Femme BCBG, escorte, non, pute…. (23)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute…. (23) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute…. (23)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis à l’institut où Antoinette vient m’expliquer comment les choses ont évolué grace à Frédéric et Frédérique qui ont ouvert les yeux à Serge son mari.
En un moment, Serge a complètement changé sa manière d’envisager notre sexualité allant jusqu’à me faire draguer un homme dans un café.
En remontant je vois Madeleine, une jeune femme triste.
Je m’assieds à sa table pour lui remonter le moral et surtout tester mon époux pour voir jusqu’où il a compris la leçon donnée par nos amis.

J’ai failli rigoler, elle avait un prénom qui cadrait bien avec son look.
Nous avons pris un café, pendant que celui qui venait grace à Frédéric et à Frédérique de s’assumer, finissait sa bière.
Pour garder l’avantage gagné sur la demoiselle, je lui ai proposé de venir chez nous à deux pas.

• Madeleine, nous pourrions dîner ensemble, nous vous raccompagnerons chez vous dans la soirée.

Je me suis levé, Serge est allé payer et nous sommes sortis.
J’ai pris le bras de ma conquête comme si nous étions de vieilles copines.
Tout le trajet, je l’ai réconforté.
Je lui ai dit qu’elle avait eu affaire à un goujat qui en voulait qu’à sa petite chatte.
J’ai employé ce mot pour voir jusqu’où elle acceptait les choses.
Serge ayant compris que je draguais la jeunette suivait à deux pas derrière.
Arrivé dans notre appartement, je lui ai enlevé sa veste.
Son chemisier blanc légèrement transparent faisait apparaître un soutien-gorge qui me semblait fort bien rempli.
Je dois t’avouer qu’a l’institut quand je masse une cliente pour la décontracter, mes mains sont toujours attirées par leurs seins.
Que lui eût dit, mais voilà la donzelle qui fond en larmes. Je l’attire dans mes bras et sa tête sur mon épaule, je la console.
Avec la main, je lui caresse le visage afin d’essuyer ses larmes.
Ce geste les fait redoubler. Je prends sa figure tendrement et je les essuie avec ma langue. Elle se laisse faire. Voulant garder mon avantage, je la regarde droit dans les yeux et lui prend la bouche. D’abord timide, elle commence à répondre à mon baisée.
Serge qui me laissait faire, nous rejoint derrière elle et nous enlace toutes les deux.
Aucune défense de sa part, je lui fais tourner la tête sur le côté et je vois la langue de mon tendre époux pénétré sa bouche.
Ses mains me lâchent et son posé sur son chemisier.
J’ouvre les boutons et fais glisser les manches le long de ses bras.
Rapidement je lui détache son soutien-gorge, faisant apparaître deux globes parfaits avec des aréoles en forme de poire. J’approche ma bouche et je les gobe.
Serge, l’embrasse et détache sa jupe.
Elle nous apparaît à moitié nue avec comme seule protection une culotte fort peu sexy du genre petit bateau en coton.
Il glisse la main vers son sexe et fait passer ses doigts dans l’élastique.
Pendant que Serge se prépare sans qu’elle puisse le voir, je l’amène par la main sur le canapé, la place à genoux ses seins sur le dossier. Pendant tout ce mouvement, je lui ai repris la bouche.
Serge s’est présenté, lui a écarté la culotte et la pénètre profondément.
Je reçois sur ses lèvres le râle qui sort de sa bouche lorsqu’elle jouit.
Serge sort de sa vulve, la fait se mettre face à lui, enlève sa culotte et plante son pénis une nouvelle fois.
Rapidement il éjacule.
Je prends la petite dans mes bras. Voilà qu’elle repart à pleurer.

• Ma biche, on a été gentille avec toi pourquoi continu-tu as pleuré.

Avec de gros sanglots.

• J’ai nulle part où dormir ce soir, il m’a mis dehors sans aucune affaire. Je suis au chômage et je me retrouve sans maison et sans vêtements, il a tout gardé.
• Une maison, tu en as une, nous serons heureux de t’héberger.
En ce qui concerne tes affaires aucun problème, je vais appeler deux ou trois copains, tu me donneras, l’adresse. Demain soir, j’irai te récupérer toutes tes fringues.
Voilà Christine, l’incroyable histoire qui m’arrive. Plutôt qui nous arrive.
Je pense que la journée passée tous ensemble ainsi que ce que lui a dit Frédéric à fait prendre conscience de ce qu’il m’imposait ce qui a entraîné son changement d’attitude.
Je ne pourrais jamais assez vous remercier.
• Où est ta protégée,• Elle est restée chez nous, seule.
• Rentre rapidement et surtout continue à entretenir le feu que vous avez allumé dans la culotte de cette fille perdue.
Tu sais que je pars avec Véronique demain. Nous serons absentes deux jours.
Je viendrais si tu le veux ce soir, je passerais et nous prendrons des décisions. Il se peut que Virginie vienne avec moi.
D’accord ?
Virginie a ton adresse.
• Oui, elle est déjà venue.
• D’accord on fait comme ça. Je vais m’habiller.

