Femme BCBG, escorte, non, pute… (29)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (29) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (29)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je suis chez Marie-Ange jolie fille noir qui vit chichement dans une soupente dans le 1er arrondissement de Paris.
Comme avec toutes les autres, depuis que j’ai jeté ma culotte par-dessus mon épaule, je la fais venir sur mon terrain de jeu favori en lui mangeant la chatte et la faire jouir.

Après qu’elle me fait voir ses talents de peintre sur ongles, je me prépare à retourner à l’institut.
Nous rions toutes les deux pendant que je me prépare.

• Bien tu es d’accord, tu annules tes rendez-vous, tu fais, ta valise et demain soir, je passe te prendre devant chez toi vers dix-huit heures quinze après la fermeture de l’institut pour le mois d’août.
Je t’emmènerais chez la propriétaire de l’institut qui habite à Chennevières où elle m’héberge depuis mon divorce.
Le dimanche, nous partirons en passant par la porte d’Orléans rejoindre un couple d’amis qui vient avec nous.
Ça peut te paraître confus, mais nous sommes une bande de copains et surtout de copine qui adore passer de bons moments ensemble.
Tu verras bien, demain soir, tout te paraîtra plus clair. Surtout, fais-moi confiance. Je vais tout faire avec mes amies pour que ta vie devienne un soleil, celui de ton pays et de ton sourire.

Elle me regarde avec ses grands yeux pleins d’amour et m’embrasse tendrement.

• D’accord, je te fais confiance.
Avant que tu partes est-ce que, je peux te poser une question.
• Oui bien sur.
• Pourquoi portes-tu ce collier avec un anneau ?
• Et ma belle, je te l’expliquerais bientôt, mais ce serait trop long maintenant et mon travail m’appelle mon cœur. Là, encore fait moi entièrement confiance.
Au fait, prends ton maillot de bain, ma villa domine la plage et nous pourrons largement en profiter.

Je la quitte à regret en lui disant encore à demain.
Un gros baisé, je suis parti.
Arrivées à l’institut, les copines me demandent ce que j’ai fait.
Anne voit mes ongles.

• Qu’ils sont beaux, où as-tu fait ça ?
• Surprise, vous verrez bien, je vous dirais tout mis, vous attendrez demain.
Virginie, tu es sans cliente avant quinze heures, je peux te parler.
• Oui, ma biche vient dans le bureau.

Elle va nous chercher deux cafés et nous nous installons dans les fauteuils.

• Bien j’ai plusieurs choses à te dire.
Tu sais que Pedro m’a commandé un collier avec une laisse et des saphirs roses pour l’anniversaire de sa femme Julietta en septembre.
• Je le sais et je te l’ai dit, il a appelé les bureaux qui m’ont transféré son appel.
Il m’a félicité pour la qualité des prestations que vous avez fournies. Sa femme est très élogieuse envers vous.
Il m’a parlé de la commande qu’il t’a passée.
En même temps, il m’a demandé si je pouvais programmer une visite à Marbella où ils habitent à la fin septembre avec vous deux pour son anniversaire à vos tarifs habituels.
Je pense d’ailleurs que je viendrais avec vous sans me faire payer. Une soirée en Espagne en fin de saison avant l’hiver me plaira énormément.
• La Russie, l’Espagne, en septembre, les voyages forme la jeunesse.
• Sans compter, vu la bonne réputation que vous avez auprès des clients que vous risquez d’avoir à honorer de très nombreux contrats.
• Je suis donc passé cher notre maroquinier pour passer la commande. Tout sera prêt à notre retour de vacances.
Après j’ai téléphoné à une dame que tu dois connaître puisqu’elle est cliente chez nous.
Elle m’avait fait comprendre lorsqu’elle est venue avant notre voyage en Espagne que sur sa fiche l’ordinateur contenait son numéro de portable et qu’un appel de ma part lui ferait énormément plaisir.
Tu connais la belle salope dont grace à toi je suis devenu et je t’en remercie mille fois.
Ce matin j’ai craqué, je l’ai appelé. Je voulais battre le fer pendant qu’il était chaud avant notre départ en vacances. Elle m’a répondu et invité à me rendre chez elle. Elle habite une mansarde de douze mètres carrés.

