La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 648)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 648) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 648)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°647) - Une bien étrange escale en Guadeloupe – (1/2) -

Le départ de la slave Académie BDSM – MDE avait été quelque peu précipité, le temps comptait, l’avion pour le retour au Château en France n’allait pas attendre. Monsieur le Marquis d’Evans avait pris place à l’avant de la grosse berline américaine conduite par son neveu. Sur la banquette arrière soumis Endymion MDE paraissait songeur. Il était partagé entre la joie de retrouver le Château du Maître et toutes celles et ceux qu’il avait laissés, deux mois plus tôt, mais également triste de quitter cette Noble institution. Jamais, il n’oublierait ce que le Maître lui avait permis de vivre en ces lieux, des moments denses, parfois pénibles, souvent jouissifs, délicieusement pervers, toujours épanouissants, enrichissants et extrêmement formateurs pour devenir le parfait esclave. Il repartait donc en France, plus assujetti et dépravé que jamais, plus slave encore : une vraie prise de conscience comme une réalité existentielle de ce qu’était désormais sa vie !

Sous le pantalon trop étroit qu’on lui avait donné, soumis Endymion MDE avait bien du mal à dissimuler le dispositif de chasteté qu’on lui avait installé, une cage en plexi glace transparent avec un cadenas plastique numéroté. Ainsi affublé, nu sous son pantalon, il put passer la douane, sans histoire, sans déclencher une quelconque alarme sous les détecteurs de métaux. Dans la salle d’embarquement, l’esclave MDE attendit sagement debout, toujours tête basse, près du Maître, Lui assis. Une seule chose désormais le préoccupait, pourquoi prenait-il un vol d’air Caraïbes à destination de Pointe à Pitre ? Evidemment, il ne s’aventurait pas à poser la moindre question au Maître. Peut-être et sans doute une simple escale en Guadeloupe pour reprendre un vol à destination de Lyon ou de Paris. Monsieur le Marquis d’Evans voyageait lui aussi en classe économique à côté de son chien soumis à qui il laissa la place près du hublot. A peine assis, le Maître s’adressa à Endymion MDE toujours quelque peu partagé entre ses sentiments de joie et de tristesse.

- Tu es si triste que ça Mon chien de rentrer en France ?

La main du Maître caressait la cuisse d’Endymion MDE, comme pour le consoler… L’esclave MDE exprimait ses ressentis librement, le Maître l’écoutait attentivement. Parfois la main du Maître remontait sur l’entrecuisse d’Endymion et lui palpait les couilles, lui se laissait faire, écartant même les jambes ostensiblement, se fichant absolument des éventuels regards d’autres passagers.

- Dis-toi Mon chien, que tu auras sans doute l’occasion de vivre des moments aussi intenses que ceux que je viens de te faire vivre. J’ai bien l’intention de poursuivre ton éducation, fusse dans la plus dégradante dépravation, parce que je sais que tu en as viscéralement besoin. Seul compte pour Moi ton épanouissement et ton bien être, tu es un bon chien soumis !

A cet instant, le Maître lui pressa une couille tout en lui posant un baiser sur la joue. Surpris autant par la douleur que par ce baiser, Endymion MDE sursauta, mais très vite se ravisa et remercia respectueusement mais sincèrement Monsieur le Marquis d’Evans.

- Tu sais Mon chien, je suis très heureux que tu n’aies pas remporté ton combat d’avec ce soumis d’Erwan, je te préfère avec une cage de chasteté sur ta nouille. Je suis sûr que toi aussi tu préfères la contrainte et la frustration sexuelle.

Le Maître voyait juste… Endymion MDE ne pouvait le démentir, avec cet accessoire sur la queue, il se sentait plus slave, plus asservi, plus assujetti, plus dépendant et il savait très bien qu’il avait besoin de cette relation de dépendance pour pouvoir exister. Il remercia encore Le Maître, puis sombra peu à peu, très sereinement dans un sommeil profond bercé par le bruit étouffé des moteurs… Il faisait une douce chaleur à l’aéroport Guadeloupe quand l’avion atterrit – Pôle Caraïbes, pour la première fois de sa vie soumis Endymion MDE posait pied en France dans un département d’outre-mer. Très vite Monsieur le Marquis d’Evans fit récupérer son bagage par Son chien soumis puis l’entraina à l’extérieur. Tous deux sortirent de l’aérogare, et s’engouffrèrent dans un taxi.

- Pouvez-vous nous conduire au port de Sainte-Anne, s’il vous plait Monsieur, demandait poliment le Maître au chauffeur.

