Vacances

- Par l'auteur HDS Edd1759 -
Récit érotique écrit par Edd1759 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Vacances
Il lisait, allongé sur le ventre, dans le lit d'à côté. Il était magnifique. Cheveux châtains, yeux clairs, visage allongé, et une bouche large, aux lèvres pulpeuses et dents étincellantes. Pas très musclé, mais mince, et large d'épaules.
Si je n'avais pas peur de paraître biaisé, je jurerais qu'il cambrait volontairement ses fesses, telle une invitation. C'était notre petit rituel, depuis presque une semaine que nous étions en vacances dans la villa de ses parents, en bord de mer. Le soir, nous faisions mine d'aller lire dans notre chambre, puis, lorsqu'on était sur que tout le monde était couché, on se sautait dessus … Je ne sais même plus comment ça a commencé … Ah, si ! C'était un matin. J'étais encore couché, lui enfilait un maillot pour aller se baigner. J'ai ouvert un œil, et j'ai vu, ses fesses rebondies, sa queue interminable … Il a surpris mon regard, a sourit. « Ça te plaît » a-t-il demandé. Puis il s'est approché, rampant sur mon lit, puis, toujours souriant alors qu'il ouvrait la bouche, a commencé à mordillait mon membre à travers mon caleçon. Moi, je n'ai pas osé bougé, ne sachant pas s'il était sérieux ou s'il plaisantait. Du moins au début … Depuis, tous les soirs, en secret, on baise, s'efforçant de faire le moins de bruit possible, de peur d'alerter son frère dans la chambre d'à côté. Seul bémol à tout ça : les journées semblent interminables … Une seule fois, nous avons cédé au désir en dehors de notre chambre. C'était un soir, alors qu'on revenait du port, où nous étions allé boire quelques verres avec des amis. En rentrant par la plage, on s'est arrêté, assis dans le sable, et … embrassé. Un baiser passionné, d'autant plus jouissif qu'il risquait d'exposé au grand jour notre amourette secrète. Roulant dans le sable, nous avons mêlé nos langues, échangé nos salives. Puis nous nous sommes relevés d'un coup, avons courut jusqu'à notre chambre, et niqué intensément.
Je n'y tenais plus. Invitation ou pas, je posai mon bouquin, rejetai mes draps et sautai sur son lit, chevauchant ce fessier qui me tendait les bras. Il sourit alors que je déposais quelques baisers dans son cou – il avait la peau si douce ! Il referma son magasine, enfouit la tête dans son oreiller, et – cette fois j'en suis sûr – se cambra sous moi. Il ne m'en fallait pas plus. Descendant ma bouche le long de son dos, je fis glisser son caleçon pour découvrir son blanc derrière. Je le massai allégrement, l'embrassai goulûment, le mordillai légèrement .. Puis, écartant les deux hémisphères, je glissai la langue sur sa marge anale, lui soutirant un gémissement de plaisir. Les deux mains plaquées contre ses fesses, j'activai ma langue contre son orifice, jusqu'à l'y faire entrer. C 'était si bon. Ce trou parfaitement imberbe – il aimait se raser l'anus – , ce léger parfum de lavande – nous nous lavions intimement tous les soirs ..
Au bout de quelques minutes, il se mit à quatre pattes. Comprenant sa demande, je me redressai, fit voler mon caleçon, et, non sans une dernière léchouille sur son orifice, y appliquai mon gland humide. Je crachai, en guise de lubrifiant, un filet de bave, et pénétrai prudemment mon camarade, lui arrachant un long soupir. A peine avais-je parcourus la moitié de la distance qu'il se mit a faire des vas-et-viens. Je me penchai alors en avant, l’enlaçai en passant un bras au dessus de son épaule, l'autre sous son aisselle, et lui murmurai : « C'est à moi de faire ça ! – T'es trop lent », répondit-il. Et, d'une secousse, il me fit pénétrer entièrement. Alors, le tenant fermement par les hanches, je commençai à battre la cadence tantôt plus vite, tantôt plus lentement, sortant parfois entièrement pour mieux rentrer immédiatement.
