Réunion de travail suite

- Par l'auteur HDS Max 86 -
Récit érotique écrit par Max 86 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Réunion de travail suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2016 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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Réunion de travail suite
Vers 18h Laurence est rentrée à la maison, elle est venue m’embrasser et m’a demandé comment s’était passée ma journée, - Bien répondis je, et toi ?
- La matinée rien de bien folichon mais l’après-midi, j’ai travaillé avec mon nouveau chef, ça a été très instructif !
- Ah oui, il est sympa ?
- Oui, il a un très bon contact, au niveau relationnel il est au top !!! je te raconterai tout ça en détails tout à l’heure.
Nous avons vaqué à nos occupations, diné, regardé un peu la télé et vers 23 heures nous sommes monté nous coucher.
Une fois dans le lit, Laurence s’est approché de moi et me dit :- Il faut que je te raconte mon après midi- T’es sur je suis claqué- Oui tu vas voir, ça va te rebooster !
Elle me raconta alors son arrivée à l’hôtel, sa séance de travail pendant une heure et puis le petit jeu auquel elle s’était livrée : écartée les jambes pour lui montrer sa chatte gonflé et luisante, jouer avec son décolleté en se penchant.... Je voyais bien comment ça allait se terminer, j’étais de plus en plus attentif, je n’avais plus sommeil et ma queue était déjà raide !
Elle continua avec l’entrée dans la chambre et le manque de place pour fermer la porte ce qui provoqua un frotti frotta, elle m’avoua avoir poussé délibérément un gémissement lorsqu’il est venue frotter son sexe dans la raie de ses fesses afin de l’inciter à poursuivre. Elle passa sa main entre mes jambes et me dit :Ben dis donc, je vois que ça te fait de l’effet de savoir que ta petite femme à allumer son patron et a frotté son cul contre sa bite pour l’exciter !
Pour continuer son récit, elle me fit m’assoir sur le lit et est venue s’assoir en tailleur sur moi, elle s’est empalée sur mon sexe déjà bien raide et a mis ses jambes autour de ma taille.
- Et maintenant le plus intéressant, dit-elleElle raconta la suite : sa robe retroussée sur ses reins, les doigts de son patron lui fouillant habillement la chatte, et ses mains autour de sa bite, et surtout du diamètre de celle-ci ! Je lui dis :- C’est parce que tu étais excité, tu as eu la sensation que sa queue était énorme- Mais non, je l’ai bien vu quand il m’a léché le cul, qu’il était à genoux, et en plus j’avais même du mal à faire le tour avec mes doigts ! je la sentais bien dans ma chatte, je ne me suis jamais senti aussi rempli et puis lorsqu’il a joui et s’est retiré je lui ai mis un petit coup de langue sur le gland, je l’ai bien vu, je ne sais pas si j’aurais pu le prendre dans ma bouche pour le sucer !
Tous ces détails nous excitèrent encore plus et j’ai déchargé rapidement au fond de sa chatte.

Le lendemain je lui dis : - Pourquoi n’inviterais-tu pas ton patron à manger ? on pourrait faire connaissance, et si tu te débrouille bien tu pourras me montrer cette grosse queue.
- Ok, je te prends au mot, mais attention faudra pas complexer !
Les semaines et puis un jeudi après-midi Laurence m’appel et me dit :- Ce soir tenue de gala, nous avons un invité de marque, il arrive à 20h00 tapantes !
Nous avons commandé le repas, je suis rentré plus tôt pour préparer l’apéritif et vers 18 heures elle est rentrée et nous avons terminé de préparer ensemble. A 19h55 Laurence est face au plan de travail, elle est vêtue d’une petite robe légère imprimée léopard, qui laisse apparaitre ses formes, je m’approche et glisse ma main entre ses jambes, elle a un petit string ouvert (très pratique pour baiser sans l’enlever). Elle sursaute et me dit :- Faut pas te gêner, c’est pas le moment !
- Je vérifie si tout est prêtEt dans la foulée, je relève sa robe et commence à lui lécher la chatte, je veux qu’elle mouille avant son arrivée, ça va la stimuler !
Elle poste un pied sur chaise et se laisse faire en gémissant, malheureusement pour elle la sonnette retentit. J’introduis deux doigts dans sa chatte et la première phalange de mon pouce dans sa chatte.
