COLLECTION FANTASME. La femme de la piscine. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. La femme de la piscine. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FANTASME. La femme de la piscine. (1/1)
J’ai pris un peu de bide et pour le perdre je décide de refaire du sport.
Il est vrai que retraité de 64 ans la vie a été facile pour moi et que mon métier me permettait d’être plus souvent au resto que dans des piscines à faire des 10 kilomètres.
Je suis divorcé et j’habite dans un village près du massif des Bauges non loin d’Annecy.

Aujourd’hui pour la première fois je décide d’aller dans un magasin de sport acheter survêtement et surtout maillot de bain, sport que j’ai pratiqué en compétition alors que j’avais 20 ans.
J’étais un bon compétiteur sur 100 mètres nageant un crawl très puissant.
Si je regarde sur Internet les résultats dans ces années-là j’ai été toujours barré par un autre nageur et souvent dans les palmarès mon nom apparaît à la deuxième place.
J’étais le champion des petites compétitions et Poulidor de celles nationales.
Depuis que j’ai arrêté et que je suis devenu représentant de commerce les piscines se sont multipliées dans le pays ainsi que dans ma région et c’est celle de l’Île bleue à Seynod, la plus prête de chez moi que je me rends.

Tout se passe bien jusqu’au moment où je passe devant une glace en pied ou je vois à quoi je ressemble, j’ai quelques aventures féminines mais souvent je me prends des râteaux.
J’ai honte de me promener en maillot dans cette piscine aussi je fais quelques longueurs qui me laissent sans le souffle.

Dès le lendemain je triple mes moyens de retrouver mon poids de forme.
Je mesure 1 mètre 83 pour 92 kilogrammes, il faut que j’en perde 10 pour commencer.
Le lendemain je retourne chercher des affaires pour faire du jogging et le midi au lieu de mon resto habituel je mange un repas mieux équilibré après avoir fait mes courses dans une boutique Bio.

Au bout de huit jours j’en ai perdu 3 et je me sens mieux pour retourner à la piscine.
C’est là que pour la première fois je la remarque.
1 mètre 60 environ dans la quarantaine, petite poitrine que je vois pointer au travers de ce maillot une pièce aux couleurs chatoyantes qu’elle porte.
Sa taille est entourée d’une serviette bleue qu’elle dépose sur un siège avant de descendre dans le grand bassin où elle commence à faire des longueurs.
Je suis subjugué par cette femme et j’aime surtout les petites pattes d’oie qui entourent ses yeux me montrant qu’elle a dû bien vivre quand elle est passée près de moi semblant m’ignorer.
Ce que j’aime aussi c’est son sourire permanent qui pointe sur son visage me montrant qu’elle doit mordre la vie à pleines dents.
Un peu fatigué par les 10 bornes faites le matin dès la fraîche je m’assois sur la chaise voisine et je la regarde faire ses longueurs.
Heureusement moi aussi j’ai une serviette dans ma main que je place sur mon sexe qui commence à entrer en érection.
Elle finit ses longueurs et sors de l’eau reprenant sa serviette pour sécher ses cheveux.
Elle fait ce mouvement alors que je suis à quelques centimètres d’elle et son intimité se trouve à la hauteur de mon regard.
Je recommence à bander et son mont de Venus bien rebondi que je vois poindre sous son maillot me fait immédiatement remonter la queue.
Il faut que j’attende qu’elle parte et même qu’elle soit loin de moi pour me relever en présentant une tenue décente.

La nuit suivante j’ai un premier rêve érotique ignoré depuis mon adolescente.
Certes malgré l’âge j’ai encore la gaule le matin mais c’est comme tout homme car j’ai envie de pisser.
Au matin je me souviens que j’étais à la piscine et que je la suivais dans les cabines d’habillage et sous la douche où elle s’est contenté de me masturber jusqu’à ce que j’éjacule.
Mon rêve s’arrête là et je me réveille en sueur, la queue tendue au maximum.

