Femme BCBG, escorte, non, pute… (57)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (57) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (57)
Madeleine me raconte ce qui est arrivé à Diana quand elles se sont retrouvées avec son premier client avec Valérie.
Après avoir compris le travers de ce client, elles acceptent bien volontiers de se donner en spectacle devant lui pour leur plus grand plaisir.

• Valérie me tient dans ses bras, tout le temps de cette conversation surréaliste. Elle amène ma bouche vers ses lèvres et m’embrasse comme seule elle sait le faire.
Je descends vers sa fourche et je prends ses lèvres intimes dans ma bouche, ma langue passe et repasse sur son clitoris qu’elle a fortement développé. Rapidement ses cris de joie me font penser que je vais dans la bonne direction et subitement je reçois des jets de liquide.
J’arrive à avaler la rivière qui coule de son sexe. J’évite ainsi qu’elle inonde les draps.
• Virginie est impayable, chaque fois qu’elle a dans ses bras l’une d’entre nous elle nous aime tellement qu’il faut qu’elle nous arrose de sa cyprine, moi aussi j’adore ça.
• Pendant ce temps Bernard assis sur une chaise près de nous bande, mais évite de toucher son sexe qui sort de son peignoir.
On frappe à la porte, il rajuste son vêtement et va ouvrir.
Une soubrette est entrée, fort jolie ma foi, tirant une desserte jusqu'à la table en prenant soin de regarder dans une autre direction que nous.
Elle est sortie, nous avons rigolé du trouble procuré, bien que deux femmes nues dans un lit doivent être loin d’être exceptionnelles dans un hôtel.
Nous nous sommes levées et nous sommes passées à table, nous avons repris des forces.
Il a mangé toujours aussi prévenant.
• Et vous, mademoiselle Diana, qu’elle est votre ambition dans la vie sur le long terme.
• Dois-je lui raconter ma vie, un regard vers Valérie me donne le droit de lui répondre franchement ?
J’ai l’ambition d’acheter une librairie dans le Quartier Latin.
Quand j’étais jeune, j’ai vécu dans un milieu où la culture se bornait à Minusque avec ses jeux sans frontières à la télévision.
Nous n’avions aucun livre à la maison sauf Télé pour sept jours.
Depuis que je vis chez Valérie, je dévore sa bibliothèque très fournie. Certains sont assez explicites sur les choses de la vie.
Des auteurs du genre rétif de la Bretonne et ses délices de l’amour et bien d’autres.
C’est pour pouvoir tout lire ce qui s’édite que je souhaite acquérir une librairie.
• Belle ambition mademoiselle, je suis sûr que Valérie vous aidera à attraper votre rêve.
• Bernard, elle le fait déjà en me présentant des messieurs voire des dames, et pourquoi pas des couples qui m’apporteront le financement potentiel.
• Vous voyez, monsieur Bernard, vous êtes le premier client de ma petite biche, je voulais que vous là lancier dans son nouveau job d’escorte. Quand elle a émis l’idée de gagner sa vie en rencontrant des hommes comme vous, comme nous sommes dans vos régions, nous avons pensé à vous pour venir l’initier.
• Eh bien, mademoiselle Diana, montrez-moi ce que vous savez faire avec votre corps que j’ai énormément de plaisir à contempler.
• Je lui ai tendu les bras, il me conduit sur le lit et je lui ai pris la bite dans la main pour une légère masturbation.

• Ça y est, elle est repartie pute de grognasse et si elle croit que je vais bander pour un boudin comme elle.

• C’était incompréhensible, comment cet homme si sélect il y a, une minute peut-il tenir des propos grossiers et vulgaires la minute suivante.
Je constate que ces flots de purins sortent quand il est en état d’excitation. Je crois comprendre qu’il souffre d’état compulsif qui lui enlève toute notion de ce qu’il débite.
Je prends son vit et l’enfourne dans la chatte de Valérie qui nous a rejoints.

• Je vous dis que ce sont des vieilles putes bonnes pour partir à la retraite, regardez, elles n’arrivent même plus à écarter les cuisses.
Ces mots sont sans conséquence pour faire aller son sexe dans celui de notre copine. Elle apprécie et en redemande. Je fais sortir Bernard de sa grotte, nous nous mettons en position de levrette et toujours sous les insultes, nous nous faisons pénétrer chacune à notre tour.

• C’est la dernière fois que je baise avec des patates pareilles, je ferais mieux de baiser une poupée gonflable, elle me ferait plus d’effet.

• Je sens quand il me prend pour la deuxième fois dans cette position mon plaisir monté.
Valérie est dans le même état que moi.

• Les salopes, je vais les enculer, et leurs trous seront aussi larges que mon poignet.
Hélas, je ne sentirai rien.

