COLLECTION SM. J’assume mon SM.

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SM. J’assume mon SM. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SM. J’assume mon SM.
Comme demandé par des lecteurs voici la suite de « Devenir SM. »
Après 7 ans de mariage la routine a surgi dans notre couple à Vivian et à moi.
Un concours de circonstances a fait qu’après une course-poursuite dans notre appartement il m’a rattrapé dans le couloir et la rudesse avec laquelle il m’a pris à fait basculer mon cerveau et mon corps vers de plus en plus de SM.
Afin de retrouver ces sensations je le provoque en m’attachant au lit dans la chambre d’amis qui rapidement devient notre terrain de jeu.

En ce moment c’est à Givry en Saône-et-Loire que nous visitons une ancienne propriété viticole ou nous nous intéressons prioritairement à la cave voûtée ou quelques bonnes bouteilles y sont entreposées.
La femme de l’agence nous demande de réfléchir mais c’est vite fait le coup de cœur pour cette vieille batiste de 1860 toute en pierre du pays avec sa cave où je me vois déjà recevant mes premiers coups de fouet ou de cravache plus efficace car étant plus facile pour atteindre la cible, après l’avoir aménagé
Nous prenons rendez-vous le lendemain à l’agence pour signer le compromis et nous prenons le chemin du retour près de Beaune ou Vivian a son cabinet d’architecte.
En passant dans les bois de la Ferté il met son clignotant à droite engageant la voiture dans un chemin de terre.
La nuit tombante dessine des ombres étranges qui me mettent mal à l’aise mais qui rapidement fait monter mon adrénaline car je sens qu’il a une petite idée derrière la tête.
Après 400 mètres une barrière nous empêche d’aller plus loin.

• Colette descend et va t’asseoir sur la barrière.

Je suis son ordre et j’ai du mal à tenir sans tomber ayant les jambes trop courtes pour toucher le sol.
C’est par la fenêtre qu’il a ouvert qu’il me donne des ordres.

• Écarte les cuisse et fait moi voir ta culotte.

Dans les phares je l’entends sans pouvoir le voir ébloui par leur luminosité qui agresse ma rétine.
Le sentiment de peur qui est en moi alors que rien ne peut m’arriver Vivian étant à quelques mètres de moi m’apporte une nouvelle sensation d’être peu de chose s’il décidait d’un coup de reculer et de me laisser dans ce bois esseulé avec les animaux qui le peuplent.
J’ai peur particulièrement des grands cerfs car dans ma jeunesse avec mon père un mâle déboulant d’un chemin et arrivant sur la route voyant la voiture ai sauté par-dessus et je l’ai vu nous frôler par la fenêtre de toit.
Et les loups, j’ai entendu parlé de la réimplantation du loup en France mais étant peu concerné les forêts où ils vivent me sont inconnues.
Seul ma connaissance des ours vus dans un documentaire expliquant leur réimplantation dans les Pyrénées me rassure, trop de kilomètre pour qu’il soit à portée de moi ou plutôt moi de leurs griffes.

• Salope, tu as oublié ta culotte écartent bien les cuisses que je vois bien ta chatte dans la lumière elle est magnifique.

Je m’exécute prenant un peu plus d’assurance.

• Arrive à passer ta jambe de l’autre côté pour te mettre à cheval sur le rondin.

Premier essai, premier échec je tombe lourdement au sol.

• Relève-toi et remonte, sinon.

La menace est douce à entendre alors qu’il y a peu j’aurais hurlé mon ressentiment contre celui qui semble prendre un malin plaisir à me voir tomber cul par-dessus tête.
Après trois échecs et trois chutes enfin je suis à califourchon sur ce maudit rondin.

• Teint toi bien avec tes mains et avances en frottant ton sexe sur ce morceau de bois qui va te donner le plaisir que tu m’as dit rechercher comme la belle chienne que j’aie découverte en toi.

Oui une chienne, je suis devenue une chienne mais qui pourra me protéger en cas d’attaque d’un animal.
Ma chatte me brûle mais j’espère qu’il va venir me rejoindre et que son sexe va entrer en moi et me donner le plaisir que ce frottement a commencé à m’apporter.
Mes grandes lèvres écrasées sur ce bois brut de forme m’apportent plus de plaisir que le gode que j’ai dans ma table de nuit et que j’utilise mes jours où Vivian part pour son travail.

• Descends, déshabille-toi et placent tes mains sur le rondin de la barrière en écartant les jambes pour que j’admire ton cul.

En bonne soumise que je suis devenue je commence à trouver intéressant ce qu’il me fait subir sentant la tension tant espérée monter dans mon sexe.

• C’est bien ma petite pute, maintenant tu plies tes bras et frotte-toi les seins sur ce rondin comme tu l’as fait avec ta chatte.

