La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 653)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 653) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 653)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°652) - Humilié et souillé sur la plage -

Après que les passagers du Croix-Rousse aient débarqué sur cette petite île qui semblait oubliée de toute présence humaine, les deux skippers firent encore deux allers et retours jusqu’au bateau à la plage pour récupérer tout ce que Madame Marie avait prévu pour le repas en mode pique-nique, mais aussi des transats et chaises longues pour les Dominants. Elle pesta, malgré tout contre elle-même car elle avait oublié de prendre une seule chose, la cage de chasteté de soumis Endymion MDE.

- Ne t’inquiète pas Ma chère Marie, Mon chien sait désormais se tenir, nous pouvons lui faire confiance, et puis nous l’aurons à l’œil. Il est bien, par contre, que tu n’aies pas oublié mon short, dit avec une amitié certaine, le Marquis d’Evans à sa cuisinière.

Madame la cuisinière et Madame Gabriella installèrent une grande nappe sur le sable puis dressèrent un succinct couvert, pendant que Monsieur Henri et Monsieur le Marquis discutaient ensemble les pieds dans l’eau. Les deux skippers quant à eux, s’occupèrent des deux slaves et les enchainèrent par leur sexe, à proximité l’un de l’autre au tronc de deux cocotiers. En effet, une chaine avait été enroulée et cadenassée autour des couilles et de la bite de soumis Endymion MDE alors que pour la femelle soumise Estelle, Etienne avait accroché au bout de la chaine, un mousqueton à ces piercings intimes.

- Couchés les salopes et pas bouger ! avait lancé Etienne.

Endymion MDE couché sur le côté et sur ce sable tel un véritable chien, s’interrogeait. Ni Madame Gabriella, ni Monsieur Henri, ne s’étaient occupés de lui. Pire même, ils n’avaient eu aucun regard, une moindre attention ou un simple geste, à son égard. Ils l’ignoraient complètement, totalement… Il se mit à gamberger à se dire qu’il n’était rien à leurs yeux, même pas un objet, même pas un slave, rien, le néant, il n’existait pas … il n’existait plus et cette sensation d’abandon totale le déprimait comme un animal abandonné… Cette humiliante idée cogitée et méditée, le secoua et l’ébranla, le blessant même quelque peu. Lui qui se donnait et se vouait entièrement et totalement au Maître, lui qui montrait ostensiblement sa parfaite soumission et son admirable obéissance, pourquoi eux ne s’intéressaient-ils pas à lui, même s’il n’était qu’un chien soumis minable et pitoyable... A bien y réfléchir, à trop y réfléchir, il sentit malgré tout, une petit frison le titiller. A vrai dire, cette situation humiliante l’excitait un tant soit peu. Sa queue s’était durcie, sans même qu’il s’en aperçoive, et elle doubla de volume, lorsque Monsieur Henri, s’approchant près de lui, sortit son sexe de son maillot de bain et lui pissa dessus, sans même le regarder !

Maximilien, beaucoup moins disert et éloquent qu’Etienne, était peut-être beaucoup plus vicieux que lui. C’est lui qui apporta aux deux esclaves une seule gamelle contenant leur repas. Avec précision, il la déposa à même le sol, sur le sable, juste à bonne distance calculée. Une distance suffisante pour que les deux slaves puisse atteindre la gamelle mais au prix de quelques vicieux tourments. Pour manger, autant Estelle qu’Endymion MDE devaient faire tendre la chaine partant de leur sexe et tirer sur leurs génitaux pour atteindre leur pitance. Il les regarda accepter cette contrainte autant douloureuse que délicieuse, et manger ainsi en gémissant à chaque fois qu’ils réussissaient à saisir une petite bouchée. Maximilien resta là un temps, souriant béatement devant ce spectacle dont il était l’auteur. Il prenait un vrai plaisir sadique à humilier, à bafouer, d’ailleurs il se tripotait le sexe gonflé sous son caleçon de bain. Il était même excité de constater que la femelle avait le sexe béant d’apparence très humide à l’évidence par une excitation masochiste. Heureux et fier de son invention, il regagna sa place autour des Dominants, et à son tour se laissa sustenter des délicieux mets préparés avec talents par Madame Marie, la dévouée cuisinière du Château …

