Chantage sur ma belle soeur

- Par l'auteur HDS Herman -
Récit érotique écrit par Herman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Herman ont reçu un total de 53 122 visites.
Récit libertin : Chantage sur ma belle soeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 53 122 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Chantage sur ma belle soeur
Bonjour chers lecteurs.

Je viens vous raconter une histoire qui m'est arrivé dernièrement.
J'ai changé les prénoms et quelques détails pour conserver l'anonymat de mes proches.


Il y a quelques mois, j'ai reçu un SMS assez spécial de ma belle sœur. Il s'agissait d'une photo d'elle entièrement nue dans une position plus que suggestive avec un message qui, vraisemblablement, ne s’adressait ni à moi, ni à son mari.
Sabrina était allongée sur un lit, le visage maquillé comme jamais je ne l'avais vu, les jambes écartées avec une main ouvrant largement son sexe épilé, l'autre enfonçant un gode dans ce dernier !
Le message disait : "j'ai hâte d'assouvir encore des désirs, Fred est en déplacement la semaine prochaine."
Mon sang ne fit qu'un tour ! Sabrina qui venait tout juste de se marier trompait déjà mon beau frère.
Mais à vrai dire, je m'en foutais pas mal. J'étais surtout hyper excité à l'idée de posséder cette photo envoyée par erreur.
Dans la minute qui suit, je reçu un nouveau SMS me suppliant de ne rien dire. Je n'ai jamais répondu.
Sabrina a du vivre dans le doute pendant des mois, jusqu'à ce qu'elle vienne passer quelques jours de vacances chez nous.

Sa sœur et moi sommes mariés depuis plus longtemps qu'eux. Nous vivons à plusieurs centaines de kilomètres de Sabrina et Fred. Ce dernier pars souvent travailler à l'étranger, et parfois Sabrina vient passer ses vacances chez nous.
J'étais ravi de savoir quelle venait seule, une fois de plus. Je savais qu'il y aurait forcément des explications, surtout que ma femme travaille de nuit, donc nous aurions le champ libre.

Les retrouvailles se déroulèrent comme d'habitude. Sabrina se comportait avec moi comme si de rien n'était.
Ma femme n'étant pas en vacance, le jour J allait bientôt arrivé !

21h. Ma femme parti au boulot et les enfants étaient au lit.
La tension commença à monter. J'avais le cœur qui battait très vite et je voyais bien que Sabrina n'était plus du tout à l'aise. C'est moi qui ai pris la parole en premier. Je me souviens encore de notre dialogue tellement j'étais excité comme une puce intérieurement.

Moi : "Bon... Il faut qu'on parle, non ?"
Sab : "Oui..."
Moi : "Alors qu'est ce que tu as à me dire ?"
Sab : "t'as rien dit ?"
Moi : "Non..."
Sab : "Merci..."
Moi : "J'ai compris qui c'était... Ça fait combien de temps ?"
Sab : "3 mois avant le mariage, mais c'est fini maintenant"
Moi : "Tu as fini d'assouvir ses désirs alors ?"
Sab : "Oui... c'était juste une aventure..."
Moi : "Sympa pour Fred tout ça... Pourquoi t'as fait ça ? En plus envoyer des photos comme ça, c'est chaud quand même !"
Sab : "Je l'ai pas renvoyé... J'étais paniquée. C'était juste une aventure. Çà s'est fait comme ça..."
Moi : "Heureusement que tu l'as pas renvoyé. Pour quelqu'un qui ne veut pas que Fred le sache, tu laissesde sacrées traces !"
Sab : "C'est lui (l'amant) qui voulait..."
Moi : "Ouais... Ben s'il l'avais eu, tu serais dans une sacrée merde ! D'ailleurs t'es pas sorti d'affaire"
Sab : "Je sais..."
Moi : "Tu sais quoi ?"
Sab : "Ben... Tu vas vouloir coucher avec moi..."
Moi : "Ouais... T'es d'accord alors..."
Sab : "Tu promets de rien dire ?! J'aime vraiment Fred si tu veux savoir..."
Moi : "Je dirais rien à condition que tu assouvies tous MES désirs !"J'ai prononcé cette phrase avec un grand plaisir en fixant Sabrina avec un grand sourire.

