L’ÉCOLE MATERNELLE. (2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L’ÉCOLE MATERNELLE. (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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L’ÉCOLE MATERNELLE. (2)
J’ai passé une adolescence assez tumultueuse dans mon quartier dans ma ville de Choisy-le-Roi.
J’étais devenue la bête noire de maman qui me voyant papillonner avait peur que je ne sois en cloque avant mon mariage.
Elle a perdu, un concours de circonstances au bar de l’aéroport d’Orly m’a permis d’épouser Hubert pilote de ligne à qui j’ai réussi à faire croire qu’il était mon premier homme.

Actuellement, je vole vers La Réunion pour notre voyage de noces, mais je découvre que mon mari est plus enclin à passer du temps dans le poste de pilotage de notre avion de sa compagnie où il travaille qu’avec son épouse.
La place qu’il a désertée est rapidement investie par Véronique une de nos hôtesses de l’air qui s’occupe de nous.
Après avoir installé les voyageurs pour la nuit, elle s’assoit à mes côtés et trouve inadmissible l’abandon d’Hubert.
Elle nous a placé une couverture sur nos corps et a carrément commencé à me caresser.
Rapidement elle me montre qu’elle a des dispositions pour être une femme qui aime me dominer.
Ce qui est étrange, c’est que cette démarche offusquante, pour moi, me fait apparaître que je suis une femme qui apprécie ma soumission.
Elle place sa main sous ma jupe et au moment de me caresser la chatte alors que j’attends pantelante voyant que j’ai une petite culotte, elle refuse de me satisfaire et m’impose d’aller l’enlever.
Au moment où j’écarte, la couverture la collègue de Véronique revient dans la cabine et est obligée de voir que des caresses ont commencé entre nous.
Je me lève et au moment où je passe près d’elle elle me dit discrètement.

• Tu vas aux toilettes, elle a refusé de te faire jouir parce que tu as une culotte, vas l’enlever, tu vas passer un bon moment dans les jours prochains.

Je vais faire ce qu’elle me dit, mais les paroles de sa collègue restent dans ma tête.
Dans les jours prochains, je suis avec Hubert, comment peut-elle me faire passer un bon moment ?
De retour à ma place, Véronique a quitté le siège d’Hubert et se trouve à l’autre bout de la cabine semblant m’ignorer.
Elle a laissé la couverture, vexé du peu d’intérêt dont elle semble me porter, je me rassieds et la place sur moi.
Je ferme les yeux une paire d’heure.
Un frôlement sur mon sein me réveille, je sens un souffle non loin de ma figure.
J’ouvre les yeux, espérant que Véronique est revenu à de meilleurs sentiments et vient quémander un baiser.
C’est sa collègue qui est venue s’asseoir à mes côtés et qui a placé la couverture sur nous.
Elle me susurre.

• Je m’appelle Élodie et Véronique m’a donné l’ordre de venir te réconforter.

Qui est cette Véronique qui semble aimer prendre le pouvoir sur le cerveau des femmes qui l’approche ?
Pourquoi avait, elle commencé à m’allumer pour mieux me rejeter, et pourquoi Hubert m’abandonne-t-il ?
Quel voyage étrange pour moi, serais-je le jouet du personnel entourant mon mari ?
Toujours dans un souffle. Élodie continue à me donner des ordres.

• Écarte tes cuisses.

J’obtempère et dans la continuité ses doigts attaquent ma vulve.
Pour la première fois, la salope que je suis et qui menait à la baguette mes amants dans mon immeuble sent des doigts virevolter entre l’intérieur de ma chatte et mon clitoris qui d’un coup se retrouve pincé à me faire sortir de la bouche un grand cri qui réveille nos voisins.
Alors que la douleur se transforme en plaisir, je me retourne.

• Excusé j’ai fait un cauchemar.

Je les vois refermer les yeux.
Toujours à hauteur de mon oreille.

• J’espère pour toi que Véronique au bout de la cabine avec le bruit des moteurs a été sourd à ton cri sinon tu vas ramasser, lorsqu’on lui ait soumis la douleur doit faire partie de ton plaisir.
• Mais je refuse d’être sa soumise.
• Trop tard, tu as répondu à sa première injonction d’enlever ta culotte et à partir de la tu es à elle.
• C’est ce que l’on verra.
• Alors ton voyage de noces sera souffrance sur souffrance, t’es-tu posé la question, pourquoi ton mari est parti depuis le départ de France.
• Non.
• Tu vas le découvrir dans les jours prochains.

Que ce passe-t-il à bord de cet avion, il semble qu’ils soient tous sous la coupe de Véronique.
Élodie semble bien la connaître et surtout semble-la craindre, pourtant elle est comme nous deux bras, deux jambes une tête bien faite de surcroît.
Je dors quelques minutes.

