Victor, gay et pourtant...

- Par l'auteur HDS Jerem 19 -
Récit érotique écrit par Jerem 19 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Victor, gay et pourtant... Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Victor, gay et pourtant...
Victor est gay et depuis toujours. Il n'a jamais rien fait avec une femme. Ce qui l'intéresse, ce qu'il aime, ce qui l'excite c'est l'homme : sa chaleur, ses muscles, sa pilosité virile, son membre tendu prêt à le prendre avec force et son anus prêt a le recevoir avec plaisir.
La femme est une amie, une connaissance pour lui, en aucun cas un objet de désir.

Victor à 20 ans il est français mais vit en Allemagne où il fait un stage d'un an pour son école de commerce. Avant de partir là-bas il avait la vie de l'étudiant d’école de commerce : travail, stages, partiels, mais surtout sorties et soirées avec plus si affinités.

Depuis sa première fois, le sexe a une place très importante dans sa vie. D'abord parce que pour plaire et se plaire à lui-même il fait beaucoup de sport. La salle de sport lui a donné malgré un regime alimentaire peu suivi, un corps magnifique. Sculpté, viril, dessiné, juste assez gonflée. Un Apollon aux abdo, aux pectoraux et aux épaules dignes de la couverture de Têtu. Et puis le sexe est important parce que c'est devenu une quasi addiction pour lui. Ces derniers temps il finissait par aller dans des quartiers et bars très chauds pour être sur de se trouver un homme pour la nuit.

Hélas depuis qu'il est en Allemagne la vie a changé : il connaît bien moins Berlin que Paris, alors il n'ose pas les quartiers chauds et il a du mal à se sentir à l'aise seul au milieu des boites de nuit.

Victor a donc dû s'adapté. Il a toujours été plutôt actif, mais la taille de son sexe, plus que volumineux, l'a forcé à accepter la sodomie quand son partenaire était peureux. Peut à peu il y a pris gout, et heureusement pour lui car la solution qu'il s’est trouvé pour pallier à son manque d'orgasme en dépend : les godes.

Il s’est acheté une panoplie sur internet : vibrant, longs, fins, courts mais larges, effilés et lisses ou bien imitant la forme d'un vrai pénis. Son préféré est un énorme gode vibrant, il est même plus large et long que son propre sexe alors qu'il fait 20cm et est vraiment large. Ce gode est réaliste en ce qui concerne sa forme et imite à la perfection un pénis. Il dispose en plus d'un petit harnais au niveau de la taille qui permet de le maintenir en place sans effort et donc de pouvoir faire autre chose ne même temps.

Ainsi chaque matin au réveil il s'empale sur ce chibre de plastique l'attache, et active la vibration. Recouché, il profite des sensations et de l'orgasme qu'il lui procure. Cet orgasme si particulier est devenu une drogue. Il lui arrive même d'utilisé ce jouet après une nuit d'amour tellement il en a besoin. Lorsqu'il jouit tout son corps se contracte et expulse du sperme en plusieurs jets pendant qu'il pousse un râle de plaisir.

Sa routine : réveil, orgasme, petit dej, douche, travail, salle de sport, repas, nuit, etc., s'était installé au fur et à mesure. A tel point qu'il n'avait presque plus de relations sexuelles réelles par manque de temps et de/par facilité.


Un soir une de ses collègues Anna lui proposa de venir à une soirée en boite ou d'autres employés allaient se retrouver. Il décida de dire oui malgré une certaine appréhension. Dans ce pays personne ne savait ce qu'il était vraiment et surtout pas ses collègues.

La soirée se passa bien, la boite avait une salle pour soirée mousse qui lui permit de mater ses collègues qui avaient enlevés leurs chemises blanches, tout comme lui d'ailleurs. Toutefois Anna avait manifestement trop bu et était incapable de rentrer seule. Victor reconnaissant envers Anna de l'avoir fait venir et par bienveillance proposa de la ramener chez lui à la fin de la soirée. Dans son appartement il déposa la jeune femme sur son lit, ou elle s'endormie, puis il se mit en caleçon et se coucha sur le canapé.

Le lendemain il se réveilla avant sa collègue et désormais amie. Il se leva, passa dans la salle de bain puis se lança dans la préparation du petit déjeuné. Toute fois une gaule du matin vin le déranger. Il était déjà difficile de tout faire rentrer dans le caleçon alors si en plus il bandait !