Le lendemain je retourne à la piscine à la même heure mais elle est absente, je pense qu’elle vient non régulièrement mais quand je suis rhabillé et que je sors je la croise près de la porte d’entrée.
Elle semble venir tous les jours mais à des heures différentes.

La nuit suivante je rêve de nouveau.
J’arrive vers la porte de la piscine et elle se jette dans mes bras me roulant un palot digne des meilleures scènes du cinéma muet car j’ai l’image mais non le son.
J’arrive à passer ma main sur son intimité à travers ce pantalon qui m’empêche vu l’endroit d’aller plus loin.
Une nouvelle fois je me réveille en bandant.

Je cours et les jours passent me faisant continuer à perdre du poids.
Ce midi j’ai la chance d’arrivée en même temps qu’elle.
Le rituelle de la serviette après s’être changé se répète et elle commence ses longueurs.
Je vais dans l’eau et je la croise mais jamais au même endroit car je suis encore loin de ma forme olympique.
À aucun moment je croise son regard alors qu’à chaque fois qu’elle arrive à ma hauteur je m’allonge le plus possible sur l’eau lui faisant croire que je suis un athlète en pleine forme.
Elle monte à l’échelle pour sortir de l’eau au moment où épuisé j’en fais de même.
Avant qu’elle se soulève tirant sur ses bras ma figure se trouve à quelques centimètres de sa vulve.
Elle monte et le temps que j’en fasse de même elle récupère sa serviette et s’essuyant les cheveux repart vers les vestiaires.

Dans la nuit, je revois la même scène mais elle se baisse vers moi et ma langue peut lécher son maillot à l’endroit où se trouve sa chatte.
Je lève ma main et j’écarte le tissu et j’adore qu’elle se frotte sur mon visage de droite à gauche.
Ma langue entre en elle et je récupère le maximum de la cyprine que sa vulve m’envoie.
Le bas de mon corps toujours dans la fraîcheur de l’eau réagit tout de même et quant à mon grand regret elle se soulève pour sortir du bassin, je la suis alors que mon maillot a disparu et que j’offre à tous ceux qui me regardent une flamberge digne de Rocco le hardeur.
Une nouvelle fois je me réveille frustré de ce rêve inachevé.

Comment l’aborder, j’ai vu qu’aucune alliance orne son doigt mais a-t-elle un copain, un amant et il faut que je me souvienne que j’ai vingt ans de plus qu’elle.
Si j’arrive à l’aborder va-t-elle snober cet homme vieillissant alors que le nombre de regards venus de garçons plus jeunes est si nombreux quand elle sort de l’eau.
Pendant trois jours personnes, je nage seul et j’en profite pour recommencer à entretenir ma forme ayant encore perdu un kilo.

Quand elle arrive je suis assis sur la chaise à côté de celle où elle a l’habitude de poser la sienne.
Une fraction de seconde elle semble me snober car quand elle arrive sortant des cabines et des douches où je la vois se passer de l’eau sur son corps et elle part au côté opposé et pose sa serviette sur les gradins.
J’attends qu’elle soit entrée dans l’eau et dès qu’elle commence à faire ses longueurs je fais le tour du bassin, je m’allonge la tête appuyée sur mon bras lui montrant mon ventre qui bien qu’il soit loin de ressembler à des plaquettes de chocolat commence à perdre ses poignées d’amour.
Comme chaque fois elle sort de l’eau vient vers moi, lève la tête et me montre un joli sourire.
Je suis aux anges mes efforts semblent être couronnés de succès, pour la première fois elle semble me remarquer.

Je me couche sans savoir si je vais rêver à celle qui pour la première fois m’a regardé.
Pourtant c’est le cas mais mon rêve est loin de ce que j’avais espéré.
Je revois la scène de la serviette qu’elle dépose à l’opposé d’où je suis et les longueurs qu’elle fait pendant que je contourne la piscine pour me placer sur les gradins non loin de sa serviette.
Elle sort de l’eau et passe à un mètre de moi me regardant intensément.
Un bruit dans la maison me réveille au moment où ma queue se tendait et j’ai beau refermer mes yeux, je me masturbe bien réveillé car c’est le seul moyen que j’ai d’éjaculer m’évitant le priapisme qui me guette si je pense à cette femme de la piscine dans la journée.

