Ophélie, de femme à femelle (7)

- Par l'auteur HDS Ophelie13000 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ophélie, de femme à femelle (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ophélie, de femme à femelle (7)
« Par la présente, j’ai lu, compris et approuvé le présent contrat dans son entier. J’accepte de me remettre à mon Maître et, lui confie gracieusement mon corps et, mon esprit. Je comprends qu’il m’éduquera, me dirigera, m’entrainera et, me transformera.
J’assume ma condition et, suis fière d’être sa soumise.
Signature : . »
Je signe la dernière page de ce contrat, scellant définitivement mon avenir.
Arnaud se dirige vers moi, il prend ce fameux contrat, satisfait d’y voir ma signature et, me caresse les cheveux comme on flatte une chienne.
- Rhabille-toi, je te ramène chez toi ! me dit-il- Mais, monsieur je n’ai pas fini de……Avant de pouvoir finir ma phrase, une violente claque s’abat sur mon sein droit, m’arrachant un cri de douleur. Et vlan, une autre sur le sein gauche.
- Petit 1, tu ne discutes pas mes ordres !
Petit 2, en privé tu m’appelle Maître !
Petit 3, quand je te corrige, tu souffres en silence !
Compris ?
- Oui Monsi….. Maître.
J’essaie tant bien que mal de refermer mon corsage, et de remettre ma jupe en place avant de suivre mon nouveau maître, jusqu’au parking et à sa voiture. Il me fait monter à l’avant, côté passager, comme ce matin. De moi-même, j’écarte mes cuisses, et ouvre mon corsage. Il sourit, me félicitant de mon initiative.
Durant le trajet, il me pose quelques questions, sur ma vie privée, mes habitudes sexuelles, mes fantasmes….
Je dois lui paraitre cruche, surtout sur mes habitudes sexuelles. Il est vrai qu’avant de le connaitre, mes seules rapports sexuels étaient réalisés dans notre lit conjugale, lumières éteintes et ne dépassant pas 5 minutes. Bref, selon lui, j’ai tout à apprendre et, je vais aimer.
Arrivés à destination, il me dépose devant mon portail. Me dit qu’il passe chez moi à 20h30 et, que je dois être prête !
Prête ? J’ose lui demander ce qu’il entend par prête. Sans m’en dire plus, il me dit de me renseigner, de trouver par moi-même, et que je ne le déçoive pas !
Il me laisse la, interrogative et, troublée. Je rentre à la maison, me précipite dans ma chambre pour me changer avant d’aller dire bonjour à mon époux.
Je croise l’aide-soignante qui a fini son service. Elle me dit qu’il va mieux, qu’aujourd’hui il était plein de vie et de bonne humeur. Ils ont même fait un tour dehors !
Quel exploit, c’est la première fois qu’il met le nez dehors.
Elle me dit au revoir et me laisse entrer dans la chambre de mon époux, allongé, en train de regarder la télé.
Après une série de bisous, je me love contre lui, lui disant à quel point il m’avait manqué. (Petit mensonge)Il me raconte ses exploits de sa journée, sa sortie jusqu’à la boite aux lettres, etc… et toi ?
Ben moi, je me suis faite défoncer par tous les trous et j’ai fini par signer un papier qui donne tous les droits à mon patron ! Voilà mon chéri. Ben non, encore un gros mensonge, je lui dis simplement que j’ai passé une journée classique, rien d’excitant, j’éprouve un sentiment de gêne quand je lui dis ça, mais je ne peux pas lui dire la vérité.
Pour ne pas qu’il s’en rende compte, je lui fais un petit bisou sur le front et part lui préparer sa soupe.
19 heures, c’est prêts il mange tranquillement, prends ses médicaments et je lui dis bonne nuit et, à demain. Je sais que dans moins de 10 minutes, il sera parti pour 12 heures de sommeil.
19 h 25, je commence à chercher ce qu’il a voulu dire par soit prête. Je cherche sur le net, domination, soumission, maître, soumise.
Mon dieu, il y a des milliers de résultats, des forums, des blogs, des témoignages….
Je vois des dizaines de photos de soumises, attachées, maltraitées, baisées…. Vais-je subir tout ça ?
Le seul point commun sur toutes ses photos : l’absence de poils pubiens.
Sur plusieurs forums, je lis que l’épilation est presque toujours exigée. Voilà, direction la salle de bain, y a plus qu’a, comme on dit.