Sab : "Ok... Mais je veux faire ça... propre..."
Moi : "Bien sur, je te laisse la salle de bain du haut, moi je reste en bas. Je veux que tu te fasses...sexy pour moi. Vulgaire même, si tu peux, si tu as ce qu'il faut dans ta valise. Je veux que tu ais l'air aussi délurée que sur la photo, d'accord ?"
Sab : "Ok..."
Sabrina monta donc se préparer dans la salle de bain de l'étage et moi je pris ma douche au rez de chaussée.
J'entendais sa douche à elle et son sèche cheveux. L'excitation montait de mon coté. Je passai juste un boxer, et je préparai les instruments de ma femme. Elle avait un god assez fin, un autre composé de plusieurs boules de différentes tailles et un plug anal. J'avais très envie de voir tout ça "dans" Sabrina. D'autant plus que c'est elle qui les avait commandé pour nous, à l'occasion de son enterrement de vie de jeune fille après une réunion sexe toys. Les deux petites coquines avaient bien caché leur jeu en ne commandant que des petites babioles devant toutes les autres filles, pour marquer le coup.
Mais en coulisse c'était autre chose !

Sabrina descendit les escaliers.
Ce fut le choc pour moi !
Elle était maquillée comme une actrice porno. Elle avait pris le temps de passer ses cheveux blonds au fer " à boucler".
Elle était vêtue d'une nuisette noir transparente lui arrivant à ras les fesses, laissant apparaitre ses énormes seins et son sexe épilé. Des bas résilles gainaient ses grosses cuisses ce qui faisait ressortir encore plus son énorme cul. Sabrina était ronde comme sa sœur.
J'étais aux anges !

Elle prit place à coté de moi sur le canapé, toute timide et tremblotante.

Sab :"Voilà..."C'est tout ce qu'elle trouva à dire. Ça démarquait vraiment avec sa tenue hyper provocante.

Moi : "Wouaw ! Tu es vraiment magnifique, tu avais prévu le coup ou quoi ?"
Sab : "Un peu oui..."
Moi : "Bien... Et si tu me montrais comment tu t'amuses avec ces jouets que tu as commandé ?"
Les sexe toys était alignés sur la table basse du salon.
Sans rien dire, Sabrina se pencha pour saisir le god assez fin, elle se cala dans le fond du canapé, écarta les jambes en face de moi et commença à caresser le god sur sa fente.

Sab : "t'as du lubrifiant ?"
Moi : "Oui ... Attends."
Je me penchai entre ses jambes pour commencer un cunnilingus. Sabrina eu un sursaut de surprise.
Elle ne s'attendait sans doute pas à une entrée en la matière si rapide.

Moi : "Écartes ta chatte."
Sabrina posa le god sur le canapé et glissa ses deux mains entre ses jambes. Elle écarta sa chatte au maximum ce qui fit ressortir son clitoris. Ma langue parcourra tout son sexe, du clitoris que je gobais en aspirant, aux lèvres charnues et bien lisse, en passant par l'intérieur que je pénétrai avec ma langue. Je relevai la tête et crachai une bonne dose de salive pour finir de lubrifier Sabrina.

Moi : "Ça devrait être bon. A toi maintenant."
Sabrina glissa le god dans son vagin, d'une traite. Elle commença des vas et vient tout doucement pour ensuite se pistonner énergiquement. Je remarquai qu'elle plaçait ses doigts sur le god de sorte à faire une butée pour doser la profondeur. Elle savait y faire.

Moi : "Vas y plus doucement mais plus profond"
Sabrina s’exécuta. Elle fit disparaitre le god un peu plus dans son ventre en poussant quelques soupirs.
Moi, j'étais carrément fou. J'avais ma belle sœur complètement soumise à mes désires et il fallait que j'en profite un maximum.

Moi : "Lèches ton god"
Sabrina eu un moment d'hésitation. Peut être n'était-elle pas habituée à avoir ses propres sécrétions dans la bouche. Elle sorti le god de sons vagin et le plaça dans sa bouche. Elle fit une belle fellation à ce morceau de plastique ce qui présageait une bonne parti de plaisir pour moi.

