Le chant des cigales (seconde partie)

- Par l'auteur HDS La naturiste -
Auteur femme.
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Récit libertin : Le chant des cigales (seconde partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le chant des cigales (seconde partie)
Je me sentais tellement frustrée. Et en mème temps le désir était toujours présent. Nue au milieu des collines avec la chaleur qui montait peu a peu, je me sentais bien. Quelques cigales fétaient en chantant notre présence dans cet endroit si paisible. Fred me demanda pourquoi j'étais toute mouillée; -Je me suis mouillée avec l'eau de la citerne, en arrivant.
-oui j'ai compris en te posant la question ;en voyant la cuve. Remouilles toi, tu es tellement belle et excitante.
Il regardait si personne n'arrivait sur le chemin. Mais nous ne pouvions pas voir bien loin, et si du monde arrivait nous serions vite pris en flagrand délit de ... de quoi d'ailleurs? D'attentat a la pudeur? Oui si on nous voyait en train de faire l'amour au milieu du chemin!!! Mais la fred était habillé. Bon moi je suis toute nue mais bon tans pis mais c'est trop bon.
Quand je pars me balader seule et que je me mets toute nue j'ai toujours mon sac sur le dos et au moins un paréo pour vite me couvrir au cas ou. Si vous connaissez mes autres récits vous savez aussi, quand je me retrouves nue sans rien les conditions qui m'ont ammenées a me retrouver dans ces situations. Je ne pars jamais en pleine journée a poil dans la nature mème si je rève de le faire.
J'y pense d'ailleurs souvent: un de mes plus beaux fantasmes serait de passer une journée entière complètement nue a me promener dans les collines. Sans aucun sac ni vetements a me mettre. L'engagement que cela implique et le risque encourru n'est pas a la hauteur de l'excitation que cela me procurerait; Un jour peu etre?
Mais revenons a nos moutons, enfin a nos cigales; Accroupie a nouveau devant la petite citerne, j'actionne la vanne et l'eau se mets a jaillir. je la récupere dans mes mains et m'en arrose la poitrine.la sensation de fraicheur est suave. Je sens le ruisselement descendre le long de mon ventre et glisser sur ma chatte en feu; Fred s'approche et me demande de le laisser faire. Je me redresse pour lui céder la place.
-Reste accroupie bébé. Attrapant l'eau du mieux qu'il le peut, il commence a m'asperger depuis la tete jusqu'au pied.
-Tourne toi, que je te mouilles le dos.
Je sens les éclaboussures ruisseler entre mes fesses et je ne peux m'empecher de porter mes doigts a mon sexe. Je commence a me masturber avec frénésie. Fred ferme la vanne et viens se planter devant moi.
-Suce moi petit ange; Tu me rends complètement fada.
J'attrapais sa queue entre mes lèvres. Elle était raide comme jamais je ne l'avais vu. Brulante. je pouvais sentir des spasmes de plaisir, comme si son coeur s'était déplacé dans sa bite. Il se mit a se branler dans ma bouche a toute vitesse. Puis il en sortit et la frotta sur mon visage. Je pense qu'il n'était pas loin d'éjaculer et qu'il ne voulait pas que le jeu s'arrete.
-repartons veux tu?
-oui d'accord -tu veux que je m'habilles? ou j'ai le droit de rester a poil?
-Non reste comme ca; tu vas mouiller ta robe sinon!!!
-tu veux pas que je mouille ma robe mais moi si on me voit a poil tu t'en fous?
- non je m'en fous pas au contraire ca m'excite de me dire que n'importe qui peux surgir et tomber sur une fille nue. Tu te rends compte de la surprise de la personne?
-Je me rends bien compte oui!!!
Si seulement il savait que je m'amuse a le faire quand je suis seule; Mais je ne lui ai pas tout raconté.
Le chemin se rétrécie maintenant et deviens un sentier .Apres un virage montant, nous nous retrouvons a un petit col. Le sentier descends de manière assez raide en suivant le fond du vallon. Nous avons une vision d'ensemble du parcours qui nous reste a faire. Personne en vue . Nous devons etre a 15 minutes de la plage. Mon corps encore mouillése chauffe du soleil qui monte inexorablement. Le retour risque de nous faire souffrir. Nous descendons au milieu de la garrigue.Tout le long du sentier des romarins me carressent les jambes et j'en attrape souvent quelques brins que je serre dans ma main. Je les détache du reste de la plante et les porte a mon nez pour en sentir le parfum. J'invite tout le monde a essayer une fois au moins dans sa vie.
