Ophélie, de femme à femelle (6)

- Par l'auteur HDS Ophelie13000 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ophélie, de femme à femelle (6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ophélie, de femme à femelle (6)
Après mettre fait baisée par un inconnu et défoncée le cul par mon patron, je suis là, encore avachie sur le capot de sa voiture en train de me doigter la chatte, d’essayer de me faire jouir, de faire la salope.
Comment j’ai pu devenir en si peu de temps aussi salope ?
En me remémorant les jours passés, je me rends compte que je n’ai pas arrêtée de mouiller, qu’en moins de 2 jours, j’ai dû jouir plus de fois qu’en 15 ans de mariage !
Tout ça de peur de perdre mon emploi ?
Mais est-ce vraiment la seule raison ? Qui m’a empêchée d’aller porter plainte pour harcèlement sexuel ? Qui m’a empêchée de faire un scandale dans son bureau ?
Personne ! Il a juste ordonné et, j’ai obéis ! Il m’a insultée et, j’ai mouillée !
Et là, il vient de me faire souffrir et, j’ai envie de jouir !
Qu’es ce qui ne va pas chez moi ?
Durant toutes mes interrogations, je me rends compte que mes doigts n’ont pas quittés ma chatte, que je me mords la lèvre de plaisir. Je sens mon plaisir monter encore ! humm mais un bruit dans ce parking sordide me fait tout stopper !
Je me redresse d’un coup, rabattant ma jupe sur mes fesses, essayant de prendre un air naturel, ramassant mon sac, je me dirige tant bien que mal vers la sortie.
Durant tout le trajet entre le parking et mon bureau est un véritable calvaire. Mon anus sensible me rappelle de cette violente pénétration. Je fais une petite halte aux toilettes, prenant un mouchoir pour me nettoyer l’entre-jambes. Curieuse, je passe un doigt sur mon anus, je le sens un peu boursouflé mais, bizarrement je ne le trouve pas béant ou déchiré. Je passe un peu d’eau froide sur le mouchoir pour l’appliquer dessus. Ça me fait frissonner et, me soulage un peu.
De nouveau fraiche, je rentre dans le bureau d’Arnaud pour prendre mon poste. Il est en pleine discussion avec quelqu’un.
Timidement de leur dit bonjour.

- Ah, Ophélie, viens la que je te présente.
Laissant mon sac sur mon bureau, je me dirige vers eux, découvre un jeune homme en face d’Arnaud, pas plus de 25 ans je pense.

- Ophélie, dit bonjour à mon filleul Sébastien, il fait des études de droit et m’aide de temps en temps pour tout ce qui est contrat etc.
Je lui tends la main, essayant de faire bonne figure devant ce « gamin ». Il me la prend doucement, mais la tiens fermement.

- Dis donc, je vois que l’avant est aussi agréable que l’arrière ! dit-il en rigolant.
Ne comprenant pas la plaisanterie, je regarde Arnaud interrogative.
- Ah oui c’est vrai que tu ne l’a vue que de dos ! répondit Arnaud tout en rigolant d’un rire gras et moqueur.
Mon dieu ! Je me rends compte que je suis en train de saluer l’inconnu qui m’a violée dans le parking. Rouge de honte, je baisse les yeux et, essaie de libérer ma main.

- Reste un peu avec nous, me dit-il tout en retenant ma main. Arnaud n’arrête pas de me parler de toi.
Je reste muette, je regarde mes pieds tout en priant pour qu’il me lâche. Comment j’ai pu me faire baiser par ce gamin ? Il pourrait être mon fils.
D’un coup, l’ambiance changea dans le bureau, elle devint sérieuse quand Arnaud pris la parole.

- Ophélie, j’expliquais à Sébastien notre situation, tes désirs et, ton envie de devenir ma chienne. C’est bien résumer non ? tu as envie d’être ma chienne n’est-ce pas ?
Quelle humiliation ! Pourquoi il explique tout ça à ce jeune homme ? Pourquoi me fait-il tout ça ?

- Réponds, on n’a pas de temps à perdre !
- Oui, dis-je doucement au bord des larmes.
- Dit donc, tu étais moins timide tout à l’heure dans le parking ! ironisa Sébastien.
Après un bref rire de mes deux tourmenteurs, Arnaud continua.

- Donc mon filleul me conseille de tout retranscrire par écrit. D’établir un contrat, comme pour une embauche sauf, qu’en ce cas, ce ne sera pas un contrat de travail mais, un contrat de soumission. Il y sera noté tes droits, tes obligations, tes devoirs et, pareil pour moi.
Je ne comprends pas tout ce qu’il me dit, je suis trop honteuse et bouleversée pour vraiment saisir tout ce qu’il énumérait. Je perds le fil de tout ce qu’il dit, je suis dans le brouillard, partager entre la honte, et j’avoue, un peu d’excitation en repensant à ce jeune qui a pris du plaisir à baiser une femme de mon âge.