Moi : "On va s'occuper de ton cul maintenant. Tournes toi et mets bien ton cul en l'air, je vais te mettre les boules."
Sab : "Ok mais je lècherais rien qui sort de mon cul."
Elle était inquiète sur ce point là et je la comprends. Je la rassurai en lui disant que ce n'était pas mon intention.
Sabrina était donc offerte à moi, les fesses en l'air bien tendues, la tête enfoncée dans un coussin qu'elle avait enlacé. Elle avait les épaules au plus bas. Cette position m'a toujours excité.
Son anus était presque visible alors je décidai de ne pas l’embêter à écarter ses fesses. Elle était de toute façon trop belle comme ça pour la faire changer de position.

J'écartai donc ses fesses en grand pour ouvrir son anus. Elle était tendu et ça se voyait. Je malaxai ses grosses fesses en les embrassant avant de plonger ma langue dans sa raie. Je la léchai de haut en bas en salivant un maximum. Je durci ensuite ma langue pour forcer son petit trou.
Comme pour son vagin, je déposai ma salive en quantité pour faciliter l'entrée de la première boule.
Elle était petite et disparue rapidement.
La tige en plastique séparant les boules fut avalée également sans problème.
La deuxième boule, un peu plus grosse, força légèrement. J'appuyai avec mes doigts sur le coté et le problème fut résolu.
Sabrina commençait à respirait plus fort.
La tige jusqu’à prochaine boule rentra en faisant des zig zag.
La troisième boule, de la taille d'un sexe au repos, força beaucoup plus. Je demandai à Sabrina de se détendre et en même temps je rentrai deux doigts dans son vagin en caressant son clitoris avec mon pouce.
Sabrina eu un petit cri puis se mis à gémir timidement.
En appuyant sur la boule de l'autre main, elle fini par disparaitre accompagnée d'un "Ahhhh" de Sabrina.
Maintenant, je pistonnais son vagin frénétiquement et les caresses sur son clitoris semblaient bien lui convenir.
La tige en plastique se tordait et il était difficile de faire approcher la dernière boule.
Celle ci était bien plus grosse que les autres. Proportionnellement, elle était trop grosse par rapport à la dernière, comme si elle était une punition.
Je n'avais jamais réussi à la faire rentrer dans le cul de ma femme.
Je crachai encore plus sur cette boule et j'encourageai Sabrina.

Moi : "Aller Sabrina, tu y es presque, tu vas y arriver !"
Sab : "Oui ! Craches plus s'il te plait ! Ça coince !"
Sabrina semblait un peu en détresse. Je sorti mes doigts de son vagin j'appliquai autant de mouille que possible sur la boule, tout en continuant d'appuyer dessus. Après avoir craché toujours plus, j'appliquai maintenant mes deux mains sur les cotés de la boule.
Elle disparut lentement une fois que la moitié fut rentrée.
Sabrina lâcha un cri long et continu, étouffé par le coussin qu'elle serrait de toute ses forces.
Elle s'effondra sur le canapé, sur le coté, les fesses dans le vide.
Elle était épuisée et complètement essoufflée comme si elle venait de courir un marathon. Elle me réclama un temps mort.

Sab : "Attends... Attends... J'en peux plus ! Attends s'il te plait !"
Moi : "Bien sur. C'est une épreuve la dernière. Ça mérite du repos après. Qu'est ce que tu as ressenti ?"
Sab : "... Entre de la douleur et ... l'orgasme... J'ai la tête qui tourne là."
Moi : "C'est normal, reposes toi. Bravo en tout cas. C'est la première fois que tu la tentes la dernière boule ?"
Sab : "Non, mais j'avais mis un max de gel pour y arriver"
Moi : "Et maintenant, ça va ?"
Sab : "Ouais, mais faut que je me remette un peu..."
Moi : "Prends ton temps. Tu es en sueur, retire ta nuisette, je vais retirer tes bas."
Sabrina se redressa un peu pour se déshabiller. Elle se remit sur le coté et me tendit ses jambes pour que je les libère de ses bas.
Je lui dit de se mettre sur le ventre.

Moi : "Je vais te faire un massage, tu l'as bien mérité."
Mes mains parcoururent son corps avec tendresse. Je le faisais vraiment avec beaucoup d'amour. J'avais autant envie de l'aimer tendrement que de la baiser sauvagement. Sabrina semblait ravie de recevoir un peu de tendresse mais elle n’oublia pas d'ouvrir les cuisses lorsque mes mains arrivèrent à ses fesses.
Je lui massai l'intérieur du vagin en appuyant sur les parois, vers les boules. Je déposai des baisers sur ses fesses en la complimentant.