Il faut venir en provence, en été, il doit faire chaud, tres chaud, il faut etre nu et la...c'est le coeur; l'extase; La pleinitude absolue........
Nous ne rencontrerons personne jusqu'a la plage. Juste avant que le sentier plonge sur la plage nous devons passer sous le pont de la voie ferrée.Le petit train qui y passe relie marseille a miramas et les horaires y sont souvent aléatoires mais j'ai deja réussie a m'exhiber devant les voyageurs... grand moment aussi.
J'avance prudement. La plage en contrebas est visible qu'au dernier moment. Fred passe devant et me distance d'une vingtaine de metres.
-C'est bon viens, on est seuls; J'avais peur qu'il y ai deja du monde.
Je le suivais et nous mettions enfin pied sur les galets. J'otais aussitots mes baskets et mes petites chaussettes et me jettais a l'eau.Elle devait faire 22 ou 23°.Elle était calme et je nageais doucement e n m'éloignant du bord. Aprés avoir installé les serviettes Fred, enfin nu ,me rejoignais a son tour. Fred m'avait rejoins. Je fis la planche et il glissa une main dans mon dos pour me tenir a la surface de l'eau. Immobile j'ecartais les bras et les jambes, la tete un peu en arriere et je me sentais comme en apesanteur. Sa seconde main ne tarda pas a se poser sur mon ventre et il elargit ses carresses vers ma poitrine. Il me massais les seins avec délicatesse. Sa main vint dans mon cou puis sur ma bouche. il passais deux doigts sur mes levres, Il entra un doigt dans ma bouche et je passais ma langue autour. Je fermais les yeux.
Il changeas de mains pour me maintenir a la surface et s'occupa de mes cuisses. d'abord sur le devant il allait du pli de l'aine jusque au genoux passait alors dessous et remontait jusqu'a mes fesses. Puis il me fis ecarter encore plus les jambes en pliant mes genoux et pu ainsi glisser ses doigts entre mes fesses. Je sentais son doigt sur mon anus. Il me massait doucement la rondelle et fit rentrer une premiere phalange.
Mais avec l'eau de mer, meme excitée au plus haut point la lubrification ne se faisait pas.
- ca va pas rentrer plus, tu sais . ca marche pas bien dans l'eau, et j'ai un peu frais.
-Viens on sort moi aussi j'ai pas tres chaud.
Nous passerent un bon moment allonges sur nos serviettes. Son ardeur semblait etre retombée mais connaissant mon Fred je savais que rien n'était terminé.
-Tu as pris de la creme solaire j'espere?
-Oh que oui t'inquietes pas pour ca et j'ai aussi une surprise.
-C'est quoi?
- Une surprise!!!
- Allez dis moi?
-Non que nenni, tu verras tout a l'heure mais je suis sur que ca va te plaire.
J'essayais encore de savoir mais rien n'y fit. Nous entendirent alors des pas dans les éboulis qui descendaient a la plage. Un couple arrivait et ils s'installerent a un vingtaine de metres de nous. la cinquantaine, l homme nous lanca un bonjour courtois. ils se mit nu aussi mais sa femme resta en maillot. Elle n'était pas vraiment attirante. Puis quelques minutes apres, depuis le chemin qui venait de la calanque et par lequel nous n'avions pris le choix de ne pas venir, arriva un groupe de jeune; ils étaient 8 et rapidement nous comprirent qu'ils allaient nous gonfler. Je mettais mon maillot, le haut et le bas et tout de immédiatement je ne me sentais plus bien . Fred qui avait remis également le sien compris aussi mon exaspération et me proposa de partir.
-On se tire et on va manger dans la colline ?
-oui c clair!!! fais chier, meme ici tu peux pas etre tranquille.
On remballa nos affaires et je remis meme ma robe pour ne pas attirer leur convoitise. Je savais que des le premier virage franchis sur le sentier j'aurais envie de me remettre a poil et je ne voulais pas risquer d'etre suivie par l'un d'eux. Il était 11h30 et le soleil cognait bien fort. nous marchions difficilement. Fred s'arreta brusquement et me designa au loin sur le chemin 2 silhouettes; Nous étions encore invisibles a eux et fred me demanda:-Tu te sens de te mettre a poil?
Oh que oui, je me sens!!!
en un clin d'oeil ma robe volait ainsi que mon maillot. Fred récupéra tout dans le sac. Deriere un gros buissons nous atendions .Ils approchaient; Fred me dit:-C'est un couple allons y, passes devant;Profonde inspiration et c'était partit. j'avancais nue vers eux, fred me suivait a 2 ou 3 metres. la femme marchant devant s'arreta brusquemente en poussant un petit cri de surprise puis se mit a rire.