Si Anna se réveillait et le voyait bander comme ça elle allait surement être effrayée ou se demander s’il n'avait pas profité de son état. Il fallait qu'il débande. Mais son corps appelait son orgasme du matin. Il se résolu à le lui donner malgré la peur que la Belle au bois Dormant ne le voit.

Il prit donc la mallette où il rangeait ses jouets, cachée sous le canapé. Il en sorti un gode lisse court et large, le nettoya et il s'empala dessus en tentant de retenir ses gémissements de bonheur. Une fois pénétré jusqu'à la garde qui l'empêchait de s'enfoncer complètement il remit son caleçon sur ses fesses sexy et fit comme si de rien était, profitant de la sensation de l'avoir en lui.

Anna apparut dans l'encadrement de la porte peu de temps après et ne sembla pas deviner ce que l'homme qu'elle avait en face d'elle venait de faire et quel plaisir silencieux il vivait. Elle ne portait pas ses vêtements de la veille mais portait la chemise blanche que Victor avait laissé dans sa chambre quand il c'était déshabillé. Bien sûre même si la chemise était centrée et slim pour mouler les muscles de Victor, vu la différence de gabarit entre les deux elle faisait presque office de robe coute. C'est bien une fille ça, se dit Victor, prendre la chemise du mec chez qui elle a dormi...alors qu’on n’est même pas ensemble…je pleins les hétéros. Lorsqu'elle s'avança dans la pièce il eut aussi la confirmation qu'elle ne portait rien sous cette chemise sans forme sur elle, elle était suffisamment transparente pour qu'il puisse repérer l'absence de bretelle de soutien-gorge, ou même le file d'un string. Même ça elle n'en avait pas.

- Bonjour...ça va? Dit-elle entre deux bâillements. Merci de m'avoir ramené hier.
- Ça va, je me remets d'hier ah ah, et toi ça va mieux? T'inquiètes pas c'est normal, je n’allais pas te laisser comme ça.
- Ça va mieux même si je suis encore un peu ailleurs. C'est cool. Ah...et pendant la nuit je me suis réveillé et j'ai enlevé mes vêtements parce qu'ils sentaient l'alcool...du coup quand je me suis réveillé tout à l'heure, j'ai trouvé ta chemise et...ça te dérange?
- Bien sûr que non, répondit Victor avec un sourire. Tu veux un café?
- Oui je veux bien.

Victor se leva de son siège de bar pour rejoindre la cafetière. Le fait de se lever bougea le gode en lui envoyant une vague de plaisir dans tout son corps. Il avait presque oublié qu'il l'avait en lui. Heureusement cette vague de plaisir et celles provoquées par ses pas jusqu'à la cafetière derrière le bar ne suffirent pas à réveiller une érection complète.

Pendant que le café coulait dans les tasses les deux collègues discutèrent. Lorsque les tasses furent pleines, Victor les apporta sur le bar. Pour la première fois depuis le réveille d'Anna ils étaient face à face. Le regard d'Anna bien qu'encore un peu embrumé par la fatigue dévisagea le corps tout entier de son hôte, de la tête aux pieds, en passant par ses épaules larges, ses bras, ses pecs et ses abdos, et en s'arrêtant quelque peu sur son paquet qui bien qu'au repos en était presqu'à dépasser du caleçon.

- Tiens, fais attention c'est chaud, dit Victor en posant une tasse devant Anna et en s'asseyant. Il avait parfaitement commis ce qui se passait et avait stoppé cette situation. Lorsqu'il s'assit son gode se renfonça complètement. Son visage se tendit lorsqu'il tenta de retenir un gémissement.
- Ça va?
- Oui oui...une courbature, répondis un Victor gêné.
- Ah d'accord. Dis-moi je voulais te demander, ce n'est pas trop dur d'être seul dans un autre pays comme ça?
- (Apparemment le café agissait vite sur elle) Au début oui mais bon on s'adapte et puis on rencontre des gens donc ça va. Et puis je reviens en France une fois par mois donc je garde contact.
- C'est vrai que la famille, tes potes, et ta copine doivent te manquer.
- Oui c'est vrai. Mais...euh...ma copine?
- Tu...n'en as pas? Je suis désolé, j'ai cru que tu avais dormi sur le canapé par fidélité...et puis vu comme tu es, je pensais que tu devais avoir quelqu'un...
- Raté ah ah ! (Si elle savait pensa-t-il). Disons que ma vie sentimentale est un peu compliquée.

