Des gentils voisins et aussi !! ! ! ! (suite)
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Des gentils voisins et aussi !! ! ! ! (suite)
Nous étions donc tous les 4 sur le canapé, moi, Jeanne, Fred et sa femme Claudine, les femmes étaient très occupées, puisque Claudine me suçait avec gourmandise et application, alors que Jeanne s'occupait de la somptueuse bite de Fred qui en profitait pour lui tripoter les seins. Il faut dire qu'il était à la fête son épouse ayant une gentille poitrine mais pas assez pour une royale cravate de notaire.
De mon coté j'appréciais ce coté modeste de ma pipeuse car malgré sa modestie, sa poitrine était ferme en forme de poire avec des bouts bien bandés qui se tendaient vers ma bouche et mes mains.
Je testais ces nénés si mignons en en tordant les bouts et en les malaxant sans ménagement pour voir si leur propriétaire aimait jouir dans la douleur, cette dernière était de plus en plus active sur ma queue me la bouffant littéralement à mesure que je lui maltraitais les seins.
Claudine étant accroupie devant moi, de mon pied nu je suis parti explorer sa chatte du pouce et cette visite me confirma qu'elle mouillait comme la salope que j'avais deviné en elle. Je continuais mon manège entre ses cuisses, lui massant le clito avec mon pied, faisant même entrer mon gros orteil dans sa chatte, ce qui lui fit écarter les cuisses au maximum.
Jeanne et Fred de leur coté étaient passés aux choses sérieuses, Jeanne était assise de dos sur Fred et se faisait pénétrer l'anus par sa belle bite, elle poussait des cris qui n'avaient pour seul effet que de nous exciter moi et ma partenaire.
Vui sa position, Jeanne offrait sa chatte a qui voudrait lui bouffer, et je demandais à Claudine de gouiner cette chatte laissée libre par son homme. Elle me dit : Je ne l'ai jamais fait. Et bien justement tu vas dévorer la chatte de cette salope que ton mari encule et chaque fois qu'il sortira de son cul tu lui suceras la queue.
Claudine s'approcha du couple, se mit a genoux devant la chatte béante de Jeanne et commença timidement à lui sucer le clito.
Je me plaçais derrière elle et lui ayant doigté le cul pour l'assouplir je la pénétrais d'un coup de rein qui l'envoya s'écraser le nez et le visage sur la moule baveuse de Jeanne qui gémissait de plus en plus sous les coups de pilons qu'elle prenait dans l'anus.
A un moment, Fed sorti du cul de Jeanne et ordonna à Claudine de le sucer à fond avant de replacer elle-même son engin dans le chaud réceptacle de mon épouse.
Claudine que j'enculais à fond, se mit a sucer la bite de son mari et en même temps à donner des coups de langue sur le clito de Jeanne.
Cela dura un bon moment, puis alors que nous allions jouir, je quittais Claudine pour donner ma queue à la bouche de Jeanne, qui l'avala avec le bon jus que je lui déversais dans la gorge, Fred aussi déchargea dans la bouche de sa femme, mais cette dernière qui n'avalait jamais la fumée se fit arroser copieusement les seins.
Jeanne cette gourmande se précipita pour que rien ne fut perdu et la récolte faite elle roula un patin d'enfer à Claudine en la forçant a avaler mon sperme qu'elle avait gardé en bouche et celui de Fred qu'elle avait récupéré.
La soirée se terminât autour d'un verre reconstituant tout en parlant de nos impressions sur la première partie carrée de nos voisins. Première mais sûrement pas dernière.
De mon coté j'appréciais ce coté modeste de ma pipeuse car malgré sa modestie, sa poitrine était ferme en forme de poire avec des bouts bien bandés qui se tendaient vers ma bouche et mes mains.
Je testais ces nénés si mignons en en tordant les bouts et en les malaxant sans ménagement pour voir si leur propriétaire aimait jouir dans la douleur, cette dernière était de plus en plus active sur ma queue me la bouffant littéralement à mesure que je lui maltraitais les seins.
Claudine étant accroupie devant moi, de mon pied nu je suis parti explorer sa chatte du pouce et cette visite me confirma qu'elle mouillait comme la salope que j'avais deviné en elle. Je continuais mon manège entre ses cuisses, lui massant le clito avec mon pied, faisant même entrer mon gros orteil dans sa chatte, ce qui lui fit écarter les cuisses au maximum.
Jeanne et Fred de leur coté étaient passés aux choses sérieuses, Jeanne était assise de dos sur Fred et se faisait pénétrer l'anus par sa belle bite, elle poussait des cris qui n'avaient pour seul effet que de nous exciter moi et ma partenaire.
Vui sa position, Jeanne offrait sa chatte a qui voudrait lui bouffer, et je demandais à Claudine de gouiner cette chatte laissée libre par son homme. Elle me dit : Je ne l'ai jamais fait. Et bien justement tu vas dévorer la chatte de cette salope que ton mari encule et chaque fois qu'il sortira de son cul tu lui suceras la queue.
Claudine s'approcha du couple, se mit a genoux devant la chatte béante de Jeanne et commença timidement à lui sucer le clito.
Je me plaçais derrière elle et lui ayant doigté le cul pour l'assouplir je la pénétrais d'un coup de rein qui l'envoya s'écraser le nez et le visage sur la moule baveuse de Jeanne qui gémissait de plus en plus sous les coups de pilons qu'elle prenait dans l'anus.
A un moment, Fed sorti du cul de Jeanne et ordonna à Claudine de le sucer à fond avant de replacer elle-même son engin dans le chaud réceptacle de mon épouse.
Claudine que j'enculais à fond, se mit a sucer la bite de son mari et en même temps à donner des coups de langue sur le clito de Jeanne.
Cela dura un bon moment, puis alors que nous allions jouir, je quittais Claudine pour donner ma queue à la bouche de Jeanne, qui l'avala avec le bon jus que je lui déversais dans la gorge, Fred aussi déchargea dans la bouche de sa femme, mais cette dernière qui n'avalait jamais la fumée se fit arroser copieusement les seins.
Jeanne cette gourmande se précipita pour que rien ne fut perdu et la récolte faite elle roula un patin d'enfer à Claudine en la forçant a avaler mon sperme qu'elle avait gardé en bouche et celui de Fred qu'elle avait récupéré.
La soirée se terminât autour d'un verre reconstituant tout en parlant de nos impressions sur la première partie carrée de nos voisins. Première mais sûrement pas dernière.
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