- Salop me dit-elle, tu ne vas pas me laisser comme ça !
- Ça ne tient qu’à toi, fait accélérer les choses !
Je lui mets une petite claque sur son petit cul et la pousse vers la porte d’entrée, je la suis, elle ouvre et me présente son boss. Il a l’air assez sympa, nous prenons l’apéro et discutons de choses et d’autres. A chaque fois que Laurence se lève pour desservir, je l’aide et l’accompagne à la cuisine, j’en profite pour maintenir son excitation, je la caresse, la doigte, je l’ai serré contre moi, soulevé sa robe jusque sur ses hanches, sortie ma queue et me suis introduit dans sa chatte chaude et humide en l’embrassant langoureusement, j’ai fait quelques allers retours et me suis retiré.
- Ah non, là il faut que tu me baise !
Notre invité a dû nous entendre car il nous dit :- Vous avez besoin d’aide ?
- Moi non, mais ta collègue oui !
J’embrasse ma femme, prends un plat et sort de la cuisine en lui disant : - A toi de jouer maintenant !
Sans se faire prier, son patron arrive, nous nous croisons et je lance à ma femme : - j’ai oublié mon portable dans la voiture, je vais le chercher, je reviens de suite - ok me dis t elleJe fais claquer la porte d’entrée puis retourne sur mes pas discrètement, je me place dans un coin et regarde le déroulement des choses dans un reflet du miroir de la salle à manger.
- Que puis-je faire pour toi ?
- Peux-tu soulever ma robe, à l’intérieur de ma cuisse, je me suis cogné et je pense que je vais avoir un bleu- Oui, mais ton mari, il va revenir- Mais on ne fait rien de mal et puis il est très large d’esprit, ne t’inquiète pasIl s’exécute se met à genoux et ausculte l’intérieur de sa cuisse - Je ne vois rien, tu n’es même pas rouge- Mais si regarde mieux c’est un peu plus hautSa main remonte jusqu'à l’aine et redescend plus au centre, il passe les doigts sur son string et glisse entre ses lèvres- Effectivement, je sens qu’à cet endroit tu es gonflé- Oui, c’est là, il faut que tu me masse un peuElle écarte un peu plus les cuisses et pousse son bassin vers son visage, le message est explicite, elle a envie de se faire lécher. Il ne se fait pas prier, il s’approche de son ventre, je distingue nettement sa langue sortir et pointer vers sa chatte luisante. Elle gémit, je comprends alors qu’il introduit sa langue dans son intimité, je le vois lécher goulument sa chatte. Elle ferme les yeux et se laisse faire quelques instants et se retourne- Attends comme ça tu pourras mieux me lécher Ce changement de position ne m’arrange pas, je ne vois plus rien. J’essaie de faire des signes à Laurence mais elle est en train de jouir et ne prête aucune attention à moi. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il se redresse, baisse son pantalon et son caleçon.
- Tu crains plus le retour de mon mari à ce que je vois !
- Je m’en fou, je pourrais te baisser sur la place publique, et puis te connaissant, ton mari et moi ne serons pas trop de deux pour toi !
Elle sourit à ses paroles et se met à genoux, malheureusement pour moi, il me tourne le dos, je ne vois rien, je sais que je suis sur le point de voir le monstre du Lock Ness ! j’entends simplement ma femme dire- Elle est énorme, je ne peux pas le prendre dans ma boucheIl faut que je vois ça, je décide donc d’apparaitre, j’entre dans la cuisine à pas de loup, il est de dos et ne m’entends pas il ferme les yeux. Je regarde ma femme à genoux devant son patron, sa queue dans la main (pas trop longue, environ 20cm, mais extrêmement large et épaisse) en train de le branler et de passer sa langue tout le long de sa hampe. Elle décalotte un gland énorme et extrêmement proéminent et entreprend de le lécher, elle passe sa langue dessous, sur son prépuce, le titille quelques secondes puis fait le tour du gland. Elle ouvre grand la bouche et essaie de le prendre dans sa bouche, seul le bout du gland rentre, le tour est trop prononcé, elle suce le bout et recommence l’opération mais cette fois, il l’aide et d’un coup de bassin s’introduit entre ses lèvres. Il gémit, me femme ne le lâche pas, je vois sa langue bouger à l’intérieur de ses joues, elle fait le tour de gros gland au rythme de ses coups de hanches. Il ne m’a toujours pas vu, je me penche a son oreille :- Elle suce bien ma femme hein ?
