MA BELLE-MERE CROIT ME PIEGER. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : MA BELLE-MERE CROIT ME PIEGER. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MA BELLE-MERE CROIT ME PIEGER. (1/1)
J’ai épousé Yoann, il y a deux ans contre la volonté de ma belle-mère qui voyait en moi qu’une petite arriviste qui en voulait à la fortune de leur famille.
Elle avait raison sur un seul point ma moralité.
Depuis cinq ans que je me suis fait prendre mon pucelage par un inconnu rencontré dans un bar et que j’ai suivi dans un hôtel où il m’a fait subir tout ce qu’une femme peut découvrir au fil des mois ou des années sexuellement de la fellation en passant par mes deux pucelages surtout celui de mon anus que j’ai adoré et vaginal légèrement douloureux pendant trois jours.

Pendant les années qui ont suivi, je dois reconnaître que j’ai rarement cherché du travail gagnant quelques billets ici ou là avec des hommes qui n’avaient de cesse sans que je leur demande d’ouvrir leur portefeuille.
C’est deux ans avant mon mariage que j’ai connu Gislène joli brin de fille qui comme moi avait une vie assez dissolue.
C’est avec elle que dès notre première rencontre dans un bar qu’elle m’a amené dans son petit-deux pièces qu’elle loue et que j’ai accepté d’apprendre à faire l’amour à une femme.
J’adore la sucer surtout son clito assez développé que j’aspire dans ma bouche surtout nos chattes que nous réunissons et que nous frottons jusqu'à atteindre le plaisir bien supérieur à ce que me procure un homme.
Est-ce la tendresse qui s’est nouée entre nous alors que les hommes sont des queues qui nous aident à vivre notre quotidien, j’en suis qu’elle pare persuadée.

Il y a deux ans et quelques jours Gislène m’a entraîné dans une boîte bon chic bon genre où son flirt du moment a proposé de nous emmener.
Comme nous disions entre nous, nous entrions chez le beau linge, car à l’entrée de cette boîte les physionomistes savaient reconnaître ceux qui avaient du fric aux traîne-savates qui avait été notre quotidien depuis que, je m’étais émancipé.
Ce qui m’a beaucoup plus en plus du cadre impeccable, c’était le nombre de bouteilles de champagne ouvertes à chaque table par les clients.
Certains biberonnaient au Whisky, mais le champagne était roi.
C’est là que j’ai fait la connaissance de Léopol fils d’une grande famille descendant de la révolution où l’ancêtre avait fait fortune dans le coupage de tête des aristos et d’annexer leurs biens à leur profit.
Une famille pas très belle à la base mais qui depuis c’était donné des airs de respectabilité.
J’ai joué les vierges effarouchées par le sexe pour convaincre Léopol qu’il allait trouver en moi la femme de sa vie.
Gislène toujours aussi inventive m’a aidé à faire croire à ma belle-famille que leur fils avait épousé une vierge.
En tant que première et seule demoiselle d’honneur, elle avait réussi à décider ma belle-mère que c’était à elle qui revenait le droit de nous apporter notre petit déjeuner au lit vers midi.
Connaissant la pudibonderie des hommes de la famille que j’intégrais lorsqu’elle a frappé Léopol s’est levé et a filé vers la salle de bain, chez eux un homme avait interdiction de se montrer même seulement torse nu devant une femme qui plus ait une jeune fille.

• Anaïs écarte les cuisses vite.