- As-tu bien compris Ophélie !
Ce dernière phrase me sorti de mes pensées. Sans chercher à comprendre je réponds par l’affirmative. Après tout, au point où j’en suis, ce n’est pas ça qui va changer quoi que ce soit !

- Bien, Sébastien, donne ce que tu as rédigé à Ophélie.
Me lâchant la main, il prend dans sa petite sacoche un dossier, d’environ une dizaine de feuille et me le donne.

- Vas l’étudier à ton bureau, et si cela te convient, tu viendras nous l’apporter comme il se doit pour le signer ensemble.
Fébrilement, je regagne mon bureau, m’y installe et commence ma lecture.
Dès la première page mon sang se glace. En gros, « contrat de soumission » avec en image de fond, une photo de moi, à genoux, les seins à l’air.
Mon dieu, quelle honte. Je parcoure ce contrat attentivement. Il est mentionné entre autre que je lui dois obéissance, une totale dévotion, être à son service etc… je n’ai plus de choix à faire, qu’il se réserve le droit de décider et changer mon apparence, que ce soit vestimentaire, physique, corporel….
En bref, que je sois sa chienne, que je me comporte comme tel, que je lui donne tous les droits sur moi, qu’il est mon maitre.
La deuxième partie le concerne. Il doit prendre soins de moi, (sourire) qu’il s’engage à protéger ma vie de famille (mari et proche), qu’il ne portera pas atteinte à mon intégrité physique, etc…Ce contrat peut être résilié par les deux, avec un préavis d’un mois.
On croirait vraiment un contrat de travail, ce qui me fait sourire. Toute cette lecture me pris un certain temps et lorsque je lève les yeux je vois ces deux hommes, en train de me scruter, avec leurs sourire moqueur. Je remarque que, sans m’en rendre compte, lors de ma lecture, j’avais écarté les jambes, leur laissant tout le loisir de regarder mon intimité. Je réfléchissais à tout ce que j’avais lu, me demandant ce que je dois faire. Signer ce fichu contrat ? Le jeter à la figure de cet arrogant personnage ?
Au fond de moi je connais déjà la réponse. Rien qu’en repensant a ses 2 jours de débauche sexuelle, à ces orgasmes à répétition, au plaisir et l’excitation de lui obéir, je sais très bien que je veux le signer.
Après tout qu’es ce que je risque ? Il s’engage à préserver ma vie familiale. Je peux être la petite femme modèle avec mon époux et, une grosse salope pendant mes heures de travail !
Mais en aurai-je le courage ? L’avoué c’est une chose, mais le faire ? Suis-je capable de leur montrer qu’ils ont raison ? Que je suis une chienne, avide de jouissance ?
Je les vois qu’ils attendent, qu’ils m’attendent ! Se demandant si leur petit jeu allait avoir raison de moi, de ma timidité, de mes envies.
« Tu viendras nous l’apporter comme il se doit », que voulait-il dire par cela ? Toute nue ? En pleurant ? Avec un sourire ?
Les questions fusent dans mon esprit et, cette situation m’excite. De voir 2 hommes qui m’attendent, qui me désirent, me veulent ! Ça ne vous exciteriez pas ?
Ma conscience cède et, laisse mon corps décider. Mon corps réclame du plaisir et, j’ai envie de le lui donner.
Ils veulent du spectacle ? Je vais leur en donner !
Il veut une chienne ? Et bien regarde ! Admire Maître !
Je referme le dossier, le fait tomber par terre à coté de mon bureau.
Je vois leurs regards interrogateurs, ils doivent se demander ce que j’ai décidé.
Fixant Arnaud, avec un regard qui j’espère ressemble à un regard de défis, je me lève, me place debout, devant ce contrat de soumission et, tout en relevant ma jupe me met à quatre pattes, sans quitter mon patron du regard, je ramasse le dossier avec ma bouche, je le tiens entre mes dents et commence à avancer, comme une véritable chienne, dandinant mon cul.
Je vois Arnaud arborer un petit sourire de vainqueur, il sait qu’il a gagné. J’imagine même son sexe énorme grossir dans son pantalon, excité de voir sa secrétaire salope venir à lui comme une chienne, abdiquant, lui laissant le loisir de la traiter comme elle le mérite.
J’arrive aux pieds de son bureau, je lève la tête pour lui présenter son contrat, comme un chien qui vient donner un bâton à son maître pour qu’il joue avec.

