Une soirée de réception, le passé resurgit 4

- Par l'auteur HDS Effrontée -
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une soirée de réception, le passé resurgit 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une soirée de réception, le passé resurgit 4
Quand je pénètre dans la lumière de la salle de réception, il y a encore beaucoup de monde. Tout de suite je sens les regards se porter sur moi et ma tenue. Je suis rouge de honte et j’ai les jambes qui tremblent. Sans mon écharpe, je réalise que mes épaules sont nues et que ma poitrine n’est cachée que par deux triangles de tissu qui se rejoignent à la taille. Mon dos est aussi découvert par un décolleté qui descend jusqu’au creux des reins.

Les lumières violentes projetées par les énormes lustres de la salle doivent me détailler et montrer mon désarroi. Je me sens nue, déshabillée par ces regards dont certains sont chargés de jugements sévères. La femme de l’homme honoré ce soir dans cette tenue arrogante et provocatrice !
A cet instant je souhaite mourir, devenir transparente, disparaître. Mais je ne peux me le cacher, cette situation humiliante m’excite, je sens que je mouille et j’ai l’impression que tout le monde voit ma cyprine couler le long de mes cuisses avant de souiller mes bas.
Je balaie la salle du regard à la recherche de mon mari avec le fol espoir de ne pas le voir. C’est alors que je réalise soudain que je n’ai pas rafraîchi mon visage. Je sens sur la peau de mon visage la salive séchée de l’immonde libidineux, adipeux, copain d’Antonio.
Je me tourne vers le couloir qui mène aux toilettes. Ils sont là tous les deux, appuyés sur le mur. Ils m’adressent un sourire cauteleux qui me glace. Le gros a une main contre son sexe et se tripote la bite au dessus de son pantalon. Il ne se rend même pas compte combien ce geste est vulgaire, mal placé dans cet endroit. Mais en même temps il accroit mon excitation. Je suis devenue "addict" à cette perversion.
Quand je retourne la tête, je me trouve nez à nez avec mon mari.
- Où étais tu passée encore ?
Il contient sa colère car derrière lui j’entrevois le général qui me regarde de son regard méprisant de tout à l’heure. Pour cet homme je suis une névrosée sans intérêt, si ce n’est que je suis la femme de son ami. Je n’ai pas le temps de répondre que mon mari ajoute : - Et ton écharpe ? Tu es presque nue !
Je ne sais quoi répondre. Il me foudroie du regard ! Un silence pesant s’installe entre nous. J’ai l’impression que des milliers d’yeux sont braqués sur moi.
- Je l’ai maladroitement salie aux toilettes et je l’ai rapportée au vestiaire.
Ma réponse semble le satisfaire car il me prend le bras et m’attire à ses côtés. On se retourne. Le Général me toise, mais cette fois je perçois dans son regard un intérêt nouveau pour ma tenue. En fait il a les yeux braqués sur ma poitrine, ce qui n’échappe pas à mon mari. Il faut dire que le décolleté caché simplement par mes cheveux qui tombent mes épaules est des plus avenant. C'est alors que je me rend compte que mon mari, qui a perçu l'intérêt soudain du Général pour mes seins, me serre contre lui, dans ses bras ce qui a pour effet de faire bâiller les bretelles de ma robe et dévoiler un instant la pointe de mes seins nus. Je me laisse faire. Le jeu de la séduction me plait et je lui adresse un sourire coquin qu’il remarque.
Mon mari comme intéressé par le changement de comportement du Général pour ma personne entre dans le jeu. Se tournant vers moi il me prend les cheveux et les coiffent sur mes épaules pour bien sûr découvrir mon buste.
- Tu es très belle ma chérie, n’est-ce pas, mon Général ?
Le salaud, il vante sa marchandise !
A ce moment même je réalise qu’il allait me faciliter la tâche imposée par mes bourreaux. Ils veulent tous voir mes seins ? Ils vont être servis. J’étais de plus en plus excitée.
- Chéri, tu as montré à ton ami les salons particuliers de l’hôtel ? Ils sont somptueux. Voulez-vous que je vous y conduise ?
Mon mari écarquille les yeux ! Il n'en revient pas de ma véhémence. Mais il reste muet et c'est son ami qui m'encourage.
