Femme BCBG, escorte, non, pute… (47)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (47) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (47)
Valérie de retour d’un yacht d’un client arabe m’explique le spectacle qu’elles ont donné devant cinq hommes en robe blanche les ayant payées vingt mille euros pour les deux jours.
Arum et Ayu miment la peur, lorsqu’un satire se présente à elles, c’est Adonis, un magnifique black ayant une verge gigantesque qui semble plaire à nos petites car elles lui font une fellation qu’il semble apprécier.
Valérie et Boris entrent en scène et dans un coin opposé du tapis commencent à faire l’amour.
Yvan les remarque et après qu’Adonis est coincé Boris, il demande à cette jeune fille venue avec son amoureux dans ce bois de le sucer.

• Un peu apeuré rôle que j’ai joué à la perfection, je le laisse entrer sa longue verge jusqu’à ma glotte.
Je me débats, j’essaye de me dégager, mais bien sûr, il me tient fermement par les cheveux et je subis son assaut.
Boris lui aussi essaye de se dégager, mais les jumelles sont déjà sur lui.
Sa bite disparaît dans la bouche de l’une d’elles qu’une fois de plus comme je suis placé j’ai du mal à dire qui est l’une ou qui est l’autre.
L’autre qui lui suce les couilles.
Mais l’homme reste homme et rapidement il arrête de lutter contre ces furies.
Adonis, le lâche et s’approche de moi.
Boris prend sa bite en main et manœuvre à l’intérieur l’une ou l’autre des bouches qui se présentent à lui de mes deux belles salopes.
Ni tenant plus certainement trop excité, l’un client, ne se lève et applaudit à s’en faire mal aux mains.
Le chef le regarde, avec un regard noir, aboie un ordre et l’homme au lieu de se rasseoir quitte les autres clients.
Celui qui a aboyé était le propriétaire du bateau et notre hôte.
• Ils sont stricts sur la discipline dans ces pays-là, tu as dû être surprise.
• Non, c’est le moment qu’Adonis me saisit sous les aisselles, me retourne face à lui et à bout de bras et me fait retomber sur sa verge.
Depuis que je baise, j’ai la chatte assez large et élastique, mais la dimension de celle-là me donne l’impression que mes entrailles sont remontées lorsqu’il touche mon utérus.
Pendant quatre à cinq minutes, il me manœuvre à bout de bras sur son vit donnant l’impression de manœuvrer une barre avec des poids que les haltérophiles soulèvent et relâchent sans donner l’impression de fatiguer.
Yvan n’est pas en reste, il rejoint les filles et s’allonge pour leur sucer la chatte.
Rapidement je chante mon plaisir, mes filles chantent aussi.
Le salon est plein des râles des trois femelles.
Adonis me repose au sol, me fait mettre en levrette, il se place à hauteur et m’encule.
Ma chatte a eu du mal à ingurgiter son vit, que dire de mon anus.
J’ai l’impression que l’on me plante une barre de fer dans les entrailles.
Rapidement je m’habitue et ses coups de boutoir commencent à me procurer du plaisir.
En face de moi, je vois l’une des filles venir se planter la verge d’Yvan dans le vagin.
Boris met l’autre en levrette et la pénètre intégralement.
Je vois que la petite apprécie le traitement, sa bouche s’ouvre comme pour chercher de l’air.
Elle jouit.
Boris se relève, se place derrière sa sœur et l’encule.
Est-ce Arum ou Ayu qui est la tranche de jambon ?
Peu importe, elle apprécie le traitement et arrive même à l’orgasme.
Je remarque que comme Boris l’a dits, nos trois partenaires bandent depuis plus d’une heure et sont toujours en pleine forme. Nous avons à faire à de vrais professionnels.
Adonis sans sortir de mon fondement nous fait basculer et se retrouve, dos sur le tapis sa bite toujours fichée dans mon cul, Yvan qui s’est dégagé de la double pénétration qu’il pratiquait sur l’une des belles petites putes que j’ai emmenée à Saint-Tropez me pénètre la chatte.
Boris se place pour me pénétrer, lui aussi dans la chatte à côté de son copain.
Sans me demander si je l’ai déjà fait, je récupère trois bites pour moi toutes seules dont deux en double vaginal.
J’apprécie, j’ai nettement l’impression d’être remplie de partout.
Les filles se placent de chaque côté de nous et à tour de rôle avancent leur chatte à la hauteur de ma bouche.
Je gobe le plus vite et le plus profondément dont je peux jusqu’au moment où mon corps rend l’âme et que des jets de la femme fontaine que je suis giclent de ma chatte pour inonder les trois hommes et le tapis qui grace à son épaisseur absorbe tout sans le moindre problème.
Adonis nous prévient qu’il est au bout de sa résistance.
Boris et Yvan se sortent de ma vulve, ils nous placent en levrette face à eux.
Adonis se relève et se place à côté de leurs deux copains face à nos visages, mais de façon que les quatre clients restants voient bien.
Ils enlèvent tous les trois leur capote.
Il se branle énergiquement avec leur main et d’un seul coup ensemble il nous propulse des jets de foutre au visage, ils se tournent de droite à gauche et de gauche à droite comme s’ils tiraient à la mitraillette avec leur sexe.
À la différence, c’est qu’au lieu de recevoir des jets de balles, nous recevons des jets de sperme.
Épuisé, je suis tombé sur le tapis.
Combien de temps suis-je restée à récupérer, lorsque j’émerge une des filles me lèche le visage pour que je redevienne présentable.
J’en fais de même sur le sien.
Je m’assieds, les trois mâles sont allongés au sol et récupèrent, les quatre hommes en robe blanche et turban ont quitté leur fauteuil sans que je m’en aperçoive.
Le capitaine est là toujours élégant et toujours dans la même position d’attente.

