Le roi de Sparte 2 : le sac

- Par l'auteur HDS Hâakon -
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Récit libertin : Le roi de Sparte 2 : le sac Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le roi de Sparte 2 : le sac
Le javelot rebondit contre mon bouclier, comme tous les autres. Nous étions arrivés le matin et après des prières nous avion formés la phalange pour écraser ces stupides hilotes qui avaient crus bon de se rebeller contre nous. Je fis un pas en avant et je donnais un coup de lance qui transperça le cœur de celui qui me faisait face, puis j'enjambais son corps pour attaquer celui qui étais derrière lui, avec autour de moi mes frères d'armes. Une épée rebondit contre mon casque et je poussais avec mon bouclier pour faire tomber l'esclave que le spartiate derrière moi tua.

Nous étions irrésistibles, pas un seul d'entre nous étais mort depuis le début de la mêlée deux heures auparavant. Ces idiots n'avaient pas d'équipements de hoplites, et de toute façon ça n'aurait rien changé. Je donnais un autre coup de lance dans le ventre d'un hilote qui s'effondra en hurlant de douleur. Une grêle projectile, flèche, pierre et javelot s'abattit sur nous mais sans rien faire.

Sentant que le moment d'en finir était venus je criais un ordre et nous rompîmes la phalange pour charger les derniers esclaves rebelles. Pas uns ne survécut, les portes de bois de la cité restèrent fermées et nous les avons tous exterminé, 3000 hilotes morts, une cité qui bientôt subirait notre colère et un message; Personne ne défie Sparte ! d'autres hoplites arrivèrent avec des béliers pour détruire les palissades et la porte, pendant que le reste des combattants, sauf quelques uns qui restaient avec moi, retournait au camps pour se laver et se reposer.

Pendant que les dernières défenses cédaient j’enlevais mon armure de bronze et mes armes, si une femme ou un enfant m'attaquait mes mains suffirait bien pour le tuer. La porte craqua dans un grincement et nous pénétrâmes dans la petite cité qui venait de voir tous ses hommes mourir à ses pieds. Rapidement le pillage commença, avec son lot de souffrance pour les vaincus, de mon coté je me dirigeais seul dans une maison en espérant trouver des fruit secs et de l'eau.

A peine étais je entré qu'une femme se jeta sur moi avec un couteau dans l'espoir futile de me faire du mal. Je l'envoyais valdinguer contre le mur d'une baffe bien placée.

-Pfff. Il serait temps que tu comprennes où est ta place esclave.
-Plutôt mourir que d'être esclave à nouveau ! Ses yeux verts me regardait avec une haine que je n'avais connus que dans les yeux d'un argiens. Nous nous soulèverons encore et nous vous tuerons tous salopards !
-Ah ah ah ah ah ah ! Ce sont vos hommes qui gisent face contre terre, parce que vous n'avez pas ouvert les portes ! Ah ah ah, ah vraiment vous êtes si pitoyables. Si c"est cela l'exemple alors je ne vais plus trouver le sommeil à force de rire. Mes mots l'avaient atteinte, droit au cœur. Elle se rendait enfin compte de la lâcheté de sa cité. Prise d'un accès de rage elle tenta de me poignarder une nouvelle fois et cette fois je la frappais fort avant de la l'écraser sur une table.
-Lâches moi sale fils de pute ! En se débattant elle fit craquer sa robe de laine, laissant apparent une partie de son dos. Elle ne cessait pas de lutter aussi je frappais sa tête contre la table, la blessant légèrement et la sonnant.
-Je crois qu'il est temps que je remettes à ta place hilote.

la vue de sa peau avait éveillé en moi un désir, désir avec lequel j'allais mater cette furie. Je fis glisser mon pagne au sol et la saisit par le cou pour la plaquer sur la table. De l'autre main je remontais sa robe jusqu'à ses hanches, laissant apparaitre ses jambes et beaucoup plus important dans l'immédiat, son sexe. J’approchais ma verge lentement, caressant ses fesses et ses cuisses avec avant de m'approcher finalement de son antre.

-Non ! Je te tuerais !
-Hurle esclave, hurle tant que tu voudras. Et apprend maintenant qu'elle est ta place une bonne fois pour toute !

Je l'embrochais d'un coup puissant, me délectant du cri d'horreur qu'elle poussa. Elle essaya de se libérer de mon étreinte mais prise en levrette comme elle était elle ne faisait que bouger inutilement. Je commençais des va et viens puissants, sans aucune douceur, seulement pour mon plaisir. Elle ne fit rien pendant un moment, paralysé par le dégout, puis elle essaya de se débattre encore.

C'était exactement ce que je voulais, de l'action. Je répliquais à ses tentatives par des coups de rein violent, lui faisant heurter la table et meurtrissant son joli corps. Nos cris se mêlaient dans cette lutte à sens unique, je la sentait faiblir petit à petit mais elle continuait de lutter. Je saisis sa tête et la frappa contre la table, l’assommant presque. Je saisis ses hanches avec mes deux mains et me mit à accélérer encore, son fourreau était étroit et savoir que mon sexe le pénétrait avec force contre sa volonté me donnait un plaisir immense.

