LE MARIN. La parisienne en vacances. (14/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La parisienne en vacances. (14/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN. La parisienne en vacances. (14/14)
C’est après avoir raccompagné Gislène à qui j’ai mis un dernier coup de sexe avant qu’elle continue son voyage de noces avec ce lourdingue de Benoît, plus amoureux de ses moteurs américains que de ces fesses, que je roule au volant de la Mercédès de Véronique.
Mon amie, non je dois dire maîtresse s’est prise au jeu que nous avions une fois de plus instauré en trichant au 4.2.1 avec Gaëlle, la sœur de Robert, le beau marin pécheur mon copain.
Je roule depuis quelques minutes quand je traverse Plouharnel et où je vois un panneau Ploernel 8.
8 kilomètres et du temps devant moi par ce bel après-midi de dimanche, Didier mon mousse semble devoir prendre racine chez Louise et Gaëlle jusqu’à ce que nous repartions pour notre prochain tour du monde de novembre à mai dont nous venons d’avoir les grandes lignes.
Départ de Lorient, le 22 novembre pour Brest retrouver la Jeanne d’arc qui fait son carénage, réparation dans la marine, Dakar où je suis allé l’an passé, Curaçao dont à part mélangée dans un cocktail, je suis dans l’impossibilité de situer.
Cristobal, idem à part Tonton Cristobal chanté par Pierre Perret, l’an dernier, je suis dans l’impossibilité de dire ou cela est placé sur la carte.
Canal du Panama, Valparaiso au Chili.
J’ai hâte de voir l’île de Pâques avant Tahiti en janvier.
Honolulu, il faudra que je regarde sur une carte car à part le nom que j’ai déjà entendu, je suis là encore dans l’impossibilité de dire où cela se trouve.
Los Angeles où j’espère passer un séjour aussi fou que l’an passé à San Francisco dans le village hippie.
De nouveau Panama Houston autre ville américaine où je verrais plus de moteur de voiture américaine que Benoît à qui je viens de dire adieu n’en approchera dans toute sa vie.
Fort-de-France où l’an dernier, j’ai laissé doudou dit dont et que j’aurais plaisir à retrouver.
Tenerife avant Naples et retour à Lorient pour nous le 30 mai 1969.
Je rêvasse à toutes ces escales, toutes ces rencontres que je vais faire lorsqu’une Simca aronde me coupe la route en grillant un stop.
Le coup de frein doublé d’un grand coup de volant à droite engage la Mercedes sur la route de Ploemel, je vois là un signe du destin et je continue ma route sans aucun but précis que de voir ou mon fils va passer sa jeunesse.
Mon fils car dans mon esprit, je n’ai aucun doute que la petite grosse que j’ai baisé et même dépucelé à Languidic l’an passé s’est retrouvé engrossé par moi au point d’appeler son enfant Victor, prénom marqué sur mon bachi.
Arrivé dans le village, je passe devant la boulangerie, car son père a dit qu’elle avait épousé le fils du boulanger de Languidic et qu’ils s’étaient installés à Ploemel où ils ont remplacé le boulanger ayant vendu son affaire.
Ce que j’ai oublié, c’est que le commerce de boulangerie est nécessairement fermé le dimanche après-midi et lorsque je passe devant un rideau baissé.
Je fais un tour jusque devant l’église qui doit avoir été construite comme beaucoup d’autres en France, il y a bien longtemps au moment où tous les dimanches la totalité de la commune venait à la messe le dimanche.
Aujourd’hui depuis l’année dernière en mai 68, tous ont changé et la plupart des habitants préfèrent les grasses matinées crapuleuses qu’à aller faire des bondieuseries.