- Je vois que tu as écouté ton corps Ophélie, c’est bien ! dit-il en prenant le contrat et me caressant la tête, comme on flatte un chien.
Il continu son humiliation mais maintenant ça ne fait plus honte. Ma décision est prise !

- Vas remercier Sébastien pour son bon travail, pendant que je parafe toutes les pages !
Je me retourne sur place, comprenant à sa posture la façon dont il veut que je le remercie. Affalé dans son fauteuil, les jambes écartées, se massant déjà l’entre-jambes. Il me fixe avec un regard d’envie, commençant à ouvrir sa braguette pour faire sortir tout son « attirail ».
Je suis surpris par son aspect, il est totalement épilé, aucun poils au niveau de son pubis ou testicules. Il me l’agite devant les yeux, de haut en bas.

- Vas-y, réclame ton su sucre salope ! dit-il en rigolant.
Décidément, ce doit être de famille de vouloir humilier les femmes. Timidement je lui demande s’il veut que je le suce pour le remercier. Il sourit toujours et plaque son sexe contre son pubis et me dit :
- Lèches mes couilles pour commencer, chienne !
Je les regarde, ses deux testicules, toutes lisses et, doucement approche ma langue. Je la cale entre les deux, donnant des coups de langue rapide, les fessant bouger de haut en bas. Contrairement à ce que je pensai ce n’est pas si désagréable, voir même amusant de jouer avec. Les hum qui provienne de la bouche de Sébastien m’encourage à en faire plus, je lèche, embrasse, gobe une à une ses couilles. Il apprécie, intérieurement je me sens plus forte, c’est moi qui ai le pouvoir à ce moment.

- Regarde-moi salope ! me dit-il tout en pressant ma tête entre ses cuisses.
Excitée, j’essaie de prendre les testicules dans ma bouche, j’ouvre en grand pour les faire entrer.
Les « ouais, hum ou c’est bon ca salope » m’encourage et m’excite de plus en plus, je le vois se branler doucement.
Je sens les mains d’Arnaud se posés sur me fesses nues, il a dû finir de parafer et signer le contrat.
Il me caresse les fesses, mon anus et descends vers ma chatte déjà bien humide. Instinctivement, j’écarte mes genoux et cambre mes reins pour lui donner l’accès à ma chatte. Il me gratte doucement le clitoris, je soupire, la bouche pleine, fermant les yeux pour apprécier ce moment.
Sébastien en veux plus, il me tire les cheveux pour que je recrache ses couilles, il me demande d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Je lui obéis bien sagement et, il vient poser son gland sur ma langue, fessant entrer doucement son sexe dans ma bouche.

- Resserres tes lèvres sur ma queue et ne mets pas les dents sale chienne. Je vais te baiser ta bouche.
J’obéis toujours et encore, resserrant mes lèvres sur sa tige, ne prenant que le gland dans sa bouche.

- Putain elle chaude ta bouche salope, hummIl prend ma tête entre ses mains, comme si il me tenait par les hanches et commence à me faire faire des vas et viens sur sa bite, essayant au fur et à mesure d’aller plus loin dans ma bouche.
J’ai l’impression qu’il se sert de ma bouche comme de ma chatte ce matin, me fessant baver, hoqueter à chaque pénétration mais j’essaie de me concentrer pour résister à cet envie de vomir, à me concentrer sur les doigts de mon patron qui me lime la fente, laissant entendre des clapotis qui trahissent mon excitation.
Je résiste, je veux leur prouver que je suis une bonne salope !
Il me baise la bouche ainsi pendant de longues minutes sans toutefois parvenir à me la faire avaler entièrement. Il me pousse la tête en arrière, me fessant lâcher son sexe qui se redresse d’un coup devant mes yeux.
Je le trouve beau, c’est bête mais c’est vrai, il est beau, tout luisant, recouvert de ma salive, avec un filet de bave reliant ma lèvre inférieur à son gland.

- Elle a encore de gros progrès à faire mais, elle va être une dévoreuse de queue ta salope ! dit SébastienAprès ce compliment, ils me font mettre debout. Sébastien pour être plus à l’aise, enlève son pantalon et, se glisse tout au bout de son fauteuil, jambes écartée, tenant son sexe luisant bien droit avec sa main.

