LE MARIN. L’infarctus. (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LE MARIN. L’infarctus. (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. L’infarctus. (1/3)
C’est fini ma vie s’achève là au milieu de cette ruelle froide du quartier de Chicago à Toulon.
Pourquoi les gens semblent paniqués alors que je suis bien dans ce froid qui monte en moi ?
Pourquoi il y a deux jours un besoin impérieux de venir à Toulon, moi qui suis né à Valencienne et où un jour je suis revenu après avoir parcouru le monde comme attiré par un aimant afin de retrouver mes racines s’est imposé à moi ?
Est-ce les premiers jours de ma retraite qui m’ont rendu nostalgique et qu’un besoin de retrouver le soleil ma pris en cet automne de pluie ?
Tiens ce porche dans cette petite rue avec l’eau qui coule au milieu et qui vient mouiller mon costume me dit quelque chose ?
L’eau de cette pluie qui me tombe dessus depuis que je suis parti et qui trempe mes vêtements jusqu’à mon boxer.

À oui, je me souviens, il était peint en marron alors qu’il est bleu aujourd’hui.
Oui, bien sûr, ce porche me rappelle une voix qui résonne dans mes oreilles.

• Tu viens chérie, je suis Miquette celle qui fait des pipes à tous les arpettes.
Viens, mon petit.

Arpette, les souvenirs me reviennent en paquet.
C’est là que je viens en 1965, à l’école des apprentis-mécaniciens de Saint-Mandrier-sur-mer alors que je suis un jeune homme et que pour la première fois de ma vie, j’ai quitté mes parents.
C’est là que le premier dimanche où j’ai le droit de sortir après ma période d’incorporation, je descends de la navette qui conduit les permissionnaires de l’école au quai principal de la ville devant les marchands de souvenirs.
Ce quai quitté pour remonter la rue du Chevalier Paul, la rue où il y avait plus de bars au mètre que de poireaux dans mon jardin.

Je m’égare et pourtant dans ma situation, il faut que j’évite. Je parlais de Miquette me conduisant derrière cette porte qui s’agenouille devant moi après que je lui ai donné 5 francs le quart de ma première paye que nous avons touchés avant de partir en ville.
Que c’est bon cette bouche qui vient vers ma verge alors qu’elle vient de défaire les boutons de mon pantalon à pont et que d’une main experte, elle a dégagé ce sexe de puceau tendu à en éclater.
Que c’est bon de me vider dans cette bouche chaude et tant rêver bien qu’au plus loin de mes souvenirs, ce soit derrière le floutage des revues paris Hollywood que nous nous prêtons dans la chambrer entre les 90 garçons de la compagnie que j’espérais me perdre.
Mais lorsque j’éclate, c’est divin comparé aux petites branlettes que je me donne au fond de mes draps. Lorsque je la quitte, je suis content d’avoir dépensé mes 5 francs.

Ce souvenir alors que je suis toujours allongé dans l’eau et que la douleur dans ma poitrine ce calme un peu me permet de retrouver un nouveau souvenir de cette période.
Le moment passé avec Miquette sous cette porte cochère qui était vraiment marron sûrement pas bleu restera le seul contact tarifé que j’ai eu dans ma vie avec les femmes.

Le souvenir de la première fois où j’ai contourné ces fameux floutages, c’est produit quelques semaines plus tard alors que je voulais aller voir un match de foot à Marseille et qu’une belle femme, c’est arrêter dans sa DS reine des voitures de l’époque et qu’elle m’a proposé de m’emmener.
Lorsque sa main s’est posée sur ma cuisse et que la voiture a tourné dans une pinède du côté du Castellet, j’étais toujours aussi intimidé que la première fois avec la pute.

• Tu es puceau.
• Oui, Madame.

Pourquoi ai-je dit cela alors que j’avais une expérience buccale sous ce porche ?
Est-ce que j’aurais dû avouer que j’ai été avec une pute à cette femme d’une classe folle au risque qu’elle reprenne notre route alors qu’elle aussi a dégagé ma queue et qu’elle la met aussi dans sa bouche ?
Suis-je condamné à décharger uniquement dans la partie buccale des femmes ?

• Caresse-moi à ton tour après je viendrais sur toi.

La promesse qu’elle me fait entrevoir d’enfin atteindre le plaisir si espéré me fait redoubler de patience pour savourer ce moment.
Elle soulève sa jupe me montrant mon nirvana. Je suis très étonné de trouver sa chatte sans protection.

Dans mon caniveau, ma pensée s’égare.

• Monsieur, ouvré les yeux, resté réveiller l’ambulance arrive, on entend sa sirène.
• Vous l’avez mis en latéral de sécurité.

Cela y est, il est là, celui qui sait tout et qui veut faire le cador devant les autres.
Il ferait mieux de me sortir de cette rigole au milieu de laquelle l’eau vient m’entrer dans le cou.
Mieux même, il pourrait ouvrir la porte du porche même s’il est bleu pour me placer à l’endroit précis où Miquette m’a sucé.
Peut-être à hauteur du sol où je suis mes yeux tomberont sur la flaque de mon sperme lorsqu’elle a craché après que j’ai joui.

