FORETS BLONDES EN FORET NOIRE 2

- Par l'auteur HDS Humoureux -
Récit érotique écrit par Humoureux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : FORETS BLONDES EN FORET NOIRE 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2007 dans la catégorie Plus on est
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FORETS BLONDES EN FORET NOIRE 2
Notre premier meeting se limita aux présentations des différentes personnes présentes et au programme de la journée à venir. Puis un buffet nous fut servi, qui se poursuivit de façon très collégiale au bar, où la bière et le vin du Rhin coulèrent à flot. Uschi et Greta étaient accaparées par leurs collègues hommes qui étaient, à l’évidence, captivés par la beauté rayonnante de ces deux blondes nixes. Néanmoins, discrètement, régulièrement, chacune des deux me gratifiait d'un petit clin d'oeil très significatif. Nous ne devrions donc pas en rester là de notre première dans le jacuzzi ....
De fait, quand vers minuit, le maître des lieux annonça qu'il était temps d'aller dormir, puisque la première réunion démarrerait dès 7.30 heures, Uschi vint me glisser à l'oreille, en feignant de me dire bonsoir : chambre 38 dans 30'
Ignorant tout de ce qui allait m' y attendre, je me rendais dans ma chambre, y prenais une bonne douche, un petit coup de rasoir, eau de toilette Eau Sauvage, une tenue décente et en route pour la chambre 38...
Je frappais discrètement et la porte s'ouvrit sur une pénombre à peine éclairée par quelques bougies répandant une odeur enivrante. Au milieu de la chambre, sur la table, deux bouteilles de champagne et une bouteille d'alcool de poire de la Forêt Noire. La porte se referma et je sentis deux mains féminines s'empresser de me bander les yeux, puis de me guider et m'installer dans un canapé bien confortable.
Un bouchon de champagne sauta et je sentis deux corps parfumés s'approcher de moi et me porter la coupe aux lèvres. " Prosit, comme on dit en Allemagne, à ta santé petit Français. La nuit est à nous ". Je n'eus pas le temps de répondre, qu'une première bouche féminine vint se plaquer contre la mienne. J’essayais vainement de toucher l'un des deux corps que je sentais très proches, mais mes deux mains furent saisies manu militari par l'une de mes hôtesses cependant que l'autre s'empressait de me déshabiller.
Rapidement, je me suis retrouvé en caleçon et tant Uschi que Greta ne pouvait ignorer mes intentions .... Je sentis une main ouvrir mon caleçon, puis le champagne couler sur mon sexe en érection. Quel délice, d'autant qu'une bouche vint se positionner sous mon sexe afin de recueillir le liquide pétillant. Mon caleçon étant complètement mouillé me fut subrepticement ôté et je me retrouvais donc complètement nu, ignorant qui me faisait quoi ...
Je me retrouvais couché sur le canapé et une bouche torride entreprit de me sucer allègrement la verge, les bourses, ... cependant que la collègue teutonne venait se positionner à cheval sur mon visage. Je sentis un peignoir fin quitter les épaules de celle qui me chevauchait et qui portait, à l'évidence, un porte-jarretelles en dentelles du meilleur goût et une petite culotte en dentelle ouverte, ce qui me permit de lui lécher avidement l'intimité. Son pubis velouté n'eut bientôt plus de secret pour ma langue, puis je léchais, mordillais ses lèvres déjà excitées. Les petits cris de plaisir qui accompagnèrent mon parcours m'encouragèrent à aller jusqu'au clitoris, bien en érection, dont je visitais d'abord le contour avec le bout de ma langue, avant de l'aspirer profondément dans ma bouche, ce qui déclencha un premier orgasme dans la langue de Goethe que je ne suis pas près d'oublier. Ma "cavalière" se coucha alors sur moi et vint retrouver la bouche de sa collègue autour de mon sexe. Ce dernier fut alors le centre d'un numéro lesbien hors du commun, que je ne suis pas près d'oublier, d'autant que mes deux hôtesses, toujours aussi avides de champagne, n'avaient de cesse de m'en arroser le sexe puis de le boire avidement, agrémenté de petits cris et de commentaires en allemand que je n'arrivais guère à déchiffrer, tout en se faisant des "patins" réciproques que l'alcool rendait encore plus lubriques.
