La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 650)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 650) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 650)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°649) - Un nouveau statut pour le chien soumis MDE -

Les trois Dominants s’installèrent confortablement dans de larges fauteuils en cuir et firent approcher toujours à quatre pattes, la jeune femelle soumise près d’eux, alors qu’Etienne détachait soumis Endymion MDE et lui ôtait sa cagoule.

- Approche toi aussi Mon chien, et viens présenter tes plus respectueuses salutations à mes amis. Prosterne-toi à leurs pieds comme tu sais et dois le faire !

soumis Endymion MDE découvrait ce couple d’une cinquante d’années, ainsi que celle qui lui avait lécher le cul et les couilles. La soumise était jeune, à peine la vingtaine d’années, mince, avec une belle poitrine bien ferme, un port de tête assez fier, une taille marquée faisant ressortir agréablement ses hanches et son fessier, lui aussi, bien ferme et galbé. Une belle jeune femme soumise en fait, aux yeux bleus, avec des cheveux blonds mi-longs. Le chien soumis MDE remarqua très vite qu’elle portait des piercings sur ses lèvres intimes, six petits anneaux ornaient sa chatte de part et d’autre, ceux-ci devant avoir certainement une utilité. Quant au couple de Dominants, Madame semblait très mondaine, avec un air quelque peu hautain et sévère, des lèvres pincées, des yeux vifs de couleur sombre. Très latine de peau et de cheveux, Elle était vêtue strictement, un tailleur classique sombre, un chemisier rose pâle, de fins escarpins aux pieds. Monsieur, lui, avait un air plus débonnaire, grand mais trapu et massif, un estomac assez imposant. Il était déjà dans le contexte vacances puisqu’il portait une chemise hawaïenne, un short et des espadrilles aux pieds. En parfaite levrette, soumis Endymion MDE devant eux, attendait patiemment qu’un nouvel ordre lui soit donné, ni Madame, ni Monsieur s’intéressait vraiment à lui. Monsieur le Marquis lui au contraire, tout en dialoguant avec ses Amis, prenait possession de cette jeune esclave. Sa main glissait sur sa fente intime, un de ses doigts jouait avec ces piercings.

- Veuillez m’excuser Monsieur le Marquis, m’autoriseriez-vous à utiliser votre mâle ? Nous venons d’être livrés de toutes nos denrées alimentaires pour notre croisière, un lourd chargement vient d’être déposé à quai !, questionna Etienne.

Evidemment Monsieur le Marquis donna son accord, soumis Endymion MDE dut suivre le skipper jusque dans ce qu’il arriva dans les cuisines, un lieu formidablement bien agencé, aménagé et bien équipé, des éléments de cuisine tout en inox, trois grands réfrigérateurs, un congélateur. On eut dit une cuisine d’un grand hôtel parisien. Monsieur Etienne fouillait dans un placard à balais et sortait un chiffon. En fait non, il ne s’agissait pas d’un chiffon mais d’un caleçon froissé et très nettement tâché. Etienne l’exhibait sous le regard d’Endymion MDE, puis soudainement le lui appuya sur le nez.

- Respire bien à fond petite salope et hume mes odeurs intimes !

A l’évidence, ce sous-vêtement n’avait pas été lavé depuis plusieurs jours, il sentait l’urine, mais aussi le foutre.

- J’ai envoyé ma sauce plusieurs fois dans ce calbut, j’y ai même pissé dedans à plusieurs reprises. Ce vêtement te sera bien suffisant pour remplir la mission que je vais te donner. Allez enfile le !

L’élastique à la ceinture ne jouait plus véritablement sa fonction, le caleçon avait du mal à tenir en place. De plus, il était relativement court et très échancré, laissant entrapercevoir les couilles et le bout de la cage de chasteté de soumis Endymion MDE. Le tissu sale et malodorant semblait être du carton, tant il avait été souillé par d’intimes liqueurs.

- Tu as trente minutes maximum pour remonter du quai tous les colis entreposés. Tu viendras les déposés ici, sur cette table. Moi je m’occuperai de les ranger en cuisine. Sache qu’ici, je veux te voir à poil, ce qui veut dire qu’à chaque aller-retour, avant d’entrer dans Ma cuisine, tu ôteras ce calbut et tu le renfileras pour redescendre sur le quai. Suis-je bien clair ?