• C’est bien, je revois ses yeux.
Qu’est-ce qu’ils fichent, ils veulent qu’il crève ?

Crever au moment où mes doigts caressent la fourrure de cette femme dans sa DS et que ma bouche a du mal à venir s’insinuer à cause du volant.
Elle soulève ses fesses, ce qui me permet de la pénétrer et pour la première fois sentir l’odeur de cette fente remplie d’envie qui monte jusqu’à mes narines.
Ce premier moment restera pour moi la source de mon fantasme qui veut que chaque fois que j’ai connu une nouvelle femme même si elles ont eu un nombre limité, ce soit mon nez que je fais pénétrer dans leur chatte cherchant certainement à retrouver l’odeur de celle qui se trémousse et que j’arrive à faire jouir.

• Bien, tu es doué, alors à moi de te faire plaisir.
Toute ta vie, tu te souviendras de celle qui va te dépuceler même si l’endroit est inconfortable.

Elle se redresse prestement, elle doit être gymnaste, car elle arrive à sortir d’où elle est et venir enfin s’empaler sur ma tige.
Un arbre, deux arbres, dix arbres, je compte les arbres que je vois pour éviter de décharger dans les quinze secondes où j’ai enfin pénétré la grotte de celle qui est devenue ma maîtresse.
Arrivée à 99, elle éclate dans un grand orgasme me permettant, moi aussi de relâcher la pression et pour la première fois envoyer mes jets si longtemps contenus au fond de son vagin.

• Qu’est-ce qu’il a dit, vous avez compris ?
• Il a parlé de ruisseau.

Encre l’autre con qui ramène sa science, j’ai dû dire, je suis plus puceau, du moins c’est ce que mon cerveau dans mon brouillard retient.

• Laissez passer, saloperie de ruelle, nous étions bloqués à l’entrée par une voiture mal garée.
Ça va monsieur.
• Je l’ai fait mettre en latérale de sécurité, j’ai fait des cours de secourisme.
• Retournez-y vite, regardez l’eau froide, lui coule dans son cou, vous voulez qu’il y reste d’une pneumonie ?

Bravo, enfin un mec qui va me mettre à l’intérieur de mon porche.

• Messieurs mesdames, laissez-passer le brancard, dépêche-toi que l’on mette au sec ce pauvre homme.

Quel pauvre homme, j’étais chez d’entreprise à Valencienne et j’avais la plus grosse filature de la région, je l’ai revendu et mon compte en banque va me permettre de profiter pendant trente, voire quarante ans de ma retraite.
Quarante ans, c’est le temps environ où la belle femme m’a laissé sur le bord de la route après avoir rejoint la nationale prétextant qu’elle s’était mise en retard et qu’elle avait un rendez-vous en ville.
Les nombres de voitures à cette époque étaient peu nombreuses aussi après une heure d’attente, je suis rentré à Toulon sans avoir été au foot à Marseille mais ayant perdu mon pucelage.

Huit jours plus tard le vendredi soir, je me rends au super marché Casino du quartier de Bon Rencontre non loin d’où la belle femme m’a pris en stop avant d’aller me dépuceler.
Je l’ai vu sortir de la DS et prendre le bras du chauffeur qui semblait être son mari et qui a mis sur sa tête sa casquette à quatre galons correspondant à son grade de commandant.
J’avais apprécié mollement la manière dont elle m’avait jeté après qu’elle est eue prise son pied.
Dans le magasin sans le faire exprès, je les croise et lâche un peu vachard.

• Tiens, bonjours madame, comment allez-vous depuis samedi après-midi dans la pinède près du Castelet ?

Je passe mon chemin sans courir.

• Chérie, qu’a voulu dire ce jeune matelot.
Que faisais-tu samedi avec lui près du Castelet, tu as encore profité de ce que je … en mer…
Quelques mots me manquent m’est le dernier est très explicite.

• Salope.

C’est drôle ses souvenirs qui me reviennent surtout maintenant où j’ai vu partir l’autre con après que le monsieur lui eut demandé de retourner faire ses cours de secourisme qu’ils m’ont soulevé et posé sur une surface douce et sèche.

• Laissez reculer l’ambulance, le temps est compté.
C’est bien, à deux on lève.

Moi chez moi, on dit à trois, on lève, ici c’est deux, il est vrai que ce sont des méridionaux à leur accent, il faut toujours qu’ils en fassent un peu moins que nous les gens du Nord.
Je vois le toit blanc au-dessus de ma tête et d’un coup quelqu’un se penche sur moi, avec une lampe qu’elle me met dans les yeux.
J’ai eu le temps de voir son visage et c’est un ange aux yeux bleus qui m’apparaît.
Un ange, serais-je mort dans cette ruelle et c’est au ciel que je suis monté pour voir un ange ?
Le plus beau, c’est que cet ange a les yeux et le visage de notre jolie voisine deuxième femme et demie de ma vie si je comptabilise Miquette, avec qui j’ai pu plonger ma verge en elles.
Christine a flaché sur mon bachi comme beaucoup de femmes que j’aurais pu coucher dans mon lit et que j’ai été assez bête pour rater.
Christine, une des belles choses de ma vie même si je l’ai laissé échapper…

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