LE CHANTIER (24)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (24) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (24)
Au moment où j’ouvre les yeux, le rêve que j’ai fait m’interpelle, Soso semble être le début d’une obsession pour moi.
Sa voix suave doit être à l’origine de ces visions nocturnes. Vous ajoutez ce que m’ont dit mes filles et vous arrivez à ces visions d’une tête me broutant la chatte mes filles m’ayant signalé que ma future nouvelle amie est bisexuelle.
Qu’elle ait oublié de me rappeler me met mal à l’aise, lui ai-je fait peur à vouloir imposer toute notre smala ou fait-elle partie de ces femmes qui vous font languir afin de créer en vous un sentiment de malaise qui s’estompera dès que vous pourrez la saisir dans vos bras et que la grande cochonne qui m’est annoncée se dévoile dans toute sa splendeur.
Est-ce que je rêve encore lorsque je sens le lit bouger ?
Je me retourne et non, je suis bien dans la vie réelle, Eliane s’est mise comme moi hier au soir en levrette et Christian lui enfile la chatte à la même vitesse où il m’a pris hier en se prenant pour un robot.

• Valérie, tu sais que ses humanoïdes sont très réalistes maintenant, je jurerais que la queue qui me pourfend est la réplique de celle de Christian, ton amant.
Tu vois grace à ce remplaçant robotiste, ton mec te reste fidèle.
Tu vois, il me fait jouir.
Tu peux continuer, je vais repartir.

J’évite les ah, oh, la vache, putain que ces bons qui écorchent mes chastes oreilles, quoique je sois plus que certaine que lorsque Christian me labour, il doit sortir de ma bouche ce même genre de mots certains orduriers que je lache sans m’en rendre compte.

Les jours passent, Pierre a mis en place son équipe municipale et nous nous sommes fait élire à la présidence du Conseil général.
Tout démarre bien même nos soirées dans la cave de plus en plus fréquente surtout à l’instigation d’Eliane qui arrive toujours à me faire dire où se trouvent notre maire et Sénateur qui monte trois jours à Paris par semaine.
Nadia et elle ont essayé tous les lits de l’étage et se sont servi des menottes qu’elles ont testées.
Pour moi, je dois le reconnaître, on approche du moment de la rencontre avec les amis bordelais, Soso nous a appelé pour confirmer que tous sommes attendues en fin d’après-midi dans le manoir pour leur soirée le premier week-end de janvier.
Mais d’ici là beaucoup de surprises peuvent arriver avec tous les évènements qui s’enchaînent.
Hier Soso m’a appelé pour me dire quelle tenue ils souhaitent que nous portions pour ouvrir le bal de nos plaisirs.
J’ai failli lui proposé d’aller jusqu’à Bordeaux la rencontrer afin de réduire le temps d’attente pour notre première rencontre.
Mais je résiste et ce sont les fesses de Nadia qui trinque, car elle aime de plus en plus la petite cravache que le proprio de la villa laisse traîner lorsqu’il vient en amenant une de ses maîtresses.
Pierre depuis que j’ai le bureau mitoyen du mien se sert de ma chatte régulièrement et oublie de m’inviter dans son lieu de débauche.
Je me vois mal lui dire, Pierre quand vas-tu me faire retourner dans ta cave pour profiter du Jacuzzi ?
J’ai établi avec lui une lutte de pouvoir où il m’est strictement impossible que je m’abaisse à quémander la moindre parcelle de plaisir hormis les moments où comme une femme soumise, c’est moi qui me retrouve les seins sur mon bureau et la chatte pénétrée par sa petite queue.
C’est le cas encore en cette fin d’après-midi où nous sommes restés tard afin que je lui présente quelques changements au sein des finances municipales susceptibles de faire un beau paquet d’économie.
J’ai remarqué que chaque fois qu’il est content de mon travail, il se croit obligé de m’en mettre un petit coup.
C’est le cas encore aujourd’hui où depuis plus d’une demi-heure, il s’occupe de ma chatte et m’apporte un bel orgasme lorsque sa queue s’arrête de coulisser dans ma vulve.

• Pierre, qu’est-ce que tu fais, à quoi joues-tu, tu pèses.

Je me redresse et au moment où sa queue sort, je sens qu’il s’affale sur ses genoux.
Je le prends dans mes bras et constate qu’il a le visage gris.
Je l’allonge en criant à l’aide, mais la mairie est vide.
Je lui fais du bouche-à-bouche seul moment où elles se retrouvent soudées. Après lui avoir rangé sa queue et remis son pantalon, j’appelle les secours en appelant le 18.
Les pompiers arrivent dans les cinq minutes suivantes ainsi que le médecin, les secours restent à quelques mètres de la mairie.
Le maire est mort, la rumeur va vite enflé dans la ville.
.
En quelques jours, je change de bureau, je porte l’écharpe tricolore presque tous les jours, aux diverses cérémonies qui émaillent le travail du premier magistrat de la ville.
Je fais mettre les drapeaux en berne pour trois journées.
Ses funérailles se déroulent en grande pompe avec tout le gratin de la politique locale, départementale régionale et nationale avec la présence du numéro deux de l’état président du Sénat.
Avec tous mes amis, nous respectons le deuil de la commune et pas une fois, nous prenons la télécommande en main.
Il faut éviter de croire pour autant que nous soyons sages. Je fais l’amour régulièrement comme si je voulais nettoyer de mon cerveau la mort de Pierre.
Sa mort, sa belle mort, comme pourraient dire les gens s’ils savaient que c’est en me baisant qu’il est mort en moi ce qui est très difficile à assumer.

Petrov est venu avec Maryse à la mairie l’autre jour et a demandé à acquérir la nationalité française afin d’épouser notre copine.
Ils devront aller à la préfecture.

