Femme BCBG, escorte, non, pute… (71) - histoire érotique

Nous avons commencé à tourner mon film porno et nous sommes dans les rues de Saint-Palais sur mer ou j’ai ma villa héritée de mes parents.
Nous sommes en caméra cachée filmée par Johnny Biroute et Audrey son assistante qui nous film aussi.

Je suis devant la boutique ou se fabrique les sucettes chaudes quand je sens une main s’insinuer sous ma robe allant même jusqu’à me mettre deux doigts dans le vagin sans que je sache si c’est un client importun ou un membre de mes amis qui me doigte.

Servi, je laisse la place avec mes quatre sucettes placées au-dessus de ma tête pour éviter de les coller sur le corsage d’une de ces dames.
Mais ce qui devait arriver arrive, mes bras portés vers le ciel et le frottement que je suis obligé d’avoir avec mes voisins faits descendre ma robe sans bretelle et mes seins jaillissent sans que je ne puisse rien faire.
Un homme voit la scène.

• Jolis seins !

Sa femme voyant la scène et la réplique de son mari veut maîtriser la situation, sort les siens.

• Dit que les miens sont moins beaux que ceux de madame ?

L’homme se penche et en prend un dans sa bouche.
Une voiture passe et le conducteur qui voit la scène klaxonne.
Avant de remonter mon chemisier, je lui fais un signe de remerciement pour son hommage.
Une fois de plus, dommage que nos opérateurs loupent ce moment exceptionnel.
Encore loupé, lorsque je me retourne pour donner les sucettes aux filles, il est là et as filmer tout ce qui s’est passé grâce à son bob.
Évidemment Audrey a tout filmé, ils auront des images à hauteur de nos derrières.
Peux-elle en avoir des intéressantes ?
A-t-elle filmé qui m’a doigté ?

Nous mangeons les sucettes et partons d’un grand éclat de rire lorsque Valériane sans connaissance de la subtilité de la sucette chaude se retrouve avec les dents collées entre elles.

• Meuheeee. Eee etttt.

Bref, il faut qu’elle attende que cela fonde pour récupérer la parole, ses dents et sa bouche qu’elle a fort jolie d’ailleurs.
Johnny ne manque rien, on va bien rigoler lorsqu’il nous montrera ces images dans le CD mais je vais lui demandé de nous faire voir les rushes les plus intéressants.

• Ma grande suce, Johnny veut que nous soyons à l’heure et nous disputera si l’on est en retard à l’étape suivante.

Boutade, il est à moins de deux mètres de nous et je pense rapidement la voir à l’œuvre car les nombres de bites à sucer sont de plus en plus nombreux, elle a souhaité franchir le pas et être actrice dans mon film je saurais m’en souvenir.
Nous rejoignons la poste lieu de notre rendez-vous.
Deux personnes manquent à l’appel. Louis et Jacqueline, ont-ils pris peur de nos amusements, ont-ils fui nos jeux érotiques ?
Un profond malaise me prend quelques secondes.
Ils sont tellement sympathiques et tellement prêts à découvrir la vie, avons-nous été trop loin ?
Ai-je dépassé les limites avec ce couple nous ayant prouvé l’étendue de leur amour ?
Rien de tout cela, simplement la rencontre d’un couple de voisins de leur villa de vacances qui se promenaient en ville.
Ils me les présentent et immédiatement mon cerveau devenu vicieux au fil de mes aventures suppute déjà ce que nous pourrions faire avec eux la femme étant particulièrement bandante.

Nous remontons la rue qui mène au petit port dans les rochers.
Les techniciens nous attendent, ils ont installé un projecteur pour éclairer la zone, la luminosité étant insuffisante à cette heure.
Nous restons dans la rue en amont de la ville.

• Bien tout le monde est là, je vous remercie de jouer le jeu, Jacky, Aurélie , Tof redescendez d’une centaine de mètres. Audrey va vous filmer montant jusqu’au passage étroit à gauche amenant au petit port.

Ils s’exécutent.

• On tourne.

Les trois amis remontent la rue, l’éclairage public éclaire suffisamment pour tourner avec les nouvelles caméras électroniques.
Arrivés à notre hauteur ils empruntent l’impasse.
Johnny les attend de l’autre côté et film dès qu’ils apparaissent. Ils descendent jusqu'à la petite plage car par chance la mer est basse.
Deux petites barques servant à aller sur les voiliers restés à l’ancre au large reposent sur le sable.
Tof ôtent ses chaussures et va patauger dans une flaque d’eau de mer pas absorbée par le sable.
Jacky s’est assis sur le bas des marches avec Aurélie qui vient s’asseoir sur ses genoux les marches étant encore mouillées.
Sa robe est tellement courte qu’elle ne cache rien de sa féminité.
Mon ami d’enfance la caresse en jouant avec sa toison bien fournie et bien noire. Il mouille ses doigts et masse le clitoris qui frissonne à ce contact.
La biche commence à chanter.
Que c’est beau le chant d’une biche dans la nuit tombante !
Va-t-on entendre le cerf bramer ?
Pourquoi le cerf bramerait, il a déjà attrapé sa biche et elle n’a aucune envie de se défendre ?