- Certainement Madame, vous suivre est un plaisir.
Et nous voilà partis. Je saisis les deux hommes chacun par un bras et encadrée, je les entraîne vers le grand salon attenant à la grande salle. Tout en marchant je joue des épaules afin que la bretelle de ma robe glisse le long de mon épaule et finisse par tomber malencontreusement sur mon bras. Mon sein du côté du Général est presque entièrement découvert. Je fais un geste de pudeur pour remettre ma bretelle en place. Mais cette bretelle a une tendance à s’échapper à nouveau. Le sein se découvre à nouveau, mais cette fois je ne fais rien pour le cacher. Au contraire sous les secousses de ma marche la bretelle descend, descend et la pointe de mon sein droit est au bord du tissu. Les deux hommes qui m’encadrent ne manque rien du spectacle. Mon mari est pâle, partagé entre colère, stupéfaction et plaisir.
On s’arrête devant une toile. Je vois bien que le Général est en train de perdre son sang froid. Il plonge dans mon décolleté, sans le moindre égard pour mon mari qui à ce moment est parfaitement transparent. Et soudain il se lâche.
- Ma chère Madame ce que vous me montrez-là est d’une rare beauté ! Je n’ai jamais vu un sein aussi bien dessiné.
Comme, dans un mouvement de fausse pudeur, je fais un geste pour me couvrir la poitrine, il me retient la main et écarte le mince tissu de la robe pour dénuder complètement le sein. Je laisse faire et ce manque de réaction est une invitation à continuer, surtout que je ne manque pas de le regarder en souriant. Sans se préoccuper si on peut nous voir, il se saisit de l’autre bretelle qu’il écarte et fait glisser la robe jusqu’à la taille dévoilant toute ma poitrine.
- Merveilleux, Madame, merveilleux !
Et sans la moindre gêne, dans ce lieu où on pourrait nous surprendre, il englobe mes deux seins dans ses mains pour les malaxer fébrilement mais doucement. Je ferme les yeux. Je suis toute excitée, je sens que je mouille d’être pelotée en public devant mon mari. Je m’abandonne. J’ai juste le temps d’apercevoir loin derrière nous, dans le reflet du tableau, mes deux persécuteurs qui se caressent en matant la scène. Ils se régalent mais déjà Antonio me fait signe de les rejoindre.
Le cauchemar revient.
Les yeux braqués dans ceux du Général; je m'écarte et recouvre ma poitrine.
- Je vous en prie mon général, vous me troublez !
Sur ces mots je me dégage, adresse un rapide regard à mon mari.
- Excusez-moi, je vais me refaire une toilette !
Je tourne les talons pour me diriger vers les toilettes et retrouver mes tourmenteurs.
Après quelques pas, une main me prends l'épaule.
- Tu t'es comportée comme une putain ! Tu te rends compte ? Ma réputation ! Tu n'as aucune considération pour moi.
- Mais mon chéri j'ai cru voir que tu appréciais comme ton ami d'ailleurs de profiter de mes atours, non ?
- J'étais bien obligé. Mais qu'est-ce qu'il va penser de moi maintenant. Un mari cocu, à la femme frivole. Il nous a invités à venir souper ce soir chez lui après la soirée ! J'ai bien compris qu'il voulait surtout te revoir. Je suis déshonoré ; et cocu !
C'est à mon tour de prendre un ton des reproches.
- Tu exagères ! C'est toi qui as voulu m'exhiber !
Sur ces paroles je le laisse et vais vers les toilettes. S'il savait que je n'avais plus de culotte ! Et je sentais la mouille sur glisse lentement le long de mes cuisses.
Arrivée au niveau d'Antonio et de son copain, je m'assure de mon mari. Il nous regarde. La panique me prend ! Les deux hommes sourient et semblent satisfaits. Je veux les dépasser faisant mine de ne pas les connaître mais je me souviens soudain que le gros lui avait été présenté. Je leur fais face.
- Très jolie exhibition, bravo. Vous avez été obéissante.
Il reprit le vouvoiement pour encore plus m'humilier !
- Laissez-moi maintenant, mon mari va se douter.
