LE MARIN. La parisienne en vacances. (6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE MARIN. La parisienne en vacances. (6)
C’est sur la pointe du raz où je l’ai conduit pour remplir ses jolis poumons d’un air plus que pur que nous trouvons un restaurant.
Nous déjeunons sur place et satisfaite du repas, de notre petit intermède sur la grève et des litres d’air pur emmagasiné dans nos poumons, nous rentrons par la côte.
À vingt heures, nous montons dans sa chambre et pour la soirée, je lui fais mettre sa tenue la plus osée.
Réticente au début, elle s’habille et nous prenons le chemin du port de pêche que nous atteignons juste au moment où Roger arrive avec son chalutier.
En quelques minutes ils ont tous déchargé leur poisson bien sûr et comme leur départ est prévu dans plusieurs heures, ce soir pas de remplissage de glace.
Ils vont arrimer le chalutier au bout de le jeter non loin de la rue des restaurants.

• Avant que je ne déplace le bateau, monté à bord.

Il aide Véronique à franchir le plat-bord et quand je vois qu’il lui est impossible de reculer, je lui susurre à l’oreille.

• Je t’avais promis que, ce soir tu serais mon esclave, c’est à partir de maintenant.

Elle me regarde semblant, se poser la question si ce que je viens de lui dire est du lard ou du cochon lui aussi produit en Bretagne bien sûr.

Ma petite esclave est le centre de tous les regards tout au long de la crier.
Une pute sur le bateau de Roger cela va vers jaser dans le landerneau.
Il y a un peu plus de 200 mètres pour rejoindre le point d’ancrage, mais le patron Roger seul maître à bord les parcourt en 20 minutes.
Après deux tours dans la baie le bateau bien amarré, il nous fait descendre dans le poste d’équipage.
Les quatre hommes sont là et préparent leur sac pour passer les deux jours à terre.

• Christian, on a oublié d’acheter la bouteille de chouchen que nous devions offrir en cadeau à ces messieurs.
• Oublié non, j’ai amené le cadeau, mais j’ai eu une autre idée, tu sais ce que je viens de te dire lorsque tu es monté à bord.
• Oui, je suis devenue ton esclave.
• Non, tu es leur esclave, messieurs cette salope est à vous, pour dix francs la passe, elle est entièrement à votre disposition, avec Roger, nous montons sur la passerelle jusqu’à l’ouverture des restaurants où avec ce qu’elle aura gagné, elle nous payera le restaurant.
• Christian, pas cela, quatre hommes, tu te rends compte.
• Esclave tait toi au travail.

Je passe près d’elle et je l’embrasse à voix basse, elle me dit.

• Christian, pas cela, regarde, il y a un vieux monsieur.
• Tu verras, après tu me diras que c’était le meilleur amant que tu aies eu sur les quatre et tu lui auras apporté une kyrielle de bon souvenir pour la fin de sa vie.

Nous montons dans le poste de pilotage et Roger apporte une bouteille de whisky.
De temps en temps je vais constater que tout se passe bien en bas.
Au début, Véronique se fait prendre par chacun leur tour et sur la table, des billets et des pièces sont posés.
Au fil du temps, ces pièces sont remplacées par des billets et ma compagne reçoit les hommages de plusieurs messieurs en même temps.
À mon troisième passage, alors qu’une heure du matin approche, j’entends.

• Fred regarde, avec Julien, on est entrés tous les deux dans son vagin, elle est bonne cette salope, Christian nous a fait un sacré cadeau.
• Oui, dires que cette belle Véronique en montant à bord nous donner son cul m’a évité d’être en train de me taper une pignole et en plus avec un peu de chance, Janine lorsqu’elle aura fini son service aura envie de me bouffer les testicules.

Sans faire de bruit, les choses ce passant bien en bas je rejoins Roger.

• Et toi tu n’as pas envie de faire du bien à ma Parisienne en vacances.
• Ne craint rien, la nuit commence.