Moi : "Tu es vraiment une femme magnifique Sabrina. J'ai toujours fantasmé sur toi. J'ai envie de t'aimer autant que j'aime ta sœur. Est ce que tu penses pouvoir t’asseoir à coté de moi ?"
Sab : "Je vais essayer."
Sabrina se redressa pour s’asseoir délicatement sur le canapé. Elle marqua d'ailleurs le cuir avec sa mouille. Son maquillage avait un peu coulé et ça lui donné un air encore plus cochonne. Elle jeta un coup d’œil rapide sur mon sexe que je tenais en main. J'ai longtemps résisté pendant la séance des boules dans son cul et j'avais immédiatement retiré mon boxer pour me masturber lorsqu'elle parvint à tout avaler.
On était donc tous les deux nus à se fixer du regard.

Moi : "J'ai envie de t'embrasser Sab, un baiser d'amoureux. Tu peux faire ça ?"
Toujours en silence, Sabrina approcha ses lèvres des miennes et me donna ce que je voulais. Nos langues se mêlèrent avec tendresse en faisant de petits ronds. J'avais l'impression d'être un adolescent embrassant pour la première fois.
Lorsque mes mains saisirent sa poitrine, le rythme s'accéléra. Ma langue était bien plus appuyée et Sabrina senti qu'elle devait sortir le grand jeu. Elle décolla ses lèvres des miennes pour tendre sa langue à l'extérieure de sa bouche. Elle la faisait bouger de haut en bas pour toucher mes lèvres puis ma langue venu affronter la sienne.
J'appuyai mes caresses sur seins de plus bel. Je pinçai ses tétons en les faisant rouler sous mes doigts.
Sabrina fit alors descendre sa main pour trouver mon sexe.
Elle me masturba directement à un rythme soutenu. Peut être était elle plus à l'aise, ou du moins peut être que notre relation s'orientait plus vers quelque chose qu'elle avait l'habitude de faire.
Sans que je lui demande, elle se pencha pour commencer une fellation. Elle savait y faire. Elle alternait entre la masturbation avec des coups de langue et la pipe bien goulue.
Je me suis mis debout et je lui ai demander de continuer en me regardant dans les yeux. Elle le fit en plissant les yeux et en tapant mon sexe sur sa langue.
Sabrina avait décidément lâché prise et prenait enfin son rôle à cœur.
Elle me suça pendant 10 minutes en me lâchant des "mmm" et des "aahhh" et même un "ça te plait ça hein !"
Au bout de ces 10 minutes de pure plaisir, je senti la jouissante ultime approcher et je ne manquai pas de lui faire savoir.

Moi : "Sabrina ! Tu vas me faire jouir !"
Sabrina ouvra la bouche en grand et déroula sa langue sous mon gland, comme un tapis rouge, pour accueillir mon sperme. Elle accéléra de plus bel son mouvement de va et vient sur mon sexe ce qui me fit éjaculer dans une jouissance extrême.
Elle avait fermé les yeux pour se protéger des projections et elle ne s'arrêta pas de me masturber.
C'était un réel délice et je faillis tomber par terre.
Mon sperme jaillit partout.
Elle en avait dans la bouche, sur le menton, sur le front et les cheveux. Sans oublier le carrelage et la table basse...
Après m'avoir littéralement vider les bourses, elle entreprit de nouveau une fellation digne d'un film porno. Elle me fixait toujours de regard. Elle ouvrait la bouche pour me montrer le sperme qu'elle était en train d'avaler.
J'avais une vraie chienne en face moi !
J'en profitai pour faire glisser le sperme qu'elle avait sur le visage jusqu'à sa bouche. Elle nettoya mes doigts en alternant avec mon sexe. La garce savait vraiment comme rendre un homme fou.
Je ne sais si elle le faisait pour m'épuiser et être tranquille, mais c'était loupé.
L'excitation à peine retombée, elle m'envahit de nouveau.

Moi : "T'as vu comment tu m'excites encore ! Viens ! On va dans ta chambre"
J'aidai Sabrina à se relever.
On gagna la chambre au pas de course.
Avant de l’allonger sur le lit, je lui roulai un bonne pelle. Elle avait encore du sperme dans les cheveux et ça me rendait complètement fou.
Je saisi l'anneau qui ressortait de ses fesses et je l'agitai énergiquement. Je voulais presque lui faire mal. Cette fois ci, j'allais la baiser comme une chienne.