Sitôt le repas terminé, Monsieur le Marquis d’Evans, et les deux Dominantes s’installèrent dans les transats et sombrèrent rapidement dans une sieste bercée par le bruit régulier des vagues et la chaleur moite. Seuls Monsieur Henri et les deux skippers ne siestaient pas. Etienne et Maximilien se jetèrent à l’eau, nus, alors que Monsieur Henri vint détacher sa chienne et l’emmena, tenue à quatre pattes le long de cette plage. Ils partirent ainsi assez loin, jusqu’à ce qu’on les perde de vue. Le moment était propice pour les deux skippers qui sortirent rapidement du bain, se séchèrent au soleil puis vinrent à la rencontre d’Endymion MDE, toujours attaché et somnolant sur le sable chaud. Ils lui tombèrent dessus en le surprenant, Etienne, lui plaqua une main sur les lèvres, puis en guise de bâillon lui glissa son slip de bain dans la bouche pour étouffer ses éventuels cris ou gémissements, tandis que Maximilien lui déliait sa nouille et ses couilles. Ils l’emmenèrent en le trainant sur le sable par les pieds, et le mirent un peu à l’écart sous quelques cocotiers. Maximilien partit en courant, et revint au bout de deux minutes seulement, tenant en mains quelques cordages. L’esclave se trouva couché sur le dos dans le sable quand ils lui lièrent les quatre membres puis lui relevèrent les jambes vers les épaules et les attachèrent à deux troncs de cocotier se trouvant derrière l’esclave MDE. Ses bras, posés sur le sol le long de son corps furent maintenus étirés et tenus attachés à la base de deux autres cocotiers placés devant lui. Ils rectifièrent un peu la posture afin que le cul d’Endymion MDE soit encore un peu mieux exposé. Totalement offert et écartelé, l’esclave MDE étaient maintenant à leur merci. Etienne, toujours nu, regardait le soumis MDE attaché en se passant la langue sur les lèvres et en se caressant la bite, alors que Maximilien, accroupi sur le visage d’Endymion MDE se faisait flairer le cul.

- Tu sais ce qu’on fait aux putes lorsqu’elles offrent leur trou comme tu le fais grosse salope ?

Endymion MDE ne répondit pas à ces calomnies, il ne pouvait d’ailleurs le faire avec ce bâillon toujours en bouche…

- Nous allons te donner du plaisir la chienne, fais nous confiance…

Etienne avait récupéré une palme séchée de cocotier et caressait avec celle-ci l’entrejambe d’Endymion MDE. Mais très vite les caresses devinrent des coups cinglants s’abattant sur son cul et ses cuisses relevées. Maximilien maintenant presque assis sur le haut du thorax du chien soumis MDE, lui maintenait la tête immobile tout en lui faisant renifler ses boules. Il masturbait sa grosse pine sous son regard. Les coups pleuvaient encore et marquait le cul exposé d’Endymion MDE.

- Putain que c’est bon de voir rougir un cul de salope, un cul d’une grosse pute comme toi ! lançait Etienne, comme s’il voulait se justifier.

Impossible pour Endymion MDE de se débattre, il ne pouvait que subir ce traitement physiquement douloureux, mais terriblement excitant mentalement… Les endorphines jouaient leur rôle, la douleur s’atténuait, le chien soumis tendait désespérément la nuque et frottait son nez contre les couilles de Maximilien en respirant bruyamment.

- Mais tu as vu cette pute, elle réclame, elle cherche de la pine, elle veut ta bite !

Maximilien avait bien noté ces trémoussements, il dégagea rapidement le bâillon de la bouche de l’esclave, se releva un tant soit peu, présenta sa grosse queue entre ses lèvres puis l’enfourna en fond de gorge.

- Suce la chienne, suce bien ! ordonnait Maximilien.

Les coups avaient cessé, son cul rouge, zébré et bouillant était écartelé, la main d’Etienne essuyait la raie du cul du soumis pour ôter les derniers grains de sable resté collé et sans attendre força l’anus et pénétra d’un trait Endymion MDE. Ce divin ramonage de ses deux trous à la fois, comblait l’esclave MDE, il subissait cet assaut avec un immense plaisir, il offrait ses orifices, se faisait démonter, limer à grands coups de butoir coordonnés dans un rythme de plus en plus rapide et cadencé. Les deux queues s’enfonçaient en lui au même moment, et se retiraient pour mieux le pénétrer encore. Au bout d’un certain temps, la coordination de leurs mouvements pénétrants devint plus aléatoire, Maximilien, au bord de l’extase s’agitait frénétiquement, ne contrôlait plus rien, et c’est dans de forts râles de jouissance qu’il giclait abondamment, étouffant presque Endymion MDE, tant la dose produite de sperme était conséquente. Etienne maintenant silencieux profitait de ce cul, les vas et viens s’accéléraient et les coups de reins étaient encore de plus en plus puissants A chaque coup de queue, Endymion MDE poussait malgré lui un gémissement gutturale qu’il ne pouvait contrôler. Il haletait, soufflait, respirait, gémissait, suffoquait jusqu’à ce coup de reins plus puissant que les autres. Etienne se figeait dans un coït anal et profond, bien planté dans les entrailles de l’esclave, puis il se tétanisait, poussait un long soupir, et déchargeait par de violents spasmes en s’agitant, de longs jets de spermes chauds saccadés. Sitôt soulagé, sitôt couilles vidées, il se retira du cul d’Endymion MDE …

- J’sais pas toi, mais à chaque fois que je jouis, j’ai immédiatement envie de pisser !

Les deux skippers arrosèrent copieusement l’esclave de leurs urines et le laissèrent ainsi, toujours contraint et attaché. Les deux skippers regagnèrent la plage, abandonnant leur vide-burnes à son humble sort. Il resta longtemps ainsi, jusqu’au moment où il entendit derrière lui la voix de Monsieur Henri, dialoguant avec sa chienne toujours tenues en laisse et marchant doucement à quatre pattes derrière lui... Il s’adressa à elle :

- Une petite toilette intime devrait te faire du bien ma chienne, après ce que tu viens de prendre dans ta chatte et ton cul. Tiens approche !

