VOYAGE DE NOCE. VENISE. (2/2) - histoire érotique

C’est à la demande d’une lectrice que j’ai imaginé cette suite qui je l’espère lui plaira et vous plaira.

Je viens de voir Jennifer se comporter comme une pute avec un voyageur qui était monté à Lyon alors que j’étais parti aux toilettes.
Il a cru qu’elle était seule et que je venais comme lui de monter et lui a mis franchement la main sur la cuisse.
J’attendais qu’elle se rebelle et lui balance une claque mais elle a accepté de se faire prendre par lui puis par nous deux en double pénétration.
Je venais de me raboutonner lançant la capote que j’avais remplie sous la banquette presque en dessous d’elle.
Je venais de me rasseoir quand un couple est entré dans le compartiment,
« Nice attention au départ. »
Nous étions à Nice où l’homme était descendu.

• Vous m’excusez, je vois madame habillée en blanc, vous partez pour Venise.
• Non madame voyage seule comme moi mais je crois qu’elle va à Venise et moi je vais retrouver ma fiancée pour la demander en mariage.
• Nous c’est fait, nous nous sommes mariés aujourd’hui et nos amis viennent de nous accompagner au train.
• Je la trouve très belle, tu as de la chance.

Jennifer avait repris son jeu et de nouveau faisait celle qui dormait.

• Elle s’appelle Jenny et moi Gaétan.

Coïncidence Jenny est assise sur la banquette opposé à celle de Jennifer.
J’ai failli vendre la mèche mais ce que m’avait montré ma femme et le faîte quelle face de nouveau semblant de dormir me fait penser qu’elle mijote quelque chose.
Nous jouons aux quatre coins eux près du couloir et nous près de la fenêtre.
Le train vient de partir et elle monte ses jambes pour les placer sur la banquette.

• Chérie, regarde sous la banquette il y a une chose bizarre couleur caramel.
• Fais voir, je vais te dire si je sais ce que c’est.

Jenny se penche montrant certainement ses seins à ma femme son décolleté ayant les deux premiers boutons ouverts.
Elle prend la capote que j’ai balancée et je vois mon sperme couler sur ses doigts.
Ce que dit Jenny est surprenant.

• C’est drôle qui a pu mettre un réservoir en plastique avec du lait concentré.
• Tu es folle lâche ça, c’est une capote et tu.

Il dit ces mots et avant qu’il en ait dit plus elle monte ses doigts à sa bouche et lèches.

• A non, c’est fade et salé et non sucré.
• Et tu t’es mis du sperme sur les doigts.

Les phrases s’entremêlent mais il est sûr que Jenny vient de goûter à mon sperme.

• Chéri tu as toujours refusé que je te suce, pourtant j’aime cela, c’est à vous.
• Non, moi c’est Nicolas et tu peux me tutoyer, quand je suis rentré dans le compartiment un homme en sortait semblant pressé, il a dû baiser cette femme qui dort et la jeter sous le siège.

Pendant ce temps Jennyfer comme si elle rêvait tourne ses jambes s’assayant presque sur la banquette et place sa main entre sa fourche.
Jenny a rejeté ma capote sous la banquette les yeux écarquillés de voir ma femme qui semble rêver et qui se caresse la chatte.

• Gaétan elle me donne envie, que dirais-tu si je me caressais comme elle le fait.
• Nicolas serait content de voir deux salopes se caresser la chatte, quant à moi tu sais que j’aime énormément te regarder.

Si j’ai été candaulisme avant de participer avec l’homme descendu à Nice, la suite de notre voyage m’apporte de nouveaux plaisirs pour mes yeux.
Jenny s’assoit comme Jennyfer et les deux femmes se caressent à la seule différence c’est que ma femme a déjà enlevé sa culotte que j’ai mise machinalement dans ma poche.
Jennifer semble se réveiller et elle se lève pour s’agenouiller devant la femme de mon nouveau pote et nous regardons nos femmes se gougnotter.

• Gaétan, je vais te dire la vérité, cette femme est ma femme elle s’appelle Jennifer et comme vous nous nous sommes mariés aujourd’hui.

Je lui raconte notre début de voyage et comment elle a fait l’amour avec l’homme dans le train et Jenny qui se fait sucer commence à jouir.

• Ta femme accepterait que tu baises la mienne.

Elle a encore le temps de dire non mais comme elle n’a aucune réaction à cette proposition il se lève et déboutonne son pantalon.
Je soulève sa jupe et je prends la queue de Gaétan pour la placer dans l’axe de la vulve de mon espiègle femme.
Pour mieux voir je me lève et il se met à quatre pattes derrière elle et l’empoigne par les hanches pour mieux la pilonner.
Ce que je trouve formidable c’est que celle que je viens d’épouser me cachant qu’elle était une salope continue à lécher la chatte de sa nouvelle amie sans de nouveau avoir prononcé une parole.

• Putain Jenny merci de me laisser baiser cette salope, mon pote à de la chance d’avoir épousé une telle femme, prends exemple sur elle et fait toi mettre devant moi.