Cette bourde d'Anna avait jeté un petit froid dans la discussion, à ceci près qu'elle était un moins timorée, les effets du réveil surement.

Ils discutèrent quelques minutes de plus puis Victor alla prendre une douche laissant son invité se réveiller avec son café au bar de la cuisine américaine.

Dans la salle de bain, Victor enleva délicatement pour en profiter son gode, le rangea provisoirement pour éviter qu'Anna ne tombe dessus en prenant sa douche puis entra dans la cabine.

Pendant ce temps Anna observait l'appartement. C'était un petit appart meublé. Un appart de célibataire vu la déco minime pourtant elle remarqua que tout était a sa place, rangé. Ça collait avec ce qu’elle connaissait du Victor : travailleur et organisé. Mais elle voulait profiter d'être là pour mieux le connaître. Elle avait eu droit à une matinée avec lui en caleçon ce qui valait plus que tout ce que ses chemises cintrées ne lui avaient montré de lui au travail. Et le seul mot qu'il lui venant c'était whaou ! Si tous les Parisiens étaient aussi sexy, normal que Paris soit la ville de l'amour.

Lorsqu'elle entendit l'eau de la douche elle surmonta l'envie d'essayer de voir l'eau ruisseler sur ce corps divin et sur ce qui faisait semblant de se cacher dans le caleçon de Victor pour explorer le salon. Elle lut le titre des livres sur l'étagère. Il avait dû ramener ceux en Français. Elle vu une ou deux photos de famille et de ses potes mais pas plus. Puis elle s'assit sur le canapé décidé à attendre que son Apollon de collègue ne sorte de la douche.

Mais lorsqu'elle s’assit elle posant ses pieds par terre, elle senti un objet glisser sous le sofa. Elle eut peur que ce fut quelque chose d'important alors elle rattrapa l'objet. C'était une valise à main noire sans marque ni étiquette de voyage. Elle vu un verrou par code intégré mais la valise semblait ouverte, comme si ce matin ou la veille Victor avait oublié de la refermer.

Elle ne put lutter contre sa curiosité cette fois-ci et elle l'ouvrit. Quelle ne fut pas sa surprise en trouvant dans cette valise 5 godes tous très bien rangés dans leur compartiments à l'exception d'un qui manquait, il y avait aussi des emplacements pour préservatifs et lubrifiants. Anna n'avait jamais vu autant de godes, une de ses amies en avait un mais 5 d'un coup ça faisait beaucoup. Elle regarda les préservatifs, XXL...voilà qui promet, puis elle s'attaqua aux jouets.

Il y avait un objet en forme d'œuf équipé d'un moteur. Un autre en plastique était très souple et très longs, il avait un gland à chacun de ses côté. Un autre lui aussi motorisé ne ressemblait pas un pénis mais plutôt aux stimulateurs de clitoris qu'elle avait vu sur internet avec deux tiges pour stimuler l’intérieur et l’extérieur. Les deux derniers étaient des pénis en plastiques impressionnants et par leur réalisme (le gland, les veines, les bourses, etc.) et par leur taille. Le plus gros des deux devait faire dans les 20 cm avec une largeur proportionnelle et était équipé d'un vibreur. Pour la première fois Anna se demanda si son vagin suffirait. L'emplacement libre était lisse et conique comme si le gode qu'il accueillait normalement était simplement cylindrique et sans réalisme.

Observer ces godes et les manipuler avait énormément excité Anna, elle senti qu'elle mouillait et machinalement mit une main entre les jambes sous la chemise de Victor, chemise qui au passage sentait fortement son odeur délicieuse. Mais une question la taraudait : pourquoi Victor avait-il tous ces godes? Il devait aimer les utiliser avec les femmes. Ou alors c'est lui qui les utilisaient mais ça voudraient dire que Victor est gay...ça lui paraissait impossible, mais en même temps pourquoi pas, après tout il n'avait pas essayé de coucher avec elle alors qu'elle aurait dit oui sans question.

Quoi qu'il en soit, Anna ne pouvait pas savoir pour l'instant si Victor était gay ou non. Par contre ralle avait entre les mains ces godes si beaux, si gros et si excitants, pouvait-elle vraiment passer à côté? Non. Et puis si Victor la voyait, peut être qu’elle n'aurait plus besoin du plastique.

