Le chemin de l'école, partie 19

- Par l'auteur HDS July -
Récit érotique écrit par July [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
  • • 24 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de July ont reçu un total de 181 344 visites.
Récit libertin : Le chemin de l'école, partie 19 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 328 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Le chemin de l'école, partie 19
Avec le temps, ma relation avec Thomas a pris de l’ampleur. Romain travaille de plus en plus, partant tôt, rentrant tard, souvent en déplacement court. Tout cela me laisse le temps de voir mon amant presque tous les jours. Il arrive même que Romain soit obligé de partir en déplacement une dizaine de jours. Thomas veut alors profiter pour m’emmener quelques jours loin de chez nous :
- La semaine prochaine, ne prévois rien. Comme ton mec part de nouveau et que tu seras en congé, je t’emmène quelque part. J’ai envie qu’on puisse être ensemble comme un vrai couple au moins le temps d’un week-end, de me promener en te prenant la main, de t’embrasser devant tout le monde... me dit-il une nuit après l’amour.

Un peu déboussolée, je ne trouve pas les mots tout de suite. Je suis à la fois ravie de partir quelques jours avec lui, mais en même temps, j’ai peur que Romain l’apprenne.

- Tu sais, je ne sais pas si c’est une bonne idée... imagine, s’il l’apprend, qu’il se rend compte que je ne suis pas à la maison...

- Tu veux qu’il se rende compte de quoi ?  Quand il part il ne t’appelle jamais, c’est à peine s’il t’envoie un message pour savoir si tu vas bien... s'il a jamais remarqué que je dors chez toi, que je te baise dans son lit quand il est pas là, crois moi, on risque rien. Et puis si par le plus grand hasard il t'appelle et te demande où tu es, tu n'auras qu'à lui dire que tu es partie un peu avec Sandrine... il gobe tout ce que tu lui dis...

Il m'a convaincue. Je me mets à califourchon sur lui et plante mon regard dans le sien avant de l';embrasser.

- Et où est-ce que tu m'emmènes ?

- Ça c'est une surprise...

- Comment je vais savoir quoi mettre dans mon sac ?

- Ne t'inquiète pas pour ça... je passerai chez toi l'après-midi pour te préparer tes affaires, et je t'attendrai chez moi après ton boulot. On partira directement...

Ce mec est plein de surprises. Je n'avais encore jamais vu un homme aussi attentionné que lui, il a toujours un petit geste ou mot tendre : quand on passe la nuit ensemble et qu'il se lève avant moi, il dépose un baiser sur mon épaule et remonte le drap sur moi, quand mes cheveux me tombent dans le visage, il replace des mèches derrière mes oreilles. Il peut être "brutal" quand on fait l'amour et d'une infinie tendresse le reste du temps, embrassant mon front, me prenant dans ses bras dès qu'il en a l'occasion. J'aime ce contraste dont il fait preuve.

- Il faut que je rentre, lui dis-je. Romain ne va plus tarder à rentrer si ce n'est déjà fait...

Je vois la déception sur son visage. Il nous fait basculer sur le côté, si bien que je me retrouve allongée sur le dos, lui en appui sur les mains au dessus de moi.

- J'ai pas envie de te laisser partir. Je veux profiter de ton corps encore un peu, me dit-il en embrassant mes seins. J'ai envie de passer ma langue sur chaque partie de ton corps, de goûter encore à ta chatte, de te sentir vibrer sous les assauts de ma langue et de mes doigts, de t'entendre gémir et de te prendre violemment, de sentir ta chatte se serrer autour de ma queue, tes ongles s'enfoncer dans mon dos et de te faire hurler de plaisir...

Il n'a pas encore mis en pratique tout ce qu'il vient de dire, que je sens déjà ma chatte mouiller abondamment. Je sens aussi sa queue durcir contre ma cuisse...

Il commence à faire glisser sa langue autour de mes tétons, il remonte jusque dans mon cou et vient mordiller le lobe de mon oreille. Puis il parcourt ma poitrine de doux baisers avant de mordre brutalement mon téton. Je laisse échapper un petit cri. Il me regarde du coin de l’œil afin de s'assurer qu'il n'est pas aller trop loin. D'un hochement de tête, je lui confirme que tout va bien. J'aime qu'il me fasse un peu mal, c'est d'ailleurs un jeu entre nous. Il sait que certaines douleurs m'excitent beaucoup, il a alors ce geste de vérification. Il reprend la course de sa bouche sur mon corps.

Avec sa langue, il trace une ligne imaginaire de mon sternum à mon nombril, le contourne et fini son tracé sur mon clitoris. Il le prend entre ses lèvres, le lèche et le mordille, me tirant quelques gémissements. C’est à ce moment que mon portable sonne. Je reconnais la sonnerie que j’ai attribué à Romain. Je décide de ne pas répondre et laisse l’appareil sonné. Mais Romain insiste en rappelant une deuxième fois. Je ne décroche toujours pas, profitant de mon amant. Mais au troisième appel, je capitule.

Il faut que je décroche bébé…
Il se résigne en soufflant.