Rapidement elle a sorti de sa poche une fiole où dedans elle avait récupéré du sang du même groupe sanguin que le mien.
Pour cela, elle m’a avoué avoir couché avec un étudiant en médecine qui lui a fourni la fiole prétextant une blague de potache faite à une copine.
Elle a mis des gouttes de sang sur les draps à l’endroit où mon mari était entré en moi alors que j’ai poussé un petit cri comme s’il m’avait fait mal.
Bien sûr, après ma première perforation supposée, j’ai évité de jouir pour qu’il pense qu’il s’y était mal pris.
Il va sans dire que pour lui à vingt-trois ans, c’était la première fois et qu’il m’a rempli la vulve dans les deux minutes qui ont suivi.
Gislène a pensé à ce subterfuge le jour de mon retour où nous avions été chercher les résultats d’analyses obligatoires pour le mariage, elle n’a eu de cesse que de les voir regardant certainement mon groupe sangin.
Lorsque nous avons rejoint nos invités encore présents dans le parc de leur propriété de Levallois-Perret, elle a trainé vers notre chambre et a vu ma belle-mère emporter les draps.
Elle pouvait s’accrocher si elle faisait analyser le sang grace à ma copine, elle aurait confirmation que c’est bien mon groupe sanguin.

Cet épisode des draps m’a montré jusqu’où elle était capable d’aller pour protéger leur pré carré.
Rapidement je la voyais contrariée que nous annoncions une future naissance.
Là j’y suis pour rien, je fais mon devoir conjugal correctement même si l’entrain que je mets au lit dépasse rarement le cadre de la bienséance dans notre couple.
Bien sûr, j’ai fait semblant de découvrir la position de la cuillère lorsqu’un matin j’ai senti sa queue venir agresser ma rosette.
J’en ai profité pour me relever comme si ce mouvement était naturel et de me placer en levrette.
Rapidement, il m’a enculé ayant une bonne pratique des trous des fesses.
Je dois reconnaître que depuis ce jour, j’ai eu des doutes qu’il soit homosexuel et que la sodomie, il connaissait déjà.
Une amie à lui un soir où elle avait légèrement abusé du champagne dans la boîte où je l’ai levé mon mari dans un slow langoureux où elle me frottait la chatte contre la mienne était contente de m’avouer qu’avant moi c’était avec de beaux mâles bien virils qu’on le voyait.
Elle m’a appris que, lorsqu’il m’a proposé de m’épouser, c’était un grand black qui avait ses faveurs et que c’est sa mère qui l’a poussé à convoler pour que leur fortune reste dans le giron familial.

C’est à Cabourg où ils ont une villa tout près de la plage où tout a évolué.
Je suis parti avec Gislène me reposer suite à un virus qui m’avait abattu.
J’étais déjà venu avec Yoann pour que nous nous reposions de notre voyage de noces et un jour qu’il était parti faire la vidange de notre voiture, je me suis permis de fouiller les pièces pour voir quels secrets avaient ces gens.
C’est dans la chambre de ma belle-mère que j’ai fait une trouvaille exceptionnelle.
Au bas de l’armoire une malle en osier fermé avec deux petits cadenas.
L’intelligence est assez limitée dans cette famille, car j’ai vu de petites clefs dans la table de nuit de madame mère.
La malle ouverte, je suis effarée, plusieurs paires de menottes, laisse pour chiens avec son collier, cravaches, boules pour la bouche et un martinet la remplissait.
J’oubliai, une magnifique guêpière en cuir noir avec gants et bottes montantes au-dessus des genoux à la d’Artagnan.
Bref tout le matériel sado-maso.
J’avais encore du temps et j’ai essayé l’ensemble que je trouvais assez saillant.

J’ai tout remis en place, mais pour rigoler lorsque je suis arrivé pour ma convalescence, j’ai tout ressorti et en ce moment je suis dans la chambre de belle-maman en tenue SM et Gislène à aux poignets une des nombreuses paires de menottes présentes dans la malle.
Je suis sur le point de la fouetter pour épicer nos jeux érotiques lorsqu’un léger grincement m’interpelle.
J’ai eu l’impression qu’une porte a été ouverte en faisant attention à éviter tout bruit.
Je détache ma copine lui faisant signe d’éviter de faire du bruit et en me levant nous nous approchons de la porte de la chambre qui bizarrement est ouverte.
Derrière cette dernière des petits chuchotements me prouvent que mon oreille est assez fine.
D’un geste brusque, j’ouvre et là je trouve ma belle-mère avec une copine que je connais, car son amie est la femme d’un politique bien connu et que j’ai rencontrée lors de repas.

