Un pousse café plein de goût (Alice et Margot 9)

- Par l'auteur HDS FlorentDoe -
Récit érotique écrit par FlorentDoe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un pousse café plein de goût (Alice et Margot 9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2015 dans la catégorie Plus on est
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Un pousse café plein de goût (Alice et Margot 9)
-Vous voulez encore boire quelque chose ?
C’est le serveur dans l’encadrement de la porte qui venait de poser cette question. Comme la première fois, il ne semblait pas du tout étonné par la scène qu’il découvrait. Sans doute avait-il l’habitude des frasques de sa patronne et s’en accommodait-il très bien.
-Apporte le 25 ans d’âge, sept verres et la cuillèreFrédérique s’était relevée et s’appuyait sur un coude. Elle lui avait lancé l’ordre avec l’autorité d’un chef de brigade.
-Vous verrez, c’est un très bon rhum. Il va tous nous remettre d’aplomb.
Le serveur apporta presqu’aussitôt la bouteille, plusieurs verres et une petite cuillère en argent ciselée.
Frédérique servit six verres. Chacun but le sien d’une traite.

Yvan et Marie ne s’étaient pas mêlés à nous jusqu’à présent. Mais ils semblaient avoir changé d’avis. Ils s’approchèrent de nous. Yvan présenta sa bite devant les bouches d’Alice et de Frédérique, toujours couchées sur la table. Marie prit la cuillère et le verre resté vide et se dirigea de l’autre côté de la table. Frédérique et Alice prirent la queue d’Yvan en bouche et commencèrent à le sucer avec force. Marie de son côté avait passé l’une des serviettes posée sur la table sur les fentes des deux filles, en essuyant le sperme qui y avait. Elle commença ensuite à caresser ses deux amies.
Frédérique et Alice accélèrent rapidement la cadence sur la bite d’Yvan. Les caresses de Marie semblaient faire leur effet. Je voyais mal ce que faisait Marie.

Margot se leva et m’emmena vers le canapé. Elle m’y fit assoir. Debout, elle déboutonna son pantalon et le descendit jusqu’aux genoux. Je vis pour la première fois l’ensemble de son harnais de cuir noir qui retenait le gode entre ses cuisses. Elle enleva l’attirail. Elle ne portait rien en dessous. Margot s’assit à moitié sur moi et saisit ma queue. Elle l’astiquait lentement. Le ventre vers le haut, sa chatte n’attendait que mes doigts.
-Branle-moi.
Je m’exécutai aussitôt tout en observant l’étrange manège de Marie que je pouvais maintenant voir.
La cuillère faisait des va-et-vient dans le minou de Frédérique. A chaque fois que Marie l’en sortait, un liquide blanchâtre, presque transparent restait sur le couvert. Marie l’apportait alors au verre et l’y versait avant de recommencer la pénétration. Au moyen de la cuillère, elle recueillait la cyprine de la patronne du restaurant.
Elle se tourna ensuite vers le sexe de Alice. Délicatement, elle passa le couvert entre ses lèvres. Elle remontait lentement entre les ourlets de chair du vagin. A la fin de chaque remontée, un liquide visqueux et trouble restait dans l’outil. Marie le versait ensuite dans le verre que nous avait apporté le serveur. Elle recommença plusieurs fois l’opération sur les minous de l’une et puis de l’autre. Estimant sans doute qu’elle avait récolté ce qu’elle pouvait, elle posa un baiser sur les deux fentes et vint s’asseoir dans le canapé. Elle s’assit à nos côtés et porta la cuillère à sa propre chatte. Elle l’enfonça à plusieurs reprises, comme elle l’avait fait avec Frédérique, versant à chaque fois le liquide qu’elle récoltait. Elle fit passer la cuillère de la même manière qu’elle l’avait fait avec Alice et versa à nouveau le liquide dans le verre.

Yvan pendant ce temps là éjacula. Son foutre vint s’étaler sur les visages, et les poitrines des deux femmes. Elles le récoltèrent en riant, heureuses d’avoir fait jouir Yvan aussi vite.

