Mes premières fois en travestie. Chapitre 3 : instant de vérité

- Par l'auteur HDS Soline -
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Récit libertin : Mes premières fois en travestie. Chapitre 3 : instant de vérité Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes premières fois en travestie. Chapitre 3 : instant de vérité
Je me suis approchée de lui lentement en minaudant et en exagérant légèrement mon déhanché. Il fallait que sois convaincante. Je lui ai dit : « je suis Soline, la petite sœur d’Aurélie. Tu sais, ça fait un petit moment que je te regarde. Tu ne me laisses pas indifférent… » Un peu de drague m’a semblé opportun pour lancer le jeu.
- Soline ? tu es aussi craquante que ta frangine. Vous vous ressemblez beaucoup.
- Oui mais tu la préfères pas vrai ?
- Non, pas du tout. Tu es plus de mon âge. Et toi aussi tu me plais.
J’étais maintenant à 50cm de lui et j’ai croisé mes avant-bras autour de sa nuque essayant d’être aussi provoquante que possible : « c’est vrai ? Moi aussi je te plais ? »En guise de réponse, il a juste posé ses lèvres sur les miennes dans un mouvement rapide et bref avant de me regarder droit dans les yeux. Il venait de me donner un baiser ! En signe de consentement, j’en ai fait de même sans aucune gêne et en laissant même trainer un peu plus le contact de nos bouches. Il avait maintenant mon rouge à lèvre imprimé sur les siennes comme une trace indélébile… Il m’a alors saisi par la taille, m’a plaquée contre lui et a plongé sa langue dans la mienne. Il m’a fait chavirer : il était en train de m’embrasser avec fougue. Comment résister ? Moi, jeune demoiselle depuis peu, j’étais en train de me faire rouler une pelle par un mec pour de vrai! J’étais au bord de défaillir. Son étreinte était vigoureuse et son sexe déjà tout dur cherchait le contact de mon corps. J’ai senti ses mains plus pressantes descendre sur mes fesses, passer sous ma robe et me presser contre lui. Il me serrait fort et ses doigts frôlaient mes bas, mes jarretelles, mes cuisses… Je lui susurrais : « c’est pour toi que je me suis fait belle, même en dessous… ». J’étais en train de le rendre fou. Exactement comme je l’avais prévu. ! Il m’embrassait maintenant dans le cou, me léchouillant sous le menton tout en continuant de me plaquer contre lui et se frottant sur mon ventre.
N’y tenant plus, je l’ai un peu écarté pour déboutonner son pantalon et passer ma main dedans. J’ai commencé à le caresser à travers son boxer puis j’ai plongé dedans pour le saisir réellement. Sa verge était si chaude et ses bourses si douces ! Je lui câlinais lentement la bite alors que ses lèvres cherchaient toujours à me couvrir de baisers. J’ai alors commencé à lui ôter son tee-shirt en le remontant. Il a fini de l’enlever tandis que je lui embrassais le torse, lui donnait des petits coups de langues sur les tétons, le couvrait de bisous sur la poitrine. Fred était plutôt musclé, surtout des épaules. Mon Dieu, que c’est beau un homme quand on est une femme amoureuse… Lentement ma langue est descendue sur ses abdos jusqu’à ce que je sois accroupie devant lui. J’ai fini de lui baisser son pantalon : enfin l’objet de mes convoitises était dressé devant mon visage n’attendant plus que moi. D’une main, je lui ai pris tout doucement les couilles et de l’autre j’ai commencé à le branler très lentement lui titillant le gland du bout des lèvres. Je voulais être parfaite. Qu’il comprenne que j’avais autant envie que lui de le sucer ! Je me suis un peu enhardie et c’était maintenant à son prépuce que je roulais des galoches. J’enroulais ma langue tout autour, je lui lapais le frein par dessous en lui jetant des regards plein de tendresse. Lui aussi me regardait faire. Il serrait les dents. Mon pauvre chéri ! Ce devait être insupportable de plaisir ce que je lui faisais. Pourvu qu’il ne craque pas. J’ai finalement fini par glisser délicatement tout le long de sa colonne de chair jusqu’à l’avoir entièrement dans ma bouche. Le nez collé à son pubis, son gros machin m’emplissait la gorge. La mâchoire écartée, ce n’était pas vraiment agréable mais si excitant à la fois. Le saisissant par les hanches je me suis mise à le pomper avec ardeur, alternant les rythmes, insistant parfois sur son nœud turgescent, vrillant aussi ma bouche autour de lui et reprenant mes va-et-vient saccadés.
