Femme BCBG, escorte, non, pute… (50)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (50) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (50)
Alors que tout le groupe est sur la terrasse, les jumelles sont absentes.
Madeleine est avec Sindy.
Je monte vers leur chambre, elles sont là.
Elles me sautent au cou.
Anne sort d’un petit sac sa liasse de billets et me les montres fièrement.

• Tu sais Christine, Virginie, à garder la mallette où il y a vingt mille euros pour chacune.
• Oui, petit bouchon, je sais tout, elle m’a raconté vos exploits.
Pour la mallette, vous n’avez rien à craindre.
De retours ont Paris, nous vous ouvrirons un compte à chacune et l’argent comme par miracle venant d’endroits différents du monde pour éviter les soupçons, vous les retrouverez.
Aline, tu as aimé ces soirées.
• Oui bien sur, surtout que nous étions toutes les deux avec Anne.
• Virginie m’a dit que vous vous étiez fistées devant les clients, faites vous cela depuis longtemps.
• Depuis notre jeunesse, nos parents pour éviter de nous séparer nous faisaient coucher dans le même lit.
À l’âge des premières découvertes, nous étions en été et il faisait chaud, nous avions pris l’habitude de coucher nues.
Souvent nous dormions dans les bras de l’autre.
Une nuit de pleine lune, la fenêtre était ouverte et nous cherchions désespérément le sommeil, la main d’Aline était placée sans le vouloir sur mon sexe.
Nous commencions à avoir des poils qui poussaient sur chacune d’entre nous ainsi que nos petits seins qui se formaient.
Nous avions même inventé un jeu, nous comptions chaque jour combien chacune en avait de plus que la veille.
Ces premières caresses, lorsque nous comptions, nous ont fait prendre conscience des évolutions de cet endroit.
Cette nuit-là, Aline a avancé sa main sur ma chatte, elle m’a caressé, j’ai senti une boule qui montait en moi.
Naturellement, j’ai ouvert mes cuisses. Elle a fait entrer un doigt dans ma minette.
La boule grossissait.
Lorsqu’elle en a introduit un deuxième, cette boule a explosé, j’ai crié tellement fort que j’ai eu peur d’avoir réveillé nos parents, qui heureusement couchaient à l’opposé du garage.
Afin d’éviter de laisser Aline sur le bord du chemin, j’ai voulu lui faire de même. Elle m’a pris par le cou et a guidé ma bouche sur ma petite chatte.
À la fin de la nuit, je connaissais tout de ma sœur, du fond de sa bouche que je venais d’explorer à sa petite fente que ma langue avait perforée.
Plus je la léchais ou que je lui mettais ma langue, plus elle se tortillait et plus sa bouche émettait des râles jamais entendus depuis le début de notre courte vie.
Plus ses râles augmentaient, plus sa fente déversait sur ma langue des sucres odorants et délicieux à boire.
Aline mutine, comme elle l’a toujours, à commencer à pivoter pour être à la hauteur de sa convoitise.
Sa tête s’est nichée sur mes parties intimes et m'a fait la même chose que je lui faisais subir.
Nos jouissances sont parties en même temps dans nos bouches qui ont atténué nos cris.
• Aline, comment as-tu su qu’il était possible de sucer un ou une partenaire.
• À oui, une copine qui est en fac, est venue se vanter qu’un garçon l’avait emmenée aux toilettes et lui avait brouté la chatte.
• Et comment êtes-vous devenu femme ?
• Cela c’est fait un jour après un pari au moment de nos dix-huit ans, j’ai annoncé à Anne que j’avais gagnée, je venais de me faire dépuceler dans la voiture par Bob, un voisin dont nous étions toutes les deux amoureuses.
Nous avions parié une bouteille de parfum pour celle qui arriverait à se faire prendre la première.
J’ai gagné.
J’avais beaucoup aimé la queue de ce garçon en moi et je lui avais donné rendez-vous le lendemain dans le parc à côté de chez nous.
Anne espiègle comme nous sommes m’a demandé d’y aller à ma place.
Toute la nuit, cette idée nous a émoustillés.
Le lendemain, c’est dans le même chemin, dans la même voiture avec le même garçon qu’Anne a été dépucelée.
C’est plusieurs semaines après qu’Anne a su qu’elle était enceinte. Ce fumier lorsqu’il l’a su, c’est barré. Je l’ai assisté jusqu'à la naissance de Sindy coupant même le cordon ombilical.
Pendant des mois j’ai rencontré un garçon chez qui je suis allée habiter, il baisait bien mais était con.
Il sortait tous les soirs et rentrait bourrer.
J’ai fini par revenir chez mon cœur de toujours et pour toujours ma sœur Anne.
Une nuit, j’ai été réveillée par des râles près de moi. J’ai eu peur qu’Anne ne soit malade. J’ai ouvert ma lumière.
Anne avait la main au fond de son vagin. Elle était ennuyée que je l’aie démasquée.
Elle a sorti sa main couverte de sécrétions. Espiègle, j’ai voulu découvrir ce que ma sœur ressentait à se fister terme que nous avons appris plus tard.
J’ai pris sa main après avoir écarté mes cuisses et ai présenté ses doigts à ma grotte.
Est-ce l’envie où ses sécrétions qui ont fait glisser sa main au fond de moi, mais le résultat, ont été formidables, j’ai appris que l’on pouvait jouir plus fort qu’avec une bite.
Depuis nous partageons nos envies sexuelles souvent ensemble en bonne jumelle que nous sommes.