Je sentais sous mes doigts la chatte de Margot humide. Mon doigts passait de son petit bouton à sa fente tournoyant sur l’un, pénétrant l’autre. Ce manège faisait son effet. Marie s’en approcha et recommença l’opération qu’elle avait mené sur elle-même et les deux autres filles. Le petit verre était bien rempli désormais.
-Ceci est une cuillère qui aurait appartenue à Madame de Montespan. Elle l’aurait fait forgée pour récupérer la mouille des autres maîtresses de Louis XIV, comme je viens de le faire. Il voulait ainsi garder dans des flacons les goûts et les odeurs de ses conquêtes.
Elle se leva et retourna vers la table. Margot se leva à son tour. Elle remonta son pantalon et le referma. Elle me prit par la main et nous emboitâmes le pas à Marie.
Nous étions tous réunis autour de la table. La femme d’Yvan répartit le liquide qu’elle avait récolté dans les différents verres restés vides sur la table. Elle en tendit un à chacun. Je portai le verre à mes lèvres et en renversai doucement le contenu. Je bus le nectar avec délectation. J’y reconnus des senteurs et des odeurs différentes mêlées les unes aux autres. Je revoyais ces instants où mes lèvres s’étaient posées pour la premières fois sur les chattes de Margot et d’Alice dans le parc de ce mariage. Je reconnus le goût mielleux de Frédérique. Par contre j’ignorais jusqu’à cet instant celui de Marie que je découvris mélangé au foutre des mes autres maitresses.
Margot s’était penchée devant moi vers le visage de Frédérique et Alice. Leur langue se mélangeaient les une aux autres échangeant ce qu’il restait de cyprine dans leur bouche. Son cul vêtu de cuir était tendu vers mon sexe. Ses fesses rondes et rebondies étaient moulées de manière très excitante par la matière noire et légèrement réfléchissante.
Voyant mon regard posé sur cette chute de rein, Marie saisit mon sexe. Elle me branla vigoureusement. J’allais venir, vite. Et j’allais venir sur le cul de Margot. Un jet blanc sortit de ma queue et vint s’écraser sur le cuir noir du pantalon. J’agrippai les hanches de la belle et serrai mon dard entre ses fesses. Je m’astiquais dans sa raie de cuir. Mon sexe ne cessait de cracher. Le sperme s’étalait sur le pantalon de manière indécente. Margot avait relevé la tête et s’amusait de ce que je faisais à son derrière. Marie se pencha sur les reins de son amie tandis que Alice et Frédérique avaient bougé sur la table pour venir à la hauteur des fesses de Margot.
Elle garda la même position. Les mains posées sur la table, elle accentua même le creux du bas de son dos où coulait mon sperme. Elle regardait la scène par au dessus de son épaule d’un air amusé. Les trois femmes virent lécher le foutre que je venais de déposer sur le bas des reins de la belle. Leur langue passaient sur le cuir. Elles ne laissaient derrières elles qu’un cuir humidifié par leur salive s’embrassant ensuite au dessus des fesses moulées par le pantalon de Margot.
Nous nous laissâmes tous tomber sur la chaise la plus proche de nous ou dans le canapé. Tandis que Frédérique nous resservait un nouveau verre de rhum. Elle le leva à ma santé « à ce nouveau venu dans notre petit groupe ». Et nous le bûmes chacun afin de trouver les forces nécessaires pour rentrer chez nous.

Frédérique nous raccompagna jusqu’au parking. Elle ne se rhabilla pas. Le restaurant était maintenant vide et la haie qui encerclait l’établissement cachait sa nudité à la rue. Je la vis nue sur le pas de sa porte nous faisant des grands signes dans mon rétroviseur.

-On sort, tu viens avec nous ?
Je devais travailler très tôt le lendemain. Pas question de répondre positivement à cette proposition pourtant alléchante.
-Non, je dois rentrer chez moi.
-Dommage. On s’était dit qu’on t’amènerait dans un de nos repères préférés.
Les filles m’amenèrent devant une vielle maison à côté du centre ville. Une plaque discrète, semblable à celles qu’installent les médecins sur leur façade, était la seule manière de comprendre que c’était un club.
-Tu vas manquer une grande soirée. Mais on reviendra un autre jour avec toi.
Margot et Alice descendirent de la voiture. Elles vinrent chacune m’embrasser. Alice sonna.
Un type patibulaire en costume sombre ouvrit. Il était costaud et impressionnant. Reconnaissant les deux filles, il s’écarta de la porte sans sourire leur laissant le passage. Margot et Alice se retournèrent. Elles me regardèrent, se prirent dans les bras et s’embrassèrent profondément de longues secondes devant le sorteur avant de s’engouffrer dans la maison. La porte se referma et je maudis le client qui me faisait travailler aussi tôt un dimanche.

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