Pour me punir d’avoir éjaculé dans le vide, en me levant et avant la chaleur qui monte le soleil commençant à passer au-dessus du mont Semnoz au lieu de prendre la route de gauche qui descend vers ma maison je tourne à droite m’engageant dans la côte qui si je calcule bien en plus de la montée va me faire faire 5 kilomètres de plus.
De retour chez moi épuisé je prends une douche et je m’allonge cinq minutes pour récupérer de la distance supplémentaire que je me suis imposée avec près de 2 kilomètres de pleine montée.
Il est quatorze heures quand j’émerge une fois de plus frustré pour deux motifs, j’ai loupé l’heure de la piscine de midi et donc ma maillade et ce sommeil était si profond qu’aucun rêve n’est venu le ponctuer.
Je prends tous de même ma voiture et je vais à la piscine, je viens de faire trois longueurs quand dans mon champ de vision je vois arriver sortant des douches une femme aussi belle que celle que j’espère séduire et pour laquelle je fais l’effort de nager de longs moments.
Elle descend et commence à nager dans la même ligne d’eau que moi et chaque fois que je la croise profitant de la brasse qu’elle pratique elle m’envoie des regards à la limite d’être des œillades semblant me dire vient me baiser.
Je suis fou, au lieu de la percuter engageant ainsi la conversation en m’excusant je sors de l’eau, vais au vestiaire ou j’ai l’impression de fuir .
La nuit aucun rêve érotique ne ponctue ma nuit me montrant que je suis amoureux de la nageuse de midi et non de celle de quatorze heures.

Le lendemain j’ai fait le même parcours me faisant faire des kilomètres supplémentaires sentant le bienfait sur mon corps de cette distance plus grande, à la différence d’hier je prends ma douche et je vais vers ma boutique bio refaire le plein et je suis bien à l’heure à la piscine pour la voir arriver.
Elle pose sa serviette sur les gradins coup de chance c’est de ce côté qu’elle met la sienne.
Nous nageons de concert mais je sors le premier.
Je suis mollement allongé quand elle passe près de moi me regardant intensément comme la femme de la veille chaque fois que nous nagions avant une fois de plus s’éloigner avant que j’aie le temps de dire la moindre parole.

Dans la nuit je rêve au même regard, mais quand je pense qu’elle s’approche de moi elle prend sa serviette et monte sur le gradin supérieur au mien.
Je vois qu’un beau gosse est là ses cheveux constellés de mèches blondes, elle le rejoint et elle l’embrasse sans aucune retenue, il lui enlève son maillot et à l’aide de sa serviette la sèche insistant sur son intimité.
Il s’allonge et profitant de la hauteur inférieure ou elle est, je la vois prendre le sexe de cet apollon en bouche et le sucer avant de monter sur lui et de s’empaler, il la laboure virilement et elle semble près de la pâmoison quand elle me fait un signe de la main voyant que je la regarde pour que je vienne jusqu’à eux.
Je monte les étages qui me séparent d’eux et au moment où ma queue est au bord de son anus qu’elle m’invite à investir, une voiture klaxonne dans la rue malgré l’heure matinale me réveillant et me frustrant une fois de plus car j’allais enfin la pénétrer.

Les jours suivants je retourne à la piscine, j’ai beau regarder toutes les femmes et surtout leur maillot si quelquefois elle en avait changé sans la voir.
J’y vais pendant des heures matin après-midi et soir quelques fois qu’elle ait changé ses habitudes.
Je fais même toutes les piscines de la région sans la retrouvé.
Un matin, en sortant de chez moi pour aller courir alors que j’ai perdu le poids espéré au début de mon aventure je vois passé une voiture avec comme conducteur un homme ressemblant au garçon de la piscine avec ses mèches blondes et à ses côtés une femme qui pourrait être la femme de mes fantasmes.
Mon cerveau me joue-t-il un mauvais tour ou habite-t-elle dans un village voisin…

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