Je sens que l’on me secoue. C’est Roger qui me prévient qu’il est une heure et qu’il est temps de délivrer ma copine des pattes de ses compagnons, car comme il les connaît, ils sont prêts à s’occuper d’elle jusqu’au matin.
Lorsque je descends ma maîtresse est nue sur la couchette plutôt crade d’un matelot une jambe dans le vide et avec pépère qui la pilonne encore allègrement.
Je l’entends dire en hommage à celle qui s’est fait enfiler une partie de la nuit.

• La belle pute, elle a tous ramassée, je bande encore, mais la source est tarie, il y avait longtemps qu’une pute, non une dame aussi professionnelle ne m’avait vidé les couilles.

Sur la table un paquet de billets, à dix francs par coup, je n’ose faire le calcul, c’est impossible, ils étaient quatre, combien de fois et par où a-t-elle ramassé tout cet argent.

• Aucun souci matelots, on ne la pas abîmer ta jolie salope, ce beau tas de billets, c’est la gratification pour tous les bons coups que l’on a tirés avec elle.
Depuis vingt ans de navigation sur ces coques de noix, j’en ai vu descendre ici des chiennes en chaleur plus ou moins belle en vacances qui veulent sentir le poisson de près mais une comme la tienne, c’est du premier choix et de la belle marchandise.

Sur cet éloge pour Véronique, il m’aide à l’habiller et à la sortir et du poste d’équipage et du bateau.
Roger nous attend sur le quai et nous parcourons les deux cents mètres vers le restaurant de Janine.
Véronique sent la marée après avoir été prise par tous ces gars qui revenaient de trois jours de pêche en mer sans avoir vu le moindre morceau de savon.
Arrivé chez Janine, il n’y a personne dans la salle.

• Salut, les matelots, de retour, je vois que vous avez coincé une vacancière qui a voulu visiter votre cabine, Roger monte, là chez moi, je vais vous la rendre présentable.

Roger la fait passer derrière le bar et je les vois prendre une porte.
Des clients entrent et pépère va les servir encaissant simplement les consommations.
Une bonne demi-heure et Véronique apparaissaient lavées, coiffées et un soupçon de maquillage sur les lèvres.

• Bon, vous devez avoir faim les hommes, la dame m’a dit tout ce que vous lui avez fait, elle a beaucoup apprécié, il est vrai qu’une telle expérience peu de femmes ont vécu cela. Je vous promets qu’un de ces jours je viendrai vous rendre visite.
• On te connaît, tu es capable de rester deux jours dans le poste d’équipage et encore, il faudra te virer avec plusieurs coups de pied là où je pense.
• Bon à table, je vous ai fait une bonne daube bretonne avec des patates de mon jardin.
• Une daube bretonne ?

C’est moi qui pose cette question faisant voir mon inculture.

• Christian venant de toi cela m’étonne, je te savais plus perspicace.
La daube bretonne c’est du poisson cuit avec des patates dans du muscadet.

La prochaine fois, je fermerais ma gueule, car connaissant Louise, j’étais sûr d’en ramasser une.
Tout le monde s’installe et l’atmosphère se détend rapidement avec le muscadet que Janine a mis sur la table.
Véronique est assise entre Roger et moi protégé des mains baladeuses de ces hommes.
Ils ne peuvent la toucher, mais ils peuvent parler.

• Et Véro, tu viens au chiote avec moi, j’en ai encore un peu dans mes bourses.
• Véro, toujours partante pour une sodo.
• Moi mes burnes sont vides, mais il me reste dix balles.

C’est l’ancien qui vient de parler fière de sa prestation.
Roger finit par calmer le jeu par respect pour mon amie, car je lui ai expliqué devant les verres de whisky, comment avec Agnès qui est une de ses anciennes maîtresses, comment, nous avons fait devenir Véronique, une esclave.
J’apprends que c’est lui qui l’a dépucelé après l’avoir initié au 421.

Vers la fin du repas, Véronique me demande de l’accompagner vers les toilettes. Car elle craint qu’un des gars ne la suive.
Roger l’entend, se propose de l’accompagner. Il sait que ces hommes resteront à table sans bouger par respect pour leur patron, mais là encore ils parlent lorsque le couple revient.

