SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (5/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (5/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (5/6)
Sexe Boy c’est ce que je suis devenu en recevant dans ma maison des dames âgées qui vivent dans la maison de retraite voisine.
Je fais la connaissance de Marie qui est à leurs services et qui est en manque de sexe son mari la délaissant depuis trois ans.
Malgré son jeune âge comparé à mes clientes habituelles hier je lui ai dit qu’elle pouvait revenir quand elle le voulait.
J’étais loin de m’imaginer que cet elle qui vers vingt-deux heures sonnerait à ma porte.

À travers la vitre opaque qui est sur le côté de la porte un gyrophare bleu tourne.
Un instant j’ai l’impression que la police vient m’arrêter à cause de mon activité très lucrative pour moi et ma souteneuse.
J’ouvre ma porte un peu fébrile, que peuvent-ils me faire ma maison étant vide de toutes clientes.

• Marie.

J’ai à peine le temps de dire son nom qu’elle me saute dans les bras.

• Bien madame je vois que vous êtes en bonne compagnie et en sécurité nous nous retirons, passez une bonne nuit.

Les policiers remontent en voiture et je vois le gyrophare s’éloigner.

• Entre vite, il faut que je sois discret.

Quand elle est rentrée la lumière de la salle me fait voir qu’elle a un magnifique cocard à son l’œil gauche.

• Il m’a frappé et je me suis enfui au commissariat pour porter plainte.
• Qui t’a frappé ?
• Mon mari quand je lui ai dit que je divorçais, les agents m’ont amené chez un médecin qui a constaté les faits et qui m’a arrêté quinze jours.
• Et pourquoi es-tu venue ici, bien que j’apprécie ta présence.
• Ils m’ont demandé où je pourrais aller en toute sécurité, c’est ici que j’ai pensé l’être.
• Tu as bien fait, veux-tu boire quelque chose ?
• Oui et de très fort car en plus de me frapper il m’a traité de salope et a essayé de me violer.
Regarde mes bas sont arrachés et il avait déjà réussi à me briser ma culotte qui lui est restée dans les mains au moment où j’ai réussi à lui échapper.

Elle soulève sa robe et me montre sa chatte dénudée que je connais déjà quand elle était ma cliente.

• Whisky, vodka ?
• Whisky sec.

J’ai horreur de l’alcool mais les vieilles dames indignent elles l’aiment.
Une cliente il y a trois jours après un orgasme qui lui a laissé le cul en l’air la tête au fond de l’oreillé pour récupérer m’a demandé si j’en avais et depuis j’ai acheté ces deux bouteilles sur le conseil du vendeur qui semblait si connaître vu les difficultés qu’il avait à répondre à mes questions.
Je lui sers un verre qu’elle attrape et qu’elle boit cul sec.
Elle reprend la bouteille que j’avais posée sur la table et se ressert le remplissant à moitié, là encore l’avalant d’un trait.

• Ça requinque, je suis folle j’ai du mal à tenir l’alcool.

Pour avoir des difficultés elle a des difficultés et cinq minues après, l’alcool fait ses effets et elle me regarde bizarrement de son seul œil valide.

• Tu sais que tu es beau, tu sais que tu me plais, tu sais que je vais te violer, non excuse-moi, te baiser.

En me disant cela elle se rapproche et s’agenouille devant la chaise où je suis assis.

• Tu veux que je te suce moi j’en ai fortement envie.
• C’est 80 €.
• Fait moi crédit j’ai quitté le toit conjugal sans prendre le temps d’emmener mon porte-monnaie,
• Je rigole Marie, oui suce-moi, pour toi c’est gratuit.

Je fais bien de me laisser faire car la fellation qu’elle me fait est meilleure que celle que me faisait Constance qui était moins doué au point que si je l’avais laissé faire j’étais à la limite d’éjaculer précipitamment m’empêchant pendant de longues minutes de profiter de son corps.
Constance j’ai beau essayer de la chasser de mon cerveau l’amour qui nous unissait est plus fort que tout et je me sens obligé de la comparer avec ses femmes qui elles sont en manque d’amour
Je me relève, sans rentrer ma queue je lui prends la main et je l’entraîne vers l’étage.
Chambre de droite, chambre d’amis jamais utilisée, en face salle de bain et à gauche la chambre où j’ai tous mes souvenirs passés avec la seule femme de ma vie pour qui mon cœur a flambé jusqu’à son dernier souffle.
J’ouvre celle de droite.

• Dépêche, on va baiser, je veux que tu me baises, tu verras je vais être une vraie pute, tu mérites bien la cochonne que je vais être.

Ces mots prononcés d’une manière enflammé alors qu’elle quitte ma main pour enlever précipitamment ses fringues qui atterrissent aux quatre coins de la pièce me montrent l’effet que l’alcool à sur elle.
Après avoir massacré la moitié des boutons de son chemisier en tirant sur chaque pan pour l’enlever plus site c’est ma chemisette qui subit le même sort.
Pire, elle tire tellement fort que l’alcool décuple ses forces et qu’elle la déchire en deux morceaux.
La furie qu’elle est devenue emporte tout sur son passage et c’est en levrette qu’elle se place sur le lit frétillant de la croupe attendant que je la sexe.
Pourquoi me privé du corps de cette jolie femme qui souhaite que je vienne en elle ?
Je la suis et ma queue toujours bandée trouve naturellement sa place quand je me présente à l’orée de sa fente.
Nul besoin de lui caresser le clito pour la faire mouiller car ce qu’elle a bu a eu le don de lui stimuler les glandes et sa cyprine coule abondamment me permettant de m’introduire au plus profond de sa chatte sans forcer.
C’est elle qui me donne de grand coup de cul pour mieux me sentir la pénétrer.

