Petit cul pour homme marié 2 - histoire érotique

Bonjour à tous, Il y a fort longtemps j'écrivais le début de ma première relation sexuelle avec un homme. Maintenant cela fait presque 7 ans que cette histoire a passé, mais je souhaite tout de même finir de raconter cette expérience qui m'a permis de vivre un fantasme et de le jouer mainte fois. Si je n'ai jamais eu de penchants sentimentaux pour les hommes, quelques uns depuis se sont glissés derrière moi pour me soumettre à leur viril sexe. Je vous conseille cependant de lire ma première et courte histoire car celle-ci en est la suite directe. Aux impatients, je dirais que j'étais tombé entre les jambes d'un homme bien doté et de deux fois mon âge (20 ans à l'époque). Invité chez lui le temps d'une soirée, il commença très fort en dépucelant ma bouche et fait de moi sa "chienne", collier au cou. La première partie de l'histoire prends fin tandis que cet homme allongé sur son canapé m'obligeait à laper son anus. Voici la suite.
Cela faisait presque une heure que je léchais goulument son anus, et il faut le reconnaitre, ma langue s'était engourdie et mon excitation retombait peu à peu. Toujours aux prises de cet homme mature et joliment conservé comme je l'avais souhaité, il ne m'avait pas adressé la parole depuis qu'il s'était allongé sur son canapé et que je le massais avec la langue. J'eu le sentiment d'être telle une simple feuille de palmier éventant son maitre, cela me mis mal à l'aise. Alors que mes coups de langue faiblissaient peu à peu, Il compris qu'il était temps de me remettre dans le droit chemin. Il tira la laisse et me mis à hauteur de son gland épais et violacé. D'une main derrière ma tête, il guida ma bouche et y glissa tout son membre . D'un ton doux il me sussura : "C'est bien mon beau, tu es fait pour ca, appliques toi pour ton papa". Cela se voyait dans son attitude, sa façon de parler qu'il était courrant pour lui de donner des ordres. Je n'imaginais pas pouvoir faire ça aussi facilement, toucher le corps d'un homme, prendre son sexe en moi. Pour lui j'étais un jouet, une jeune petite salope qui avait besoin d'un homme pour calmer ses ardeurs. Il profitait de mon corps lisse et imberbe comme on s'amuse à fendre la neige vierge de toutes traces. Pour moi, il représentait l'adulte, le mâle, mon père et je lui devais respect et obéissance, soumission et être source de son plaisir sexuel.
Son sexe allait et venais dans ma bouche, glissant sur la salive que je produisait en abondance ne pouvant plus déglutir, mélangée à son précum. Il se releva enfin et me demanda de me placer devant lui, à quattre pattes, mon joli cul féminin bien cambré. Il alla chercher un condom en me laissant là, au milieu du salon. J'avais l'odeur de son sexe et son anus imprégnée sur mon visage, le gout dans la bouche, de la bave et de la semance coulants sous mon menton, des goutes de sueurs qui perlaient le long de mes côtes et de ma taille. Bientôt il allait enfin prendre sa place derrière moi et révéler mon côté salope.
Il revient le sexe bandé comme un arc habillé d'une capote. "Viens la petite chienne, colle ton cul contre ton papa". Penché devant lui,Je me mis à dandiner mes fesses, les mains plaquées sur ses hanches, en ayant pris le soin de placer sa queue dans la fente. "Tu es une superbe petite chienne, je vais adorer te baiser, et tu vas voir, tu vas aimer ça car je sais que tu es une salope". Il continuait à monologuer d'une voix grave et douce et ses paroles salaces m'excitaient au plus haut point, mon sexe qu'il n'avait qu'éfleuré laissait s'échapper des fils de mouille. Il commença à me masturber doucement mais je failli jouir instentanément. il mis ses deux doigts recouverts de mouille da ns ma bouche. "Mhm suce ma belle", puis il frotta ses doigts sur mon trou et commença à me les enfoncer un par un. "Je reconnais bien les salopes, mhm, et toi tu en est une magnifique, si je pouvais je te donnerai cette chambre pour que tu y vives, ca te dirais de vivre ici ? De t'occuper de ton papa tous les jours ? Je te promènerai en laisse dans le jardin, à chaque fois que j'en aurai envie, tu me soulageras... Mhhm." Ces dires me me firent trembler de plaisir, je savais qu'il était marié et qu'il s'agissait d'un jeu, alors pour la première fois je lui adressais la parole pendant l'acte et lui dis timidement en gémissant :" Mhm oh oui je veux te servir". J'eu un peu honte d'avoir prononcé ces mots mais lui apprécia d'autant plus. Il engagea la conversation tout en faisant aller et venir sa main de mon trou à ma bouche pour l'humidifier. De l'autre il me malaxait la poitrine en titillant mes tétons. "Dis moi que tu es ma chienne, ma belle salope !""Je suis... ta chienne han" haletais-je entre ses doigts dans ma bouche,"Mhm tu veux que ton maitre s'occupe de toi hein ?","Oui s'il vous plaît". Je crois bien qu'à ce moment la je n'en pouvais plus, je faisais danser mes fesses comme une jeune fille en chaleur, je voulais qu'il me plante son sexe, qu'il me baise comme une salope en claquant bien fort ses reins, je n'avais pas oublié qui j'étais, il me montrait une partie qui m'était cachée. J'aimais ça.