Je les embrasse.

• Anne va retrouver ta fille et demande à Madeleine de venir me voir.

J’attends cinq minutes, elle arrive toute guillerette.

• Les jumelles m’ont dit que tu veux me voir.
• Oui, j’ai une réponse à ta question concernant la possibilité de te faire de l’argent pour acheter ta librairie.
• Chouette !
• Vous irez, avec Virginie, dans un hôtel de Royan à votre premier rendez-vous mercredi à vingt et une heures ou vous rencontrerez un homme qui se prénomme Bernard.
• Tu recevras deux mille euros pour la nuit.
• Chouette, je suis d’accord.

Je constate que pour Madeleine, la vie se résume à être chouette.
Comme réponse, elle me saute au cou et me prend la bouche goulûment.
Vers treize heures, nous prenons le chemin du restaurant.
Michelle est là, elle nous attend.
Nous-nous installons, je m’arrange pour me trouver à côté de Fabienne pimpante dans ces nouveaux atours.
Le repas se déroule dans une très bonne ambiance.
J’ai l’occasion de mettre Fabienne au courant de leur premier contrat signé pour mardi vingt heures à l’hôtel, Le Cordouan, chambre vingt-six.
Nous rencontrerons un couple Frédéric et Frédérique que je connais les ayant déjà rencontrés par deux fois avec Virginie et Véronique, ce sont des bons clients.
Elle est très contente même si au pied du mur elle se pose quelques questions.
Lors du repas, j’ai le malheur de faire un pari avec Alain que je perds.
Un gage pour la perdante par le vainqueur lui sera infligé.
Alors que la plage est remplie de très nombreuses familles, il me met au défi d’allée me mettre nue pendant au moins une demi-heure.
Je pourrais hésiter, mais je décide de le relever.
Je me lève et je longe la promenade jusqu’à la descente où mes amis peuvent me voir.
Je choisis un emplacement le long du mur.
J’ai emporté avec moi mon sac de plage.
Je sors ma serviette de bain et l’étale ainsi qu’un oreiller que je gonfle.
J’aurais pu m’asseoir pour enlever ma robe sous laquelle comme à l’accoutumée, je suis nue.
D’un seul geste, j’enlève le bout de tissu qui me recouvre et naturellement je m’assieds.
Je prends mon sac que je pose au bout de mes pieds, cachant ainsi la perspective de mon intimité trichant un peu je l’avoue.
Je m’allonge et regarde l’heure. Top s’est parti pour trente minutes.
J’ai placé mon oreiller sous ma tête, ce qui me permet de voir les mouvements sur la plage et surtout si la surveillance reste passive, ici ce sont des CRS qui assument la fonction.
Non loin de moi, des personnes jouent avec des boules en plastique.
Je remarque bien qu'il parle de moi.
La question doit être, est-elle ou pas nue.
L’un des joueurs, vingt-cinq ans environ, leur parle. Je ne peux les entendre.
Il remonte vers les escaliers. Il est à peine parti, que ses deux petits-enfants l’appellent.

• Papa où tu vas, Papa où tu vas.

Il devient le point de mire d’une grande partie des personnes sur la plage autour de nous.
Quand on est parti, on est parti, il prend les petits par la main et approche de moi et monte l’escalier à mes côtés. Il regarde en coin s’ils ont bien vu. Je le vois quelques minutes après, redescendre les marches de l’escalier suivant.
Il remonte la plage côté sable et comme la vedette devenue à chaque deux mètres, quelqu’un l’interpelle. Je peux facilement comprendre la question posée.
Est-elle nue ?
La réponse oui au mouvement de tête qu’il fait.
Lorsqu’il passe devant moi, il me regarde et un sourire est sur nos lèvres.
Cet intermède a permis au temps de passer, la demi-heure arrive à son terme.
Je me relève lentement, replis ma serviette en la secouant pour enlever le sable, tourne sur moi-même comme si je cherchais quelque chose.
Je remets ma robe, prends mon sac et je rejoins mes amis.
Lorsque j’arrive à leur hauteur, une salve d’applaudissements m’accueille.
Fabienne est la plus enthousiaste. Elle doit ce souvenir de son passage sur cette promenade nue sous son imperméable.
Nous retournons à la villa et comme nous sommes à marée basse, nous descendons nous baigner par notre escalier.

Dans l’eau, je reconnais le jeune homme aux enfants.
Il me reconnaît.

• Vous n’avez pas froid aux yeux, je vois, beaucoup de femmes avec les seins nus sur cette plage familiale, mais une femme entièrement dévêtue, je n’en ai jamais-vu.
• Vous saviez, mais un pari est un pari surtout lorsque l’on perd alors j’ai assumé.
• L’autre matin, quand vous avez raccompagné un monsieur à sa Porche, vous aviez aussi perdu un pari ?
• Vous m’avez vue.
• J’habite en face de votre villa et j’ouvrais les volets de ma chambre et j’ai eu une vision magnifique.
• Votre femme était réveillée à cette heure.
• Je suis sans femme à la villa. Je suis divorcé et mon ex vient de venir récupérer les enfants.
• On se reverra donc !

Et je pars nager…

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