Endymion MDE acquiesça par un « Oui Monsieur » très distinct cette fois-ci, puis sur ordre, il commença à accomplir le travail commandé. Le chargement était beaucoup plus important et conséquent que l’imaginait Endymion MDE. Il attrapa trois gros et lourds cartons et remonta en titubant sur le Croix Rousse, tant la charge était accablante. A la porte d’entrée de la cuisine, le soumis MDE, reposa les cartons, quitta le caleçon, rattrapa les cartons et les posa comme indiqué sur la table. Qu’il était ridicule cet ordre de se dénuder à chaque fois qu’Endymion MDE franchissait le seuil de cette cuisine, lui faisant perdre un temps considérable. Etienne, lui prenait un malin plaisir à le voir se dépoiler, à lui obéir bêtement, à respecter rigoureusement cet ordre absurde. Sans perdre de temps, le soumis faisait ses allers retours en suant et transpirant. Au cours d’un de ces déplacements, il jeta un œil à travers le hublot donnant sur le grand salon. Monsieur le Marquis semblait se donner du bon temps. La jeune esclave pompait sa belle et Noble queue alors que Madame Gabriella la prenait avec un gode ceinture, quant à Monsieur Henri, lui installé dans un fauteuil, contemplait le spectacle en se masturbant tranquillement.

soumis Endymion MDE, totalement éreinté entrait une dernière fois dans la cuisine avec un seul colis sous le bras, le travail commandé était terminé. Il retrouvait le skipper, l’attendant assis sur la table, les bras croisés. Celui-ci se mit à applaudir :

- Vingt-six minutes et trente-deux secondes exactement, c’est bien le chienchien, tu as respecté le temps imparti. Peut-être, mérites-tu une récompense ?

Monsieur Etienne regardait d’un air Dominant le soumis MDE qui lui n’en menait pas large. Le skipper aimait jouer de cette situation parfaitement inégalitaire, il se caressait l’entrejambe et son sexe caché sous son maillot de bain devenu soudainement trop étroit.

- Approche-toi près de moi, le petit chienchien ! Tiens-toi à genoux et mains sur la tête devant moi.

Etienne sortit alors son sexe semi bandé de son maillot de bain, glissa ses grosses couilles sous l’élastique de ce sous-vêtement et commença à se masturber.

- Voilà ta récompense le chienchien, tu vas me regarder me branler, c’est une belle récompense que je te fais, n’est-ce pas ? Tu n’espérais tout de même pas avoir ma queue dans l’un de tes trous de salope ? Allez profites de ce spectacle, toi qui n’as pas le loisir d’user de ta nouille comme tu l’entends…

Etienne était un vrai pervers, il prenait plaisir à humilier, à bafouer, à offenser et ridiculiser, c’était son trip, il aimait ça, ça l’excitait vraiment. Ce n’était pas pour déplaire à soumis Endymion MDE, lui aussi appréciait se faire moquer et brocarder, il aimait ressentir cette toute puissance l’abaissant et le contraignant mentalement. Le skipper mettait toute son énergie, sa main comprimait cette queue fière sinon altière, son gland violacé suintait. Au bout de cinq minutes seulement, Etienne haletait et gémissait, les muscles de ses cuisses se tendirent. Les gémissements devinrent des râles annonçant une jouissance proche. Il éjacula en tendant sa bite tout contre le visage d’Endymion MDE, son foutre projeté avec puissance éclaboussa tout contre le front, le nez et les joues du soumis MDE.

- Oh comme ça fait du bien de se vider les couilles ! Lança le skipper

Il posa la paume de sa main sur le visage d’Endymion MDE et étala avec une grande attention, tout son jus sur la figure de celui à genoux devant lui.

- Tu as du oublier ce qu’était de jouir, toi le mâle encagé. (il se mit à rire !) Normal non ? Tu n’es qu’un esclave et un esclave n’a pas l’usage de sa queue… Allez debout et viens avec moi, nous sommes prêts et allons appareiller.

Sur ordre, soumis Endymion MDE remontait la passerelle, sautait sur le quai pour ôter les bouts accrochés aux bites, Etienne le récupéra par un bras, puis tous deux regagnèrent la cabine de pilotage. La sortie du port était tout de même complexe, un nombre important de petits voiliers manœuvraient, puis il fallait respecter le chenal, sortir du lagon et regagner la pleine mer. Les trois Dominants avaient regagné le pont supérieur et regardaient la côte s’éloigner. Dès que la passe du lagon fut passée, le Croix Rousse fut un peu secoué par une forte houle. soumis Endymion MDE se cramponna tout en blêmissant, il n’avait guère le pied marin, n’avait d’ailleurs jamais vraiment navigué.

- On va se faire chahuter un peu, mais pas très longtemps, ici, les courants sont toujours forts. Tiens regarde le chienchien, là, juste devant nous, des dauphins !

A ce moment précis, Monsieur le Marquis d’Evans entrait dans la cabine de pilotage, en lançant :

- Alors le moussaillon, on apprend à naviguer ?