Je le fais sachant ce qui va m’arriver sur ce morceau de bois plein d’aspérité qui va entamer la douceur de mes seins et plus particulièrement mes aréoles et mes pointes.
La douleur commence au deuxième passage de droite à gauche mais vite je sens que mon mari a su trouver un endroit et un jeu à la hauteur à ce que j’aspire depuis que son sadisme a rencontré mon masochisme.
Pour souffrir je souffle attendant l’ordre d’arrêter comme il m’a appris à le faire amplifiant sinon la punition.

• Attention cour, un sanglier est derrière toi et va t’attaquer.

Le cri qu’il pousse me fait sentir une grande frayeur.
Je jette un coup, d’œil pour voir où il est mais les phares m’empêchent de le voir.
Je pars en courant dans le chemin derrière la barrière transie de peur que cette bête ne me rattrape.
J’avais gardé mes chaussures à talons hauts et rapidement je les abandonne courant pieds nus et m’arrachant le dessous.
Je sens le souffle de l’animal se rapprocher et je tourne à droite au travers d’un bosquet espérant lui échappé.
Les premières branches tapent sur mes seins endoloris par la douleur de la barrière me faisant atrocement mal.
Moi qui voulais vivre une vie de débauche et de coup dans ma cave cette forêt me donne l’occasion de voir qu’une fois de plus la douleur se mue en plaisir et ma chatte me donne envie d’y mettre les doigts pour la faire exploser.
Le sanglier plus court sur pattes me talonne et les branches tapent sur tout mon corps étant deux fois plus efficaces que les coups de cravache que m’acène Vivian.
Une branche plus droite que d’autres vient même toucher mon clitoris manquant de l’arraché et cassant au moment où le mal ait le plus intense.
Et puis la mort est là quand le souffle est si prêt que je le sens sur ma nuque.
Dans un ultime mouvement de survie une trouée à gauche dans la pénombre me fait penser que je lui ai échappé.
Je profite de cet avantage pour accélérer de plus belle comme je le fais quand sur une piste d’athlétisme je peux franchir en vainqueur la ligne d’arrivée.
Mal m’en prends car c’est dans un champ de ronce que je pénètre déchirant mes chairs mais m’apportant un semblant d’orgasme sans en être vraiment un.
Mes jambes et mon bas-ventre me font mal mais j’adore de plus en plus ces piqûres qui parcellent mon corps.
Et la nouvelle chance pour moi, une clairière me fait apparaître la lune qui l’éclaire mais le souffle est revenu sur moi et je suis obligé de franchir un nouvel obstacle constitué par un champ d’orties de plusieurs centaines de mètres.
Les premiers se font sans douleur mais rapidement les piqûres urticantes des feuilles me cuisent et c’est en en sortant que j’attends l’alalie étant à bout de souffle en tombant sur un carré d’herbe tendre à quatre pattes.
La bête en profite et les coups que je reçois sur mon fessier avec une baguette cueillie avant de me faire démarrer sont plus près de ceux que sait me donne Vivian que ceux qu’un hypothétique sanglier pourrait le faire.
Je mets une seconde à comprendre que c’est mon maître qui a déclenché cette course me talonnant tout le temps car mes pieds nus étaient un handicap alors que lorsqu’il vient se placer devant moi me présentant sa verge je m’empresse de j’a prendre en bouche malgré mon essoufflement.
Sentir sa verge aller et venir quand il me prend par les cheveux pour me tirer à lui me fait couler la vulve qui est prête à le recevoir.
Est-ce la peur de la mort si l'animal avait existé ou les branches ayant labouré mon corps mais sans qu’il me touche et en mettant simplement deux de mes doigts dans mon vagin je jouis de manière jamais encore ressentie.
Tout de même épuisée je m’affaisse sur mes avant-bras montants plus hauts ma croupe que mon animal de mari s’empresse de venir remplir.
Il m’a fait souvent jouir depuis notre mariage mais là, mais là, mais là le souffle me manque plus encore que la course dans les bosquets pour dire l’orgasme dévastateur qui me submerge.
La bitte de Vivian est extraordinaire car jamais rassasiée de mon intimé dans ce clair-obscur.
Les orgasmes succèdent aux autres orgasmes et je finis par être un orgasme gigantesque et je crie mon plaisir en sentant les longs jets de sperme déferler en moi.
Dans le même temps celui dont je deviens de plus en plus l’esclave hurle à la mort comme pourrait le faire un des loups dont la peur a engendré cette course folle pour atterrir sur ce carré d’herbe tendre.