Une fois de plus, il y a, un « mais » mes nuits sont toujours émaillées de rêves où Soso devient de plus en plus présent avec sa bouche qui me donne de plus en plus de plaisir, chaque fois qu’un rêve a lieu, au matin ma chatte est ruisselante.
La seule chose bizarre c’est toujours sans Criss, son mari, sûrement car jamais je n’ai eu sa voix au téléphone or la bouche de Soso va de plus en plus loin dans nos jeux à la limite de la soumission, car c’est toujours elle qui a la main.
Il est étrange d’être presque soumis corps et âme à quelqu’un que l’on a jamais-vu alors que dans la vie de tous les jours, je règne de plus en plus partout où je passe.
Soso doit avoir un pouvoir d’attirance sur moi ou alors ce sont des fantasmes.
Vivement que notre soirée me ramène à la réalité et que ses rêves soient des rêves réels.
Rêves réels ?
Deux mots antinomiques, sachons attendre.

Je suis à la mairie lorsque mon téléphone sonne.

• Allo, madame le maire, je suis le notaire chargé par Pierre qui était mon client de m’occuper de sa succession suite au testament qu’il m’a déposé et qu’il a révisé, il y a deux mois.
Êtes-vous libre demain, 9 heures ?
• Oui, demain à 9 heures à votre étude Maître.

Une fois avoir raccroché, je m’interroge, pourquoi le notaire de Pierre souhaite me voir, dans sa succession le maire a certainement laissé quelque chose pour ses administrés et dans mes fonctions, il faut que je les représente.
La nuit suivante même si avec Maryse, Petrov et Christian, nous partageons le même lit, nos hommes sentant que j’ai encore en tête, ce qu’il m’est arrivé à la mairie pour laver ce mauvais moment, j’ai le droit en priorité à une double pénétration qui me fait toujours autant jouir et qui a l’avantage de me remettre la tête en place.
Cette nuit-là, Soso ne peut venir s’occuper à son tour de mon entrejambe car après avoir regardé mes amants prendre encore plus sauvagement Maryse dans une double pénétration vaginale, ils se sont endormis me laissant seule avec mes idées noires.

Au matin devant ma glace, c’est la tête des mauvais jours que je contemple.
Une couche de maquillage sur les cernes et le tableau devient présentable.
De toute façon représenté la mairie devant ce notaire reste une posture officielle et rien ne m’oblige à être séduisante.
Présentable oui, aguichant non.

Je fais la route sans encombre et j’ai même la chance de trouver une place au bas de son étude me donnant presque trente minutes à tuer.
J’allais entrer dans un café en boire une tasse lorsque l’Iphone sonne.

• C’est Soso, j’espère que tu seras de parole et que tu seras là avec tes amis le 3 janvier.
• Tu as l’air d’être en colère, que t’arrive-t-il ?
• Hier au soir, Criss et moi avions accepté de rencontrer un couple venu d’Avignon avec lequel nous avions discuté sur notre site libertin et où souvent nous trouvons des compagnons de soirées.
• Vous leur aviez donné rendez-vous dans quel endroit ?
• À notre club. Mais ils nous ont fait faux-bond sans nous prévenir.
• Votre club où mes filles vous ont rencontrées ?
• Oui, c’est cela.
• Et je te parie que tu es frustré de ce faux-bond pour ta petite chatte.
• Criss m’a fait l’amour dans la piscine et son sexe au fond du mien alors que je m’étais empalé déçu m’a fait oublier tous les déboires de la soirée.
Dans ces moments qui nous arrivent de temps en temps avec des personnes se disant libertine, voulant essayer et reculant à la dernière minute, Criss s’est me prendre avec tendresse, c’est ce qu’il a fait hier et tu comprends pourquoi je l’aime.
Depuis deux jours nous avions été sevrés de nos sexes et ses bourses étaient bien pleines, les traits de foutre qu’il m’a envoyé m’ont redonné le moral jusque chez nous ou j’ai fini la nuit attachée sur mon lit par les menottes qu’il a fixé et ce matin au réveil, j’ai eu le droit à une pénétration qui fait de moi une femme comblée.
• Et moi, hier j’ai fini la soirée avec Petrov mais surtout Christian en double pénétration qui m’a fait oublier comment et où était notre maire lorsqu’il est parti.
• On en dira pas plus, j’aurais voulu être là pour m’occuper de ton minou et te faire voir la vie en rose lorsque cela t’est arrivé.
• Merci Soso embrasse Criss pour moi, je vais le dévorer lorsque nous nous verrons.
Quoique ?
Il a fait l’amour à mes filles et s’il prend la mère après, est-ce son fantasme ?
• Connaissant mon amour, je te confirme que depuis que tes filles lui ont parlé de toi il s’est fait un joli cinéma.
Rassure-toi, je crois bien le connaître et te confirme que cette situation sera jouissive pour tous.
• Je te quitte, j’ai rendez-vous chez le notaire de Pierre, notre maire.
• Tu hérites.
• Certainement pas moi mais la commune sûrement, il me convoque en tant que représentant de la ville.
• Tien moi au courant.

La journée morose semble tourner en une journée de chance surtout après avoir eu Soso au téléphone.
À l’heure prévue je sonne et une secrétaire vient m’ouvrir.
Le notaire qui me reçoit est assez vieux alors que sa secrétaire jolie blonde sûrement naturelle à la blancheur de sa peau me fait monter une pousser d’adrénaline.
Valérie, soit sérieuse, c’est suite à la mort d’un homme que tu es là et même sans ton écharpe, tu représentes ta ville.
Mais on sait, il y a toujours un « mais »…

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