Sa décision prise, elle détacha le gode en forme de pénis, le plus petit. Il ne vibrait pas mais de toute façon le gros ne serait pas rentré en elle. Elle remplaça ses doigts dans sa chatte par ce gode et fit des vas et viens tout au fond d'elle. Elle retint ses gémissements mais rapidement elle se laissa aller sans crier pour autant.

Lorsqu'elle entendit l'eau arrêter de couler elle stoppa ses gémissements pour que Victor ait la surprise.

Victor sorti de sa douche, vérifia que le gode était bien caché puis enroula une serviette autour de ses hanches et sorti pour dire à Anna qu'elle pouvait y aller. Mais quand il arriva dans le salon il trouva Anna assise sur le canapé les jambes écartées, une main entre les cuisses entrain d'agiter quelque chose en elle. Il comprit quand il vit la valise ouverte à côté d'elle. Elle se doigtait avec un de ses godes ! Mais le plus surprenant était son regard. Il était chaud, et plein de sexe elle se mordit la lèvre quand elle vu que Victor avait compris.

- Euh...tu...c'est..., essaya de dire un Victor totalement perdu.
- Tout va bien, je me fais du bien avec ce gode magnifique que j’ai trouvé sous ton canapé. D'ailleurs, ils sont à usage personnel ou par tes conquêtes? Au point où on en est tu peux me raconter. En tout cas c'est fou, comme il est me fait du bien avec son gros gland. Dommage qu'il n'y est que le sexe.
- Bah...je vais t'expliquer. Je suis gay et comme ici je ne sais pas trop comment rencontrer des hommes, j'utilise ces godes.
- Je le savais (elle laissait échapper un gémissement torride). J'ai toujours rêvé de coucher avec un gay tu sais. Si tu le voulais, je pourrai te faire du bien.
- Oui enfin bon je suis gay, tu es très belle mais tu ne m'attire pas plus que ça...
- Ce n’est pas très gentil ça, j’espère que tu parles mieux aux femmes avec ton corps qu’avec tes mots. Et puis ce n'est pas une question d'attirance mais de baise dont il est question-là.

Anna se leva après avoir retiré mon gode de sa chatte non sans gémir. Elle le posa avec les autres puis se cola à lui et l'emmena sur le canapé. Victor ne savait plus ce qu’il devait faire. Pour la première fois il ressentait du désir pour une femme, un désir animal, une pure envie de sexe. Mais son esprit censura ce désir, du moins il essaya. Pour être gay, Victor n’était pas moins homme !

Elle le fit s’assoir sur le canapé puis s’assit sur lui, face à lui, les jambes de guêpes enserrant sa taille large. Elle plongea son regard plein de désir dans les yeux de sa proie, puis elle prit possession de sa bouche dans un baiser sauvage. Pendant ce baiser ses mains caressaient le torse si développé du bodybuilder, glissant le long de ses abdos, titillant ses tétons qui trahissait l'excitation du jeune homme, et effleurant ses pectoraux et ses épaules. Victor se laissait faire non sans participer instinctivement à ce baiser fougueux. Toutefois il n'arrivait pas à passer le cap et à prendre possession du corps qui s'offrait à lui et qui avait pris possession du sien. Mais c'était sans compter sur Anna. Elle accompagna les mains de Victor sur ses deux beaux seins. Elle les posa dessus et guida ses mouvements pour qu’il lui malaxe doucement. La chaleur montait en elle à nouveau. Il avait beau découvrir la forme, la sensation, la texture des seins d'une femme les caresses de Victor lui procurait beaucoup de plaisir. A croire qu'il était naturellement doué. Toute cette excitation eut pour conséquence quelle se mit a mouillé. Lorsqu'elle s’en redit compte elle laissa avec tristesse ces caresses et se leva.