Je l’empoigne rattrapant au passage le camescope qu’elle a lâché et je la tire vers le lit ou je la menotte.
Gislène en fait de même avec Margueritte car j’ai déjà entendu son nom lors de ces repas.

• Alors belle-maman, on vient m’espionner.
• Excuse-moi, j’étais persuadé que tu avais un amant et que c’était pour cela que tu étais venue ici avec ta petite salope.
• La salope, elle va te faire voir de quel bois elle se chauffe.

En disant ces mots, elle empoigne une cravache et lui fouette les fesses.
Madame mère semble avoir une belle expérience de ces jeux, car elle serre les lèvres et on entend aucun son sortir de sa bouche alors que moi avec la force ou elle l’a frappé, j’aurais hurlé.

• Gislène arrête, je vais apprendre à Micky à me respecter définitivement, on va se servir dû camescope pour que définitivement elle arrête de m’emmerder.
• Qu’est-ce que tu vas me faire, je suis la mère de ton mari ?
• Tu es la mère de ton fils homosexuel qui a épousé ma copine pour que vous ayez une descendance.
• Calmes-toi, nous allons tourner des petits films pornos avec les deux copines que je placerais en lieu sûr et qui nous assurerons notre tranquillité jusqu’à la fin de notre vie au sein de cette famille de dégénérés.
• Moi, j’ai simplement accompagné Micky lorsqu’elle m’a demandé de venir pour témoigner après t’avoir pris en flagrant délit et ainsi crédibilisé ton adultère.
• Mais elle est encore plus pute que l’autre, tu es seulement là comme ceux qui pendant la guerre étaient seulement témoins de ce qui leur rapportaient.
• Détache ma belle-mère afin qu’elle se déshabille.
À qui est la tenue que j’ai trouvée dans ton armoire ?
• À moi.
• Et qui profitait de ta cravache ?
• Mon mari, il m’a quitté, car il en a trouvé une qui le frappait plus fortement que moi et qui était plus forte en jeu SM.
• Tu as divorcé, la fortune de la famille est a moi et reviendra à mon fils, nous avions signé un contrat de mariage qui lui enlevait tous en cas ou il décidait de nous quitter.

Quand je disais que j’étais entré au sein d’une famille de dégénérés.
En disant cela, je me déshabille et je fais enfiler à cette salope sa tenue.
Une fois remenotté je détache Margueritte qui se met nue aussi.
Les deux femmes préparées comme le ferait un réalisateur, je dis.

• On tourne.
• Margueritte à quatre pattes sur le lit et Micky fouette là.

Elle s’exécute et l’autre hurle de souffrance.

• Assez, pour te faire pardonner broute lui la chatte.
Tu discuteras plus tard, suce.
• Jamais on ne l’a fait.
• Attends Gislène enlève les menottes pour que ce film donne l’impression qu’elles sont libres de faire ce que leur demande.
Si elle bouge attrape Margueritte avec moi, elle est la plus frêle et si ma belle-mère cherche à s’échapper la correction que j’infligerais à sa copine lui enlèvera la peau des fesses.

Un coup de cravache bien cadré, une fois détachée elle la bascule et les deux femmes se donnent du plaisir en se suçant en 69.

• Coupé, c’est bon, vous venez de tourner votre premier porno qui va s’appeler « belle-maman fait connaissance avec la chatte de sa copine. »
Gislène, tu les attaches aux barreaux du lit, on va aller basculer ce film sur mon serveur avec l’ordinateur qui est dans le salon et allé au restaurant pour fêter notre indépendance chèrement acquise.
Micky, qui dort, dîne, lorsque nous reviendrons, nous tournerons le volet deux des aventures de ma belle-mère qui se retrouveront sur les réseaux sociaux si tu continu à m’emmerder.
• Je te promets d’être gentil avec toi, détache nous.
• Tes promesses peuvent être crues que parent ceux qui ont jamais eu affaire à toi.