En entendant les propos de son pourfendeur Jennifer retire sa langue du vagin qu’elle suçait surtout le clito ce qui permet à Jenny de se placer dans la même position sur la banquette d’en face.
Je regarde ma femme se faire prendre pendant qu’il regarde sa femme se faire mettre aussi.
Le compartiment devient un lieu de luxure pour ces deux garces qui profitent pleinement de nos queues.

• Je peux la sodomiser.
• Essaye, tu verras bien.

C’est comme cela que j’ai enculé Jenny et quand je l’ai vu sortir de la chatte de la mienne j’étais certain qu’au mouvement qu’il a fait ma salope en prenait plein l’anus.
Où était l’avocate que je venais d’épousé et que j’avais dépucelé, en un seul voyage elle était devenue une roulure mais de celle qu’on aime car assez partageuse puisque je peux baiser la femme d’un autre ?
Nous avons déchargé simultanément pendant que nos deux salopes avaient une grande jouissance simultanée.
Jennifer s’est dégagée du pieu qui était en elle alors que Jenny en faisait autant avec moi.
Elles sont venues se blottir dans les bras de leurs maris respectifs reconstituant les couples à leur état légitime comme nous l’avait dit monsieur le maire le matin même.

• Mon amour, je voudrais t’expliquer pourquoi je me suis comporté comme la dernière des dernières depuis que nous sommes partis de Paris.
• Dit moi tout, il est vrai que cela m’a étonné.
• Dans mon adolescence je suis allé en voyage avec mes parents et pour la première fois nous avons pris le train.
Les vibrations que les roues en fer du train émettaient ont déclenché une grande envie dans ma chatte.
Je venais de comprendre que mon corps et surtout ma vulve venait de s’éveiller à la sexualité.
J’ai prétexté un besoin présent et mon père m’a accompagné jusqu’aux toilettes pour que j’évite un accident en me trompant de porte.
Je le savais non loin de moi mais malgré sa présence j’ai descendu ma culotte et j’ai caressé la partie de mon corps où un petit bouton s’échauffa rapidement.
Je venais de trouver mon clitoris et comme j’étais resté debout je voyais le train avancé sur ses rails par le trou des toilettes et j’ai une pour la première fois de ma vie un orgasme en me caressant.
Je suis retourné trois fois me masturber au point que mon père a fini par rester assis, pour éviter d’éveiller ses soupçons je lui ai dit que j’étais indisposé.
Ce soir quand nous sommes partis de Paris mon clito s’est rapidement échauffé au même bruit des roues sur les rails.
J’allais te demander que tu me baises quand nous sommes arrivés à Lyon et tu as quitté le compartiment, quand l’homme qui venait de s’asseoir à mes côtés m’a mis la main sur ma cuisse les trépidations des roues sur les rails m’a fait commettre ce que j’ai fait et accepté de lui.
J’espérais que tu viendrais à mon secours mais quand j’ai vu que la situation te plaisait je me suis laissé faire.
• Jennifer j’ai entendu ce que tu viens de dire, j’ai le même problème que le tien, un jour que pour la première fois je prenais le train seule, les mêmes trépidations des roues sur les rails ont déclenché le même phénomène dans mon intimité à la différence que j’étais avec un homme d’environ 60 ans et que j’ai baissé ma culotte devant lui.
Il a sorti sa queue toute noueuse et bien rigide et je suis venu m’empaler dessus.
C’est comme cela que j’ai été dépucelé.
• Alors la capote et le sperme tu connaissais.
• Cela peut paraître étrange mais j’ai baissé ce jour-là dans ce train et cela a été la seule fois pendant des mois avant que je reprenne une autre ligne pour aller retrouver une copine et c’est là que j’ai rencontré Gaétan et qu’il m’a baisé pour la première fois avec lui dans ce train.
• Jenny m’a mise au courant de l’effet du train sur elle et je dois reconnaître que depuis que nous nous connaissons nos pratiques sexuelles ures lieu sans aucune fellation et comme nous nous sommes mis en couple après avoir fait le test nécessaire elle ignorait l’usage des préservatifs.
Quand nous sommes montés dans ce train j’ai compris que sa chatte recommençait à la démanger comme celle de Jennifer aussi je l’ai laissé assouvir ses envies avec vous en profitant largement moi aussi.
Impossible de rêver mieux pour notre nuit de noces grâce à vous.
• Jenny je te propose de sucer mon mari pendant que j’en ferais de même avec le tien, ils veulent avoir épousé des salopes montre leur le degré de perversion que nous sommes capables d’atteindre grâce aux vibrations des roues du train sur les rails.

Elles nous ont sucés, nous pompant jusqu’à ce que Jenny avale mon sperme.
Sachant que j’étais le premier qui lui envoyait mes traits de foutre dans sa gorge j’étais très fière quand elle est venue s’endormir dans mes bras pendant que Jennifer faisait de même avec Gaétan.

« Capolinea, Venezia, qui Venezia tutti scendono. ».

Venise nos salopes arrivent…