• Mesdames et messieurs, voulez-vous me suivre jusqu’à vos cabines afin de vous doucher et revenir profiter de votre buffet ?

Chacun aide sa chacune à se relever et nous le suivons à travers les coursives.
Chacun chez soi pour profiter des belles salles de bains.

• Je vous attends pour vous faire remonter.

Je prends le temps de prendre un bain même si je me prélasse sans m’importer du temps.
Toutes propres, je sors nue dans la coursive et j’entre dans la première cabine des filles.
Elles sont là toutes les deux.
Elles ont mis un maillot de bain.
Voyant que je suis nue, elle l’enlève.

• Alors Virginie, tu es contente de nous.
• Si je suis contente mes cœurs, mais c’est peut dire, vous avez été excellente, voire exceptionnelle.
Vous avez très bien lancé la soirée, les clients étaient fascinés par votre beauté et je suis sûr que c’était la première fois de leur vie qu’ils voyaient des jeunes et jolies filles se fister surtout des sœurs jumelles.
Il nous suffisait de suivre le scénario que vous aviez engagé.
Vous avez dépassé tout ce que j’aurais pu imaginer lorsque Christine m’a demandé que vous participiez à notre vie d’aventures.

Nous sortons, les trois hommes nous attendent près du capitaine, ils ont mis leurs maillots.
Nous voyant nues, ils nous imitent et laissent le morceau de tissu dans le couloir.
Nous remontons les coursives et la plage arrière ou le repas est servi.
La nuit est tombée. Une légère brise caresse mon épiderme.
Un verre sans alcool à la main, nous admirons la présentation des victuailles qui composent le buffet.
La sympathie se crée facilement avec nos collègues de travail masculins surtout après les sexes qu’ils nous ont placés partout dans nos corps nous ayant procuré beaucoup de plaisir.
J’essaye de poser des questions au capitaine qui nous accompagne dans notre repas.
Une tombe.

• Vous venez d’où.

Pas de réponse.

• Que fait le propriétaire du yacht ?

Pas de réponse.

• Quel est votre prénom ?
• Charif.

À ça, il a le droit.
Je discute avec Boris de notre travail.
Au cours de la conservation, j’apprends que la société qui les emploie leurs payes cinq cents euros par soirée.
Une misère.
Il cherche à savoir combien nos prestations sont payées.
Je biaise et je lui dis que nos contrats sont directement gérés par notre organisation et qu’il m’est impossible de lui dire à combien cela c’est réglé.
Par compte, je lui explique que cinq cents euros par soirée, j’ai nettement l’impression que leur employeur les exploite et que s’il me donne leurs coordonnées, je me fais fort de les faire embaucher par notre organisation à plus du double de ce que leurs employeurs leur donnent ce soir.
Nous demandons à rejoindre nos cabines étant fatigués considérant notre travail bien fait.
Charif exécute notre demande et ajoute.

• À quelle heure souhaitez-vous prendre votre déjeuner demain matin.

Nous tombons tous d’accord pour dix heures.

• Je serais dans votre coursive à cette heure pour vous amener ici où le repas vous sera servi.
Dernières choses, dans vos cabines, vous avez tout un bouton marqué « capitaine » si vous avez besoin de vous déplacer hors de la coursive où sont vos cabines, vous appelez, moi où mon adjoint viendra vous voir et faire le nécessaire, pour vous satisfaire.

Nous prenons le chemin que nous pourrions faire seules, mais le règlement, c’est le règlement.
Je traîne en arrière du groupe et je susurre à l’oreille d’Anne.

• Emmener les trois garçons dans vos cabines.

Je reste à hauteur du capitaine.
Je vois Anne parler aux garçons.
Lorsque nous arrivons à hauteur de nos cabines, Anne les fait entrer dans sa cabine et ferme la porte.
Je suis seul avec Charif,

• Je voulais vous signaler, j’ai un problème dans ma salle de bains, vous pouvez venir voir.

Il entre et passe dans la salle d’eau.
Sitôt la porte fermée, je le prends par le bras, le retourne et lui prend la bouche.
Il est surpris, mais sa langue accepte la mienne.
Il se recule.

• Excuse-me, one-minute.

Il sort, son téléphone portable, appuie sur une touche et dans sa langue natale, il converse avec son interlocuteur.
Il raccroche et me dit qu’il vient d’appeler son second qui assure la passerelle, lui a expliqué qu’il nous a raccompagné dans nos cabines et qu’il se retire dans la sienne pour la nuit avant de me reprendre les lèvres.
Je recommence à l’embrasser…

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