LE MARIN. La parisienne en vacances. (5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La parisienne en vacances. (5)
Après notre escapade au port de pêche où Véronique a fait la connaissance du chouchen, je lui ai offert notre jeune matelot à déniaiser.
Trouvant le look de notre maîtresse plutôt austère pour une femme en vacances sans savoir ce qui va se passer, nous l’emmenons à côté de l’hôtel et notre bar quartier général du bateau où je l’ai rencontré et contre toute attente nous venons de la regarder se gouiner avec son homologue.

Passage et payement dans les deux boutiques, notre belle paye et après avoir récupéré les achats.
J’aurai bien payé les emplettes, mais mes payes de deux mois auraient été insuffisantes.
Véronique boutique offre la casquette à notre amie et c’est avec une maîtresse transformée et comblée que nous retrouvons la Mercédes où je l’ai garé hier.
Les paquets placés dans son coffre, Didier monte derrière et je prends le volant après avoir enlevé la capote pour que Véronique s’oxygène comme le médecin lui a conseillé à Paris.
Elle prend goût à son cadeau, car elle se place de côté sur le siège avant et dégrafe le pont de Didier.
Dans un premier temps, elle le prend en main pour le masturber et dès qu’il est bien tendu ce qui est facile après le spectacle qu’elle nous a offert digne des petits films pornos en 8 millimètres regardés à bord avec mon petit projecteur que j’ai acheté au canal du Panama dans des boutiques où les prix défiaient les prix français puisque sans aucune taxe.
Didier avance son bassin et notre goulue le prend en bouche pour une fellation de grande classe.
Quant il lui remplit la bouche, elle reste collée à sa verge et avale le sperme du petit avec avidité.
À force de faire le voyeur dans la boutique et dans la voiture, je vais faire partie des dépravés qui ne prendre leur plaisir qu’avec les yeux alors que j’ai envie d’arrêter la voiture dans un chemin creux et de me jeter sur le sexe de ma maîtresse.

À midi, nous arrivons au restaurant de Janine et Gaëlle comme je leur avais promis. Nous sommes reçus comme des rois et reines et lorsque Janine nous rejoint après avoir nettoyé sa cuisine, elle semble être intéressée par mon petit mousse.
Véronique et moi en dessalant le petit ce matin avons déclenché une bombe sur patte pour ces dames au point qu’il fait craquer même les gouines. Pardons les lesbiennes.

• Vous êtes libre demain soir, on souhaiterait vous inviter chez nous.
• Non, ce soir oui, sinon samedi, ce serait mieux.
• Jeune homme, vous serez parmi nous.
Je réponds rapidement à sa place, car je commence à connaître l’animal, il est capable de passer devant un bon coup à cause d’un reste de timidité.

• Je vous l’assure, je suis son responsable et nous serons en permission pendant deux jours.
• Véronique, quand retournes-tu à Paris ?
• Mardi matin les filles, samedi soir, nous passerons la soirée avec vous les filles.

Super rencard dont je pense que Didier a été le déclencheur. Bref, on verra bien.

• En route, dommage que vous ayez votre travail, je les emmène dans l’île.

Nous rejoignons l’embarcadère et c’est sur la plage des grands sables dans l’île de Groix que nous débarquons.
La traversée est rapide, mais nous admirons Véronique qui vient à la pointe du bateau et qui en fait une magnifique figure de proue.
Nous passons un après-midi très sympathique avec un retour vers le continent après un repas en ville aussi succulent que chez nos amies au port de pêche, crouni par l’air du large, le soleil et les bains-de-mer, nous rejoignons la chambre de Véronique.
Pour nous débarrasser du sel, ce sont tous les trois ensemble que nous nous servons de la baignoire.
La dame profite de nos quatre mains pour la laver et la caresser.
Elle semble apprécier, car avant même que nous l’ayons pénétrée, elle jouit de tout son corps.
Après nous être méticuleusement séchés et retourner vers son lit, nous dormons peu pendant la nuit.
À la lumière d’un réverbère ayant oublié de fermer les volets, je donne un ordre à Didier.
Il a compris depuis la boutique qu’un ordre est un ordre et il s’exécute.