Il me poussa sur le canapé. Je tombais le cul cambré, il me leva la tête d'une main sous la gorge et m'embrassa de toute sa langue tandis qu'il s'enfonça plutôt sauvagement dans mon trou. Je sentais chaque centimètre glisser pour me remplir le ventre, élargissant peu à peu ma rondelle. La douleur comme toute première sodomie, surprend, mais le bonheur de faire gémir un homme qui pourrait être mon père pris le pas. Il m'assaillit longuement, sortant presque complètement son sexe à chaque coups de reins. Je me suis littéralement fait pilonné le trou ce soir là. Cela faisait à peine deux heures que je me trouvais avec lui pour ma première expérience gay, et j'étais déjà dégoulinant par tous les orifices de sperme, de sueur, en train de me cambrer et de gémir afin d'encourager mon mâle à me souiller comme je le mérite. Puis il retira d'un coup son énorme sexe et s'allongea sur le dos. "Allez viens sur ton papa". je me positionnais à califourchon au dessus de lui et m'emplais rapidement pour combler le vide qu'il avait laissé. Il me regardait droit dans les yeux comme un père regarde sa fille en me répétant "C'est bien ma belle, tu fais ça bien". Ses yeux commencèrent à vasciller, son sexe se durcit et gonfla de plus en plus. Brusquement, il se retira,me fit basculer de l'autre côté du canapé, enleva la capote et répandit sa semance sur tout mon buste par de lourdes giclées chaudes tout en criant de plaisir. Je n'avais jamais fait jouir autre homme que moi et un sentiment de satisfaction s'empara de moi. il se leva et m'observa, encore tout excité, dégoulinant de son sperme, des cheveux jusqu'au nombril. Il me dit simplement "Merci salope, t'es vraiment bonne, un vraie bonne gourmande. Maintenant viens". Il m'emmena dans la salle de bain tout en tenant la laisse. Il me détacha et me mit sous la douche. Enfin il s'agenouilla et pris mon sexe entre se lèvre. La sensation était merveilleuse. J'avais déjà connu très bonne fellations avec la gente féminine, mais le condensé de sensations que je venais de vivre et la chaleur de la bouche de cet homme qui venait d'enfoncer son sexe en moi pendant une heure, me fit craquer trop vite. Il avait complétement compris que j'allais exploser et finit par me masturber doucement devant son visage. Seulement quelques secondes suffirent pour que je lui arrose le visage d'au moins 5 giclées très chargées. J'étais presque désolé de lui en avoir mis plein les yeux.
Il m'intima de finir de me laver, de m'habiller puis de partir sans attendre. Après avoir joui, mon excitation retomba bien sûr et je ne souhaitais pas trainer. Il alla chercher mes affaires pendant que je passais la main sur mon trou douloureux et béant. Il me raccompagna au portail et me souhaita bonne nuit. Je crois avoir attendu un bon quart d'heure dans la voiture avant de partir. Malgré la douche, je sentais très fort le sexe masculin. Je me fis peur tout seul en m'imaginant me faire arrêter par les gendarmes et devoir leur parler ou sortir du véhicule alors que je boitais pratiquement. Rien de tout cela n'arriva et je reçu un sms juste avant d'arriver chez moi : "Merci, j'ai passé un très bon moment, tu joues le jeu, tu es bien foutu et bien salope. Si tu as aimé, restons en contact." Voilà toute l'histoire. Bien sûr j'ai vu cet homme pendant des années, seulement deux ou trois fois par an. Nous avons essayé bien des jeux ensemble, j'ai toujours été comme sa petite salope de maîtresse. J'ai eu beaucoup d'autres expériences, avec des couples, des hommes, des travs et une trans. Je me suis toujours dit que je n'avais pas à avoir honte de cela, car je fais ce qui me plaît sans embêter quiconque dans la plus grande discrétion. En espérant que d'autres passeront du fantasme à la réalité.