Petit passage de tondeuse pour dégager le terrain, et ensuite rasage délicat pour ne pas me couper, le passage des lames sur mon pubis et autour de mes lèvres me fait frissonner. Une fois la manœuvre finie, je me regarde dans la glace, ma petite chatte toute nue, toute douce, comme une petite fille, une petite fille de 40 ans. Je ne résiste pas à l’envie de me caresser, écartant légèrement les cuisses, appréciant la douceur de mon mont de venus, l’humidité de mes lèvres. Durant cette inspection, je remarque encore quelques poils qui restent autour de mes lèvres et à proximité de mon anus. J’attrape le miroir de courtoisie sur le lavabo, le pose par terre et viens m’accroupir au-dessus, dévoilant entièrement mon intimité. Je vois tout, et avec l’effet grossissant, j’ai l’impression d’être à quelques centimètres de mes orifices. J’élimine les quelques poils restants, dernière inspection : parfait tout est lisse, partout.
Bien que j’aie fini mon travail, je reste dans cette position, accroupie au-dessus du miroir, ne pouvant détacher mon regard sur mon intimité. J’écarte même mes fesses pour mieux voir mon anus, un peu boursouflé, mais encore ridé, ensuite mes lèvres découvrant l’entrée de mon vagin, tout rose et luisant. Quand je pense que la grosse bite d’Arnaud était dedans il y a peu de temps, quel spectacle ça devait être, mes lèvres comprimées sur sa tige, humm, je ne peux m’empêcher de glisser deux doigts dans ma fente en y pensant. Je regarde à travers ce miroir mes doigts coulisser dans mon fourreau soyeux, les recouvrant de mon jus, hum, je me tends, je suis sur le point de jouir.
J’essaie de me contrôler, de me calmer, mais je ne peux pas retirer mes doigts de mon orifices, c’est plus fort que moi, je me tiens de ma main libre au bord du lavabo pour ne pas tomber, je me crispe, tremble sur mes jambes repliées, je vois mes doigts accélérer leurs mouvements malgré moi. Humm, la bouche ouverte, laissant échapper un râle, je me libère, je jouis, aspergeant mon miroir de mouille, me faisant tomber à genoux à bout de souffle.
Je suis toute essoufflée, comme si j’avais parcourue un marathon et, pour ne rien arranger, j’entends toquer à la porte. Mon dieu, 20h30, je n’ai pas vu l’heure passer, je me précipite toute nue vers la porte d’entrée et, sans même regarder par le judas, je l’ouvre, me présentant nue, épilée et fière.
Il est là, devant moi, tenant un sac à la main, me scrutant de haut en bas avec un sourire de vainqueur, son regard s’attardant un moment sur mon sexe. Il passe le dos de sa main dessus, appréciant mon initiative surement, sa douceur. Il remonte vers mon ventre, ça me fait frissonner, passe entre mes seins dont les bouts sont tous durs pour finir sous mon menton. Il pose son pouce sur mes lèvres, les forçant un peu pour le glisser entre, me faisant mimer une fellation sur son pouce.
- Grosse gourmande ! me dit-il tout en retirant son pouce. Ton mari dort ?
- Oui Maître- Bien, ça nous laisse toute la nuit tranquille pour que je m’occupe de toi, pour commencer ton éducation ! c’est ce que tu attends n’est-ce pas ?
Baissant les yeux, mettant les mains derrière le dos, j’acquiesçai, dans un soupir à peine audible. Je me repassai toutes les images des soumises fouettées, entravées, abusées, humiliées et, même si ça me fait peur, j’en ai envie. J’ai envie qu’il abuse de moi, qu’il me fasse mal, qu’il me traite comme une salope, une chienne.
A croire qu’il lit dans mes pensées car, il me fait mettre à 4 pattes, comme sa petite chienne, et me dit d’aller près du canapé ou, il a quelques temps, il m’a baisée et faite jouir comme jamais. Il s’y assoit et me fais mettre assise, le cul sur le talons entres ses jambes. Il pose son sac à côté de lui et commence à sortir des objets que je regarde avec des yeux tout ronds, me demandant à quoi ça peut servir.
Un collier métallique, une sorte de citron en plastique (un plug), des pinces en métal dont certaines sont reliées entre elle par des chaines, une sorte de petite règle en cuir, une boule en plastique reliée à deux lanière, un martinet avec pleins de lanières et enfin une gros sexe en plastique avec une ventouse au bout.