Moi : "Sab, mets toi à genoux et suces moi !"
Elle s'exécuta.

Moi : "Putain t'es trop bonne ! Je vais bien te baiser maintenant ! Allonges toi et écartes !"
Je relevai ses jambes en l'air et plongea ma tête entre ses jambes. Je lui bouffai la chatte comme un dingue tout en maltraitant son cul rempli de boules.
Je me redressai d'un coup et je présentai mon sexe en face du sien.
J'avais bien fait de lui faire un cunnilingus car elle avait "séché" lors de ma fellation dans le salon.
Je pus la pénétrer d'un seul coup.
Je sentais les boules dans son cul à chaque coup de rein.
J'étais déchaîné et je la pistonnais à toute vitesse en prenant soin d'aller le profond possible. Les seins de Sabrina ballottaient au rythme de notre coït lorsque je ne les pinçais pas. Celle-ci gémissait en continu, c'était surprenant. Cette double pénétration devait avoir de sacrés effets sur elle.

J'allais lui accorder une petite pause.

Moi : "Sabrina, tu vas venir sur moi, mais avant tu vas me sucer !"
Je basculai sur le coté pour m'allonger sur le dos.
Mon sexe était luisant de la mouille de Sabrina. On pouvait même y voir quelques dépôts blanchâtres.
C'était parfait. Cela a toujours été mon péché lubrique de voir ma femme me nettoyer le sexe de la sorte.
Voyons voir comment sa sœur allait prendre la chose. Mon sexe était tout de même plus souillé que le god qu'elle avait sucer tout à l'heure.

Sabrina se mit à genoux perpendiculaire à moi. Elle plongea la tête sur mon sexe sans hésiter.

Moi : "Vas-y, nettoies-moi bien !"
Sabrina se servit de sa langue pour attraper tous les petits dépôts blancs. Bien qu'elle obéit à mes ordres, elle se mit à grimacer. Elle ferma les yeux et je vit sa gorge se contracter : elle avait avalé.

Moi : "C'est bien ! Aller viens sur moi maintenant!"
Sabrina s'empala sur moi rapidement. Son regard témoignait de sa fatigue et de sa résignation. Elle ne réagissait plus à mes coups de reins. C'est moi qui fournissait presque tout le mouvement. Il fallait que j'en finisse avec elle.
J’attrapai une dernière fois ses seins pour les mordiller, puis je fit descendre Sabrina sur moi en tirant dessus.
Ma bouche trouva son oreille et je lui murmurai.

Moi : "Maintenant tu vas me finir avec ta bouche comme tout à l'heure, mais je veux que tu prennes une position un peu acrobatique, ok ?"
Sab : "Ok, je dois faire quoi ?"
Moi : "Comme un 69 mais au lieu d'être sur tes deux genoux, tu poses un pieds, tu vois ?"
Sab : "Ouais je vois, tu veux que j'avale ?"
Moi : "Comme tu le sens."
Je déposai un dernier baiser sur ses lèvres et Sabrina se mis en position. J'avais une belle vue sur elle en train de me sucer, et son cul à quelques centimètres de mon visage.
Je pus alterner entre cunnilingus où je pouvais me régaler de ses sécrétions, jeu avec les boules dans ses fesses où chaque geste faisait tressauter Sabrina, tirage de tétons en observant mon sexe de faire engloutir.

A cet instant, je me suis dit que j'étais l'homme le plus heureux du monde. Le plus pervers, le plus dégoûtant pour ma belle sœur, mais je m'en fichais complètement. Je n'en avais plus rien à faire de la morale, de la bien séance ou tout ce que vous voulez. J'avais baisé ma belle sœur qui me faisait fantasmer depuis le début où je l'avais vu. Je m'étais branlé presque tous les jours sur cette photo qu'elle m'avait envoyé par erreur. C'était donc un moment inoubliable.