• Aussi tôt dit, il me la rentre dans le cul et malgré ces vociférations, je sens qu’il coulisse difficilement dans mon fondement. La grande aussi en prend plein la rondelle. Elle sent qu’il va tout lâcher, elle se dégage et nous recevons ses giclées sur la figure, dans les cheveux et un peu au fond de la gorge.
Nous restons quelques minutes à récupérer et allons-nous doucher tous les trois.
Toujours nues, nous approchons de la table et prenons une collation que je pense mériter. La nuit est tombée sur Royan et il est l’heure de fermer les yeux.
Au matin Bernard veut encore profiter de nos chattes, il me présente sa verge. Je le prends en bouche dans un demi-sommeil.
Ses injures démarrent au quart de tour quand au moment où il décharge de nouveau et redevient l’homme affable quand il est au repos.
Vers huit heures trente, un petit déjeuner nous a été servi à sa demande et nous prenons congé de lui.
• Accepterez-vous de me revoir ?
• Sans aucun doute, vous êtes un homme surprenant, mais quand on vous connaît mieux, vous êtes un homme charmant.
Afin de me remercier, il me glisse une petite enveloppe de gratification.
Virginie et Madeleine quittent l’hôtel et reprennent leur voiture pour retourner vous voir.
Madeleine ouvre ses enveloppes Deux milles dans l’une. Cinq cents dans l’autre.
Je suis enchantée de ma nuit, l’argent me permettant d’acheter ma boutique arrive.

Nous rejoignons l’ensemble du groupe, fort des confidences de Madeleine.
Les filles de sortie ce soir se relaxent sur la terrasse.
D’autres sont descendus nager en mer.
Anne joue avec Sindy.
La petite commence à se tenir fermement debout le long du parc.
Dans peu de temps elle va courir sur la terrasse.
Je rejoins ceux qui sont en mer. Je fais quelques longueurs de plage avant de remonter, aider à préparer le repas.
Alain et Christian reviennent du marché avec Aline. Nous mangeons et faisons la sieste quand au moment de nous préparer pour prendre le chemin du vieux port de La Rochelle.

Vers dix-huit heures pomponnées, nous embrassons tout le monde.
Jacky me retient et veut savoir pourquoi nous partons pour La Rochelle toutes les quatre et pourquoi Virginie et Madeleine étaient absentes cette nuit.
Je lui promets de tout lui dire à notre retour ou s’il le désire, il peut poser la question à ma marraine.
Nous embarquons dans ma mini et allumons le GPS pour arriver plus facilement à notre rendez-vous.

À dix-neuf heures, nous garons la voiture devant l’hôtel ibis.
Michelle, Séverine, Marilyne et Magali tels les drôles de dames se présentent à l’entrée de l’hôtel.
Carl nous attend près de la porte. Il distribue les rôles, ce soir et cette nuit nous aurons des missions séparées. Marilyne chambre 120, premier étages, un dénommé Cyril t’attend.
Séverine avec Gaétan, chambre cent vingt-neuf premiers étages.
Moi, chambre deux cent trente-cinq, deuxième étage, je dois retrouver David et Louis, ils sont deux.
Voici vos enveloppes, comme l’organisation que j’ai eue au téléphone me l’a précisé, vous devez toucher vos émoluments avant d’officier.
Chacune de nous récupère notre due sauf moi qui ai droit à deux.
Normal, je vais ramasser double ration, bien sûr.
Au moment de nous séparer, je rappelle aux filles que je leur ai remises des cartes de l’organisation qu’elles doivent remettre aux clients après avoir rempli leur contrat.
Nous prenons l’ascenseur, au premier, je laisse les autres filles aller vers les chambres.
Je sors au deuxième et me dirige vers la porte deux cent trente et je frappe.

Un homme impeccablement habillé m’ouvre. Costume trois-pièces et chaussure de marque. Derrière lui se tient l’autre homme avec le même look.
Ils me font rentrer.

• Bonjours mademoiselle, je vous préviens que nous allons aller manger au restaurant de l’hôtel.
• Nous allons vous expliquer.
Si nous avons souhaité avoir avec nous une jolie femme c’est pour faire taire la rumeur qui dit que nous sommes homos.
Quand un ami nous a fait savoir que Carl l’organisateur du congrès pharmaceutique où nous étions inscrits proposait à ceux qui le désiraient de nous fournir des escortes, nous avons vu la possibilité qui s’offrait à nous.
Le tarif pour ne rien faire avec elle est élevée, mais notre réputation vaut bien ce sacrifice financier.
• Je vais être franche messieurs si je comprends bien, je ne suis là que pour faire tapisserie et je vais gagner quatre mille euros pour m’asseoir à une table de restaurant.
• Hélas pour vous c’est à peu près cela.

La table du restaurant est remplie d’hommes et de femmes dont la plupart doivent être au congrès.
Non loin de moi, j’aperçois Marilyne attablée avec un homme de la même prestance que mes deux compagnons.
Bien sûr, nous évitons de faire voir que nous nous connaissons.
Notre table est prête, le repas est succulent. Je prends de l’agneau de pré-salée spécialité de la région.
Le dîner terminé, nous regagnons la chambre.
Ironie du sort, nous prenons l’ascenseur en même temps que Marilyne avec son client.
Il est déjà en territoire conquis, sa main enserre la taille de notre ami et sa main empoigne l’une de ses fesses. Ils descendent au premier, je les vois partir vers des jeux érotiques…

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