-Putain mais t’es une vraie salope ! T‘aimes ça bouffer des bites ! Vas-y , suce moi bien ma Soline, fais moi du bien !
Il m’avait appelé « Soline » ! Ça a été comme un coup de poignard et j’ai redoublé d’ardeur.
Ses gémissements se sont transformés en râles jusqu’à que je le sente se raidir et son bout enfler étrangement. Pas de doute, il allait m’honorer d’ici quelques secondes. Je l’ai branlé comme une damnée aspirant de toutes mes forces le reste de sa queue et, dans un cri bestial, il a déchargé sur mon palais, secoué de spasmes impressionnants! Ne voulant pas le lâcher, j’ai dû avaler une bonne partie de son sperme brulant. Je sentais le reste couler à mes commissures. Oui, j’étais salie par sa semence. J’avais goûté au fruit défendu. J’étais sa petite garce… -T’es incroyable ! Qu’est que c’était bon. T’es vraiment douée…
J’étais peut-être douée mais pas satisfaite du tout. Si lui avait joui et que son sexe ramolli était couvert de veines saillantes, le mien était bien dressé et me faisait même mal. Je n’étais pas venu uniquement pour une fellation ; j’en voulais plus. Beaucoup plus. Ma condition première sait bien qu’il faut du temps pour se remettre d’une éjaculation. Mais si Fred pensait que je n’étais venu que pour le sucer, quel gâchis! Hors de question de s’arrêter là. J’ai ouvert la fermeture éclair de ma robe et je l’ai laissé négligemment tombé sur mes chevilles. Voilà, j’étais devant lui en soutien-gorge et porte-jarretelles, debout devant mon homme avec mes bottines, mes bas et toute frissonnante. Je me suis assise sur le canapé et j’ai baissé ma culotte. Le beurre que je m’étais introduit avait fondu. Elle était maculée de taches blanchâtres et je sentais mon œillet tout graisseux. J’ai relevé les cuisses et devant mon amant interloqué, j’ai commencé à me caresser la raie.
- j’ai envie de toi mon amour. J’ai vraiment envie !
- tu veux dire que t’as envie de te faire enculer ???
-Non ! J’ai envie que tu me baises ! Je veux être à toi entièrement…Joignant le geste à la parole, J’ai commencé à me doigter le derrière :-Regarde, je suis toute mouillée…Tu veux pas de moi ?
Bientôt, mon index a rejoint mon majeur suivi de mon annulaire. J’étais en train de me trémousser sur le divan, les doigts plantés dans mon intimité devant mon Fred complètement abasourdi! Il a mis du temps avant de s’approcher. Décidément, il n’avait pas compris ce que je voulais vraiment en venant chez lui. Mais la situation ne pouvait pas être plus claire maintenant.
Il s’est assis à côté de moi, et en même temps qu’il m’a embrassé, ses doigts ont remplacé les miens entre mes fesses… J’avais sa langue dans la mienne, une de ses mains sur mon corps, qui me caressait de partout, et l’autre plantée en moi. Pour lui aussi, c’était la première fois qu’il fouillait quelqu’un à l’intérieur. Et il était très doué. Déjà seule, c’était très agréable. Mais sentir un autre le faire, vous remuer frénétiquement en dedans, c’était magique.
J’ai senti comme de la chaleur m’envahir le ventre à force de me faire fouiner de la sorte et le sexe de Fred avait retrouvé toute sa vigueur. Il était grand temps de passer à l’acte fatidique. Je me suis approchée de son oreille et lui ai simplement soufflé : « viens maintenant, prends-moi. » Il m’a attrapé par le bassin pour me tirer un peu en avant, s’est agenouillé entre mes cuisses et a guidé son chibre vers mon orifice : c’est le moment de vérité.

Je sens le contact de son gland sur mon anus ; je sens qu’il est en train de pousser fermement pour s’immiscer en moi. Sans m’en rendre compte, je force aussi pour mieux l’accueillir. Il pousse encore et je suis en train de m’ouvrir. Je sens qu’il m’écarte, qu’il me pénètre. Je suis emportée par l’émotion. Je perds toute lucidité… Je suis à sa merci. C’est peut-être incroyable mais je n’éprouve aucune douleur, bien au contraire ! J’ai lu beaucoup de témoignages qui disent que c’est difficile la première fois mais ce n’est pas mon cas : peut-être une prédisposition naturelle ?