Lorsqu'il comprit que j'étais sur le point de jouir, il s'allongea brusquement sur le ventre, et, comme ma bite sortait dans un « Flop ! » bruyant, je dus rassembler toutes mes forces pour ne pas éjaculer dans le vide. Je fermai les yeux, pris une grande inspiration, pressa la base de ma queue entre pouce et index … Ouf ! Sauvé ! Le danger écarté, je m'allongeai sur lui, et remis mon engin à sa place, dans son anus soyeux. Je savais qu'il adorait cette position : sentir son partenaire respirer contre son cou, pressé contre son dos, être écrasé sous son poids, comme incapable de bouger … Être à sa merci ! Je lui agrippai les poignets pour l'immobilise au maximum, et accélérai mes mouvements. Au summum de l'orgasme, je giclais six longues doses dans ses entrailles, en six grands coups de reins, qui lui arrachèrent chacun un « Ah ! » presque inaudible.
J'aurais voulu rester là, m'endormir sur lui sans même me retirer, mais je savais que ça n'étais pas possible. Nous avions un pacte. Du moins implicite … Chacun devait jouir, et chacun devait jouir dans un trou. Il m'avait offert le cul, je lui devais au moins la bouche.
Alors je me redressai pour le laisser se retourner, et me penchant en avant, goba son dard bandé à pleine bouche. Après avoir juté, je n'en avais pas très envie, mais heureusement, ça n'allait sûrement pas durer longtemps. J'imposai donc d’emblée un rythme soutenu. Sentant qu'il allait venir, il tenta de ma ralentir en m'attrapant les cheveux. Je compris alors que ça n'était pas très sympa de ne pas le laisser profiter, et, délaissant sa queue quelques instants, j'entrepris de m'attaquer à ses boules.
J'ai toujours aimé léché des couilles. C'est comme faire un câlin : pas jouissif en soi, mais pas désagréable. Lui est content qu'on s'occupe de lui, moi je suis content d'avoir quelque chose dans la bouche. Sans parler de la relation dominant-dominé que ça instaure pendant quelques secondes ... Ça fait une pause sympa dans une pipe !
Aussi me concentrais-je sur ses deux joyaux, enlaçant ses cuisses de mes mains, gobant l'un, puis l'autre, puis les deux, les faisant rouler sous ma langue, puis léchant le tout .. La lavande m'envahissait les narines, et ses bourses, plus douces encore – si c'était possible – que le reste de sa peau, ne portait pas le moindre poil – il aimait aussi se raser les boules, allez savoir ! – ce qui rendait ma besogne des plus délicieuses ! Je m'aventurais même parfois jusqu'à son anus, qui suintait de ma semence. « Suces moi ! » l'entendis-je murmurer. Il me tenait toujours la tête a deux mains, et me regardait comme on regarde une pêche melba après un mois passé dans le désert. Je remontai donc le long de son membre, m’arrêtant pour titiller le frein et l'orifice urétral, faisant mine de vouloir y passer ma langue. Puis je gobais, d'abord le gland seulement, avec lequel je caressais l'intérieur de ma joue, mon palais, puis je pris le reste aussi. J'allais et venais, toujours un peu plus loin, jusqu'à ce que sa toison pubienne velue me chatouille le nez, dans une explosion de lavande. Il me maintint ainsi quelques secondes, la bite bien calée au fond de ma gorge, mon front contre son bas-ventre, mon nez dans ses poils, et ma lèvre inférieure qui commençait a sentir la – très – douce peau de ses bourses. Puis il ressortit, me laissant reprendre mon souffle, ravaler ma salive, avant de recommencer, deux fois, trois fois … Enfin il se mit les mains derrière la tête, et, alors que je l'avais toujours en bouche, entreprit de me donner quelques coups de reins. Je le laissai imposer son rythme qui se fut de plus en plus soutenu, si bien qu'au bout de quelques secondes, il vint loger une dernière fois sa queue au fond de ma gorge pour se libérer, en quelques saccades, du fruit de sa jouissance, que j'avalai sans broncher.
Puis il reposa ses fesses contre le matelas et étendit les jambes, alors que,quelques gouttes de spermes s'étant malgré moi échappées de ma bouche pour couler jusqu'à sa toison, je finissais de nettoyer son membre qui commençait déjà à ramollir. Seulement tout cela m'avait passablement excité, et j'étais dur à nouveau. Comprenant que je ne pouvais plus vraiment lui demander ni le cul, ni la bouche, je calais ma joue gauche contre sa cuisse droite, le nez dans ses poils, la langue glissant de haut en bas dans le coin de ses bourses, et sa superbe queue ramollissant lentement contre ma joue droite, et je commençais à m'astiquer, en le regardant avec mes yeux de chiot qui réclame une deuxième gamelle.

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