• Baise-moi, oui baise-moi comme tu le fais, tu vois je suis ta pute comme promis, encule-moi dès que tu le veux, tu vois comme j’aime ta queue.

Je retire ma verge de son antre chaude pour la placer à l’entrée de sa rosette.
Elle fait le même mouvement que précédemment avec son cul et alors que j’allais mettre un peu de salive pour la lubrifier elle s’encule à sec un grand oh ! de surprise sur la dureté de la pénétration sortant de sa bouche.
Je souhaite voir ses yeux aussi je me retire, la place sur son dos ses jambes reposant sur mes épaules et à genoux devant elle je me replace dans son cul qui s’ouvre sans aucun problème.
Dans cette position je redeviens maître du jeu, j’introduis deux doigts dans son vagin mon pouce lui stimulant le clitoris.
La double pénétration de mes doigts dans sa vulve et de ma queue dans son anus la fait démarrer rapidement et ses yeux très brillants certainement sous l’effet de l’alcool lui apportent un orgasme digne des plus grandes salopes qu’une femme peut devenir pour un homme.
Je finis par lui remplir le sexe avec de longs jets de sperme qu’elle ne sent ni ne voit car je constate qu’elle s’est endormie dès son plaisir pris.

Quelle heure est-il quand on sonne ?
J’ouvre un œil passé par ma chambre pour récupérer mon peignoir persuadé qu’il est neuf ou dix heures le jour s’étant levées.
Quand j’arrive dans le vestibule la pendule sur pied, que mes parents avaient acheté près de Besançon chez un artisan local, sonne quatorze heures.
Merde mon rendez-vous, je l’avais oublié, d’autant plus que sur le matin Marie est venue me sucer et nous avons refait l’amour moins violemment que quand elle est arrivée.

• Bonjours madame entrée, vous venez pour la première fois.
• Oui je m’appelle Hugette et j’ai une demande expresse à vous faire.

La dame à plus de 60 ans voire 70 et entre.
Je la conduis à la chambre de son futur plaisir ou je lui demande de se déshabiller.

• Attendez une minute je reviens.

Je sors de la chambre et je fonce à l’étage pour me rendre dans la salle de bain me nettoyer la queue afin d’enlever les sécrétions de nos baises avec Marie.
En sortant j’ouvre la porte où elle dort et je la vois s’étirer comme une chatte entièrement nue sur le couvre lit, car dans notre précipitation nous l’avions laissé.
Elle se retourne me montrant son cul que j’ai eu l’honneur de déflorer avant de continuer à dormir.
Arrivé dans la chambre ou ma cliente m’attend j’ai la surprise de m’apercevoir qu’elle a gardé tous ses vêtements.

• J’allais partir, j’avais déjà failli rebrousser chemin le courage me manquant je dois vous avouer ce que je cache depuis des années à toutes mes amies.
Mes amies car je suis lesbienne depuis mon adolescence et j’ai honte d’avouer que je suis resté vierge.
Au bien sûr mon hymen est parti depuis longtemps car mes copines souvent me rentrent l’intégralité de leur main dans le vagin mais une verge en moi j’ai toujours retardé le moment car j’avais peur que l’homme que j’aurais choisi ne s’attache et trouble ma vie.
Quand j’ai appris qu’un sexe moyennant finance était à notre disposition près de notre maison de retraite et qu’un homme encore jeune avait la force de baiser des vieilles femmes je me suis dit qu’à 77 ans je pourrais venir vous essayer.
• Rester Huguette, vous avez frappé à la bonne porte, ce lit et cette chambre vous sont réservés et ma bite est à votre disposition.
Venez jusqu’à moi que je vous enlève vos vêtements, vous m’arrêtez dès que vous vous sentez mal à l’aise.

Comme souvent ces femmes devenues des grands-mères ont des vêtements coupés sur le même modèle surtout quand elles veulent se faire belles ce qui est le cas de celle que je vais honorer si je suis patient.
Sans qu’elle se braque la jupe descend montrant des dessous communs et surtout un collant tue l’amour pour nous les hommes.
Le chemisier enlevé Huguette me montre une petite paire de seins type Jane Birkin mais avec une aréole et des pointes en forme de poire.
Je souhaite rassurer cette femme et lui montrer que les hommes peuvent être aussi caressants que ses congénères et que leur pénis est un plus pour leur plaisir.
Je m’assieds sur le lit pour être à bonne hauteur et prenant celui de gauche dans ma main pour le caresser et dans ma bouche le droit que ma langue lèche.
Je le titille quelques minutes pour changer de côté prenant du temps avant de risquer un geste vers son sexe qui pourtant est à ma portée.
Sentant qu’Hugette se décontracte j’ose lui descendre sa petite culotte.
Sa toison est impeccablement entretenue et comme toutes ses femmes sont de couleur poivre et sel.

• Je peux vous embrasser le sexe.
• Oui, vous avez dû être femme dans une autre vie…

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