Au moment de repasser devant la boutique, j’arrête la voiture rêvant que mon fils habitait derrière les murs de cette petite maison construite comme toutes les autres dans la région en granite avec des toits d’ardoises.
Je remets le contact lorsque la porte sur le côté de la boutique s’ouvre et une jolie jeune fille en sort en poussant un landau.
Cela aurait pu être ma petite grosse avec mon fils, mais cette beauté pouvait difficilement être la jeune fille que j’avais conduite derrière l’église pour la dépuceler.
Lorsque je repense à la culotte de la nénette, on aurait pu en mettre deux comme cette jeune femme à l’intérieur.
De plus je l’ai baisé, il y a un an et mon fils doit marcher à cette heure.
D’un coup ma bévue me saute aux yeux, je l’ai sautée, il y a un an et elle a porté l’enfant neuf mois.
J’ai étudié jusqu’au brevet avant de m’engager et je sais que 12 moins 9 cela fait trois mois d’où la possibilité qu’il est trois mois.
C’est au moment où elle passe non loin de moi que je comprends que c’est bien la jeune fille du cafetier à Languidic, car sous son œil, elle a un grain de beauté aussi gros que celui que je lui ai vu l’an passé.
Avant que je réagisse, elle passe sans me regarder.
Je la suis du regard dans le rétroviseur et je la vois tourner à droite.
Il faut que j’en aie le cœur net aussi, je la suis et au bout de 200 mètres, je la vois prendre un chemin le long d’un ruisseau.
Quel idiot d’insister, le joli petit cul qui se tortille devant moi est impossible à appartenir à ma pucelle.
Arrivé vers une petite étendue d’eau, je la vois prendre sous la nacelle du landau une couverture qu’elle étale au sol.
Elle est de dos par rapport à moi et je profite d’un bosquet pour me cacher, évitant d’avancer.
Le plus drôle dans tout cela c’est que j’ignore si l’an passé, nous avons changé nos noms.
Comment l’interpeller sans lui faire peur surtout au fond de ce chemin où aucune personne passe ?
Elle prend le bébé dans ses bras et je l’entends dire.

• Victor, tu es dégoûtant, je viens de te changer avant de partir et tu as déjà rempli ta couche.

Que m’arrive-t-il, la jeune femme sortant de la boulangerie, le grain de beauté sur la joue, et le prénom Victor, tout concorde même les seins encore plus développés que j’aperçois après qu’elle est changée le petit et qu’elle se prépare pour lui donner la tétée.
Je fini par approché ce qui lui fait peur.

• Mais vous êtes.

Je vois qu’elle cherche un nom qu’elle ignore.

• Oui, Christian le jeune marin qui l’an passé t'a fait l’amour pour la première fois.
C’est mon fils.
• Tu es fou, je suis marié avec le boulanger près de l’église et c’est le père de mon enfant.
• Pourquoi l’as-tu appelé Victor s’il est de lui.
• Car c’est le prénom du grand-père de mon mari.
• Pourquoi mens-tu, ton père nous a dit hier lorsque nous nous sommes arrêtés prendre un verre avec des amis, qu’il ignorait pourquoi tu avais à toute force le prénommé comme cela, je sais, c’est à cause de mon bachi avec le nom de mon bateau.
• Tu lui as dit que tu étais le père, il va me tuer.
• Donc, je suis bien son père.

Pendant cette conversation un peu surréaliste, Victor sans savoir qu’il est l’enjeu, continue à téter sa maman.
J’en ferais bien autant, mais il fait savoir être raisonnable.
Je m’assieds auprès deux et j’écoute ce qu’elle va me dévoiler.

• Bien sûr que tu es le père et sans la prévenance de Loïc, la petite Aurélie aurait été une fille de rien.
Il savait depuis qu’il était petit qu’une malformation de ses testicules l’empêcherait d’avoir des enfants.
C’est lors de sa période de trois jours qu’un médecin militaire s’est aperçu de l’anomalie de ses testicules en les tâtant comme c’est d’usage.
Il lui a fait passer des examens et il l’a réformé.
Lorsque je lui ai dit que j’avais fauté avec toi et que mes règles étaient absentes, c’est lui qui m’a proposé de faire croire à tous qu’il était le père et voulait m’épouser.
• Tu aurais dû me prévenir, j’aurais assumé.
• Merci, mais cela a été assez dur avec mon père quoique Loïc est un garçon du village, je vois sa réaction si j’étais arrivée enceinte avec un étranger.
• Je peux te poser une question.
• Tu as tous les droits.
• Puis-je être direct ?
• Je te le propose, j’ai horreur des faux-fuyants.
• Qu’as-tu fait de ton gros-cul, j’ai cru que tu étais une autre, ton joli grain de beauté, et tes gros seins m’ont persuadé que c’était toi ?
• Merci pour mes seins, Victor les apprécient, regarde comme il me suce, si c’était un autre, je suis sûr que je mouillerais.
Quant à mon cul, dès le début de ma grossesse, la gynéco que j’ai rencontrée a constaté mon embonpoint.
Après des examens, j’avais une déficience glandulaire et avec un traitement nouveau et un régime adapté à cause de ma grossesse, j’ai perdu 25 kilos et me voilà.
• Et sexuellement avec ton mari, ça baigne.
• Un ange, j’ai énormément de plaisir, car s’il est incapable de me donner un autre enfant, il bande normalement et je m’éclate avec lui, car je crois que, foncièrement il m’aime même s’il sait que mon cœur a été vers un autre.
• Tu m’aimes encore.
• Ton fils a fini prend le dans tes bras pour qu’il fasse son rot.

