Femme BCBG, escorte, non, pute… (51)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (51) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (51)
Après avoir mangé au restaurant, je vais me mettre nue sur la plage après un pari perdu.
Un jeune homme qui m’a repéré me rencontre sur le bord de l’eau et il m’apprend qu’en tant que voisin, il m’a vu l’autre matin accompagner Carl à sa voiture.

La soirée se passe sans problème majeur ainsi que le lundi.
Bien sûr, quelques petites baises se pratiquent entre les uns et les autres.
Le meilleur reste à venir pour certains d’entre eux.
Ce mardi va sembler long à Fabienne et Christian, en attendant, nous prenons la route vers Royan pour une séance de rasage intégral au laser.
Anne, Marie-Ange et moi allons être épilés intégralement. Véronique retirera les poils disgracieux.
Chantal et Fabienne tiennent à nous accompagner.
Les deux voitures garées, nous arrivons à l’institut.
La responsable du Laser nous reçoit, elle nous explique, comment elle va procéder.
À la fin de la séance, elle veut nous redonnera un rendez-vous pour le mois prochain afin de pratiquer la deuxième des trois interventions.
Je lui explique notre présence jusqu'à la fin du mois et que toutes nous habitons Paris et région.
Sans aucun problème, elle nous dirige vers une collègue parisienne qui travaille avec la même méthode.
Elle l’appellera dans la journée pour la prévenir.
La secrétaire nous note le téléphone pour prendre contact à notre retour à Paris.
Anne passe la première. Véronique ayant peu de travail à faire sur son intimité la remplace.
Discrètement, je passe ma main sous la robe de ma choupette afin d’être la première à caresser le petit abricot de ma poupée. Elle est toute douce, j’ai hâte de pouvoir poser mes lèvres dessus.
Toutes y passent mêmes Fabienne et Chantal qui se décident à tout enlever.
La praticienne a accepté de les épiler, car nous sommes en août et la plupart de ses clientes sont en vacances.
Dès notre arrivée, nos copains et copines veulent voir le résultat de notre expédition.
Nos vêtements volent, une main glisse à droite, une autre à gauche.
Je suis tellement excité que j’entraîne Anne à l’étage et la propulse sur le lit.
Elle comprend mon envie et ouvre ses jambes. Je me rue littéralement sur mon désir.
Ma jolie maîtresse commence à réagir, elle se tortille sous ma langue qui va et vient dans sa petite chatte. Ses sucres intimes sont de plus en plus importants tous au long de la montée de sa jouissance. Elle éclate et j’en récolte les fruits, c’est divin.
Évitant de me laisser en reste, Anne attaque mon sexe elle aussi avec sa bouche.
Au lieu de me pénétrer avec sa langue, elle me lèche l’intégralité de ma minette.
Elle y met tellement d’ardeur que je suis toute mouillée.
Ma chatte rasée fonctionne normalement, malgré l’intervention subit quelques heures plus tôt.
Avais-je peur ?
Suis-je rassurée ?
La jouissance que mon bouchon me procure si j’avais un doute est levée quand je sens que mon plaisir atteint des sommets.

Anne m’a fait jouir et lorsque nous redescendons, nous sommes accueillis par des applaudissements nourris.
Je comprends que j’avais tellement envie de sa chatte épilée que la porte de la chambre est restée ouverte et que mes cris de plaisir sont parvenus jusque sur la terrasse.
Anne devient rouge, je la prends dans mes bras pour la câliner.
Aline est là avec Sindy dans ses bras. L’enfant tend ses bras vers sa maman qui la reçoit et l’embrasse comme les mamans savent le faire.
Avant de manger, nous décidons de prendre un bain, la porte du jardin est là pour plonger directement simplement en descendant l’escalier.
Bas de maillots enfilés, c’est la course à celle ou celui à parvenir les premiers dans l’eau et jusqu’au plongeoir.
Derrière je sens quelqu’un voulant me doubler, j’accélère, car depuis que Virginie a recadré ma vie, j’ai horreur de perdre.
J’arrive au plongeoir ou je m’agrippe.
Mon suiveur veut aussi s’agripper, mais dans sa coulée me rentre dedans.
Son seul point d’attache pour éviter de couler est mon sein.
Je l’attrape par une aile et lui permets d’atteindre la barre du plongeoir.
Mon nageur n’est autre que l’homme aux enfants qui semble être notre voisin.

• J’ai de la chance, je venais de me mettre à l’eau lorsque je vous ai vu descendre de votre terrasse et plonger.
Vous êtes avec votre mari.

J’éclate de rire, ce qui le rend penaud.

• Qu’es-je dit de si bidonnant ?
• Si tu savais, ce sont seulement des amis. Certains sont mariés.

J’ai commencé à le tutoyer, il profite de mon ouverture dans sa question.

• Es-tu en vacances ?
• Oui, je viens tous les ans un mois depuis que je suis bébé mes parents ayant acheté cette villa.
• Mais alors tu es Christine.
• Tu me connais.
• Je suis Jacky, le premier amour de ta vie.

Je le regarde incrédule.