Mon sphincter se referme sur son gland; il appuie ses mains sur mes épaules et me regarde droit dans les yeux. Il s’enfonce encore dans ma chair inexorablement. Je l’embrasse jusqu’à sentir son pubis contre le mien : il est tout en moi. Je suis écartelée ! Je suis pleine de son désir aux tréfonds de mes entrailles. Je suis un écrin vivant à son plaisir… Il me tire vers lui comme pour aller plus loin mais il est vraiment au bout. Il me possède, je suis à lui et je sens son membre qui bat la chamade dans mes reins. Son pieu tout entier me remplit le ventre au plus profond : c’est ce que je voulais et même temps j’ai du mal à y croire… Il commence à me limer. Son sexe coulisse en moi avec une facilité déconcertante me procurant une sensation de plaisir insupportable. C’en est trop. Le sentir entrer et sortir de moi, réaliser que je suis en train de me faire prendre et que c’est encore meilleur que toutes mes attentes, j’en gémis d’extase et finis par jouir comme une folle, accrochée à son cou sans même me toucher le sexe ! Il essuie mon jus avec ses doigts et m’oblige à les lécher tout en continuant de me pénétrer. L’excitation est un peu passée ; je viens de jouir et je trouve plus difficile de le supporter dans mon cul. Mais lui a déjà été contenté une première fois par ma bouche et il est en pleine forme! Je lui demande de me laisser respirer. Je suis haletante. Juste un peu de répit. Il est de courte durée… S’il se retire, c’est simplement pour m’obliger à me mettre à quatre pattes et sans aucune douceur, maintenue par les reins, il me pénètre à nouveau d’un seul coup en levrette. J’accuse ce coup puissant avec surprise mais je l’ai bien cherché. J’ai ce que je mérite. Je n’ai pas le temps de récupérer : il s’acharne déjà sur ma croupe avec véhémence.
J’ai envie d’un « temps mort » mais sentir ses coups de butoir contre moi ont raison de mon esprit : j’ai une nouvelle sensation étrange et fulgurante entre le fourmillement et l’’engourdissement. C’est plus fort que moi, je recule vers lui à chaque assaut anticipant ses coups de bélier pour qu’il me mette encore plus profond. Il prend un malin plaisir à accélérer et à profiter de mon derrière. Moi aussi je profite de sa rage masculine. Il me tient fermement par les hanches et s’enfonce en moi sans vergogne. Je suis littéralement en train de me faire défoncer : il me maltraite le cul m’assénant de grands coups agressifs. Mais plus il est violent, plus ça me chauffe et plus c’est bon! Je suis à nouveau prête à me faire baiser. Je lui fais comprendre et lui crie mon désir : « Vas-y, baise moi. Bourre-moi bien à fond. Je suis à toi, je veux que tu m’empales comme une chienne. Défonce-moi plus fort encore ! », et je me cambre au maximum. Mon rôle de femme n’en est plus un. Je suis bien réelle et comme je viens de jouir, mon sexe est endolori : je profite d’autant plus de ce nouveau sentiment : celui d’être sa partenaire, sa chose… Je suis au septième ciel!! Encouragé par mes suppliques, il me maintient maintenant par la croupe et par une épaule. Il m’assène des coups si brusques que j’ai du mal à garder mon équilibre. Il s’écrase à chaque fois sur mes fesses m’arrachant des cris de bonheur incontrôlables. Je suis contente de l’avoir fait jouir dans ma bouche la première fois : je sais qu’il en est plus endurant. Ça n’en finit pas, je suis dans un état second comme un peu saoule et surtout, c’est comme si je prenais des décharges électriques qui me remontent dans la nuque à chacun de ses mouvements. Je suis irradiée de volupté : j’en crie et j’en pleure de joie! Tout mon corps est noyé dans un bonheur incommensurable !
Le plaisir anal est une réalité dépassant toute compréhension! Et lorsqu’à force de me déflorer si hargneusement, il a fini par craquer, déversant tout son amour en moi. En sentant son jus m’emplir le ventre, j’ai joui avec lui avec une telle intensité, que je me suis sentie totalement perdue.
En reprenant mes esprits, J’ai juste réalisé que j’étais allongée. Fred, couché sur moi, m’écrasait de tout son poids, le corps couvert de sueur et sa queue encore planté en moi. Son souffle palpitant dans mon cou en disait long : je l’avais épuisé ? Lui en tout cas m’avait comblé bien au-delà de mes espérances. Je ne pouvais pas être plus femme dans ma tête et dans ma chair. Soline était née…

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