Uschi et Greta se redressèrent sur mon ventre, puis je sentis les deux corps permuter. De fait, je sentis un autre sexe féminin se planter sur ma bouche. A l’évidence, la nouvelle arrivée ne portait pas de culotte mais un body dont elle avait ouvert l’entrejambes. Rôdé, je pus reprendre mon numéro maintenant bien au point de léchage de son pubis moins fourni que le précédent. Par contre, les lèvres étaient beaucoup plus charnues et le clitoris un véritable petit sexe. Comme je m'attardais trop sur ce dernier, le corps glissa et je me retrouvais à lécher sa petite rose largement dilatée par l'excitation. N'ayant guère le choix, j'entrepris la pénétration de sa petite rose, ce qui généra des mouvements d'acceptation que je n'avais pas connus jusqu'à présent. Au comble de l'excitation, ma nouvelle cavalière se mit à crier et à enclencher une jouissance brûlante qui commença à me couler le long du cou, mais pour peu de temps car sa collègue se précipita pour recueillir ce liquide auquel j'aurais aimé goûter.
En fait, satisfaction me fut néanmoins donnée, car, pendant que celle qui venait d'éclater de jouissance, s'affalait à mes côtés, sa collègue, qui avait gardé le liquide de jouissance dans sa bouche, vint nous embrasser goulûment à tour de rôle et nous faire partager le contenu de sa bouche.
Mes deux collègues allemandes m'enlevèrent alors le bandeau des yeux et s'en servirent pour m'attacher les mains dans le dos.
Je pus alors découvrir qu' Uschi portait un body seins nus mettant encore plus en valeur sa superbe poitrine, cependant que Greta ne portait plus qu'un superbe petit soutien gorge dont elle avait rabattu les bonnets pour ne pas être en reste avec sa collègue.
Toutes deux m'invitèrent à m’installer, sans bouger, dans le fauteuil qui leur faisait face, puis après une tournée d'eau de vie de poire, elles engagèrent un duo d'enfer sur le canapé dont elles ne me cachèrent rien. Oh, comme j'aurais aimé me mêler à elles, les caresser, les pénétrer, partager leurs ébats. D'autant qu'au vu du spectacle qu'elles m'offraient, l'excitation me gagnait de plus en plus, mon sexe me brûlait et je craignais de jouir à tout instant.
Leurs jeux de mains ne leur suffisant pas, Uschi et Greta , maintenant complètement dévêtues, posèrent les deux bouteilles de champagne vides droites, sur le sol, les empalèrent et commencèrent à s'exciter devant moi tout en s' embrassant goulûment.
J'eus droit à sucer, lécher, les goulots de deux bouteilles tout enduits de la jouissance de mes deux collègues allemandes, avant qu'elles ne reprennent leur petit jeu lesbien.
La pénétration des bouteilles les avait mises dans tel état d'excitation qu'elles vinrent vers moi, à quatre pattes, toujours pénétrées, et entreprirent de me sucer avidement à tour de rôle, non sans m'arroser le sexe de cette eau de vie qui me piquait le gland et augmentait encore mon excitation .
Soudain, ne pouvant plus me retenir, j’éclatais sous la jouissance et, alternativement, Uschi , puis Greta , recueillirent mon sperme, non sans me rendre la politesse , puisqu'elles vinrent m'embrasser, la bouche pleine, nous permettant de partager mon sperme à trois, comme nous avions partagé le champagne, l'eau de vie et la jouissance germanique ....

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Texte coquin : FORETS BLONDES EN FORET NOIRE 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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