• Rappelles-toi, nous avions cinq ans tous les deux !
Mes parents avaient loué la villa que j’occupe aujourd’hui en face de la vôtre.
Nos parents avaient sympathisé.
Un matin ma mère a parlé à ton papa qui peignait le portail en blanc de votre maison.
Nous-nous retrouvions tous les après-midi après la sieste ainsi qu’au club Mickey où nos parents nous avaient inscrit pour apprendre à nager avec monsieur et madame Casprot.

Je me souviens de ce garçon qui aimait me donner des baisers sur la bouche, ce qui faisait rire nos parents qui disaient tout le temps qu’ils allaient nous marier lorsque nous serons grands.
Nous battons des jambes pour nous maintenir à flot.
Elle se touche fréquemment.
Cherche-t-il de plus en plus ce contact ?

• Mais si je me souviens, vous avez disparu un soir sans nous être dits au revoir.
• Oui, j’ai su la vérité plus tard lorsque j’ai parlé avec mon père de ses vacances alors que je venais de tomber sur Internet sur la station de Saint-Palais.
Je me souvenais comme toi d’une fuite vers le soir alors qu’ils nous restaient presque la moitié des vacances.
Il m’a expliqué que ce sont ses vacances qui ont entraîné son divorce avec ma mère.
Un matin, alors que nous sommes allés au marché tous les deux pour faire son Tiercé comme tous les jours, il avait oublié ses pronostiques sur le meuble de la cuisine.
Nous sommes retournés les chercher. Il est entré dans la cuisine et a vu ton père baiser ma mère sur la table de la cuisine.
Ils étaient nus tous les deux, elle était appuyée sur la table les jambes écartées.
Il l'a entendu dire « Oui, vas-y encule-moi, ta bitte est bonne et j’aime quand elle me ramone».
Il est resté comme pétrifié, sans bougé.
Comme ils étaient placés le couple n’ont pu le voir, il a pu assister à leur fornication et au flot de sperme déversé par mon père sur le cul de ma mère.
Il m’a entendu arriver et les amants aussi. Il m’a empêché d’entrer et m’a dit de monter jouer dans ma chambre.
J’ai entendu des cris, les pleurs de ma mère.
Ils ont préparé les valises et nous avons pris la route.
Mon père a divorcé et comme devant le juge, elle a reconnu son infidélité, je suis resté avec lui.
Elle a vécu deux ans et un soir, j’ai appris qu’elle avait mi-fin à ses jours de dépit.

Ces révélations me touchent comme si j’avais pris un coup de poing en plein visage.
Mon père, cet homme si rigoriste avec nous et baisant la mère de Jacky sur la table d’une cuisine !
Mieux la sodomisant alors qu’à la maison, lorsque à la télé une scène un peu osée était projetée, il pestait contre ce monde de fornicateurs.
Et ma mère était au courant des turpitudes de celui qu’elle avait épousé me soulève le cœur.
Je comprends certains jours des propos échangés entre mes géniteurs, lorsqu’il levait le ton et martelait «pense ce que tu veux chez nous, le divorce jamais.» C’est cet homme qui m’a mis dans les bras de Pierre qu’il connaissait et qu’il a fait venir à la maison.
C’est à cause de lui que j’ai refusé la vie pendant les six ans de mon mariage.
Je suis tellement abasourdi que Jacky doit m’aider à revenir aux marches de l’escalier.
Avant de monter, Jacky m’explique qu’il a acheté la villa sur les conseils d’un psychologue qui lui a suggéré de revenir où il était étant petit, pour retrouver une partie de son adolescence qui lui avait été volée.
La fuite de ses parents ajoutés à la mort de sa mère à laisser en lui un mal-être qui s’est traduit lors de son adolescence par un blocage.
Lorsque sa sexualité a commencé à le travailler, l’image de celle qui se faisait baiser et qu’il avait vu une fraction de seconde l’envahissait.
Lorsqu’il a rencontré sa femme avec qui il a eu deux enfants, ces troubles ont fait de lui un éjaculateur précoce.
J’aime qu’il me fasse cette confidence très intime me prouvant une nouvelle fois que je dois être née pour entendre le courrier du cœur.
Les quelques femmes ayant accepté d’avoir des rapports avec lui, le quittaient à cause de cette tare.
À chaque rapport sexuel, une pénétration, une giclée.

• Tu comprends pourquoi ma femme est partie avec un collègue de travail qui sait la faire jouir.
Je ne peux lui en vouloir et j’ignore comment va évoluer ma vie.
• Viens manger avec nous, tu verras, nous saurons nous occuper de toi.

Nous arrivons sur la terrasse, tous ont laissé leur slip de bain, quand surviennent Anne et Madeleine qui vienne de coucher Sindy pour sa sieste.
Elles sont nues, sans savoir qu’un invité est parmi nous.
Jacky semble apprécier la tenue des petites.

• Toi l’autre matin, tes amies aujourd’hui, j’ai l’impression de me retrouver en vacances avec mon ex qui était adepte du naturiste et qui m’obligeait à l’accompagner chaque année au cap d’Agde.

J’ai une intuition et lui demande de me suivre vers ma chambre à l’étage…

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