Il dispose tous ses objets soigneusement sur la table basse, me disant que tout ceci allait servir cette nuit.
Ça me fait frissonner, de savoir qu’il va enfin abuser de moi.
- Lors de ta toilette, tu t’es masturbée petite salope ?
- Oui Maître, je n’ai pas pût m’en empêcher. J’ai jouis aussi Maître !
- Tsss as-tu demandé l’autorisation ?
- Mais… non, je ne savais pas, je ne l’ai pas fait exprès.
N’écoutant à peine mes vaines excuses, il avance 3 objets : les pinces, la règle en cuir et le martinet.
- Pour ta première faute, je te laisse le choix de ta punition.
Quel choix ? Tous ses instruments de torture me font peur ! J’imagine déjà la douleur que doit produire la règle dure en cuir sur mes seins et fesses, tout comme le martinet, laissant des traces rouge !
Apres quelques secondes d’hésitation j’opte pour les pinces. Apres tout, même si elles ont en métal, il y a un petit caoutchouc au bout, ça limitera la douleur.
Apparemment satisfait, il se saisit de la boule reliée avec des lanières, me la met dans la bouche et sert les lanières derrière ma tête.
- Voilà, avec ce bâillon, on ne risque pas de réveiller ton mari ma petite salope.
Je ne comprends pas tout de suite ce qu’il veut dire, mais commence à deviner lorsqu’il me fait mettre debout, mains derrière la tête, jambes écartées. Il commence à me caresser les seins, les malaxant, titillant mes pointes qui durcissent rapidement. Il prend un de mes seins à 2 mains, le comprimant, pour que mon tétons ressorte, il commence à le lécher, l’aspirer, le mordiller. Je me tortille de plaisir, les yeux clos, appréciant cette douceur mélangé à cette force.
Une fois la dureté du téton satisfaisant, il saisit une pince et je sens d’un coup la morsure métallique sur mon téton, me faisant mordre à pleine dents le bâillon, étouffant mon cri, les yeux pleins de larmes.
Avant que je ne reprenne mon souffle, il est déjà sur mon autre sein, infligeant la même punition, la même morsure, la même douleur. Ce n’est qu’au bout de quelques secondes que j’ose regarder ce qu’il m’a fait. Je découvre mes tétons, gonflés comme jamais, pincés entre les mâchoires métalliques reliées entre elle par une chaine, tenue par mon Maître par un doigt.
J’essaie de me concentrer, d’oublier cette vive douleur qui me mord les seins, je respire par à-coups, me concentrant sur ce que me dit Arnaud.
Il me félicite, me complimente sur mon choix. Il aime jouer avec ses pinces et, il me prédit une jouissance encore plus forte. Il pose sa main sur ma chatte, commence à la caresser, à m’écarter les lèvres, me titiller mon clito. Je commence à me tortiller, à bouger le bassin pour accentuer ses caresses. Il sait y faire pour me faire oublier ma douleur mais, sait me la faire rappeler en tirant légèrement sur la chaine de temps en temps. Je suis tiraillée entre le plaisir, l’excitation de sa caresse et la douleur.
Il me doigte sérieusement la chatte, me faisant fléchir les genoux, ce qui accentue la tension sur la chaine des pinces. J’ai les tétons tirés vers le haut, soulevant mes seins, tenue par Arnaud qui n’arrête pas de me doigter. Que c’est bon, la douleur mêlée avec l’excitation, je recule de moi-même afin d’avoir les seins tendus par ses mâchoires, pour souffrir, pour essayer de jouir tout en souffrant.
Je suis au bord de l’orgasme, au bord d’un violent tsunami, tirée par les seins et branlée par deux doigts.
Mais avant que tout cela me submerge, il arrête ses attouchements, me laissant tenue par les tétons, bougeant mon bassin pour chercher le contact avec ses doigts, réclamant mon plaisir, râlant à travers mon bâillon, bavant dessus.
- Tu allais encore jouir sans autorisation ! grogna Arnaud tout en maintenant la tension sur la chaine.
Cette nouvelle tension m’excita de nouveau ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je deviens maso ou quoi ? J’ai l’impression que je fais exprès de reculer pour avoir mal. Arnaud le sent, il me voit bien faire tout pour que les pinces tirent mes tétons, pour que la chaine reste tendue, pour que mes mamelles soient portées par ces pinces.
