LE CHANTIER (23)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (23) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (23)
Allô Soso, c’est ce que je dis à celle qui décroche et à qui mes filles m’ont demandé de l’appeler pour savoir si le 1er janvier, nous pouvions participer à l’une des soirées avec Criss, son mari que le couple organise régulièrement. Ils ont déjà passé de bons moments avec mes jumelles qui m’ont avoué être des libertines depuis leurs vacances en Italie.

J’ai du mal à trouver mes mots.

• Le récit fait par mes filles de votre mode de vie depuis le début de votre mariage avec Criss, mon interpellé alors que je me suis émancipé il y a peu.
• Valérie, le principal, c’est de l’avoir fait et vous serez la bienvenue dans le manoir que nous avons retenu avec nos amis dont certains sont des libertins comme nous de longue date.
• Une seule différence, lorsque l’on a dit à tes filles que notre prochaine soirée aurait lieu le 1er janvier, nous étions en attente de la date exacte, ce sera le samedi 3 janvier que nous avons réservés.
• Aucun problème pour nous, nous n’avions rien à cette période.
• C’est d’accord pour nous j’espère que nous passerons ensemble une nuit de folie.
Prenez hier au soir, nous étions près de chez vous chez Olivier et Edwige qui ont pris la décision de ce lancer dans l’organisation d’une soirée « multi » comme l’on dit entre nous. Nous les avons aidés dans l’organisation de leur soirée.
J’espère que vos filles vous on dit que nous étions très libres l’un l’autre et je peux vous dire qu’hier aussi bien ma chatte que mon petit cul a beaucoup ramassée pendant que Criss avait pris sous sa coupe une belle black et c’est occupé de tous les trous qu’il a baisés longtemps et puissamment.
Malgré ces débordements en entrant ce matin, c’est sur notre lit d’amour qu’il m’a fait jouir avec fougue et surtout beaucoup de tendresse avant de décharger au fond de moi les doux jets puissants de son foutre.
Nous avons dormi comme des bébés et votre coup de fil nous ramène à la vie et à la préparation de notre prochaine soirée.
• Il y a un petit problème, je sais que tu espères mettre en pratique en tout bien tout honneur ton fantasme que deux blacks te prennent ayant déjà Yosepé à ta disposition.
Excuse-moi de t’avoir tutoyé ?
• J’allais te le proposer.
• Christian, mon copain est partant pour cette soirée et surtout de t’offrir ta double pénétration black, mais mes jumelles ont dû te dire que nous étions une bande de copains avec plus de filles que de garçons et tous aimeraient participer.
• Combien de garçons ?
• Trois, Sylvain que tu connais, Christian que tu aspire à connaître en double pénétration et Petrov qui a été mon premier amant et qui m’a fait voir que la vie commençait à quarante ans après la trahison de mon mari en Angleterre.
• Et les filles ?
• Mes jumelles, Nadia petite beurette qui saura s’occuper de ta chatte, car elle a commencé sa vie sexuelle avec sa cousine pour éviter les garçons de sa cité, mais qui depuis c’est rattrapé et sait se donner du plaisir en en donnant aussi aux autres.
Maryse qui était mariée et qui a tout plaqué pour vivre sa passion avec Sylvain avant que mes filles ne l’accaparent.
Et depuis hier au soir Eliane qui aime bien Nadia, mais qui a accepté de prendre un amant puis de recevoir une double pénétration alors qu’elle avait été bousculer dans sa jeunesse et qu’elle refusait les hommes.
Cela fait cinq femmes.
• Tu n’oublies personne.
• Cinq, c’est déjà bien.
• Et toi, d’après tes filles, tu es comme moi, tu comptes pour deux.
• Quelle réputation font-elles de moi ?
• Six femmes trois hommes, je regarde avec Criss, mais connaissant ses goûts pour les femmes et surtout les belles cochonnes cela devrait aller.
• Surtout que tu y as intérêt, Christian comme ton Criss est un homme libre et ton fantasme tomber à l’eau, car il a l’esprit de groupe.
Je vous ferais faire la connaissance des quatre louves de mon groupe si vous acceptez, mes jumelles étant trop souvent absentent, sont dans l’attente d’y entrer.
• Je vois tout cela et je te rappelle, mets une croix sur ton calendrier.