Je lui explique, comment j’ai réussi à lui brouter la minette alors qu’elle s’occupait de la mienne.

• Sur sa porte, il y avait une carte ou il était indiqué « Marie-Ange Manucure ».
Elle m’a proposé de me faire les ongles que tu peux voir.
Elle a une petite clientèle à domicile qui lui permet juste de survivre selon les mois.
• C’est magnifique, elle a beaucoup de talent.
J’ai remarqué la nouvelle mode des ongles peints. Des clientes m’ont demandé si nous pratiquions ses peintures sur ongles.
• Et alors ma Virginie chérie, tu en déduis.
• Oui, tu as raison dans le cadre de l’extension de l’institut si elle est disponible, on l’embauche et dans notre catalogue de soins, nous ajoutons « Manucure et peinture sur ongle ».
• Bravo Virginie, tu as eu seule l’idée de l’embauche de Marie-Ange.
C’est normal, c’est toi la patronne, c’est toi devant le personnel qui décide des embauches.

J’ajoute que, lorsque au restaurant, j’ai fait la proposition de l’embauche d’Aline à l’institut et de Madeleine à la maison pour la remplacer, j’étais mal à l’aise, car devant les autres filles, j’ai eu peur que tu pense que je voulais prendre l’autorité sur toi.

• Si Marie-Ange est embauchée, tu aurais pris seule la décision.
As-tu déjà vu Marie-Ange jeune femme guadeloupéenne lorsqu’elle vient se faire épiler ?
• Jeune femme noire, je pense.
• Oui, une magnifique femme black.
Grande et belle.
• À faire bander les mecs.
• Ma belle, je te vois venir, tu penses à l’organisation.
• Une jeune femme divorcée très vicieuse, une grande aux cheveux presque rouges avec autant de vices, deux poupées eurasiennes et maintenant une belle Antillaise ma Virginie, tu auras eu un maximum d’idées lumineuses en quelques semaines.
• Viens dans mes bras, je peux te dire que je me glorifie de t’avoir frôlé ta minette lorsque tu es venu faire des soins chez nous.
Quand pourrons-nous la rencontrer pour parler d’un contrat au sein de notre groupe ?
• Euh, quand, euh, euh……• Toi je commence à te connaître, tu as eu une autre idée.
• Euh, ben, elle avait très peu de clientes en août, je l’ai invitée à venir avec nous à Saint-Palais, nous passerons la chercher en bas de chez elle demain soir, elle passera la soirée avec nous.
• Anne m’a prévenu lorsque nous venions ce matin que, ce soir elles dormiront chez Anne afin de préparer les bagages et que, demain elles resteront chez leurs parents qu’elles quitteront pendant un mois.
Le papa va nous les amener dimanche matin avec la petite.
Donc ce soir nous serons seuls avec Madeleine…
Que nous, réserve Virginie comme surprise…Nous sortons du bureau et chacune vaque à ses occupations.
La soirée arrive rapidement.
Odile et Antoinette partent ensemble comme tous les jours.
Véronique va vers chez elle, je lui ai proposé de la conduire en voiture, mais elle a des courses à faire le long du chemin.
Nous partons pour déposer Anne et Aline à leur appartement.
Puis nous rentrons au pavillon.
Lorsque nous arrivons Madeleine cuisine. Elle est nue.
Elle vient nous embrasser presque sur la bouche pour moi.
Au dernier moment elle évite.
Nous nous mettons nues et toutes les trois, nous préparons le repas.
Installé sur le canapé, Madeleine au milieu de nous, nous souhaitons qu’elle nous raconte les grandes lignes de sa vie comme s’était entendu avec Virginie.
Elle a l’air gêné.
Pour la mettre en confiance, je lui embrasse le bout du nez.
Elle a un petit sourire.

