Veut de la queue - histoire érotique

«Jeveuxdelaqueue» On ne peut laisser passer un pseudo pareil, sans y répondre. A ce mec de 29 ans qui se décrivait «bon suceur» , j'ai tout de suite envoyé un message. Sa recherche était claire. Je suis ce soir à l’hôtel et je cherche bonne queue, bon calibre pour sucer jusqu'au jus, après un bon plan douche et plus si affinités.
Pour ma part j'ai 52 ans légèrement trapu, actif mais non exclusif et bien pourvu d'un 19 par 5 qui en fait couiner plus d'un. Après échange de messages nous convenons de nous retrouver à l’hôtel le soir même.
Je suis chambre 22, la porte est restée entrouverte, tu entres, je serais sous la douche, tu refermes, tu te désapes et tu m'y rejoins.
Telle était la teneur du dernier sms reçu au moment ou je me gare .

Je m'exécute et entre dans l’hôtel vers 21 heures. Le réceptionniste me salue et je fais de même. Je suis très excité en imaginant pleins de choses, et je bande comme un dingue dans mon jeans. Je prends le couloir de gauche qui indique les numéros de chambres et j'arrive au bout du couloir à droite. La porte est effectivement entrebâillée. J'entre, la lumière est tamisée et j'entends l'eau couler dans la salle de bain obscure. Je me déloque, trop pressé de rencontrer ce mec qui m'excite au travers de ses envies. Nu la queue bien dressée j'entre dans la salle de bain et viens rejoindre ce mec que je n'ai vu que de dos pour l'instant.
1,85 environ pour 90 kilos, de longues jambes, brun, et un beau fessier musclé.
Je m'approche de lui. Il me saisi d'emblée ma verge d'une main , son autre main venant soupeser mes couilles, satisfait de me découvrir bandé, il me branle lentement comme pour commencer en douceur. Ses mains m'électrisent, j'ai hâte de le voir. Il pivote au même instant et je découvre un beau mec viril, torse musclé et imberbe. Je suis à hauteur de ses tétons et m'approche de lui pour y promener ma langue. Ma main est descendue tout le long de ses muscles et va découvrir d'un instant à l'autre sa teub. Putain mais son engin est magnifique. Un beau mat bien dressé qui fait 20 sur 4. Il prend le pommeau de douche et dirige désormais le jet vers moi. De sa main qui vient de se libérer de ma queue il entreprend de me savonner. Tout n'est que douceur et volupté. Je me sens d'emblée à l'aise avec ce mec. Il étale la crème lavante sur mon torse avant de partir très vite vers ma queue, il la savonne allégrement et je ne vais pas m'en plaindre, car cela me procure un plaisir indescriptible. Puis il saisi le jet pour me rincer au moment ou il se met à genoux et embouche mon vit.