-Bonjour, désolée!!!
L'homme devait avoir 50 ans plutot pas mal me dit:-pas de soucis, je vous en prie, attention au soleil quand meme?
Fred repondit:-Excusez la, mais elle ne peux pas s'empecher de se balader toute nue quand on est dans la colline. Je lui ai deja dit que c'était dangereux mais y'a rien a faire. Elle continue!!!
La dame:-Il a raison votre ami c'est pas prudent Je croisais le regard du monsieur et je vis dans ses yeux que le spectacle lui plaisait bien.
je repondais donc:- Vous avez vu du monde plus haut?
-Non personne- Tu vois bébé je peux rester nue; Je suis trop bien comme ca tu le sais, et puis il fait trop chaud ; je vais mourrir avec mes habits. Puis je m'adressais a la femme:essayez vous verrez c'est trop bon de sentir le soleil sur tout son corps- c'est pas trop mon truc merci; Elle est amusante votre copine. Bon passez une bonne journée et soyez prudent quand meme.
Elle se remis en route suivi de son mari qui se retourna plusieurs fois jusqu'a disparaitre deriere les arbres.
-T'es vraiment une folle toi; comme tu me plais; approches toi de moi me dit'il .
Il enleva son sac a dos et s'allongea sur le dos au milieu du sentier.
-Accroupie toi sur ma figure ;je me placais sur lui et il se mit a me manger la moule . Je me frottais sur son visage et je sentais sa langue rentrer dans mon vagin. Puis elle glissais vers mon anus et il faisait de meme. Il appuyait fort pour la faire entrer dans mon cul, revenais chercher dans mon vagin la cyprine nécéssaire et revenait forcer mon anus. J'empoignais mes fesses et les ecarter le plus possible pour lui offrir mon petit trou. Il y entrait sa langue a chaque fois un peu plus profond. Je me faisais sodomiser par sa langue et c'était divin. Sans me préoccuper d'une eventuelle apparition sur le sentier je me mis a genoux. les petits cailloux me faisait un peu mal mais ca ne suffit pas a m'areter. Je lui baissais son short,me rendant compte qu'en se rhabillant a la plage il n'avait rien remis en dessous!!! Lui baissant son short sur les genoux j'attrapais une queue prette a exploser ce qui ne se fit pas attendre. Je la sentis rapidement se gonfler et je compris que son orgasme n'était pas loin; Je le masturbais dans ma bouche, posais son gland sur mes levres. Une premier giclée entra dans ma bouche, puis une seconde ,plus abondante s'écrasa sur mes levres et coula sur mon menton. une suivante a nouveau dans ma bouche tandis que j'avais remis sa queue "au chaud". Je me redréssais la bouche fermée pleine de sperme. A nouveau accroupie sur lui, je me retournais pour etre face a son visage. Il me regardait en souriant. Je le fixais du regard quelques instants. Puis j'ouvris doucement la bouche et fit couler sa semence sur mon menton. Ca dégoulinait dans mon cou puis entre mes seins.
-Whaaou tu es vraiment dingue toi ,je t'aimeMe redressant son sperme continua de couler sur mon ventre et descendit sur mes cuisses.
-tu crois qu'on nous a vu fred-J'en sais rien, y'a personne mais peut etre que oui je sais pas. Ca t 'excite toi hein d'etre vue?
-Mmmm oui j'ai encore envie de croiser du monde.
-Viens alors on va aller manger au fort si tu veux; reste a poil avec mon sperme qui te coule dessus comme une salope.
-Je suis pas une salope, je suis une coquine c'est pas pareil.
-ah bon, alors viens ma coquineNous prirent le sentier du fort.une ancienne baterie tournée vers la mer et marseille. J'avais tres chaud -tu devrais me passer la creme solaire je vais bruler.
-oui tu as raison. Je vais t'en mettreIl pris le tube de creme et me badigeonna tout le corps. quand il passa sa main sur ma vulve je sentis le désir rejaillir. Toute glissante d'huile solaire je pris le relais et commenca a me masturber debout.
-Et sinon t'es pas une salope?
-si finalement tu as raison.
-Marche en meme temps vas y suis moiIl se remis en route et je le suivais en doigtant ma chate!!!
Il se retournait toutes les 5 secondes pour admirer la vue.
A suivre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Tu es trop fascinante!!!!!!!
écris-moi, mon amour.....



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