LE MARIN. L’infarctus. (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. L’infarctus. (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. L’infarctus. (2/3)
C’est dans une ruelle du quartier de Chicago à Toulon que je me suis fait sucer par Miquette, la pute qui se vante d’avoir sucé tous les arpettes.
Arpettes, je l’étais dans la fin des années 60 où me rendant en stop à Marseille voire un match de l’olympique de Marseille, une jolie femme me prend dans sa DS et m’entraîne dans une pinède où elle me déflore.
Je dois reconnaître que j’ai été un peu salaud de faire comprendre à son commandant de mari lorsque je les croise dans un super marché qu’elle le trompe dès qu’il est en mer, car elle m’a laissé en plan son plaisir pris.

Pour le moment, je suis enfin au sec dans une voiture, car je sens que l’on roule après être tombé dans cette ruelle suite à une grande douleur dans ma poitrine.

• Bien, il est branché.
Aidez-moi à le déshabiller, on va lui couper la chemise.

Ma chemise, elle est folle de me la couper, elle m’a coûté assez cher, tout cela à cause du fait que je sois tombé.

• Prévenez le service de notre arrivée.

Même yeux bleus, même voix que Christine notre jolie voisine qui profite d’une de mes permissions pour m’entraîner dans sa chambre et au milieu de ses poupées et de ses nounours malgré ses 18 ans, je lui enlève son pucelage.
Dans cette époque rien n’était là pour nous former en ce qui concerne le sexe.
C’est ma maîtresse suivante femme du même âge que la femme à la DS qui m’a appris mon métier d’homme.
Le terme de métier est péjoratif, mais c’est le seul que je trouve, car avec Christine, je n’ai dans ma panoplie que le missionnaire et encore j’emploie ce mot qui va mettre donné par ma vraie initiatrice.

Tiens le brouillard qui s’était estompé revient au moment où le véhicule qui me déplace s’arrête.

• Fais-lui la piqûre que je t’ai préparée, je m’occupe de le ventiler.
Vite, ouvrez les portes, le cardio va le prendre en main.

Pourquoi un cardio, j’ai simplement mal dans ma poitrine alors que j’ai plutôt la tête du côté de la chambre de Christine qui vient de me laisser enlever ses affaires comme elle m’enlève les miennes allant même jusqu’à me laisser ôter sa petite culotte et que ma bite alors qu’elle s’est laissée tomber sur le dos déchire son hymen ?
Je fais l’amour une seule fois avec elle, car dans les jours qui ont suivi ce qui va m’arriver étais loin d’être prémédité.

Pendant cette permission, j’ai oublié que je suis à Valencienne pendant la période scolaire et que Christine est retournée à Lille où elle est en fac.

• Christine est là.
• Réfléchie, elle est retournée à Lille, son père l’a emmenée ce matin, je te vois venir la voir, j’espère que tu la respect.
Ils nous seraient difficiles d’avoir à nous occuper d’un bébé, je vois tellement de nos voisines qui se retrouvent enceintes et qui le payent toute leur vie.
• Oui, je ferais attention, mais vous savez, je suis un homme qui a des besoins.

Si elle savait que sa fille a déjà été pénétrée par ma bite, elle serait peinée aussi, je me garde bien de lui dire.

Pour le moment autour de moi des gens courent, de partout je suis une nouvelle fois soulevé, mais ce qu’il y a de bien, c’est que je me retrouve dans un lit moelleux où je peux me rappeler ce que Brigitte la mère de Christine me fait.

• Tu vois mon grand, si tu veux, prends comme maîtresse une femme mariée qui est insatisfaite de son mari sexuellement.
Tient, moi, il y a plus de six mois que mon mari m’a fait l’amour.
Laisse tomber les pucelles, regarde, met ta main dans ma chatte voit comme tu me fais mouiller.

C’est ce que je fais après avoir écarté son peignoir dont elle est revêtue.
J’ai un peu de scrupule après avoir défloré la fille de caresser la chatte de sa maman, mais à mon âge, rien ne m’arrête et alors que je la prends par les hanches, je la pose sur le guéridon en marbre ou faux-marbres de l’entrée.
Sa vulve rasée est à la portée de ma bouche lorsque je m’agenouille et que pendant qu’elle m’appuie sur la tête, mes lèvres viennent en contact et la sucer à la faire crier de plaisir.
Faire jouir une femme mûre me donne l’impression d’être le maître du monde et lorsque je me redresse, je la plante à sa source sans ralentir la poussée.
Mon pubis entre en contact avec sa chatte et c’est à ce moment que je sens qu’elle me pisse sur les jambes en poussant de grand cri.
Je suis un peu désemparé lorsqu’elle saute au sol et m’entraîne sur son lit conjugal semblant ce foutre de tromper son mari là où ils dorment.
Je la couche sur le lit et je m’apprête à la prendre lorsque.

Ou je suis, j’ai l’impression que je pensais à quelque chose qui a marqué ma vie et je perds le fil de ce que pense mon cerveau.

• J’ai éteint l’alarme, c’est bon, c’était le goutte-à-goutte qui s’était arrêté, il reprend des couleurs.
Laissons-le se reposer ?

J’entends ces voix quelques secondes alors que mes yeux me montrent la lumière du jour qui ce fait dans la pièce.
Je peux difficilement dire le temps ou je replonge dans mon sommeil, mais à un moment tout se reconnecte et il fait nuit.
Il faut que je continue à faire tourner mes neurones pour me sortir de cette torpeur et faire fonctionner ce foutu cerveau.
À oui, je parlais de mes vacances à Valencienne.