- Mais c'est très bien. Il va comprendre la pute que vous êtes. Allez aux toilettes, mais à celles des hommes cette fois. Oui, des hommes. Faites l'innocente qui s'est trompée, choisissez une cabine et ne fermez pas le loquet de la porte.
- Mais vous êtes fous ! Cette fois c'est impossible. Non je ne veux pas, je ne peux pas !
- Comment dites-vous ?
- Non ! Je ne le ferai pas !
- Très bien, Antonio, tu viens, on va rejoindre son cher mari et le Général.
La panique m'envahit à nouveau. Ils en sont capables, j'en suis sûre.
- Non ! Attendez ! Je ferais ce que vous voulez mais quand il y aura moins de monde.
- Non ma chère, tout de suite. Allez !
La peur au ventre je me dirige vers les toilettes. Sans hésiter, je pousse la porte sur laquelle s'affiche une silhouette en pantalon. Celle des hommes.
Il n'y a personne dans les lavabos. Quatre cabines sont alignées. La première est occupée, je file à celle du fond, dont la porte est entrouverte. Je m'y glisse et ferme tout de suite la porte avec le loquet. Je tends l'oreille. L'occupant de la première cabine tire la chasse d'eau, passe aux lavabos. J'entends qu'il se lave et se fait sécher les mains. Il sort. J'ai le cœur qui bat à cent à l'heure. La porte couine. On vient. Mon sang se glace. Au bas de la porte j'aperçois un ombre. La poignée s'abaisse et résiste.
- Ouvrez petite salope. Ouvrez !
C'est la voix d'Antonio. Il répète.
- Ouvrez avant qu'une personne entre.
En tremblant j'abaisse le loquet. Il entre mais laisse la porte ouverte dans une situation de nous faire surprendre. Il m'ordonne de me tourner et avant que je puisse réagir, il me passe un bandeau sur les yeux qu'il serre fortement derrière ma tête. Je suis aveugle. Il me pousse contre le siège rabat l'abatant et me pousse à m'asseoir dessus. Je sens qu'il prend le bas de ma robe, qu'il le relève pour découvrir mon ventre jusqu'à la ceinture. De ses mains, il écarte mes cuisses pour exhiber mon sexe. Enfin pour finir, il dégage les bretelles et découvre entièrement ma poitrine. Sans un mot, je le sens qui s'éloigne un peu avant d'entendre le déclic d'un appareil photo. Je comprends que le salaud enregistre ma situation : nue les cuisses ouvertes dans les toilettes pour homme. Je crois m'évanouir !
- Je vais rester pas loin de vous. La porte entrebâillée. Je ne vous conseilles pas de bouger ni de défaire votre bandeau, sinon… Je vous surveille. Nous viendrons vous délivrer quand bon nous semblera. Pour votre information, mon ami, que votre mari semble apprécier, est auprès de lui et du Général. Je me demande de quoi ils peuvent bien parler. Enfin, vous n'avez aucune raison de vous inquiéter si vous êtes gentille. A plus tard ma chère Chantal.
J'entends qu'il plaque la porte mais ne ferme pas le loquet de sécurité. Je devine qu'il s'éloigne mais ne quitte pas la pièce. Je suis morte de peur, aveugle et soumise au premier venu.
La porte qui ferme les toilettes hommes couine légèrement en s'ouvrant. Ainsi j'entendrais quand quelqu'un viendra. Je n'ai pas longue à attendre. Un client arrive, il entre dans la première cabine. Ouf !
Un autre le suit immédiatement. Il entre dans la deuxième je crois. J'entends des bruits pas très excitants mais cette situation me rend folle. Rien qu'à l'idée de ce qui peut survenir, je sens ma cyprine couler. Je ne verrai pas qui me voit mais cette personne aura tout le loisir de constater qui je suis et ce que je fais là, cuisses ouvertes, seins nus et yeux bandés. A cet instant j'ai envie d'être baisée par n'importe qui. Brutalement, violemment. J'ai envie de jouir et sans m'en rendre vraiment compte, je glisse une main entre mes cuisses pour caresser mon petit bouton d'amour.
D'un seul coup quelqu'un ouvre ma porte et reste, je suppose, immobile devant moi. Je crois que je m'évanouis quelques secondes…(à suivre)

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