J’ai nettement l’impression qu’Aurélie se défile, prendre Victor dans mes bras outre le fait que j’ignore, comment il faut le tenir et les sentiments qui montent en moi, c’est la panique lorsqu’une remontée de lait éclabousse ma chemisette.

• Tu vois, il se venge que tu l’aies abandonné.
C’est un bien, joli rot, je vais te le confié toutes les fois, il faut que j’attende un temps fou pour pouvoir le coucher, avec la boutique, c’est épuisant.
Donne-le-moi, je peux le coucher.

C’est avec bien du regret que je lui redonne et je me relève pour enlever l’objet des dégâts de mon fils.
Aurélie ayant terminé les seins toujours à l’air me faisant bander va au bord de l’eau pour nettoyer la coulée de lait.
La berge est plus haute que l’eau et légèrement glissante, car à cet endroit il semble qu’un pécheur ait piétiné et l’a fait remonter.
Je la vois piquer une tête sans inquiétude, car il y a juste vingt centimètres d’eau.
Dans le mouvement, je saute à l’eau pour la récupéré.
Nous sommes trempés tous les deux et dans les bras l’un dans l’autre.
Lorsque notre regard se croise, il est trop tard, nos bouches se trouvent pour la première fois, car au bal seul nos parties intimes m’importaient.
Nous sortons de l’eau, nos vêtements trempés volent et c’est nu que nous chutons sur la couverture.

• Christian fait nous notre fille, Loïc sera aux anges, nous l’appellerons Christine.

C’est comme cela que je pénètre le sexe d’Aurélie. Je la pénètre, car même si nous sommes trempés, elle mouille comme le fait une femme amoureuse.
Nous roulons sur la couverture et elle me fait voir qu’elle a bien évolué dans la connaissance du sexe, car autant derrière l’église, elle a subi mon attaque même dans sa rosette alors que là au pied du landau de mon fils, c’est elle qui mène le bal sans André Verchuren pour marquer le tempo.
Je dois serrer les fesses pour éviter de jouir trop vite et risquer de la décevoir.
Lorsqu’elle démarre sa jouissance, je lâche les chiens et je la remplis de mon sperme.
Nous sommes en osmose et nous sommes sur d’un simple regard que je viens de mettre ma fille en gestation.
Au-dessus de moi Victor semble apprécié qu’une petite sœur vienne égayer sa vie.

• Ha re, ha re.

Nous passons l’après-midi pour une seule fois en famille et pour assurer la naissance future, nous recommençons une nouvelle fois à remplir le vagin d’Aurélie.
Il est l’heure de nous quitter, car elle tient à être chez elle pour la prochaine tétée de Victor.

C’est auprès de la Mercédès que je les quitte après une petite tape sur la joue de mon fils.
Je les vois me regarder dans mon rétroviseur et dès que la route tourne un moment, j’ai envie de faire demi-tour surtout lorsque je sens sur mon épaule l’odeur du lait rejeté par mon fils qui suite à la chute dans l’eau de sa maman a mal été enlevé.
Je reste lucide car bientôt je reparts pour six mois en mer avec Didier et leur avenir est certainement plus douce dans ce petit village breton qui pourrait être celui où vivaient Astérix et Obélix.


Épilogue :
Nous revenons de notre tour du monde plein d’anecdotes à raconter.
Robert et Véronique sont mariés depuis Nöel et si vous allez voir le retour des chalutiers, vous pourriez voir la seule femme pilotant l’un d’eux avec tous ces hommes d’équipage qui se garderaient bien de lui manquer de respect.
Elle a vendu tous ses bien même la Mercédès et la barre qu’elle a dans ses mains est celle du dernier chalutier neuf de la flotte de Lorient.
Dider attend avec impatience la fin de son engagement pour venir aider les filles à tenir leur restaurant.
Quant à moi dimanche dernier après avoir été promu quartier-maître chef avec une solde ayant beaucoup évolué ce qui m’a permis d’acheté une Fiat 850 speeder rouge je me suis rendu à Languidic trainé dans le café ou Aurélie a vécu sa jeunesse avant de partir à ploemel.
J’ai demandé à son père des nouvelles de sa fille et il a été très fier de me dire qu’il était grand-père d’une adorable petite-fille et qu’une fois de plus sa fille les a surpris en l’appelant Christine…

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