J’appelle Virginie et lui dit qu’Antoinette doit rentrer chez elles et que je lui expliquerai tout à la pause de ce midi.
Virginie me fait confiance donne son accord.

• Dit lui que je m’occupe de ses clientes avec les autres employés.

Antoinette sort de la salle de repos le téléphone à l’oreille. Elle vient vers moi m’embrasse aux coins des lèvres.

• J’ai appelé Serge, ce soir il va se dépêcher de rentrer.

Elle part presque en courant.
À midi nous partons les cinq autres au restaurant.
Nous nous installons dans un coin tranquille et je leur explique, toutes les aventures survenues à Antoinette et qu’elle m’a raconté.
J’ajoute que j’ai des idées que je vais leur dévoiler lorsqu’elles auront mangé leur plat.

• À mon avis, il est impossible de laisser tomber cette pauvre Madeleine.
Êtes-vous d’accord ?

Cinq pour ont continu.

• Vous savez toutes que Virginie a acheté l’étage au-dessus de la boutique afin de se développer.
De plus nous avons le projet d’acheter une autre boutique vers le Quartier Latin. Nous en avons discuté, mais rien n’est encore arrêté.

Virginie ajoute que ce projet est engagé à quatre-vingt-dix pour cent.

• En septembre, tout sera cadré et je vous aurai toute vue avec Christine qui entre au capital de la société.
Excuse-moi d’avoir dévoilé à nos amies certaines opérations qui ne sont encore que des projets mais les propositions que je vais vous faire en découle.
• Ce soir je vais chez Antoinette rencontrer cette jeune fille.
Virginie, j’aimerais que nous soyons toutes les deux.
• D’accord, on va y aller.
• Bien, je continue, il nous faut embaucher une nouvelle collègue, je pense que nous l’avons déjà près de nous. Anne, ta petite sœur Aline, semble avoir les mêmes prédispositions pour les massages.
Virginie, je te propose de la prendre dans le groupe à l’institut de beauté. Je pense que d’avoir la petite plus longtemps près de toi peux que te plaire.
• Merci Christine, c’est entièrement d’accord, et merci aussi d’avoir pensé à mon bonheur. Quand pensée vous les filles ?

Après que nous avons fait valoir notre acceptation les autres nous suivre.
Cinq voies pour.
Virginie parlera ce soir à la petite si elle accepte la proposition.
Anne nous remercie de la décision que nous faisons à sa sœur, elle pense qu’elle acceptera, car plusieurs fois elle lui a dit qu’elle avait de la chance d’avoir obtenu ce poste au salon.
Si Aline quitte le travail au pavillon, il sera nécessaire à penser à la remplacer.
C’est là que Madeleine peut nous être utile, elle est à la rue sans travail.
D’après Antoinette, les derniers postes où elle était, c’était dans des sociétés de nettoyage en intérimaire.

• Virginie, si ce soir après avoir discuté avec elle nous pensons qu’elle peut assurer le poste, elle reprendra le travail d’Aline rapidement et tu pourrais la loger à l’étage dans la chambre rose et ainsi elle garderait le pavillon lorsque nous sommes absentes.
• J’ai bien fait de te prendre à mes côtés ma biche, j’aurais pu avoir une meilleure idée. C’est d’accord.

Odile prend la parole.

• Cette décision touche le pavillon de Virginie et je n’ai aucun droit de donner son avis. Les autres ont la même position.

Enfin dans cinq jours, nous partons toutes dans ma maison à Saint-Palais sur mer, je pense que tous seront d’accord pour que nous l’emmenions.
De leur côté Antoinette et Serge s’envole pour les Antilles. Madeleine ne peut donc pas rester chez eux.

• Je vous propose de l’emmener en vacances avec nous et ainsi elle pourra prendre la place d’Aline pour l’intendance. La petite pourra passer des bonnes vacances avant de commencer son nouveau travail. Virginie, avoir ton bébé vingt quatre-heures sur vingt-quatre doit te plaire.