• Place toi sur le dos.
Véronique, tu te mets sa verge dans le vagin.
As-tu déjà eu deux verges en toi mon cœur ?
• Non, je te vois venir jamais, je n’ai été sodomisé.
• Alors, tu vas l’être.

Il faut toujours demander avant de pénétrer le corps d’une dame même si on est très intime et que nous avons constaté jusqu’à ou elle était une salope.
Comme elle est placée enfilée sur la bite du moussaillon, son fessier est tout à fait à ma disposition et je la prends en poussant sur sa rosette doucement, très doucement encore plus doucement que cela.
Un millimètre par un millimètre.
Quinze centimètres quelques minutes où Didier en bon étalon de ces dames devenu attend sans débander et sans éjaculer.
La rosette de Véronique reçoit la totalité de ma verge, j’accélère le rythme.
Plus je suis au fond de son anus et plus chaque fois qu’il bouge, je sens la verge de Didier le long de la mienne et lorsque j’ai la preuve que notre amie va jouir de sa position centrale, j’accélère encore mes coups de sexe.
Moi qui ai déjà sodomisé des jeunes dames une frénésie s’empare de moi et je lui assène de grandes claques sur son joufflu qui attire ma main comme un aimant.
Je suis sûr que mon matelot et moi allons faire atteindre le but de deux hommes bien montés lorsqu’elle lâche.

• Allez-y les garçons, donnez-vous à fond, que c’est non, je vais…

Rideau, elle a un orgasme qui la dévaste et qui l’empêche de finir sa phrase surtout en recevant en même temps le jet de nos deux bites en simultanéité.

Sept heures, téléphone qui sonne, tenu pour les deux matafs, petit-déjeuner à notre bar avec le sourire d’Agnès lorsqu’elle voit le visage que nous lui présentons suite au manque de sommeil et retour au foyer près du bateau pour l’appel de 8 heures.
Je m’apprête à ressortir avec Didier pour retrouver cette femme dont nos verges ont contenté ses intimités les plus profondes quand Didier est appelé pour aller passer sa visite médicale d’embarquement.
Impossible qu’il vienne avec moi.

Contre mauvaise fortune bonne cœur, je retourne près de Véronique qui est déçu quand je la retrouve dans la chambre.
Je la cajole, évitant d’aller plus loin, car j’ai des idées pour la journée.
Comme je le supputais, l’absence de notre mousse la contrarie cinq minutes, mais quand je lui caresse la chatte amoureusement lui déclenchant une jouissance sans entamer mes propres forces, je suis content du démarrage de notre journée.
Nos bouches qui se retrouvent la mettant en joie et après c’être préparées, une nouvelle tasse de café avec des tartines couvertes de bons beurres bretons au bar d’Agnès nous attend.
Le beurre produit breton nettement moins agressif pour notre amie que l’apéritif qu’elle a bu hier.

Je fais un geste de la tête vers la piste de 421 compris par Agnès qui nous propose de faire une partie.
Véronique n’y a jamais joué et hésite à faire jouer surtout quand Agnès propose que la partie soit intéressée.
Les soirs où nous trouvons un pigeon, c’est des tournées d’apéritif qui sont en jeu, ce qui fait qu’à la fin de la soirée sur une tournée payée par chacun de nous le pigeon en paye cinq ou six, voire plus si nous tombons sur le couillon parfait.