La sensation de bien être est immédiate dans sa bouche. Et je ne peux m’empêcher de pousser un soupir évocateur. Et je mordille ma lèvre inférieure en inclinant ma tête en arrière. Mes mains saisissent sa tête et j'imprime la cadence. Que c'est bon sa bouche est profonde et il sait s'y prendre. De sa main il fait subir un mouvement rotatif à ma queue, dans un sens puis dans l'autre. Il ne m'avait pas menti. Pour être bon suceur, il l'est c'est indéniable et il y prend beaucoup de plaisir, ce qui ne gâche rien. Bon c'est pas le tout mais j'aimerais bien à mon tour m'occuper de sa queue. Comme il est à genoux. Je n'ai qu'une solution, qui est de la caresser avec mon pieds. Ni une , ni deux, je sais faire. Mes orteils viennent soulever en douceur ses burnes, et je passe mon pieds sur toute la longueur de sa queue, pour repartir en sens inverse. Il semble aimer a entendre ses soupirs, ce petit traitement.Je fais coulisser son mandrin le long de mon gros orteil Et sa barre est bien dure et lourde. J'avoue que ma bouche aimerait tant prendre le relais. Il semble comprendre et se redresse. Il était temps, je ne souhaite pas jouir trop vite. La soirée débute.
Je me baisse à mon tour en viens goûter à la peau douce de son sexe. Bien rasé de prêt, avec une superbe paire de balloches qui tombent. J'aime les grosses burnes et je passe ma langue sur toute la surface pour venir les gober tour à tour. Elles sont imposantes car j'ai bien du mal à en prendre une entière en bouche. Il couine Greg. C'est son prénom qu'il me donnera après, car on ne se fait pas la conversation pour l'instant. Nous nous sommes juste dit bonjour à mon arrivée. L'occupation est autre et on ne parle pas la bouche pleine, ce n'est pas poli. Ma langue part de ses bourses et remonte sa hampe très lentement. Elle effectue un petit mouvement en demi cercle et repart à nouveau. J'effectue cette manœuvre plusieurs fois tout autour de sa bite. Mais je ne vais pas le faire languir davantage. Ma bouche aspire enfin son gland bien décalotté. Et Greg pousse un énorme soupir de plaisir. Je sens qu'il aime. Son gland est humide d'un filet de précum. C'est bon il est bien excité. Et la pointe de ma langue titille son prépuce. Et je gloutonne par moment. Il m'enfonce son chibre à fond et balance son corps d'avant en arrière pour me baiser la bouche. Par contre il ne me maintient pas la tête pour imprimer sa cadence. Sa main tient toujours le pommeau de douche et il fait couler l'eau sur moi. Cette eau coule aussi sur sa queue lorsqu'elle ressort en partie de ma cavité buccale, et ma bouche en aspire une partie dans ce flux et reflux. Tout cela est fort plaisant, je n'avais pas encore expérimenté l'eau coulant sur la queue pendant une fellation. J’accélère sur son vit, Greg se contracte avant de me repousser. Il doit sentir sa jouissance proche et ne veut pas se répandre maintenant.
Viens on va sur le lit. Me dit-il.
Oui on sera plus à l'aise je lui répondsTa queue est trop belle Je peux t'en dire autantNous nous essuyons chacun de notre coté. Il m'attire vers le lit en me disant qu'il veut encore me sucer. Nous nous allongeons tête bêche. Il me demande de ne pas le re sucer de suite. Par contre il reprends mon engin en bouche. Un peu moins ferme à ce moment là, mais pour guère de temps. Car le voilà reparti dans ses performances buccales. Je suis allongé sur le dos, et je ferme les yeux, tant ce qu'il me fait, me comble. Il enfonce mon sexe au maximum de sa gorge, dont je sens la glotte, dans laquelle je bute. Puis le ressort entièrement pour repartir de façon très lancinante. Cette façon de faire contraste avec sa carrure de sportif. Greg me racontera après qu'il à fait du basket, et qu'il a pris goût à la queue de son pote qu'il suçait régulièrement. Et son pote lui a fait découvrir la sodomie, il y est venu progressivement. Ce qu'il cherche c'est une queue qu'il va prendre patiemment, se laisser glisser dessus, sans brutalité jusqu'à que son rectum la prenne en douceur et sur toute sa longueur. Il m'avoue qu'il est hétéro, mais qu'il aime de temps à autre sucer une bonne queue. Il adore avaler la crème ou qu'on lui éjacule sur le visage. Par contre il se fait pénétrer que si tout se passe en douceur, sans précipitation. Il fait ce genre de plan quand il n'est pas avec une meuf. J'en conclu qu'il est actuellement célibataire.

Nous sommes allongés désormais l'un sur l'autre en 69 et nous restons ainsi une bonne demie heure à nous sucer réciproquement. Lorsque nous sentons que le désir monte, nous relâchons pour nous caresser le corps. Je tâte ses fesses imberbes et musclées et j'avoue que j'aimerais bien y goûter. Il s'allonge sur le ventre et me les présente. J'ai bien compris qu'il ne souhaitait pas que je le doigte, mais ma langue ne résiste pas. Et me voilà plonger dans ses deux quartiers rebondis que j'écarte. Ma langue vient doucement butiner avant de s'enfoncer dans cette rosette serrée. Et je bave, et je mouille son petit trou et ma langue gagne du terrain. Par moment je viens lui mordiller la peau des fesses et il se contorsionne. Pour sa part il me branle le zob plus ou moins vigoureusement puisque je suis sur le coté. Et ses doigts pénètrent en douceur dans mon intimité qu'il visite en l'écartant. Sa queue repose sur le drap entre ses jambes et dans ma manœuvre à lui lécher sa rosette je descends plus bas pour lécher et suçoter sa bite.