• Je vais vous expliquer qu’elle a été ma vie depuis vingt deux ans, sans rien vous cacher.
Je suis née sans une famille de dix enfants. Trois filles et sept garçons.
Nous habitions dans une cité près de Nanterre.
Toute ma jeunesse, j’ai eu as supporter mes frères et mon père qui fainéantait toute la journée étant sans travail et faisant tout pour surtout éviter d’en trouver.
Un après-midi, mon père est parti au bistro comme tous les jours.
Je venais d’avoir seize ans.
Le frère de mon père est venu à la maison et m’a violé.
Sans que je comprenne ce qu’il m’arrivait lorsque après avoir arraché ma culotte, j’ai senti quelque chose me pénétrer l’entre jambes.
J’ai eu très mal et je me suis mise à pleurer.
Sans voir et comprendre ce qui s’était passé, j’ai entendu un grand cri et le poids de l’homme qui était sur moi, est devenu plus important.
D’un seul coup, je plus de poids sur le corps, j’ai vu mon père avec à la main son cran d’arrêt qu’il avait toujours dans sa poche, rouge de sang.
Il venait de tuer son frère. Il a été condamné à quelques mois de prison.
J’ai été accusé par ma mère d’avoir provoqué cet homme.
Elle m’a fait placer dans un foyer pour l’enfance.
Le jour de mes dix-huit ans, ils m’ont viré et j’ai dû assumer ma vie.
Les services de l’enfance m’ont trouvé un placement dans une famille comme bonne à tous faire. Surtout faire du bien au monsieur.
Il était expert-comptable place Péreire dans le dix septième arrondissements.
Son cabinet était dans leur appartement. Il avait trois employés.
Sa femme travaillait chez un notaire à deux pas de chez eux.
Tous les jours, dès qu’elle était partie, j’avais droit à sa visite au fond du couloir dans l’office.
J’ai bien essayé de le repousser les premiers jours en le menaçant de tout dire à sa femme.
J’étais logé par le couple dans une chambre de bonne au-dessus du logement de mes patrons.
Au bout d’une semaine, je pensais être tranquille, mais ce matin-là, il est revenu à l’office et m’a coincé au bord de la table.
Depuis que je m’étais fait violer chez mes parents, j’avais évité les garçons.
Il m’a mis sa main sous ma jupe.

• Si tu résistes, je dis à ma femme que je t’ai vu voler dans son porte-monnaie et tu seras envoyé à la rue.
Il a voulu prendre ma bouche, mais j’ai toujours refusé.
Il m’a retourné, m’a plaqué les seins sur la table, il est entré en moi sans précaution.
Moins de deux minutes d’aller et retour dans mon vagin et il a éjaculé sans aucune précaution.
Il m’a obligé pour les jours suivants, d’être toujours prête et de descendre sans culotte pour qu’il ait plus facile à prendre ma chatte.
Un matin, il est entré dans mon anus. J’ai eu tellement mal, que j’ai cru qu’il m’avait déchiré le cul.
Personne ne m’avait donné de contraception.
Je suis allé voir une doctoresse voisine et je lui ai demandé de me donner la pilule sans lui dire que mon patron abusait de moi.
Ce manège a duré plus d’un mois. Il m’a même obligé à lui sucer la queue et à avaler son sperme, c’était dégoûtant.
Je me lavais la bouche pendant dix minutes chaque fois, mais j’avais son goût toute la journée chaque fois qu’il le faisait.
Un jour il m’a voulu nue dans la chambre et dans le lit conjugal.
Après m’avoir obligé à faire cela, nous avions pris l’habitude d’y aller tous les jours.
Un matin où il me baisait en levrette, la porte s’est ouvert et sa femme est entrée.
Elle m’a donné deux heures pour quitter leur domicile.
Je me suis trouvé dans la rue sans savoir où aller et que faire.
J’avais en poche les euros mis de côté.
Je me suis déplacé avec mes deux baluchons jusqu'à la gare de l’Est.
J’y suis resté deux jours. Je dormais dans la salle d’attente.
Au bout de ces deux jours, je me suis dit que si je laissais filer ma vie et qu’il fallait que je me reprenne en main, sinon je courrais à la déchéance.
J’ai mis mes baluchons dans une consigne.
Lors d’une sortie dans l’ancien quartier où je travaillais, j’avais repéré une agence pole emploi, Avenue de Clichy.
Je m’y suis rendu. J’ai consulté les annonces d’embauche.
Un poste de femme de ménage pour une société de grand nettoyage était proposé pour six mois.
J’ai pu avoir le poste. Pendant un mois j’ai travaillé dur surtout la nuit.
J’avais trouvé une chambre dans un hôtel glauque de Pigalle.
Jour et nuit j’entendais des gens monter et descendre.
J’ai rapidement constaté que les femmes qui accompagnaient les hommes étaient toujours les mêmes. J’étais tombé dans un hôtel de passe et ces filles étaient des prostitués.
Pour m’en convaincre, il me suffisait d’entendre les conversations à travers les mures des chambres voisines.