Lorsque tous sont rentrés des différents endroits où ils travaillent Christian et Petrov ayant taillé la haie alors que les autres années cela nous coûtaient très cher avec la société de jardinage.
Eliane est de retour du collège où Nadia est venue la retrouver après ses cours.
Voyant le regard brillant de plaisir de la coquine, il a dû s’en passer de belle dans le bureau de madame la proviseur.
On dit que c’est sûr l’oreillé qu’une femme fait ses confidences, là c’est certainement sur le bureau qu’elles se sont expliqué.

• Valérie, Eliane, est au courant pour la cave d’à côté et souhaiterait visiter la maison.
• Et si Pierre vient.
• Quels motifs a-t-il pour venir surtout si on y va après vingt et une heures.

J’hésite à accepter, mais après ce qu’Eliane a enduré de faire hier, je lui dois bien une petite compensation.
Nous sommes comme des ombres devant le portail lorsque je déclenche l’ouverture.
Nous venons à peine de refermer derrière nous lorsque j’arrive devant la statue qui permet l’ouverture de la porte secrète.
Je la tourne lorsque les phares d’une voiture allument le début de l’allée.

• Christian referme et cachez-vous.

J’ai juste le temps de me glisser à l’intérieur avant que tous pivotent m’isolant des autres.
Heureusement que je suis déjà venu, car même avec la seule lueur de la lune sur la verrière, je vois assez pour atteindre le palier lorsque j’entends le dispositif d’entrée se mettre en marche.
Je suis sur la mezzanine devant les chambres lorsque la lumière s’allume, éclairant la piscine et tout le bas.
Dès qu’il est entré, j’ai le temps de voir Pierre appuyer avec son doigt sur le mur ou plutôt la fresque du même genre que celle à l’opposé avant que tout s’éclaire et que la porte se referme.
Tous ces dispositifs cachés montrent l’étendue du mal qui doit ronger le cerveau de mon amant.
J’ai du mal à comprendre sa manie de tout cacher même un simple bouton ouverture fermeture de la porte et de la lumière, ce doit être trop simple pour moi.
Je regarde ce qu’il fait en étant prêt à me jeter en arrière et dans une chambre si nécessaire.
Il arrive devant la fresque qui nous a posé problème et il appuie comme pour la lumière sur un système qui déclenche une porte et allume à l’intérieur.
Je reste sans bouger, car j’aurais le temps de voir avec mes amies à quoi cette salle lui sert.
Je suis sans montre ayant juste enfilé le peignoir de l’entrée et je trouve le temps long avant qu’il décide de partir.
Il appui sur la fresque la lumière s’éteint et quelques secondes après la porte se ferme.
J’attends un certain temps et je me rends à la fresque du côté de la porte.
En y regardant bien, une femme nue tend son doigt et un carré de faïence semble pouvoir bouger.
J’appuie et la lumière s’allume.
Avec la lumière, je trouve le bouton qui ouvre la porte de l’intérieur.
Je suis au chaud, mais dès que j’ai ouvert, les amis qui sont au froid de novembre et pour se réchauffer, Nadia court et saute dans la piscine.
Tous nos amis suivent et j’ai beau vouloir les raisonner rien n’y fait.
Eliane sort de l’eau et m’approche très belle dans sa nudité.

• Amène-moi dans ma cave !

Par ses mots, elle s’accapare le lieu, Je tourne la lampe qui ouvre la porte et nous descendons.

• C’est impressionnant, comment penser que ce fou de Pierre est pu imaginer un tel lieu.
• Et il te reste à découvrir les chambres.
• Est-ce que je peux te prendre dans mes bras, j’aimerais te donner le plaisir que tous tes amis mon donné depuis que je les connais !

Je me rapproche et en laissant tomber mon peignoir, nous nous prenons dans les bras et une fois de plus la femme sage que j’étais continue à s’émanciper et ma belle pouliche rapidement me fait monter dans les tours.
Ce que j’aime avec cette femme, c’est le plaisir qu’elle prend à martyriser mon corps, mes seins sont son premier jouet.

• Allonge-toi sur ce banc ?