Donne moi ton cul. Souffle t'il.
J' avoue que son braquemart me tente bien et je lui dis d'y aller en douceur. J'enduis mes fesses de gel pendant qu'il enfile sa capote. Je me positionne en levrette et Greg se présente derrière moi. Il ne force pas. Son sexe entre naturellement dans un premier temps. Je me décontracte pour qu'il puisse passer les sphincters. Et tout à coup il pousse. Et je pars en avant en poussant un petit cri. Il s'est enfoncé entièrement en moi. Je suis à plat ventre sur le lit. Il est allongé sur moi, il se redresse pour replonger en douceur, une , deux, trois fois . Oh putain je le sens bien. Et le voilà qu'il se met à accélérer la cadence. Et moi je miaule comme une pucelle.
Humm qu'il est bon ton cul. C'est ça que tu voulais hein ?Hein ? Te faire défoncer par une bonne bite. Tiens prends ça. Profites. Elle te ramone bien ma queue. Je suis trop bien dedans.
Oui c'est bon, j'aime, baises moi à fond, j'en veux.
Et je pousse des cris de contentement. Il me baise en profondeur. Je me rends compte que je pousse des cris de plaisirs de plus en plus forts. Il me dit :Chut. Et je plonge ma bouche dans l'oreiller pour les étouffer. Et je sens sa queue aller et venir en moi. Il accélère encore. Je ne sais pendant combien de temps il m'a limé. Je le sens déchaîné. Soudain il s'étale de tout son poids sur moi. Il vient de décharger. C'est trop bon. C'était super. Il reste planté en moi, je sens son sexe encore brûlant et gonflé. J'avoue avoir pris mon pieds. Il s'écarte et nous restons allongés l'un à coté de l'autre à récupérer ainsi pendant plusieurs minutes. Puis il m'offre un verre. Nous discutons de nos vies respectives. L’intermède me permets de reprendre de la vigueur. Greg me re suce pendant quelques minutes. Le temps que mon chibre rebande bien. Il me demande de me mettre en position du fœtus sur le flanc droit. Et il vient frotter ses fesses contre mon gland renflé. Il passe sa main par derrière pour saisir ma bite. Il me demande de ne rien faire, de ne surtout pas bouger, que c'est lui et lui seul qui dirige. Et il se frotte et le prépuce se glisse entre ses fesses. Les vas et vient de ses fesses, même s'il n'y a que quelques centimètres d'introduit me procure un plaisir insensé, et je dois dire que je ne peux rester stoïque à ce genre de situation. Machinalement j'essaye de me frayer un chemin.
Gregory me ré freine, et me dit :Si tu continues j’arrête. Sois patient il faut que mon cul s'ouvre.
Ok, mais tu m’excites trop.
Et il repart doucement je sens que je gagne du terrain contre mon gré, puisque c'est lui qui impose la cadence du recul. Il arrête parfois quelques minutes et repart. Tout d'un coup je sens une poussée qui m'attire. Ça y est je suis en lui j'ai passé les sphincters, mais pas entièrement. Il continue à venir s'empaler et j’attrape sa jambe gauche que je soulève d'une main pour bien me caler et commencer quelques va et vient tout doucement. Il soupire et semble avoir un peu mal. Il me propose de changer de position.
Je me retrouve contre le mur de la chambre debout, lui se cale entre le lit et le mur, et il s'empale de lui même. Il avance puis recule et contrôle ainsi la pénétration. Tout en douceur, on se croirait dans un film au ralenti. L'effet sur ma teub est détonnant et terriblement bandant. J'ai l'impression qu'elle a pris encore du volume. A aucun moment il ne la fait sortir mais par contre il profite bien de toute sa longueur.
C'est divin. Je sens mes jambes qui tremblent et là je sais que je ne vais plus rien contrôler. C'est moi qui mène désormais la danse. Ses fesses se sont habituées à mon calibre. Et là j'avoue que j'accélère et que je le bourre à mon tour, tout en le maintenant par les hanches. Ces oh oui ! M'encouragent. Et je sens le sperme qui monte et je décharge dans la capote en donnant de fortes bourrades. Je me libère dans son cul. Cela fait plus de deux heures que nous sommes ensemble. Que c'est bon, de se donner un tel plaisir mutuel. Après cela je me rhabille après avoir repris une douche bien moins excitante, car seul.
Je quitte la chambre. Il me raccompagne jusqu'à l'entrée après avoir enfilé un jeans et un pull, pour prendre un café au distributeur, dans le hall.
Il m'avoue avoir super kiffé. Je suis sur que je le reverrais.