Je la besognais depuis un moment quand j'entendis un râle sortir de sa bouche. Surpris et surtout amusé je me retirais d'elle et la retourna, la mettant face à moi assise sur la table.

-Alors comme ça tu aimes ce que je te fais esclave ?
-Enfoiré ! Je vais t'arracher les couilles avec mes dents s'il le faut !
-Je ne crois pas. sois contente hilote, tu vas jouir pendant que ta cité tombe.

Elle poussa un cri de rage et tenta de me griffer. Plus rapide je lui saisit ses bras et les plaquèrent contre son corps, elle était complètement à ma merci. Ce fut un peu difficile de rentrer de nouveau en elle. Cette furie n'arrêtais pas de bouger et j'avais du mal à guider ma verge sans mes mains. Après quelques instants je réussis enfin à la pénétrer et je me déchainais, alternant coups de reins secs et rapides et mouvement plus lents pour la frustrer.

Alors qu'elle était prisonnière de ma force elle se mit à pleurer. Elle avait tout perdu, elle redevenait une esclave et elle prenait du plaisir avec celui qu'elle haïssait le plus. Cela dura plusieurs minutes puis je décidais de finir de l'humilier en déchirant sa robe de laine en morceaux, la dévoilant totalement. Ses seins étaient durcis par ce plaisir horrible et se balançaient de manière magnifique au rythme de mes assauts.

Soudain elle se mit à trembler violemment, mais elle n’essayait pas de se débattre non, elle jouissait. elle poussa un hurlement de rage et d'extase mêlée, incapable de résister au bien que mon membre viril lui procurait. Je sentis sa gaine se contracter mais je me retins de jouir, pas question que ses tourments se terminent aussi tôt.

-Alors heureuse de servir ton maitre ?
-Monstre....bête infâme.....Je ne me.....soumettrais PAS !
-Pas encore.

Sur ce je la jetai contre un lit à coté. Elle heurta violemment le mur, laissant des trainées de sang frais. Je me débarrassais de ma cape pour être à l'aise, elle commençait à coller à ma peau et je n'aimais pas trop cette sensation pendant que je prenais une esclave de force. Nu moi aussi je m'allongeais sur elle, tenant sa tête avec une main et ses épaules avec l'autre bras.

Cette fois ce fut calme, elle gardait ce qui lui restait de fougue pour se concentrer sur sa haine. Ce fut plaisant, elle ne faisait rien, se contentant de subir mes assaut de plus en plus violent, pour la briser définitivement. Je léchais les plaies de son corps, la souillant encore plus, la rabaissant encore plus à sa condition d'esclave. A chacun de mes coups de reins j'écrasais ses seins sous mes muscles, lui donnant autant de plaisir que de souffrance. Un instant je pensais à la retourner pour la sodomiser mais ce n'était pas la peine et je ne voulais pas encore jouir Un gémissement sortis de sa bouche ensanglantée quand elle eut un second orgasme, elle l'acceptait presque, il fallait juste achever ses envies de révolte.

Je l'allongeait sur la table, les jambes dans le vide et son bassin près du bord. Avec des cordes je tendis ses mains sur les cotés et l'empêchais de bouger. Elle était belle avec ses cuisses offertes, sa poitrine dressée et ses bras écarté.

-Alors hilote ? Tu reconnais enfin ta place dans l'ordre de Sparte ?
-........
-Répond !
-......Oui
-Ah la bonne heure. Et pour être sur que tu n'oublieras pas...

Je lui saisit les chevilles, lui levait les jambes et la pénétrait. La table était pile à la bonne hauteur pour que je puisse y aller à fond, nos sexes à la même hauteur. Mes coups de reins étaient puissants, très puissants. Ses seins étaient complètement ballotés et ses cuisses glissaient entre mes doigts. Elle serra les dents, en proie à la douleur. J'y allais si fort que son rappait contre le bois de la table au point de la faire saigner.

Ravis de cela je continuais jusqu'à ce que finalement j’eus mon orgasme. Je poussais un cri guttural quand je sentis ma verge se contracter et j'explosais en elle dans une succession de jets de sperme qui me laissèrent pantelant. Puis je ramassais ma cape et la détacha avant de remettre mon pagne. En voyant les lambeaux de sa robe j’eus une dernière idée et j'essuyais ma verge dégoulinante de semence avec. En sortant je vis que deux garde m'avaient surveillés depuis l'extérieur, au cas ou l'esclave réussirait à me blesser.

-C'était un bon moment après une bataille.
-A ça mon roi, c'était de toute beauté.
-Elle est à vous si voulez, sinon je crois qu'il doit en rester d'autres tout aussi belle. Je vais dire de vous en réserver deux, pour avoir surveillé.
-Merci mon roi, nous prendrons les deux. Nous restons longtemps avant de rentrer ?
-Dans trois jours nous repartirons pour Sparte, en attendant cette ville va subir notre courroux.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'adore ce genre de récits "historiques" :) Bravo!



Texte coquin : Le roi de Sparte 2 : le sac
Histoire sexe : Une rose rouge
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