Il fait complètement nuit quand le brame d’un cerf appelant ses femelles pour les remplir comme mon mari vient de le faire me réveil.
Je le secoue et nous prenons le chemin du retour tendrement enlacé notre sang bouillonnant causé par les piqûres d’orties.
Par où sommes-nous passés nous tournons dans tous les chemins que nous croisons sans retrouver la voiture ?
Nous avons beau scruter les buissons en nous baissant sous les arbres pour essayer d’apercevoir les phares sans succès.
Et coup de chance nous débouchons sur une route et Vivian à la chance de reconnaître le gros chêne qu’il avait vu avant de tourner dans le chemin.
Les derniers bosquets par où nous sommes passés ont amplifié les marques sur mon corps qui souffre mais d’une manière qui me fait redouter que dans le futur un tel plaisir ne me soit refusé.
Nous retrouvons la voiture et les affaires mais deux mauvaises nouvelles se profilent à l’horizon.
Les phares de la C4-Picasso sont éteints car la batterie s’est déchargée ce qui rendait impossible que nous puissions les voir nous faisant certainement faire des kilomètres supplémentaires mais surtout une horde de sanglier a dû réellement passer et nos affaires sont disséminées sur des dizaines de mètres en lambeau.
Pour moi il m’a fait déshabiller près de la barrière c’est normal mais les siennes c’est incompréhensif.

• Quel con, quand j’ai eu l’idée de te faire courir j’étais sorti de la voiture pour cueillir la baguette qui m’a servi à te caresser le cul quand j’ai décidé que tu étais prête à me recevoir et je me suis déshabillé en gardant mes chaussures.
Cela te donnait un handicap car je sais par expérience que tu cours plus vite que moi.
• Comment fait-on, regarde ma robe est couverte de boue et impossible à mettre ?
• Met toi au volant je vais la pousser vers la route où nous pourrons peut-être assez la lancer pour redémarrer.

Je m’exécute restant nue et je sens la voiture reculer de quelques mètres quand une roue tombe dans une ornière et refuse tout mouvement.

• Je sais ce qu’il me reste à faire, attend là et comme j’ai eu la chance de récupérer mon caleçon presque intact je vais aller faire du stop et trouver quelqu’un va nous dépanner.

Deux heures ou plus je reste seule dans cette forêt qui malgré ma porte fermée me permet d’entendre la myriade de bruit que font les animaux.
Je vois même un de ces grands cerfs tant redouté au début de notre aventure venir devant le capot de la voiture et donner un grand coup de ses bois sur la calanque me faisant hurler de peur ce qui déclenche sa fuite.
Et puis d’un coup je vois les phares d’une voiture dans le rétroviseur.
Sans penser que je suis nue je descends pour saluer notre sauveur.
C’est un ouvrier rentrant de son poste de nuit qui a vu Vivian et qui contrairement à tous ceux qui sont passés sans s’arrêter certainement de peur en apercevant un homme nu vient nous dépanner.
Grave aux pinces le moteur démarre à la première sollicitation.

• Vous m’excusez petite madame je suis obligé de regarder la beauté du corps que vous me présentez ce qui va me permettre de faire de très beaux rêves en rentrant chez moi mais faîte attention dans ces coins les sangliers pullulent dégradant les champs des agriculteurs et les branches et les ronces sont foison et il est préférable de rester sur les chemins.

Je me fiche qu’il me matte, j’irais bien lui faire une petite pipe pour le remercier de nous sortir de ce merdier mais si je suis devenue une épouse aimante mais sans piment à la femme sado-maso d’aujourd’hui l’adultère pour notre plaisir je verrais un autre jour pressé de retrouver un bon bain…

Les avis des lecteurs

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Histoire Erotique
J'aime beaucoup ce récit qui me rappelle des choses que j'ai vécues. J'adore aussi me promener nu dans les bois et, étant également adepte du SM, Il m'arrive de traverser des champs d'orties sans aucune protection ou encore d'en garnir un tronc d'arbre avant de me coucher dessus.

Si vous m'envoyer votre adresse mail, je peux vous transmettre un récit illustré d'une de mes sorties.

Oui le début a été publié le 24 janvier sous le titre "devenue SM"Merci pour les commentaire, le trois mûri dans ma tête.

Histoire Erotique
Très originale. c'est du pure SM.
Par certain coté je retrouve les écrits du marquis de Sade de par l'utilisation des baguettes, ronces et orties. Dans le livre de Sade les orties servent à fouetter les jeunes femmes enceintes lorsqu'elles doivent se mouvoir sur une poutre en bois pour tester leur équilibre. Dans votre l'histoire leur utilisation bien involontaire ont le même piquant...

Gérard

Histoire Erotique
J'ai adoré ce récit mais je ne retrouve pas le début de l'histoire, pouvez-vous m'aider ?



Texte coquin : COLLECTION SM. J’assume mon SM.
Histoire sexe : Une rose rouge
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