Elle éclate de rire et m’embrasse en faisant attention que personne ne la voieOrganisation pour ce soir, Virginie et moi allons chez Serge et Antoinette.
Soit elle ramène Madeleine à Chennevières soit, elle reste chez nos amis. Nous verrons.

• Odile, tu vas dormir chez ton mari.
• Merci, je le savais déjà, tu fais bien de me le rappeler.
• Véronique, tu rentres chez toi, vu l’heure de notre départ, il faudra se lever tôt. Je suis sans voiture, Virginie me déposera chez toi en repartant de chez nos amis. J’ai mon sac de voyage dans le coffre. Je suis donc prêt à partir.
Véronique ce soir, tu t’occuperas de commander un taxi pour six heures au bas de ton immeuble.
• Laisse Véronique, je m’en occupe cette après-midi, j’ai un chauffeur de taxi à prévenir pour qu’il soit là pour vous emmener à Orly.
Pour votre retour, je m’en occuperai aussi.

Je sais qu’en disant cela Virginie va mettre en marche l’organisation qui va régler tous ces problèmes.
Anne doit prendre son premier cours de code après le travail. Virginie va la ramener chez ses parents où elle veut retrouver sa fille. Ensuite, elle ira commencer ses valises pour notre départ Dimanche.
Enfin comme nous sommes toutes réunies, je mets au point le départ pour nos vacances.

Tout est réglé, nous reprenons le chemin de la boutique d’où j’appelle Antoinette pour lui annoncer notre visite pour le soir.

• Vous resterez manger, vous nous ferez plaisir.
• Comment, va Madeleine ?
• Bien mon retour l’a mise en joie, nous allons aller faire une balade cette après-midi.
• À ce soir.

La première cliente à entrer est une magnifique femme aussi grande que moi certainement Antillaise comme Serge.
Elle se présente Marie-Ange…
• J’ai, rendez-vous.

Je regarde le planning. Anne doit la recevoir.
J’emmène, la cliente dans la cabine lui donne le peignoir et lui dit de se déshabiller.
D’habitude je quitte la cabine, pour une fois je traine, rangeant un flacon à droite, le ramenant à gauche. Voyant mon manège, la cliente enlève ses vêtements en les pliant impeccablement avant de les poser sur le canapé.
Une pièce par une pièce, elle m’apparaît nue. C’était facile, pas de soutien-gorge sa poitrine bien galbée qui semble très ferme peut sans passer.
Pas de culotte non plus. Rasez impeccablement.
• Vous êtes épilée au laser.
• Oui, sur le coup cela coûte cher, mais au long terme, on est gagnante et on est toujours impeccable.
Je vis sans petite culotte. J’espère que vous appréciez.

J’ouvre, ma blouse, j’apparais nue, moi aussi.

• Moi choquer jamais.
• Je vois que tu es faite pour t’entendre avec moi.

Au moment où je referme ma blouse Anne entre.

• Christiane, je vois que vous avez le moral ici.
• Je vous laisse entre des bonnes-mains.

Avant de sortir, je donne un baiser à ma poupée qui ne laisse aucun doute à la cliente quant à notre degré d’intimité.

Ces soins terminés, Marie-Ange vient vers moi avec un grand sourire.

• C’est toi qui t’occupes des rendez-vous ?

Elle m’a répondu dans la salle en me tutoyant, j’en fais de même.

• Oui, ainsi que la facturation.
• Tu as donc tous les numéros de téléphone des clientes.
• Il faut bien t’appeler en cas de report d’un rendez-vous.
Marie-Ange 06 16 .. ..
C’est bien le bon.

Je le note sur un papier Marie-Ange 06 16. et je le range dans mon sac à main.

Anne est en pause après cette cliente. Je la rejoins dans la salle de repos.
Elle me sert un café et me pose une question.

• Qu’allez-vous faire Véronique et toi en Andalousie demain ?
Dis-moi la vérité, je vais t’aider, quand je travaillais au pavillon et que Virginie était dans sa chambre, il m’est souvent arrivé de l’entendre parler au téléphone. Souvent elle citait des prénoms féminins et parlait avec son interlocuteur de destination à travers le monde.
Le mot qui revenait souvent était « l’organisation».
Un jour tu es arrivé et rapidement tu es parti en déplacement au début avec Virginie et aussi avec Véronique.
J’ai vu à la télévision un reportage qui parlait de femmes qui accompagnaient des hommes pour des soirées. Êtes-vous l’une de ces femmes ?