Ce banc, je le connais bien puisque c’est celui où Pierre m’a attaché le premier jour dans sa cave.
À la différence, c’est que je suis sur le dos, les cuisses écartées et c’est ma chatte que je tends vers la bouche d’Eliane qui se penche et qui m’attrape le bouton.
Quelle belle suceuse, rapidement mon clito, est au sommet de sa forme et lorsqu’elle le fait rouler sous sa langue une nouvelle fois ma chatte me transporte à une hauteur telle qu’il faut que je fasse attention à l’atterrissage qui risque d’être mouvementé.
Je me redresse, l’empoigne et la place dans la même position. C’est moi qui m’occupe de son clito et de sa fente qui dès que je la stimule commence à mouiller.
Je savais que des femmes faisaient ce qu’Eliane me fait, un premier puis un deuxième jet de cyprine sortent du centre de son corps et vient arroser mon visage.

• Valérie, j’ai déjà été femme fontaine, mais il y a des mois que mon corps n’avait autant émis de plaisir que celui que tu lui donnes. En t’arrosant le visage, j’espère que tu aimes mon goût, j’ai été énormément stimulé par l’envie que j’ai de toi pour t’en donner de grandes quantités.

Je me redresse et nos bouches se retrouvent. Elle doit sentir sur mes propres lèvres et mes joues qu’elle lèche nettoyant ses propres sécrétions.

• Viens, mon cœur, il faut rejoindre les autres, car demain il faut retourner au travail.
• J’aimerais dormir avec toi et Christian et le voir te faire l’amour.
Ce doit être follement excitant de voir une queue noire aller et venir dans un vagin blanc. Bien que l’été passé sur ton lit d’amour t’ait laissé un bronzage qui, hélas, commence à s’estomper.
Dommage que Pierre a oublié de mettre des machines à UV.

Je ne peux dire de quoi l’avenir sera faite et si Pierre me fera venir normalement ici, mais si j’en ai l’occasion, je lui soumettrais l’idée de transformer des chambres en salle d’UV et un sauna bien utile lorsque nous avons forcé sur les produits caloriques.

• Valérie, viens-nous, rejoindre, l’eau est très bonne et tu es la seule à être restée loin de l’eau.

Je retire de nouveau mon peignoir et je plonge au passage des uns et des autres, je leur prends la bouche dans des baisers passionnés.
Nous remettons les choses en l’état en refermant la cave et discrètement nous retournons chez nous.

• Nadia, mon bébé, peux-tu aller dormir avec Petrov et Maryse, Valérie m’a promis que je dormirais avec elle et Christian.

Elle s’est invitée à venir dormir, mais j’ai assez de souplesse pour accepter que ce soit elle qui a eu l’idée.
Nous prenons une douche, car la piscine de Pierre semble entretenue et le clore bien doser.
Rincer, Eliane, nous essuie Christian et moi s’attardant sur son sexe et sur ma chatte.
Elle nous a placée face à face et nous donnons l’impression que nous sommes deux androïdes qu’elle prépare pour une expérience de sexe entre robots.
De retours dans ma chambre, Christian a eu la même impression que moi car pour le retour jusqu’à notre lit, nous marchons de manière saccadée.

• C’est très bien mes petits robots, continué, montez sur le lit.

Nous nous exécutons et je me place d’office en levrette.
Christian est si puissant que je le sens plus fortement et surtout profondément en moi.
Il est au fond de mon vagin lorsqu’il continue son jeu et qu’il me pilonne entrant et sortant de manière saccadée.
Tout ce qui change de l’ordinaire dans le sexe décuple les plaisirs.
Sentir mon amant me tenir les hanches et avancer et reculer à intervalles réguliers mais très lents me permet de décupler la jouissance qu’il tire de mon corps.
Repu de sexe hétéro et Lesbos, je m’écroule après orgasmes sans sentir que Christian est sorti de mon vagin.

Dans la nuit, je fais un rêve lorsque je sens que de nouveau ma chatte est broutée.
Je soulève le drap et la stupeur, j’entends, la voix de Soso demander si j’aime ce qu’elle me fait, mais le visage est constitué que d’une bouche qui replonge dans ma vulve, le reste du visage est entièrement lisse…

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