• Alors boss, elle t’a vidé les couilles, elle sait y faire cette belle pouliche, il y a longtemps que tu as dû en avoir une aussi bonne au bout du nœud.

Quand elle se rassoit, je me penche à son oreille.

• Il te les faut toutes.
• Pourquoi je suis toujours ton esclave et il m’a donné dix francs, je n’avais rien à lui refuser ?

Pour arrêter le jeu, je vais chercher la voiture et à quatre heures du matin, nous entrons dans sa chambre.
Elle enlève les vêtements prêtés par Janine et nous prenons un bain ensemble.

• Christian, tu es un fou, depuis que j’ai été dépucelé, c’est la première fois que j’ai senti une telle sensation de plaisir, de dégoût et même de haine contre toi, mais chaque fois qu’un de ces hommes me faisait jouir intérieurement, je te remerciais de m’avoir amené à devenir ton esclave.
En plus quand le temps me durait et que ma chatte avait mal de les recevoir, il me suffisait de penser que je l’avais bien cherché en jouant à un jeu ou j’avais une chance sur trois de gagner.

Tout en l’écoutant je lui passe le gant de toilette sur les seins et comme je suis assis derrière elle, je descends le gant dans son entrejambe. Lorsque je caresse son sexe, un petit mouvement me fait voir qu’elle avait une petite douleur.

• Je vais être franc ma petite Véro, tu avais zéro chance sur trois de gagner mais trois chances sur trois de perdre. Avec Agnès, nous avons joué à deux contre une.
• Mais elle aussi a perdu, tu vas lui donner un gage.
• Bien sûr, et elle le sait, mais elle aussi accepte les défis de l’impossible.
• C’est ta maîtresse.
• Oui et non, je sais réponse comme un Normand.
• Explique.
• C’est très simple, elle ferme son bar à 1 heure du matin. Les soirs où je sors et que je n’ai pas envie de rentrer dans l’arsenal, elle m’accueille dans son lit et une fois de temps en temps suivant ses envies, nous faisons une petite baise entre amis.
Il m’est arrivé de coucher plusieurs nuits de suite chez elle et qu’il ne se passe rien.
C’est pour cela que je te dis oui et non.
• Tu m’en veux si je dors, à part le long de l’arbre à la pointe du raz où nous avons fait l’amour ce soir, tu es resté chaste, mais mon corps a besoin de repos avant d’être pris une nouvelle fois.
• C’est bien fait pour moi, j’aurais pu t’avoir pour moi toute seule la nuit.
Mais pourquoi avoir des remords, tu m’as donné une preuve d’amour en me donnant à d’autres, la situation aurait été différente si tu avais participé avec eux ?
Là tu m’as donné comme l’esclave que j’avais accepté d’être par suffisance, étant persuadée de vous battre à votre jeu !
En plus, si je l’avais voulu, j’aurais pu dire non et partir au lieu de rester avec ces hommes.
Tu as su franchir le pas que certaines femmes refoulent de faire l’amour avec plusieurs hommes. Grâce à toi, j’aurai réalisé un fantasme et notre fantasme à toutes…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
N'est-ce pas que c'est meilleur que les bordels de DJIBOUT ou ABIDJAN, avec le VICTOR SCHOELCHER???

Histoire Erotique
Le TAF pourrait faire mieux...écris des histoires avec des Douarnenistes en chaleur éternel qui commencent par le Moulin sur la route de PLONEIS...
Tu connais?

Merci madame de cet avis que je reçois mais attendez la suite mes histoires neuf fois sur 10 se finisse bien, dite moi ce que vous en aurez pensée.

Histoire Libertine
une histoire triste.
cette femme a donné sa virginité par amour ou non a un homme;au lieu d'une considération ,il la fait partager avec d'autres hommes
c'est pas un geste digne.
j'ai détesté cette homme dans l'histoire et j'ai senti le chagrin de cette femme.



Texte coquin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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