Agnès donne à Véronique la liste des combinaisons possibles avec les trois dés.
421 chiffres suprêmes à 221, que nous appelons Nénette qui représente la plus petite combinaison et que ramassent les gourmands ayant, fait un 2 et un 1 et qui tente le 4 mais qui sorte le 2 et qui par avidité se retrouve avec l’ensemble des jetons en jeu.
Nous jouons en cinq parties gagnantes.
Le jeu qui se joue sans triche permet à chacun d’arriver à gagner, mais dans les bars, si deux ou trois personnes jouent contre un pigeon, lorsque le nombre de jetons ramassé va mettre l’un des comparses en pérille, il suffit de garder un dé faisant obligatoirement une combinaison plus petite et de rééquilibrer ses jetons.
Par contre, lorsque le pigeon commence inexorablement à récupérer les jetons, personne ne vient à son secours et il perd.
De plus, dès que le pigeon a déjà perdu deux ou trois parties sur les cinq pour éviter qu’il doute que l’on joue contre lui, nous faisons perdre celui qui a un total de partie perdue minimum.
À terme, je n’ai jamais-vu un pigeon s’en sortir.
Véronique bien briffé par Agnès accepte de jouer devenant notre pigeon à partir du moment où l’argent est hors du jeu.
Je prends la parole afin d’édicter les règles.

• Voici les filles le premier vainqueur en cinq parties pourra faire des deux autres ses esclaves d’un soir sans avoir le droit de dire non.
• J’adore l’idée, je me prête au jeu, mais attention, j’ai compris les combinaisons et j’ai toujours eu une chance de cocu, je vais être redoutable.

Suite à une conversation à table au restaurant hier j’évite de lui répliquer que cette chance de cocu a été effective puisque son mari s’est tiré avec sa meilleure amie entraînant sa dépression et le besoin de grand air.
Mais avec Agnès, nous savons que nous avons choisi celle qui devient notre pigeonne sans nous dire un mot et comme chaque fois que nous en repérons un dans le bar un geste de la tête suffit pour éviter de lui mettre la puce à l’oreille.
Il est drôle depuis le temps où nous prenons des cuites certaines fois mémorables d’en trouver encore un régulièrement.
Ces soirées-là, Agnès lorsque nous comptons la caisse, le rideau du bar descendu, arrive à faire des recettes qui la mettent en joie et en bonne copine, je finis la nuit dans son lit.
Après presque une heure de jeu, Agnès m’a aidé à être le vainqueur.

• Agnès, tu seras mon esclave dans les jours après le départ de notre amie.

Véronique veut à toute force savoir ce que je vais lui faire endurer.
Un peu tantalien sur les bords je lui promets qu’avant la fin de la journée, elle aura une réponse.
En prenant la voiture, je prends la direction de La pointe du raz.
Un peu plus de 100 kilomètres avec une voiture de cette puissance en une heure, je gare notre bolide sur le parking du belvédère.
Dans les derniers kilomètres, nous avons senti la puissance du vent et par moments les rafales manquent de déséquilibrer la voiture.

• Toi qui es venu prendre le bon air de la Bretagne ici, tu vas être servi.
Je suis venu plusieurs fois et à part en mer c’est seulement sur cette pointe que j’ai ressenti un vent aussi fort.

Je sors rapidement pour venir lui ouvrir la portière en galant homme et c’est serré l’un contre l’autre que nous admirons les vagues qui viennent se briser sur les rochers en contrebas.
Nous nous asseyons sur un banc et pendant une heure nous pratiquons le bouche-à-bouche, les massages cardiaques sur ses seins et les caresses sur ma verge en faisant attention aux touristes qui passent près de nous de temps en temps.
En marchant sur la grève les gens sont rapidement inexistant et pour la première fois de la journée, ce sont ses seins frottant sur un arbre qui par ses aspérités augmente son plaisir où mon sexe la pénètre et que nous jouissons ensemble.

• Tu me rends folle, jamais je n’aurais eu l’idée en venant ici qu’en plus de l’air pur, je trouverais un garçon qui sait devancer tous mes désirs…

Les avis des lecteurs

merci

Histoire Erotique
une excellente série vite j'attends la suite avec impatience !!!!!!!



Texte coquin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (5)
Histoire sexe : Une rose rouge
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