- Emmène la moi, elle m’a trop excité !
Arnaud me fait faire demi-tour, je me retrouve face à lui, le menton et mon chemisier pleins de bave. D’un geste brusque, il ouvre mon chemisier, fessant sauter 3 bouton et dévoilant mes gros seins.
Il me prend par les hanches, me fait reculer pour être entre les jambes de son filleul. Il appuis pour me faire fléchir les genoux, je sais ce qu’il attend : que je m’empale sur le sexe de Sébastien, tenant toujours sa bite à la vertical, posant son autre main sur ma fesse pour l’écarter un peu. Je sens son gland entrer en contact avec mon anus, ça me faire grimacer, il est encore sensible de la précédente pénétration, mais Arnaud n’y prête pas attention, il m’oblige toujours à venir m’empaler sur ce pieu.
Je sens mes sphincters s’écarter pour laisser passer le gland et se resserrer la tige. Le plus dur est passé me dit-je tout bas et presque sans douleur. Faut dire que le diamètre est moindre. Je continu ma descente et, la lubrification par ma salive facile le chemin. Je me retrouve assise sur les cuisses de Sébastien, son membre bien planté dans le cul.

- Putain quel cul, t’es une bonne petite salope ! me murmure Sébastien à mon oreille.
Je ne trouve rien de mieux à dire que merci monsieur. Il met ses mains sur ma taille, et commence à me faire monter. Je sens toute la longueur de sa bite coulisser et, juste avant que son gland quitte mon orifice, il m’attire violement vers lui dans un Han de bonheur.

- Je fais te faire couiner vieille chienne !
Je me mords les lèvres pour ne pas crier. Crier de douleur et d’excitation mélanger. J’ai les cuisses serrées, comprimant mon clitoris, et je sens Sébastien accélérer les montés et descente de mon cul.
Au bout de 5 ou 6 allers-retours, il voit que mon orifice a pris la mesure de son membre et commence à accélérer. Au point où il me fait littéralement rebondir sur ses cuisses, fessant gigoter mes gros seins devant Arnaud qui se masturbes tout doucement, appréciant le spectacle de sa chienne de secrétaire se faire enculer comme une salope.
La douleur au niveau de mon cul a disparue et, je gémis de plaisir, je coule de bonheur, j’ai comme l’impression de faire pipi, pipi de bonheur tellement que ça coule au niveau de ma chatte. J’inonde les cuisses de Sébastien et le fauteuil. Ca y est, je suis une vraie salope, je jouis par le cul !

- C’est bon, dit Arnaud, on va essayer.
Sébastien me plaque une dernière fois sur ces cuisses, lâche ma taille pour m’entourer le buste de ses bras, m’obligeant à me coucher sur lui.
Mais qu’est-ce qu’ils veulent essayer ?
Arnaud me prend par les genoux, les écartent, les lèvent, dévoilant mon intimité, ma chatte détrempée et mon cul remplis. Sous son ordre, je garde la position, cette position d’une impudeur sans égale, tenant son sexe dans une main il fléchit les genoux pour venir frotter son gland contre mes lèvres, buttant contre mon clitoris gonflé.
Je geins de plaisir, c’est si bon que j’oubli presque ce qu’il veut me faire.
Mon dieu il a l’intention de me baiser avec une autre bite dans mon cul. Ça ne va jamais rentrer, il est trop gros, mon dieu.
Le temps que je me pose toutes ses questions, il est déjà au fond de ma chatte, tapant au fond.

- Putain elle est tellement mouillée que c’est rentrer tout seul, ironise Arnaud. Tu vois, on rentre à deux !
J’ai le souffle coupé, tellement que je suis pleine. Mes deux tourmenteurs discute, rigole entre eux mais je ne saisis pas ce qu’il dise, je suis dans un état second, au bord d’un orgasme que je sens dévastateur.
Mon Dieu, c’est trop bon, trop fort, ils n’ont pas encore fait le moindre mouvement et déjà je suis au bord de l’évanouissement.
Arnaud m’attrape par les seins, plantant ses doigts dedans, écrasant mes tétons durs comme du bois dans sa paume.

- En plus il a des poignets pour ne pas tomber, dit-il en rigolant.
Ce sont les dernières paroles dont je me souvienne, car dès le premier mouvement d’Arnaud, tout devins flou, confus, j’ai un vague souvenir d’avoir hurlé de plaisir et puis plus rien.
Je me suis simplement réveillée, affalée sur mon bureau, les seins à l’air, la jupe posé sur mon clavier, et seule avec Arnaud, Sébastien n’était plus là.
Que m’ont-ils fait subir d’autre ? Je suis fourbue, je peux à peine bouger, juste la force pour me redresser sur mon fauteuil.

- Tu te réveilles enfin chienne ! me dit Arnaud sans lever les yeux de son ordinateur. Il est 15 heures, tu n’as pas signé ton contrat, qu’es ce que tu attends ?
Oui qu’es ce que j’attends ?
Qui hésiterait à devenir la chienne de cet homme qui vous donne autant de plaisir ?
Pas moi, je le signe et, pris tout bas pour vivre le plus longtemps possible aux pieds de ce pervers !
Aux pieds de mon patron !
Aux pieds de mon Maître !

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