• Aurélie lève-toi.

Il ouvre sa braguette et sort son sexe déjà prêt à saillir sa femelle.
Elle l’enjambe et aligne sa grotte avec son pieu se laissant carrément tomber sur la hampe qui trouve son chemin.
Elle appuie ses mains sur ses genoux et en se baissant et en se relevant sur ses cuisses, elle fait glisser sa gaine intime tout au long du mat.
Pendant ce temps Tof dos tourné au couple fait les cent pas.
Nos cervidés au paroxysme de leur plaisir commencent tous les deux à bramer. Aurélie a une tonalité propre aux biches et Jacky un râle roque et long.
Et ce qui doit arriver au moment où la nature appelle les animaux à se reproduire, il remplit sa femelle !
Au mois de mai, si tout va bien l’espèce se reproduira.
Aurélie libère sa chatte, se retourne et lui donne un baisée qui à lui seul fait se redresser la verge de son mâle.
Il en profite pour réinvestira les entrailles de sa belle et nous assistons tous à un deuxième orgasme de notre amie.
Notre mâle la rejoint et en peu de temps il remplit la cavité de sa femelle.

• Coupé.
Nous pouvons rentrer au niveau du tournage, c’est fini pour ce soir. Dans dix minutes nous débriefons sur la terrasse en prenant un rafraîchissement.
Aurélie si j’avais su la belle salope que tu étais il y aurait longtemps que tu aurais tourné.
• Merci j’aurais refusé j’ai accepté simplement par amitié pour Christine et surtout seulement avec mon homme qu’elle m’a fait connaître.

Il nous est facile de rentrer en traversant la plage et ainsi rejoindre les marches la marée remontante commençant à les lécher.

Yann s’élance nu, il a enlevé ses affaires qu’il a confiées à Valériane. Alain en fait de même ainsi qu’Adrien, tof, Sébastian, et Christian.
La pauvre croule sous toutes ces affaires, serviable je la rejoins et l’aide à tout porter.
Yann partit le premier est aussi le premier sur les marches.
Un par un ils sortent de l’eau.
La plage pas très grande nous permet de nous retrouver sur la terrasse où les hommes nous ont préparés des rafraîchissements.
Johnny comme il nous l’a dit vient faire le point de la journée.

• Bien encore merci à tous, nous avons fait quatre-vingts pour cent des scènes que nous avions à tourner.
Alain avec les techniciens pourras-tu monter le filet de volley sur la plage afin de filmer des parties demain matin vers dix heures ?
• Tout dépend de la marée je vais consulter les horaires j’ai vu un dépliant du syndicat d’initiative sur le buffet certainement mis à notre disposition par Lison qui a ouvert quand nous sommes arrivées.
• Merci, je vous propose une grâce mâtinée debout demain à neuf heures pour déjeuner.

Alain de retour nous donne la réponse à la question de notre réalisateur.

• C’est tout bon, tu auras ton filet, mais tu pourras tourner une heure seulement.
• Alain je viendrais t’aider, on se retrouve à huit heures.
• Mon cœur Johnny nous propose une grâce mâtinée !
• Tu en veux encore, pourtant tu as eu ce qu’il faut sur les marches du port de pêche tout à l’heure.
• Oui mais depuis que nous nous sommes trouvés et que l’autre con c’est tiré j’ai envie de toi en moi à tout moment.
• La nuit commence mon cœur tu vas me demander grâce,

Tous applaudissent à cette annonce, ils ont besoin de récupérer.
Je suis à côté des deux couples montrougien et montrougien.
Ils discutent de l’après vacances.
Tout en parlant, Alain et Odile entraînent leurs amis vers leur chambre.
Cette nuit Montrouge reçoit Montrouge.
Je monte me doucher, lorsque je rejoins la terrasse, elle est vide, je m’allonge sur une des chaises longues pour me décontracter en regardant la nuit étoilée, étant petite je le faisais souvent cela m’apportait beaucoup de sérénité.
J’ai tellement baisé, vu baiser aujourd’hui que le courage me manque d’aller faire la tournée des chambres dans les deux maisons pour apercevoir qui baise avec qui ?
J’aspire à un moment de quiétude avant de dormir après cette deuxième journée de tournage.
Une présence près de moi me ramène sur terre.
Johnny est là, ses notes et les caméras à portée de main.

La quiétude à laquelle j’aspire est-elle la suite de ce que j’ai vécu hier dans ces mêmes transats avec lui notre conversation sans aucune ambiguïté, nous ayant énormément rapproché ? …