Le Maître vint se placer juste derrière Son esclave, il lui caressa longuement les épaules et le dos, ses mains glissaient ensuite sur sa poitrine et ses doigts s’accrochaient à ses tétons, les lui tiraillaient quelque peu, puis sa main droite glissait contre son abdomen, alors que la gauche lui caressait les fesses. Puis il s’adressa au skipper :

- Regarde Etienne comment il sait se cambrer et présenter son cul. C’est une vraie pute tu sais, il n’est fait que pour se faire mettre. As-tu déjà testé son trou ?
- Ah non pas encore, Monsieur le Marquis !
- Ne t’en prive pas si le cœur t’en dit, il est là pour ça, là pour se faire enculer, bien à fond !
- Je saurai m’en rappeler Monsieur le Marquis, mais pour l’heure je dois tenir la barre, et être attentif à tout ce qui se passe autour de moi.

Le Maître s’adressa alors à Son soumis :

- Dis-moi que tu n’es rien qu’une pute !
- Oui Maître, je suis Votre pute.
- Alors si tu es ma pute, cambre bien ton cul de salope et tend le moi en écartant largement tes cuisses.

Tenant toujours des deux mains la barre métallique devant lui, soumis Endymion MDE recula de deux pas, tendit ses fesses en se cambrant au maximum. Le Maître lui effleura l’anus délicatement, puis sauvagement lui enfourna son index dans le cul. Il le fit aller et venir à toute vitesse, en imprimant des mouvements rotatifs pour bien distendre ses sphincters, jusqu’à ce que Son chien soumis MDE se mette à gémir bruyamment…

- Vous avez raison Monsieur le Marquis, si j’en crois ces gémissements, nous avons bien à faire à une grosse pute, et dire que jusqu’ici je l’appelais le chienchien, désormais je ne nommerai la pute ! Même s’il est aussi un bon chienchien !
- Oui, nomme le ainsi, il est important pour lui que nous lui fassions prendre conscience de ce qu’il est au plus profond de son être. Et il doit le vivre ainsi pour s’accepter lui-même, accepter cette évidente réalité de ce qu’il est.

Le doigt du Maître quitta le cul d’Endymion MDE, il fut attrapé par les cheveux et trainé ainsi tenu courbé, sans le moindre ménagement à l’extérieur de la cabine. Le Maître, avec détermination, sinon une certaine forme de brutalité très bien maitrisée et mesurée, l’emmena jusqu’à sa cabine. Il referma la porte, la verrouilla même et ordonna à Son soumis de se tenir à quatre pattes la juste devant le lit. Monsieur le Marquis se déshabilla rapidement puis s’asseyait sur le lit, écartait les jambes et tendait son sexe déjà bien droit :

- Vénère ma tige, Ma pute, lèche-la bien et empale ta bouche, comme l’a fait tantôt, la petite soumise de nos hôtes….

La fellation ne dura que quelques minutes seulement, Monsieur le Marquis se leva soudainement, passa derrière Son chien soumis MDE, s’agenouilla entre ses jambes écartées et l’enfourna d’un trait. soumis Endymion MDE hurlait tant par la douleur que par le plaisir. Il sentait cette vénérée queue le fouiller et lui déchirer littéralement le cul. Les vas et viens étaient d’une puissance rare, telle une furie Monsieur le Marquis d’Evans enculait sauvagement son esclave. Il voulait le posséder et lui faire admettre qu’il n’était plus qu’à ses yeux, une simple et vulgaire salope, Sa pute ! Et bien sûr, à chacun des coups de butoir, soumis Endymion MDE, hurlait son plaisir, se trémoussait tant et plus et espérait que ce coït perdure encore et encore. Cette sodomie sauvage, bestiale était pour l’esclave un pur moment de bonheur mental, un moment mentalement jouissif. Mais hélas, le Maître se retirait et ordonnait à son soumis de s’installer à plat dos sur le lit. Sitôt couché, sans qu’un ordre ne lui soit donné, Endymion MDE relevait les cuisses sur sa poitrine, écartait son cul, tirait la langue, espérant exacerber encore les sens du Noble Maître. Et Monsieur le Marquis planta encore son gros dard entre les fesses de Sa salope et l’emboita en lui tenant les jambes relevées. Ses couilles claquaient contre le cul de son esclave comme pour lui prouver encore Sa supériorité, Sa toute puissance, Sa détermination, Sa totale Domination, Sa possession anale. Et c’est ainsi, avec toute la fougue d’un Maître puissant qu’il éjacula dans cet humble et modeste cul. Mais à peine venait-il de jouir, qu’il adressait un nouvel ordre à sa pute :

- A genoux au sol, la pute !

Aussitôt ses poignets furent entravés dans le dos par des menottes fermement serrées. Il ordonna encore à son esclave de se tenir en levrette, tête posée sur le sol. Et là sans attendre, cette fois-ci avec un gode ceinture d’une belle taille, il le pénétra encore tant en plus dans une posture plus que contraignante et bien difficile à tenir. Ereinté, mais tellement heureux soumis Endymion MDE admettait le nouveau statut que le Maître venait de lui conférer, celui de n’être qu’une pute soumise ! ...

(A suivre…)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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