Sabrina me suçait en gémissant. Je ne savais pas si elle simulait où si cette partie extrême l'avait fait rentrer dans un état comme le mien, et à vrai dire je m'en fichais pas mal.
Elle fit à nouveau monter en moi une explosion de jouissance. Avant de délivrer le bouquet final, mon corps se raidit et je laissai échapper un long râle de plaisir.
Sabrina sortit mon sexe de sa bouche et se mit à le masturber frénétiquement, au dessus de son visage en sueur.
A cause de ma dernière éjaculation, mon sperme ne se présenta pas pour accompagner mon orgasme, du moins pas tout de suite.
Une vague de chaleur intense m’envahit et ma vision se troubla. Mon sexe semblait vouloir exploser et me brûlait de douleur. Je regardais la scène en râlant et par réflexe, j'enfonçai deux doigts dans le vagin de Sabrina. J'accompagnai ses mouvements en maltraitant ses deux orifices et là, enfin, mon sperme jaillit de mon gland tout rouge. La délivrance ultime !
Je demande parfois à me femme ce genre de pratique : me faire jouir deux fois de suite, sans pause entre les deux. D'habitude, la deuxième éjaculation est plus intense, comme à cet instant, mais elle est aussi plus maigre. Mais ce ne fut pas le cas avec Sabrina.
Je ne sais pas si c'était dut à mon excitation extrême, mais la quantité de sperme expulsé fut tout aussi importante que la première fois, si ce n'est plus.
Cette fois ci, Sabrina me laissa jouir tranquillement. Elle tenait simplement mon sexe face à son visage.
Elle fut, une fois de plus, inondée de ma semence.

La jouissance étant trop forte pour moi, je m’endormis sur le coup.
Sabrina succomba aussi.
Lorsque je me réveillai, il était environ 5h00 du matin. Sabrina s'était endormie sur le coté, une jambe et un bras sur moi.
Je pouvais voir ses fesses, toujours occupées par les fameuses boules, et son visage encore souillé de nos ébats.
Je me décalai doucement vers la sortie du lit, je l’observai un moment, encore fier de moi et sous le charme de sa beauté.
Il fallait effacer toutes traces de notre folie alors j'écourtai ce moment.
Je réveillai délicatement Sabrina, en lui essuyant le visage. Elle ouvrit les yeux et se laissa faire.
Je lui fit relevé les jambes pour lui délivrer l'anus. Elle les garda levées jusqu'à ce que je finisse de lui essuyer les fesses, comme un petit bébé.
Elle était tellement belle...

On se sépara pour aller chacun dans notre salle de bain.
Je fini de me laver avant elle et je décidai de l'attendre dans sa chambre.
Elle rentra et fut un peu surprise.

Moi : "Je suis juste venue te souhaiter une bonne fin de nuit"
Sab : "Oh... J'ai cru que... "
Moi : "Non non, t'inquiète."
Sab : "Ben bonne nuit à toi aussi alors."
Je me levai du lit dont j'étais assis et me dirigeai vers la sortie. Sabrina était resté figé près de l'encadrement de porte. Je m’avançai alors devant elle et lui pris les mains.

Moi : "Je te remercie pour ce moment inoubliable."
Sab : "... de rien."
Moi : "Ça t'as un peu secoué comme façon de faire, j'imagine."
Sab : "Un peu oui..."
Moi : "Peut être pas pour tout non plus ? Si ?"
Sab : "Pas tout non... J'ai déjà fait des pipes où... enfin bref..."
Moi : "Si je te demande de coucher avec moi de façon plus conventionnelle, les autres jours, ça te va ?"
Sab : "Je préférerais, oui. Mais donc tu vas pas me lâcher si je comprends bien."
Moi : "Non, en fait. Ce serait bête de ma part de ne pas refaire l'amour avec une femme comme toi."
Sab : "Mouais... Je veux qu'à la fin de mon séjour tu me laisses tranquille. C'est bon ! Je pense avoir déjà assez donné..."
Sabrina était donc dans un rôle bien écrit. Elle pensait que si elle se comportait comme la pire des délurées, elle me donnerait satisfaction et alors je la laisserais tranquille. Elle me résistait, donc.
Puisse qu’elle voyait la fin de son séjour comme la fin de notre "contrat", j'allais lui donner raison, mais j'allais littéralement changer mes plans. Fini la compassion.