Je me souviens que je viens de plonger ma verge dans la chatte de la maman de Christine et que je l’ai amené à un point tel d’excitation que j’ai pensée qu’elle m’urinait sur les jambes.
Sur son lit, les mêmes jets recommencent à sortir de son vagin me donnant l’impression que Brigitte a un problème de santé.
Ce que j’aime, c’est la manière dont ses jambes viennent s’enrouler sur mes hanches me bloquant l’espace pour la pourfendre.

• Attends, tu es trop fougueux, laisse-moi avoir le temps de faire monter mon plaisir en moi, tu sais une femme, ça se cajole.
Tu sais, une femme aime que l’homme la prépare à la pénétration par des petits jeux, par des changements de position.
Regarde sort de moi, je vais me mettre à quatre pattes et tu vas venir te positionner derrière moi et recommencer à me pénétrer, avant j’étais dans la position du missionnaire maintenant, laisse-moi me retourner, tu verras, tu vas entrer plus loin en moi.

Elle se positionne et même s’il est vrai que je sens beaucoup mieux mon sexe au fond du sien, j’ai l’impression d’être le toutou montant sa femelle que j’ai vue dans la rue l’autre jour.
Aux cris qu’elle pousse, je vais souvent la prendre dans cette position, mais une nouvelle fois au moment où je décharge, elle me pisse dessus.

J’ai dû encore dormir, car lorsque j’ouvre les yeux la dame en blanc que je vois depuis qu’ils m’ont sorti de mon caniveau, avec ses beaux yeux bleus, semblent m’avoir quitté.
Ou en suis-je dans mes souvenirs ?
À oui.

• Es-tu malade ?
• Pourquoi petit cœur ?
• Excuse-moi d’être grossier, mais cela fait deux fois que tu me pisses dessus.

Je m’attendais à tout sauf à sa réaction, il semblerait qu’elle me prenne pour un benet.
Elle me prend dans ses bras comme pourrait le faire une grande sœur envers son petit frère.

• Tu es bête, il va falloir que je t’apprenne tous de l’amour, le missionnaire, la levrette, la cuillère, le cheval à bascule, le gaufrier ou tu vas t’allonger et où je viendrais sur toi m’allongeant aussi et m’empalant sur ta verge.
Je te montrerais, comment me prendre alors que je suis allongée, la jambe gauche relevée toi à cheval sur ma jambe sur le lit et ta main sur le sein droit.
Jambe gauche, sein droit.
Mais le plus important avec moi lorsque je suis surexcité comme avec toi aujourd’hui ma chatte expulse du liquide que tu as pris pour de l’urine.
Rien à craindre petit homme, chaque fois dans ta vie une femme, te montrera ce liquide, c’est que c’est comme moi une femme fontaine et cela se produit parce que tu m’as excité plus que les autres amants que j’ai eue.
Depuis le soir de mon mariage où comme aujourd’hui j’ai trempé mes draps, j’espérais toujours que cela revienne, car chaque fois j’ai joui comme une folle.

Dodo, redodo et encore dodo.
Sympas, mes yeux bleus sont là qui me souris.
Quelle belle femme, lorsque j’aurai retrouvé la parole, je dois lui dire.

Dans mes souvenirs entrecoupés de mes moments de sommeil qui rendent mon examen de conscience difficile, Brigitte a été ma formatrice, mais c’est celle que j’avais cru qu’elle m’échappait que j’ai épousé.
Christine enceinte et bien enceinte après mon dépucelage qui m’a donné un fils.
Cela me revient, Christophe mon fils dirige la boîte que j’ai vendue à une société multinationale, qui l’a gardé à sa tête.
Le plus terrible dans toute ma vie, c’est lorsque j’ai avoué à Brigitte qu’elle allait être grand-mère à cause de moi qui la baise depuis deux mois.
Bien sûr, sauf une baffe bien méritée les rapports avec belle-maman se sont arrêtés, mais grace à elle sa fille à eux un mari très bon amant.

Dois-je dire que je viens de nouveau de dormir lorsque mes yeux bleus viennent me réveiller ?

• Aller, il faut vous réveiller, dans deux jours, je vous lève, le cardio à donner l’autorisation.
Bientôt vous allez nous quitter, ce sont toujours les meilleurs qui s’en vont.

Jolis yeux mais pas très perspicace, pourquoi quitter un lit où je me trouve si bien, et puis je vais la demander en mariage même si elle l’ait déjà, elle sera bigame.

Bigame autant que j’ai été cocu avec Christine qui a fini par me quitter avec un Africain de Dakar que j’avais embauché afin de lui éviter l’expulsion.
Il faut dire à sa décharge qu’il était deux fois mieux membré que moi.
Attention, je l’ai vu un jour se baigner dans notre mare et le sexe qu’il m’a présenté ce jour-là m’empêche de lutter lorsque Christine est venue me dire qu’elle partait.

• Dépêchez-vous ?
Le bloc l’attend pour l’intervention.

C’est reparti, j’aurais mieux fait de dire oui pour que mon ange me lève, voilà qu’ils me font de nouveau des piqûres.
Et puis pourquoi ce grand black, dans la lumière, je le vois mal, peut-être l’amant de Christine, il tire mon lit, ici c’est bien, les taxis sont permanents, on est directement emmené sans se lever.
Non, je quitte mon lit, ces cons me posent sur une table dur alors que j’ai pris l’habitude de mon matelas moelleux.

• Monsieur, tout va bien, on va vous endormir compté jusqu’à cinq.

Je voudrais bien savoir qui est celui qui me prend pour un ignare, bien sûr que je sais compter, un deux…

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