Elle enleva la serviette ceinte à la taille de Victor libérant son sexe de son carcan qui l'empêchait de se développer complètement. Il était en demi molle mais il était déjà énorme. Elle se demanda si elle n’aurait pas mieux fait d’essayer le gros gode, pour se préparer à ce pénis-là. En tout cas ce qui était sûr c'est qu'elle allait jouir comme une folle. Elle se mit à genou entre les jambes puissantes de son collègue et d'une main experte fit faire quelques vas et viens à son prépuce le long de sa hampe puis se mit à le sucer. Au premier coup de langue sur son gland Victor se tendit de plaisir et sa queue commença à bander de plus en plus fort. A chaque vas et viens de sa tête sur son chibre Anna avait l'impression qu'il était plus grand, plus fort. Elle continua comme ça quelques minutes arrachant a Victor des gémissements de plaisir, puis pour finir le travail avant de passer aux choses sérieuses elle l'avala toute entier en gorge profonde. Jamais un sexe aussi gros n'était entrée ainsi entier dans sa bouche. Elle ne put rester longtemps mais elle sentit que Victor était sur le point de jouir. En effet celui-ci se disait que si son esprit n'était pas occupé à lui rappeler qu'il était gay il aurait sans doute jouit plusieurs fois.

Anna avait bien l'intention de profiter de cet homme qui incarnait bon nombre de ses fantasmes. Elle avait toujours rêvé de coucher avec un gay et voilà que cet Apollon s'offrait à elle passivement. Elle se rassit sur lui les jambes autour de sa taille mais cette fois elle s'empala lentement sur le pilier de chair qui lui servait de sexe. Appuyé sur ses épaules, elle put descendre doucement profitant de chaque centimètre. Lorsque tout ce qu'elle put prendre fut entré elle commença des vas et viens a la force du bassin. Elle gémissait déjà. Victor lui n'en revenait pas. Le vagin d'une femme était tellement plus doux et plus coulissant qu'un anus. Cette sensation nouvelle et pourtant si familière de la pénétration lui procurait beaucoup de plaisir. Il se surprit même à aimer les gémissements excitants et aigus de cette femme, si différents de ceux des hommes par qui son sexe était déjà passé. L'instinct et l'excitation le firent réagir. Il posa les mains sur les hanches fines de son amante et commença à onduler son bassin. Anna fut surprise de sa soudaine réaction mais elle adorait sentir les mouvements de son sexe en elle. Elle avait toujours le contrôle mais les vas et viens de Victor étaient délicieux. Elle jouit ainsi lança un cri de plaisir puissant après avoir gémit plusieurs minutes.

Elle se laissa tomber totalement sur lui épuisée par son orgasme mais sans déloger le sexe de Victor de son vagin. Elle dit alors, la tête posée juste au-dessus de son épaule :
- Alors qu'est-ce que ça fait de faire jouir une femme ?
- C'est différent...

Effectivement Victor ne savait pas trop où il entait. Il avait pris plaisir à désirer cette femme et à faire l'amour avec elle. La douceur de sa peau, la finesse de son corps, ses formes généreuses, sa voix douce que l'orgasme avait poussé dans ses derniers retranchements, la sensation délicieuse de son sexe qui bien que serré de par son format, coulissant en elle...

- Et...c'était bon? Lui demanda-t-elle.
- Oui...je crois...

Véritable hésitation sur la réponse, acte manqué ou tentation, Anna sauta sur l'occasion et dit :
- Tu crois? On a qu'à recommencer, comme ça tu seras sûr.

Elle finit sa phrase en embrassa le beau jeune homme. Puis elle quitta ses genoux, sortant le sexe de Victor d'elle, et elle se mit sur l'autre bout du canapé allongée avec l'accoudoir dans le dos, les jambes écartées et regardant Victor en mordant sa lèvre dans un geste sexy.

Victor toujours poussé par un instinct qu'il ne pensait pas avoir se glissa contre elle et la pénétra d'un coup soulevant le corps d'Anna dans une pulsion de plaisir. Il commença alors des vas et viens rapides et intenses tels qu’il l’aurait fait avec un homme. Du moins c'est ce qu'il se disait. Au fur et à mesure il lui caressait et embrassait de plus en plus le corps, suça parfois ses tétons et caressant ses seins. Ce missionnaire passionné continua ainsi une dizaine de minute poussant Anna à plusieurs orgasmes. Les sensations que lui procuraient ce sexe en elle et l’excitation que ses yeux, lorsqu’ils étaient ouverts, faisait augmenter à chaque regard sur son corps, sur cet homme magnifique, lui faisaient perdre la tête à n’en plus sentir ses orgasmes dans une extase continue. Enfin quand le plaisir eut prît complètement le contrôle de Victor aussi, dépassant son inconscient et ses questions, il jouit éjaculant dans son préservatif au fond de cette femme, la première à qui il avait jamais fait l'amour.

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