Surpris il recule et sort de sa bouche- Je, je…Je souris, ma femme s’avance et remet sa bite dans sa bouche du premier coup cette fois et reprend sa pipe.
Je me penche et commence à lui caresser les seins, le corps…- Et si on allait dans un endroit plus confortable ?
Tout le monde est d’accord et nous nous dirigeons vers la chambre, pendant le trajet, je retire la robe de Laurence, la laissons passer devant, lui matons le cul et nous regardons en même temps :- On va la baiser et lui en mettre plein le cul. Me dit son boss- Je confirme Laurence se retourne et nous dit : - Et qui aura le privilège de m’enfiler en premier ?
- On verra, on va déjà reprendre là où on s’est arrêté !
Elle se met à genoux sur le lit, nous nous mettons chacun d’un côté, elle nous prend en main et se tourne vers moi me suce pendant qu’elle branle Manu. Elle se retourne vers lui et lui dit :- Tu vois patron, je t’avais bien dit que j’étais ambidextre, je branle aussi bien de la main gauche que de la droite !
- Ça peut être utile au bureauElle se remet à le sucer longuement et profondément, puis je l’invite à s’allonger, je me mets sur elle, passe ma queue sur sa chatte et m’enfonce dans cette endroit chaud et douillet. Manu est venu à sa tête, elle le branle et lui passe de longs coups de langues sur toute la bite, je la lime plusieurs minutes et sentant ma sève qui commence à monter je me retire et cède la place.
Laurence écarte un peu plus les jambes, je reste accroupi à côté de lui, je veux voir cette énorme bite s’enfoncé dans le con de ma femme. Il vient en appui sur sa chatte et commence à peser de tout son poids, il introduit le bout de sa tête et continu lentement, elle gémit et ondule des hanches. Ses mouvements favorisent l’introduction et son gland disparait entièrement dans sa chatte détrempée, le reste de sa queue suit sans difficulté. Il la pilonne maintenant sans ménagement, Laurence est rouge écarlate, elle ses lèvres son gonflées par le plaisir, elle crie. Je ne l’ai jamais entendu crier comme ça !
La salope me dis-je elle adore sa grosse queue ! elle adore se faire ramoner par son par l’énorme bite de son patron ! il la retourne et la reprend sans difficulté par derrière, je suis aux premières loges, je vois sa queue lubrifiée, pleine de sa liqueur, entrer et sortir du ventre de ma femme. Il ne tient pas longtemps à ce rythme, il se retire, elle se retourne, se redresse et le reprend en bouche sans problème, j’ai l’impression que tous ses trous sont maintenant à la taille de sa bite. Je lui caresse les cuisses et le sexe pendant qu’elle le suce, elle ne le lâche pas, elle l’aspire, le relâche, le lèche jusqu'à ce que dans un cri il décharge de long jet de sperme chaud sur son visage, elle se redresse et le reprend en bouche, il termine de jouir entre ses lèvres. Elle continue de le pomper, du sperme s’échappe de ses lèvres et dégouline le long de ses joues jusque dans son cou.
Je la mets sur le côté et me place derrière elle, je m’introduis en elle sans la prévenir, elle gémit, et m’encourage, j’ai déjà joui deux fois mais vas-y baise moi bien, fais mois jouir encore, j’ai trop envie, vas-y défonce moi ! vas-y mon chéri, je t’aime ! je ne tarde pas à me vider en elle et à lui remplir la chatte de sperme.
Pendant ce temps elle n’a pas lâché la queue de notre invité qui a toujours une belle forme.
- Mets-toi sur le ventre lui dit ilElle s’exécute et met deux oreillers sous son ventre ce qui surélève son cul, il se place entre ses jambes qu’il écarte lentement, s’allonge sur elle et la prend à nouveau. Quelques va et vient plus tard elle recommence à mouiller et à onduler, il lui assène de grands coups de bites ce qu’elle apprécie vu les cris qu’elle pousse, elle jouit encore une fois ! Il se crispe et balance sa semence au fond de sa chatte déjà bien pleine.
Il retombe sur elle et lui glisse à l’oreille :- Tu es une sacrée baiseuse, un jour il faudra que je t’encule, mais avant je vais laisser tes trous s’habituer à ma queue !

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