Moi : "Ok... Si tu le prends comme ça... D'accord. A la fin de ton séjour, je te promets que je te laisserais tranquille. Plus de chantage. Je n'évoquerais plus jamais le sujet. Tu seras libre.
J'avoue que j'avais prévu de profiter de tes charmes quand l'occasion se présenterait mais puisse que ce sera plus possible, je compte bien en profiter durant ces 4 prochains jours."
Sab : "Oui ben j'imagine... Fini le conventionnel..."
Moi : "Bien, c'est entendu alors. Je vais te souhaiter une bonne nuit. Reposes toi bien, tu en auras besoin."
Sab : "Ouais c'est ça, bonne nuit..."

Je quittai la pièce. Je bandais déjà à l'idée de savoir que Sabrina allait être ma chose encore pendant 4 jours, mais il fallait que je dorme. Ma femme n'allait pas tarder à rentrer du travail. Je montais donc dans ma chambre pour m'endormir tout excité.

La suite du séjour fut une succession de plaisir les plus divins pour moi.
Il n'y avait plus de barrière entre Sabrina et moi, plus cette espèce de gène qu'on pouvait ressentir lors de notre première journée.
C'était clair et établir : J'étais le maître et Sabrina mon esclave.
Elle devait avoir un sacré tempérament car elle ne s'est jamais effondrée.
Elle me parlait pendant nos "séances", chose qu'elle ne faisait pas avant. Généralement c'était pour me traiter de pleins de noms d'oiseaux, que j'étais vraiment un pervers, un salaud, etc...
Ça me faisait sourire.
Pour elle, c'était sans doute un moyen de se protéger pour ne pas flancher.

J'en ai vraiment bien profité.
Je l'ai fait danser pour moi.
Je l'ai maté en train de goder tous les orifices.
Je lui ai fait porter le plug anal toute une journée.
Je l'ai baisé dans tous les sens.
On dormait même ensemble pour se séparer avant que ma femme ne rentre.

Nos rapports étaient hors norme : du sexe bien hard.
Je ne me souviens plus de tout tellement c'était non stop.
Je me souviens juste que Sabrina jouait parfaitement son rôle tout en ne cessant pas de commenter.

"Aller petit salaud, bouffe la bien ma chatte, c'est le dernier jour !"
"Tu vas encore me gicler sur la tête hein ? Ben vas y fais toi plaisir connard !"
"T'es un pervers, faut que tu te fasses soigner."

Bref...


Les 4 jours restants furent écoulés.
Je libérai Sabrina de mon emprise après une séance toujours plus torride.
Sabrina semblait dépitée rien qu'en me regardant et elle me confia qu'elle n'aurait jamais pensé que je puisse être comme ça.
Je lui expliquai que ce n'étais pas le cas et que c'est elle qui a déclenché cet effet sur moi.
J'ai tenté d'arrondir les angles en lui faisant quelques excuses.

On se quittai enfin.
Moi, rassasié, et elle, pas du tout convaincue par mes justifications.



La vie reprit son cour normal.
Jusqu'à un jour où nous avons été invité à dormir chez eux.
Une nuit, je descendis dans la cuisine pour aller boire un coup. Je tombai sur Sabrina qui faisait de même. Elle eu une réaction de crainte.
Je restai dans l'encadrement de la porte et la fixai droit dans les yeux.
Sabrina compris tout de suite.

Sab : "Non, pas encore ?"
Moi : "J'ai beaucoup rêvé de toi tu sais."
Sab : "Non pas encore s'il te plait, t'avais promis. Pas chez moi, pitié"
Moi : "Juste une petite pipe en souvenir du bon temps."
A ma grande surprise, Sabrina se mit à genoux devant moi et baissa mon caleçon. Elle englouti mon sexe directement tout en le masturbant violemment. Elle me suça en colère. Elle voulait en finir vite.
J'éjaculai dans sa bouche et elle avala le tout.
Elle se redressa et me jeta un regard noir.

Moi : "Petite cochonne, va."
Sab : "Menteur !"

Une fois de plus j'avais profité du petit secret de ma belle sœur.

Depuis, chaque fois que je le peux, j'essaie de me retrouver seul avec Sabrina.
C'est un vrai jeu du chat et de la souris, celle-ci faisant, bien sur, tout pour fuir.
Je n'ai pas gagné depuis un moment mais cela m'amuse toujours autant de participer.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Beau récit, bravo



Texte coquin : Chantage sur ma belle soeur
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Herman

Chantage sur ma belle soeur - Récit érotique publié le 29-06-2016