Difficile de nier après une telle démonstration.
Pourquoi le détromper, mais j’oublie de lui parler de la dernière partie de soirée où nous passons en mode putes ?

• Est-il vrai qu’ils vous payent pour avoir des rapports sexuels avec vous ?

Que puis-je opposer à ces arguments ?
Sauf lui mentir et perdre sa confiance donc son amour, si un jour elle apprend toute la vérité et me rejette.

• Oui, nous sommes ce que l’on appelle des escortes girl. Mais la vérité m’oblige à te dire que neuf fois sur dix nous avons des rapports sexuels avec nos clients, nous sommes donc des putes de luxe qui sont payées très chères contrairement aux femmes qui travaillent dans des camionnettes dans le bois de Vincennes près du champ de courses.

Anne vient m’embrasser.

• Virginie t’a recruté avec Véronique pour ce qu’elle appelle l’organisation. Lorsque je travaillais au pavillon, je me suis demandé comment il était possible de vivre dans un tel luxe simplement avec ce que lui rapporte l’institut même si cela marche bien.
C’est toi qui m’as redonné goût aux sexes avec des hommes après mon expérience malheureuse. Tu sais ce que j’aimerais.
• Non, mais je m’en doute.
• J’aimerais que tu demandes à Virginie de m’emmener voir des clients avec toi. Je gagne bien ma vie depuis que je suis à l’institut, mais s’il faut que je fasse comme tu as accepté de le faire devenir une pute de luxe pour donner une vie de rêve à ma fille, je suis prêt à franchir le pas.
Baiser comme nous l’avons fait dimanche, c’est très bon, mais si à la clef, je peux faire la même chose en me remplissant les poches, je fonce.
Tu lui demanderas.
• Promis dès ce soir en allant chez Antoinette.
• Sans aucune rancœur soutirer de l’argent à ces hommes me lavera définitivement de ce salaud qui m’a engrossé sans vouloir assurer même si j’adore ma fille qui fait tout mon bonheur.

Elle se sauve toute contente.
L’heure de la fermeture arrive.
Véronique et moi embrassons tout le monde en leur disant à Vendredi. Je passe quelques minutes de plus avec mon cœur avant qu’elle parte rejoindre l’auto-école.
Nous partons et déposons Véronique à son appartement.
Je lui donne deux valises, la mienne plus une que Virginie m’a donné ce matin fourni par l’organisation dans laquelle il nous suffit d’ajouter nos vêtements personnels. Ces valises sont simplement des couleurs différentes.
Nous repartons, comme promis, je demande à Virginie, ce que souhaite ma petite fleur de lotus.
Sur le coup un peu surprise, elle accepte, l’organisation verra d’un bon œil qu’une eurasienne soit sur le site Internet des filles.

• Je leur en parlerai dès demain, je dois avoir une conférence téléphonique avec mes collaborateurs.
• Je voulais te dire merci pour le voyage en Andalousie.
• Avec moi les filles qui font des efforts, je sais les récompenser ?

Nous arrivons chez nos amies qui nous accueillent avec enthousiasme.
Antoinette est seule avec Madeleine.
Comme elle me la dit, cette femme d’environ un mètre soixante-dix est tout à fait banal.
À y regarder de plus près, un peu mieux habillée, mieux coiffée et maquillée, je suis sûre que nous découvrirons une autre femme. Sa poitrine représente un capital pour elle.
Serge et Alain accompagné par deux copains sont partis chercher les affaires chez son mec à l’adresse qu’elle leur a indiquées.
Ils vont bientôt être là.
Nous commençons à faire les propositions à notre nouvelle amie.
C’est oui pour le travail et c’est deux fois oui pour habiter et entretenir le pavillon.
C’est toujours oui pour le séjour au bord de la mer avec nous.
Elle me saute au cou et fond en larmes. Virginie, la console. Comme m’a prévenu Antoinette, Madeleine, pleure tout le temps comme une madeleine.

Alain Serge et leurs copains sont de retour, l’ex de Madeleine a eu quelques velléités. Face à ces gars déterminés, il a rapidement capitulé.
Le coffre de la voiture est plein. La mini sera trop petite, il propose à Virginie d’emmener tout directement au pavillon où ils déchargeront.

• D’accord, mais avant il faut me déposer chez Véronique.

Demain, je dois être prête pour six heures.
J’arrive chez Véronique, elle prépare sa valise, verte pour elle.
Une douche et dodo, on se lève tôt. Quatre heures trente…

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