Sans un mot, mais souriant et avec un simple hochement de tête, le créole démarra en trombe. La voiture n’avait rien à voir avec celle qui les avait conduits à l’aéroport JFK, là c’était une vieille Peugeot sans plus guère d’amortisseur, sans vraiment de freins. Le respect du code de la route ne semblait pas être la préoccupation ni la priorité du chauffeur, lui seul était prioritaire ! Apeuré, soumis Endymion MDE se cramponnait, tout en se demandant bien ce que le Maître avait concocté et manigancé… La voiture roulait vite, elle traversa la ville de Gosier en trombe, klaxonnant à tout rompre, à chaque fois qu’un véhicule trop lent la précédait ou lorsqu’un piéton espérait traverser… Endymion MDE avait entendu parler d’une certaine nonchalance créole, elle était bien démentie par ce chauffeur de taxi, un peu allumé. A un moment, il appuya sur le bouton de l’autoradio, mit le volume à fond et se mit à écouter du reggae en se trémoussant sur son siège et en bougeant la tête dans tous les sens. A un autre moment, il alluma une cigarette, ou plutôt un pétard… sans se préoccuper de ses deux clients qu’ils transportaient. La voiture roulait toujours aussi rapidement, soumis Endymion MDE était blême, il jeta un regard furtif sur le Maître, lui restait impassible et stoïque, regardant le paysage défilant pour le moins rapidement sous ses yeux, heureusement la ville de Sainte-Anne n’était plus très loin, là sur la droite on signalait le Club Med, un peu plus loin encore, la statue de Neg Mawon, érigée en hommage à ces esclaves qui refusaient leur condition et s’échappaient… Enfin la voiture s’arrêta, non sans mal, le port était là… Ouf ! Monsieur le Marquis d’Evans et son slave étaient arrivés sains et saufs. Le Maître paya la course puis emmena Endymion MDE dans un petit café donnant sur le port.

- Pour nous remettre de nos émotions, un petit café va nous faire du bien, qu’en dis-tu Mon chien ?

En effet, le café était le bienvenu, le Maître s’installa sur la terrasse du bar et pria Endymion MDE à s’assoir près de lui, face à la mer.

- Tu as vu cette statue à l’entrée de la commune ?
- Oui Maître
- Elle incarne la traite négrière et les conditions de vie de ces esclaves asservis malgré eux… tout ce que je déteste ! Rien de comparable avec ce que tu vis… Car eux, n’avaient pas le choix, hélas, d’être esclaves. Je haie et dénonce l’esclavagiste sous toutes ses formes quand il n’est pas consenti par l’esclave lui-même.
- Oh oui Maître, je le sais bien. Mon assujettissement est librement et volontairement consenti. Je suis Votre chien soumis par ma seule volonté. Je ne peux que vous être reconnaissant de me conduire et me diriger ainsi, Vous seul avez compris mes besoins et désirs profonds. Merci Vraiment Maître
- Voilà qui me confirme, encore une fois, une relation sans ambiguïté, entre nous deux !

Le Maître regardait l’océan, les alizés apportaient un peu de fraicheur, soumis Endymion MDE se sentait particulièrement bien près du Maître.

- Tu dois bien te demander ce que tu fais là, n’est-ce pas Mon chien ?
- Oui Vénéré Maître.
- Et bien je vais te le dire…

Monsieur le Marquis d’Evans avala une gorgée de café, puis reposa sa tasse tranquillement, il glissa ensuite sa main sur la cuisse d’Endymion MDE.

- Ton cul m’a rapporté beaucoup d’argent…

Le Maître se tut longuement encore. Endymion MDE ne comprenait ni cette réflexion, ni encore moins le lien de cause à effet entre son cul et ce qu’il faisait ici ?

- Oui beaucoup d’argent, mon vieil et très cher Ami l’Emir Abdallah a été très généreux, parce que très satisfait de ta prestation en sa présence. Ton cul lui a beaucoup plu… Tu as su faire don de tout ton être. Il en fut ravi, Lui comme ses hôtes d’ailleurs. D’autant plus ravi, qu’il a pu laisser une marque indélébile sur ton corps. Tiens d’ailleurs, montre là moi.

soumis Endymion MDE dégrafa les premiers boutons de sa chemise et tira sur l’encolure pour dégager le haut de son épaule.

- Non, Mon chien ôte totalement ta chemise !

Sans une once d’hésitation, l’esclave MDE se mit torse nu. Le Maître, le fit s’approcher en lui pinçant sévèrement un téton. Il examina de près le tatouage maintenant parfaitement cicatrisé.

- Voilà qui te sied bien Mon chien.

L’esclave MDE grimaça quelque peu, mais ce pincement douloureux, avec en sus l’humiliation vécue en public, eut un effet immédiat et ravageur sur sa queue, celle-ci cherchait à s’épanouir dans cette étroite et bien trop petite cage. Des vibrations ostentatoires apparurent très nettement, une bosse se dessinait sous son pantalon. Le Maître évidemment s’en aperçut, il s’en moquait un peu :

- Aurais-tu quelques belles démangeaisons au niveau de ta nouille, Mon Chien ?

Endymion MDE ne pouvait qu’acquiescer. Monsieur le Marquis d’Evans recommanda deux cafés, et juste au moment où il allait révéler à Son chien le pourquoi de leur présence ici, son téléphone portable se mit à vibrer.

- Bonjour Gabriella, alors où êtes-vous ?
- …
- Parfait, vous avez fait bon voyage ?
- …
- Et mon ami Henri va-t-il bien ?
- …
- Oui, oui pas de problème, je suis déjà sur place !
-…
- Ah très bien, le skipper est déjà là… Ok, parfait, je vais donc à sa rencontre, merci et à tout à l’heure donc. Juste un conseil, si je puis me permettre ma chère Gabriella, évitez de prendre un chauffeur de taxi conduisant une vieille Peugeot, si vous voulez arriver en vie ici !… Quoi ? Ils conduisent tous de la même façon, ici ? … OK… A très vite …

Le Maître raccrocha en souriant, puis son air devint plus sévère lorsqu’il s’adressa à Son chien.

- Allez, on décampe d’ici, suis-moi ! …

(A suivre …)

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