Il sourit, il voit que j’aime ça, que j’aime souffrir. Il lève la chaine au niveau de mon visage, me faisant me mettre sur la pointe des pieds pour soulager mes seins, tirés vers le haut et, du plat de la mains me claque la chatte, me faisant reculer un peu, accentuant la tension de mes seins.
Ça chauffe au niveau de mon sexe et m’excite, je reprends ma position, sur la pointe des pieds. Tout en me regardant, il me demande « encore ? »Les yeux pleins de larmes, de douleur ou de plaisir, je ne sais plus, je fais oui de la tête.
Une nouvelle claque s’abat sur ma chatte, plus précise, claquant mes lèvres et mon clitoris. Je mords le bâillon et sens un jet de cyprine coulée le long de ma cuisse.
Vas- y salop, plus fort, pends moi par les seins, claque moi la chatte plus fort salop ! Toutes ses pensées restent coincées derrière cette boule qui m’obstrue la bouche.
Une nouvelle claque me fait jouir en silence, les yeux fermés. Ce fût bref mais d’une intensité encore jamais égalée. Il lâche toutes les tensions, de mes seins et de ma chatte, me faisant tomber à genoux, en transe, à bout de souffle. Sans me laisser le moindre répit, il m’oblige à poser ma tête sur l’assise du canapé, se place derrière moi et d’un long mouvement me pénètre, sans la moindre résistance ma chatte, parfaitement lubrifiée. En un coup je me sens totalement remplie, pleine de sa grosse queue, écartant mes lèvres.
Il me prend les poignets, les tenant au creux de mes reins, me faisant cambrer au maximum, accentuant sa pénétration tout en commençant un dur vas et viens. Des coups secs et rapides, comme si il voulait me perforer la chatte. Ces coups de butoirs me font gigoter les seins qui, de par ma position pendent sous moi, les tétons tiré par le poids des pinces, m’électrisant à chaque mouvement. Il amplifie ses mouvements, je les sens plus rapides et désordonnés, je pense que lui aussi doit être excité de baiser sa chienne, de la faire couiner comme une cochonne.
La pièce se remplie de soupirs et de râles, à quelques mètres de mon mari qui doit dormir paisiblement. Cela fait à peine une heure qu’il est là et j’en suis déjà à mon 2ème orgasme, je mords mon bâillon, je salive, bave à travers cette boule. Je sens son gland gonflé en moi, il va jouir, et m’entrainer avec lui, il me lâche les poignets, passe ses mains sous moi pour attraper les pinces et dans un dernier coup se déverse en moi tout en ouvrant les mâchoires des pinces, faisant affluer le sang dans mes tétons, provoquant des milliers de décharges électrique dans ma poitrine, exacerbant toutes mes zones érogènes, multipliant par 10 la puissance de mon orgasme, libérant un flot de cyprine énorme.
Mon dieu je ne peux pas m’arrêter de jouir, de gémir, de grogner, j’ai envie de prendre mes seins à pleines mains et de me les presser, me pincer les bouts, recommencer à avoir mal pour jouir aussi fort ! Je suis en sueur, essoufflée, émue d’avoir autant jouis.
Je le sens sortir de moi, laissant échapper un pet, à cause de vide qu’il provoque, me libère de mon bâillon et, viens s’assoir à coté de mon visage. Je me déplace légèrement afin d’avoir ma tête posé sur une de ses cuisses, embrassant amoureusement son sexe, donnant des coups de langue pour nettoyer mes souillures, pour le remercier de m’avoir donné autant de bonheur.
Il me regarde et me laisse faire, j’ai envie de le rendre fier de moi, de lui donner du plaisir aussi, et je m’active sur son sexe, je le lèche sur toute sa longueur, dessus, dessous, j’attrape ses couilles, les nettoies, enlève toute trace de mon jus. Je me sens chienne, dans cette position, à 4 pattes, les testicules de mon maître dans la bouche, je m’excite de nouveau, mais qu’est-ce qu’il fait de moi, je deviens une véritable assoiffée de cul. Il apprécie, je le sens, je le vois. Et plus il apprécie, plus j’ai envie d’aller plus loin, plus j’ai envie que cette soirée dure le plus longtemps possible. Il peut faire ce qu’il veut de moi, je me sens prête à lui obéir, à me faire éduquer.
Je sais que cette nuit ne fait que commencer……

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