pénètre. Il la prend en lui donnant des coups de bites qui déplace la table sur plus d’un mètre.
À leurs soubresauts, nous savons qu’ils viennent de jouir simultanément.
Sur deux transats placées côte à côte, Frédéric allongé profite d’Aline qui lui pratique un massage du corps avec son corps. Pendant que sur l’autre chaise longue, Frédérique subit le même traitement pratiqué par Anne.
La virtuosité des deux sœurs enflamme le couple qui se tienne par la main.
Enfin Odile et Véronique mes coquines dès que j’ai libéré les trois membres pros, les ont récupéré et avec Alain se sont quatre hommes pour deux femmes qui fornique ensemble.

• Toi qui avais peur qu’il n’y ait trop de femmes pour le nombre hommes !

Ce tableau nous met en joie. Nous rejoignons la table pour nous rafraîchir.
Avant je passe jusqu'à ma chambre, afin de satisfaire…Je regarde le portable de l’organisation. Quelqu’un a appelé.
Je fais un rappel, ça décroche.

• Magali.
• Oui.

Une voix de femme.

• Bon anniversaire, j’espère que tous se passent bien à Paris.
• Oui, je m’éclate.
• Connaissant Virginie, tout doit-elle parfait !

La personne me donne les ordres. Magali mercredi. Aéroport d’Orly. Enveloppe à sept heures devant le guichet d’embarquement.
Départ huit heures. Vous et Séverine. Pour Malaga en Andalousie.
Une personne vous attendra à Malaga pour votre transfert à Ronda. Hôtel Montelirio.
Chambre trente et trente-trois. Seize heures trente bars du restaurant. Tenu décontracté. Un couple.
Tarif habituel.

• Vous prenez le contrat.
• Oui bien sur.
• Bon voyage.
• Bonsoir.

Je rejoins Virginie et lui rapporte le coup de fil.
Les clients sont inconnus pour elle.

• Comment vas-tu faire à l’institut, Véronique à quelques clientes ce mercredi ?
• J’emmènerais Aline, elle pourra nous aider, cela nous soulagera.

Je préviens Véronique qui comme moi est enchantée.
Pendant ce temps la soirée avance.
La nuit est tombée. Les hommes ont allumé les lampions, ce qui donne à la piscine un air de boîte de nuit.

J’entraîne Anne et Aline sur la piste de danse, j’ai deux couleuvres autour de moi.
Comment font-elles, mais j’ai toujours une partie de leurs corps agrippés à moi. Un peu fatigué, on le serait à moins, je m’allonge sur un transat, de suite elle me saute dessus.
J’ai la chatte d’Aline sur mes seins et celle d’Anne sur ma chatte. Elles font tourner leurs bassins, ce qui me procure de nouveau du plaisir.
Elles se font face, leurs bouches se rejoignent dans un baiser très peu fraternel.
La grande glisse sa main dans la chatte de sa jumelle. Elles se malaxent la pointe des seins qui bandent.

Le gros de la troupe est sur la piste de danse. Virginie a arrêté la bande slow et passe des danses qui bougent, ça permet à chacun de rester éveiller.
Certains s’échappent pour une dernière partie entre amis.
Je suis dans la piscine à me rafraîchir.
Virginie donne l’ordre suivant.

• Dernière baise pour l’anniversaire de Christine. Attrapé là et faite d’elle tous ce que vous voulez.

Tout le monde saute dans la piscine, je me sens agrippé de toutes parts, j’ai des doigts dans ma vulve.
D’autres dans ma rosette, mes seins sont léchés, mes mamelons mordillés, ma bouche envahie.
Je sens que l’on me sort de l’eau.
On me met sur le plateau qui est en marche.
On me place en levrette, immédiatement ma chatte est emplie. On me lime, me perce, me transperce, lorsqu’une bite sort d’un de mes orifices une autre prend sa place, je sens des hommes décharger sur ma figure, dans ma bouche.
Des femmes me lèchent le visage, fouiller ma langue pour récupérer la moindre parcelle de sperme.
Je pars, je meurs, je suis morte…Combien de temps suis-je resté ailleurs, lorsque je réintègre, je continue à tourner sur le plateau.
Quelque chose ou quelqu’un encombre ma chatte.
Les coquins, ils m’ont enfilé leur gode disproportionné.
L’engin est si gros que ma vulve est distendue.
Mon clitoris est comprimé, mais je sens qu’il aime ça surtout lorsque je bouge. J’essaye de refermer les jambes pour me relever. Impossible de serrer les cuisses.
Je m’assieds et le prends entre mes mains. Je le tire vers le bas. Il sort. J’ai le temps de voir un trou béant. Ouf! Rapidement ma chatte se referme, une fraction de seconde, j’ai eu l’impression de rester infirme de la chatte.
Je me relève et rejoins les invités. Certains danse encore.

Frédérique et Frédéric ainsi qu’Antoinette et Serge sont rhabillés près au départ.
Martine aussi avec les trois sexes sur jambes.
Tout le monde me saute au cou.

• Quelque chose me dit que nous nous reverrons rapidement !

Tof m’entraîne à part et me donne un bout de papier.
Mon téléphone, appelle-moi et le film à tourner est bien réel, j’aurais beaucoup de plaisir à te montrer toutes les facettes de notre travail qui est plus difficile que l’on croit.
Il m’embrasse d’un baiser qui n’a rien de professionnel.
Je les accompagne jusqu'à la grille deux taxis les attendent.
Quatre dans l’un, Quatre dans l’autre.

• Il est l’heure de se coucher. Je propose,Odile et Alain à l’étage.
Véronique, tiens la taille de Stéphane.
Je pense que vous aussi à l’étage dans la deuxième chambre !
Virginie, aucun problème. Je pense que tu feras une petite place à AlineQui reste-t-il ?
Anne, je pense que tu sais où tu vas aller mon cœur.

Elle me saute au cou et m’embrasse fougueusement.

• Quel bel anniversaire vous m’avez offert ! Vous m’avez tué…

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