• Réveilles-toi, j’ai entendu ton cri, dès que nous serons à l’hôtel, je vais te faire comprendre qui commande ton corps maintenant ?
• Certainement pas toi, Hubert seulement possède des droits sur moi depuis qu’il m’a épousé.
• Et elle se rebelle, Élodie, tu lui as expliqué qui vous diriges ici.
• Toi bien sûr, je lui ai dit.

En disant ces paroles Véronique qui est plus haute que nous attrape d’une main un sein de ma voisine et mon sein droit et elle tourne à me faire hurler.
Je vois Élodie serrer les lèvres pour qu’aucun son ne sorte de sa bouche.

• Lèves-toi et va t’occuper des passagers, cette salope va apprendre qui je suis.

Élodie se lève me laissant à la merci de cette charpie, je serais hors d’un avion, un coup de pied dans la chatte la remettrait en place.
Elle s’assoit sans lâcher mon sein.

• Je sais ce que tu penses, dans un autre endroit, tu me balancerais un grand coup de tatane.
Tu te crois différente des autres, mais sache que je suis ceinture noire de judo et une petite salope comme toi restera toujours à ma merci.

En disant cela, elle tourne de nouveau ses doigts et bizarrement j’apprécie qu’elle le fasse.
Lorsqu’elle est loin, je suis prête à la massacrer, mais dès qu’elle approche, je dégouline d’envie.
Ma chatte ruisselle, je suis sûr que je mouille les coussins de la compagnie, vont être taché de mes sécrétions.

• Mesdames et messieurs, nous approchons de Saint-Denis de la réunion, il est six heures du matin heure local et il fait vingt-huit degrés.
J’espère que vous avez fait bon voyage et que nos hôtesses ont été très sympathiques avec vous.

J’ai l’impression que cette dernière phrase est exclusivement pour moi.

• Je vais m’occuper de l’atterrissage auprès des autres voyageurs, tu restes assise lorsque tous sortiront.
• Oui, Véronique.
• C’est bien, tu es une bonne élève, t-on début de vacances ici t’auront été bénéfiques.

Nous atterrissons et comme elle me l’a dit tous descend.
J’attends comme il me l’a été dit et alors que je commence à m’ennuyer, le pilote et son adjoint accompagné des hôtesses et d’Hubert arrive du poste de pilotage.

• Anne bien venue au sein de la compagnie, j’espère que tu as bien supporté le petit bizutage dont nous avons l’habitude de faire subir à tous ceux ou celles qui nous épousent et qui vont immuablement à la Réunion en voyage de noces.
Profite bien de ton séjour avec Hubert que nous retrouverons d’ici quelques jours parmi nous.

Je descends de l’avion encore abasourdi de ce qui vient de m’arriver, à un détail près moi qui était le chef dans mon immeuble voir dans mon quartier, j’ai adoré la façon dont Véronique me dominait.
Les huit jours avec Hubert sont paradisiaques et vont porter leur fruit puisque après un retour sans bizutage avec une autre équipe de vol, je me retrouve enceinte de notre premier enfant.

L’accouchement se passe comme la plupart des accouchements, j’ai la visite d’Élodie et surtout de Véronique qui semble vouloir me rappeler notre vol vers la Réunion lorsque prenant sa voix de commandement elle me prend le sein et le pince m’arrachant un petit cri.

• Alors bébé, tu l’as ton rejeton, je suis fière d’Hubert, il a bien su te baiser, tu vas voir, comment je vais te caresser l’arrière-train lorsque tu seras rentré à la maison.

Une fois de plus, cela fonctionne, je voudrais quelle continue à me tourner les seins bien que mon fils en me tétant m’ait fait voir qu’à son niveau, je lui suis soumise, car la succion qu’il exerce sur moi ressemble un peu à ce que j’espère de Véronique.

Ma vie va continuer sans grande passion pour moi, je deviens la bourgeoise que je voulais éviter de devenir lorsque j’étais jeune et que j’étais une rebelle.
Je commence à m’ennuyer malgré les facilités financières qu’Hubert m’apporte.
J’envisage même de prendre un amant pour retrouver ce que je vivais lorsque j’étais dans l’immeuble où je choisissais la queue qui succéderait à la précédente.
Et il y a Internet qui est la plait des couples où le mari est souvent parti car je tchat certains soirs avec plusieurs hommes et je suis plusieurs fois à la limite d’accepter un rendez-vous.
Et puis il y a les sites où les auteurs écrivent des histoires de sexe.
J’adore celles où les femmes sont soumises à un homme quelquefois une femme.
J’ai horreur de ceux où la soumise doit appeler celui qui la domine Maître, car pour moi la soumission est une lutte que la soumise accepte de perdre pour pouvoir trouver son plaisir dans la rupture voire la douleur.

Et puis un jour je conduis Louis pour sa rentrée à la maternelle…

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Texte coquin : L’ÉCOLE MATERNELLE. (2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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