Nous allons manger un plateau de fruits de mer sur le front de mer et lorsque nous revenons Gislène passant devant un étal de fruits et légumes en achetons quelques-uns.
Carottes et concombres ainsi que des prunes pour le dessert.
De retour, nous retrouvons nos actrices prêtes à tourner la scène numéro deux de leurs aventures.

• Vous allez voir, mon mari a le bras long et vous allez vous retrouver en prison.
• Mais elle est encore récalcitrante le bourge, elle veut encore sentir ma cravache.
• Non, c’est bon que vouliez-vous que l’on fasse.

Voilà des concombres, des carottes et des prunes, notre deuxième film s’appellera. « Ma belle-mère fait son marché et avec sa copine teste leurs achats. »
Pas la peine de faire un dessin où les ingrédients finissent par donner du plaisir aux deux femmes car la jouissance qu’elles expriment montre que se sont de vraies nymphos, car plus je film et plus elle nous en font voir.
La scène a tellement été intense que, lorsque nous les attachons et que nous nous retrouvons sur le lit dans notre chambre le plaisir que l’on prend fait dégouliner nos chattes que nous nettoyions consciencieusement.
Nos baisers profonds et nos cons sont contents de se frotter l’un à l’autre.

Le lendemain, nous libérons les deux femmes et le faisons remonter en voiture.
De retour à Paris, Gislène, tient à retourner un ou deux films supplémentaires pour bien cadrer les deux femmes.
Nous intimons à ma belle-mère de faire venir Margueritte.
Elle demande à deux copains hardeurs de venir tourner des petits pornos avec deux femmes souhaitant filmer leurs ébats pour qu’elles se regardent dans leurs vieux jours.
Parmi eux un black qui semble aussi beau que celui qui s’occupe de Yoann, mon époux et avec lequel il vit de façon permanente chez lui.
C’est film s’appelle. « Ma belle-mère se fait prendre en levrette par un noir pendant que sa copine se fait enculer par un autre homme ».
« La femme du député se fait sauter en même temps qu’elle se fait sauter en le regardant faire un discours à la tribune de l’assemblée. »
Et point d’orgue celui qui est le plus réussi, car je prends de l’assurance avec la caméra.
« Ma belle-mère se fait prendre en double pénétration par deux hommes et elle en redemande. »
Oui, j’oubliais Gislène pour rentabiliser les deux hardeurs qu’elle a dédommagés leur fait tourner.
« Ma belle-mère regarde sa copine se faire mettre en double vaginal avant de se faire mettre en double anal. »

Quelque temps plus tard je demande à Micky d’inviter le député à dîner, devant sa femme, je le drague, miens même je deviens sa maîtresse dans ma chambre alors que Gisèle surveille les femmes.
Trois mois plus tard j’annonce à belle-maman que je suis enceinte, mais c’est en pleurs qu’elle me reçoit.
Son fils vient de lui téléphoner que son ami pendant le moment ou il m’a épousé à papillonner et qu’il est atteint par la maladie dont évite de parler dans son milieu et qu’il lui reste un mois à vivre.
La naissance, elle le sait peut difficilement venir de son fils, mais sa descendance est si importante lorsque je lui donne un petit-fils alors elle se garde bien de me faire la moindre remarque.

Depuis la naissance Gisèle et moi nous avons pris en main la destinée de sa descendance et de sa maison, car la mort de son fils l’a cloué dans une chaise pour le restant de ses jours.
Je suis magnanime chaque matin et soir une infirmière privée viens pour la lever lui placer son goutte-à-goutte pour qu’elle soit alimentée.
Margueritte et son mari ont disparu de notre vie sans qu’il sache qu’il a un fils, car pour tout le monde, je suis la veuve de Yoann qui avait avant de mourir, assurer sa descendance.
J’écris mon histoire depuis la terrasse de ma propriété de Cabourg, plutôt la propriété de mon fils, car lors de mon mariage Micky m’a fait signer devant notaire que ses biens reviendraient à ma descendance.
Je suis tutrice de ses biens jusqu’à sa majorité, ce qui représente un grand morceau de vie à profiter de la quiétude des gens nantis…

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