Il tirait sur la laisse et fit installer Sa femelle soumise à quatre pattes, juste au-dessus d’Endymion MDE. Il appuya sur sa croupe pour la faire assoir et se cambrer, les cuisses de part et d’autre du visage d’Endymion MDE. Sa vulve chaude et encore toute visqueuse de cyprine entra en contact avec la bouche de l’esclave mâle de Monsieur le Marquis d’Evans. Instantanément, avant même qu’un ordre ne lui fut donné, le chien soumis MDE glissa sa langue dans cette fente parfumée de sucs intimes et dès qu’elle fut en contact avec le petit bouton rose d’Estelle, celle-ci se mit à gémir et mouiller abondamment.

- Va ma chienne, fait toi brouter, je t’autorise même à jouir si tu le souhaites, oui tu peux jouir dans sa bouche et ne te retient surtout pas....

Pour exciter un peu plus sa chienne en chaleur, Monsieur Henri lui palpait et pétrissait les seins, parfois ces doigts titillaient ses mamelons tendus. La chienne gémissait et mouillait de plus en plus et s’écartait toujours plus pour se faire dévorer plus profondément encore le minou trempé. Un flot continu de cyprine, telle une source intarissable, inondait la bouche d’Endymion MDE.

- Allez jouis maintenant, je le veux, je veux t’entendre prendre du plaisir …

Et sur commande soumise Estelle s’abandonna, en feulant telle une tigresse en chaleur. Elle bougea ses hanches, faisant aller et venir son sexe tout contre cette bouche grande ouverte et cette langue tendue… Son orgasme fut d’une violence rare !

- C’est bien ma petite salope, ta chatte en propre, maintenant nettoie ton cul !

Obéissante, elle posa son anus contre cette bouche toujours à disposition. La langue d’Endymion MDE n’eut pas grand mal à s’introduire, les sphincters de cette jeune et petite chienne étaient souples et bien dilatés, suite à une enculade toute récente. Cette langue les taquina jusqu’à les agacer, glissa et pénétra dans ce fourreau humide pour aller cueillir et gouter la semence déposée peu avant par Monsieur Henri. L’esclave MDE était heureux et excité, enfin il pouvait déguster dans ce doux calice, ce présent, par cul interposé, que lui donnait Monsieur Henri.

- Fais-moi voir, ma petite chienne, si ton cul est bien propre !

Estelle instantanément, souleva ses fesses, cambra ses reins, écarta les cuisses. Son Maître inspecta scrupuleusement sn cul, examina sa raie, écarta son petit trou avec ses deux pouces, glissa un majeur en elle. Il le ressortit aussitôt, le regarda de près, le renifla même, et immédiatement après le glissait dans la bouche d’Endymion MDE.

- Tu es propre ma petite chienne, nous pouvons rejoindre nos hôtes, mais avant ça, si tu as besoin de soulager ta vessie, il faut le faire là, maintenant !

Estelle chevauchait toujours Endymion MDE, son sexe juste au-dessus de la tête de l’esclave MDE. Elle lâcha ses urines et pissa drue sur le visage de son congénère. Lui, surpris, suffoqua et manqua de s’étouffer, il resta là, accablé, inondé mais queue bien bandée !

Peu après, les deux skippers firent de nouveau irruption, tenant sur l’une de leurs épaules un long morceau de bois flotté qu’ils déposèrent près d’Endymion MDE.

- Monsieur le Marquis vient de se réveiller et recherche sa pute à corps et à cri. Nous lui avons fait croire que tu t’étais évadé et que nous partions en chasse à ta recherche. Je ne suis pas sûr qu’il nous ait vraiment cru !

Enfin l’esclave MDE était détaché et libéré de cette posture contraignante, il pouvait étendre ses jambes, des crampes le tiraillaient de partout, il ne parvenait plus à se relever. Il reçut l’ordre de rester couché allongé à plat dos. Maximilien lui attachait les chevilles entre elles, alors qu’Etienne lui liait les poignets. Une fois ses membres ficelés, les deux skippers glissèrent ce morceau de bois flotté, une petite poutre en fait, sur son ventre puis prirent chacun, une extrémité de cette chevêtre et la hissèrent sur leurs épaules. Endymion MDE était tenu suspendu, tel un gibier chassé. Il se cramponnait comme il le pouvait et ne fut pas mécontent d’arriver rapidement sur cette plage et d’être déposé près du Maître.

- Tu sais ce qui arrivent aux esclaves cherchant à s’évader ? (le Maître se tut un instant)… ils sont durement châtiés, pendus par les pieds et largement fouetté !

Le ton du Maître était sévère, mais ses yeux pétillants, moqueurs et enjôleurs. Il éclata de rire et fit un gros clin d’œil aux deux skippers…

- Bon, je vais être indulgent pour cette fois-ci Ma pute, mais retient tout de même mes propos !…

(A suivre…)

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