• Allez mon biquet vient laver ta bitte.

• Bref, personnes m’ennuyaient et c’était le principal.
À force de chercher, j’ai trouvé une brave dame qui pleine de prévoyance m’a loué un espace sous les toits de cinq mètres carrés. Une vraie négrière.
Mais j’étais tranquille et mon salaire couvrait le loyer.
Bien sûr, avec ce qu’il me restait, je mangeais qu’un jour sur deux.
Enfin, je vivais.
À la fin de mon contrat, j’ai eu deux mois de chômage et j’ai retrouvé un poste dans le nettoyage pour un contrat de huit mois.
J’ai survécu comme cela pendant presque deux ans.
Un garçon qui travaillait dans une boîte a commencé à me faire du charme.
J’ai craqué rapidement. Je pense que vous pouvez comprendre que, lorsque l’on a goûté au sexe même contraint, on a du mal à sans passer.
Il vivait dans deux pièces vers la gare du Nord.
J’ai quitté ma soupente pour emménager chez lui.
J’ai eu de bons moments avec lui. Même si son principal plaisir était de me prendre dans n’importe quelle position toutes plus étranges les unes ou les autres.
Il a même installé un système de poulies afin de me suspendre comme sur une balançoire et me pilonner chaque fois que mon sexe atterrissait sur sa verge.
Je rigolais au début, mais rapidement, on se lasse.
J’ai perdu de nouveau mon travail et au bout d’un mois où je ne trouvais rien, il a commencé à se plaindre que je n’étais bonne qu’à me faire entretenir.
Il est devenu violent et les coups ont plu de plus en plus souvent.
Puis il y a quelques jours, il m’a mis dehors sans me donner mes affaires, car il avait certainement trouvé une autre chatte à baiser.
Je me suis vu revenir au jour où je me suis retrouvée gare de l’Est sans travail et logement.
J’ai eu envie d’un café pour me remonter en fin d’après-midi.
Pourquoi, ai-je choisi un café plutôt qu’un autre ?
Pourquoi ai-je choisi une table plutôt qu’une autre ?
Pourquoi ai-je accepté qu’une inconnue s’asseye à ma table ?
Et pourquoi j’ai accepté d’aller chez eux ?
Là je le sais et je peux le dire.
Ce couple m’a donné l’impression d’être un couple sans perversité.
J’ai accepté de les suivre.
Quand Serge le mari aidé d’Antoinette m’a déshabillé pour me faire l’amour, j’ai trouvé cela, nécessaire pour leur équilibre, car j’ai compris après ce que sa femme avait fait dans le café avant de m’accoster de se faire un client devant les yeux de son homme.
Il n’y avait rien de choquant dans les gestes que nous faisions…

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