Allô ?
Tu en mets du temps à décrocher. Ça va ?
Oui je suis chez Sandrine, j’ai pas tout de suite entendu mon portable dans la sac… Ma voix déraille un peu sur ces derniers mots, et je jette un regard assassin à Thomas qui a entrepris de recommencer son cunnilingus. J’essaie de le faire arrêter mais il me plaque contre le lit et refuse de décoller son visage de ma chatte inondée par le plaisir.

Tout va bien ? me demande Romain. Tu as une drôle de voix…Oui oui, j’ai mal au dos alors Sandrine me masse un peu les épaules…Tu rentres bientôt ? Ça fait plus d’une heure que je suis rentré…Je termine mon café et j’arrive. Je fais vite.
Je ne le laisse pas ajouter le moindre mot et raccroche pour laisser éclater ma jouissance sous les coups de langue de Thomas.

T’es fier de toi hein ? Qu’est-ce qu’il t’a pris de faire ça ? Il aurait pu se douter de quelque chose..
J’aime pas être coupé dans ce genre de situation… et je suis jaloux donc quand ton mec t’appelle j’ai la rage… et en plus je meurs d’envie de lui mettre au nez que je me tape sa nana… réaction très macho, j’en conviens, mais au combien bandante.
Et pour illustrer son propos, il enfonce sa queue gonflée dans ma chatte en feu. Il me pilonne de plus en plus fort, j’enfonce mes ongles dans son dos et je l’entends pousser de petits râles alors qu’il jouit en moi.
Il se laisse tomber à côté de moi, boudeur.

J’aime pas devoir me dépêcher… j’aime quand on prend notre temps, profiter chaque centimètre de ton corps, te faire jouir plusieurs fois et te prendre dans mes bras quand on a fini…Crois moi, c’est pas comme ça que je voyais la soirée s’achever, lui dis je en me rhabillant.
Vivement qu’il se casse de nouveau… J’en ai marre de te partager.
Je vois où il veut mener la conversation et décide de couper court : chaque fois qu’on aborde le sujet, on se dispute un peu et je le laisse l’air triste et je déteste ça.
Je vais l’embrasser et rentre chez moi. Sur le chemin du retour, il m’envoie un message :«  Désolé pour ma réaction un peu immature et très possessive, mais je suis dingue de toi… c’est dur de te laisser partir… et ça me bouffe de t’imaginer avec lui, ses mains sur ton corps… j’ai envie de lui péter les dents et de t’avoir pour moi… mais je sais que c’est pas possible, alors je ronge mon frein… mais mets toi à ma place… toi,quand tu pars, tu sais que je vais être seul. Y a pas une nana qui va venir se coller à moi, m’embrasser, toucher mon corps… non, moi je reste juste un con, chez moi, à l’imaginer te faire l’amour et à déprimer… bonne nuit ma puce. Et je t’aime comme un fou… »Je ressens un pincement au cœur en lisant ces lignes.
«  Je crois que j’éclaterais la première qui te toucherait… j’imagine combien ça peut être dur pour toi… mais tu sais que je peux pas… je t’aime »Je range mon téléphone dans mon sac mais il sonne à nouveau. Cette fois-ci, c’est Sandrine.
« Salut ma coquine ! Dis voir, j’ai service à te demander. Comme on bosse pas demain après-midi et que Thomas est de garde, tu crois que tu pourrais passer à la maison ? Ma cousine de 19 ans m’a demandé conseil. Elle a jamais couché mais elle est pas du tout attirée par les mecs et aimerait parler un peu d’expérience lesbienne et bi… elle savait pas à qui s’adresser… du coup, je me suis dit que le mieux, serait de lui présenter un aspect concret de la chose, et pourquoi pas la pratique… puis j’ai très envie de toi… »«  Ça marche. A demain ma chérie. »Quand j’arrive chez moi, Romain s’est endormi sur le canapé. Je galère à le réveiller et c’est à peine s’il me parle avant d’aller se mettre au lit pour se rendormir aussi sec. Ce qui augmente ma frustration de ne pas avoir pu profiter de Thomas…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Si cette suite de récits est le reflet de la vie de l auteure c est franchement lamentable cette femme n aime personne c est une sale égoïste qui ne pense qu à son cul une sale garde menteuse perverse.elle gagne à ne pas être connue.



Texte coquin : Le chemin de l'école, partie 19
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par July

Le chemin de l'école 25 - Récit érotique publié le 11-12-2015
Le chemin de l'école 24 - Récit érotique publié le 06-12-2015
Le chemin de l'école, partie 23 - Récit érotique publié le 03-12-2015
Le chemin de l'école, partie 22 - Récit érotique publié le 01-12-2015
Le chemin de l'école, partie 21 - Récit érotique publié le 16-11-2015
Le chemin de l'école, partie 20 - Récit érotique publié le 14-11-2015
Le chemin de l'école, partie 19 - Récit érotique publié le 12-11-2015
Le chemin de l'école, partie 18 (fin) - Récit érotique publié le 13-10-2015
Le chemin de l'école, partie 17 - Récit érotique publié le 11-10-2015
Le chemin de l'école, partie 16 - Récit érotique publié le 09-10-2015